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La bourgeoise et le marabout – Chapitre 16




Les jours qui ont suivi ma sortie au sex-shop ont été calmes et François s’est contenté de me faire l’amour « à la fainéante » le soir au lit sans que cela soit vraiment l’extase pour moi. Heureusement, le mardi de la semaine suivante, je reçois un SMS de Maître Coulibadou « RDV demain mercredi 15h30 à la boutique de Monsieur Robert ». Mon cur se met à battre la chamade et je me demande si mon maître souhaite me faire revivre une séance d’essayages coquins comme il y a quelques semaines lorsqu’il était absent et que j’avais osé franchir le pas seule.

Au-delà de l’intérêt professionnel de mon travail en ressources humaines, l’autre avantage est que j’organise moi-même mon agenda et mes rendez-vous extérieurs avec les clients dont j’ai la responsabilité au sein de notre société. Il m’est donc facile de programmer un faux rendez-vous extérieur pour être libre ce mercredi après-midi. Lorsque j’arrive à la boutique, Monsieur Coulibadou est déjà là en train de discuter avec Monsieur Robert. Après quelques banalités d’usage sur la météo, les gilets jaunes et autres sujets d’actualité, mon maître me dit qu’il m’accompagne de l’autre côté du boulevard de Clichy, quasiment en face de la boutique où nous sommes, pour ma première séance de hammam thérapeutique. Quelques secondes plus tard, nous voici tous les deux devant l’entrée imposante du Moon City, un sauna aux couleurs indiennes si j’en crois le décor extérieur. Un peu intimidée, je suis mon marabout qui m’entraîne vers les vestiaires une fois la porte d’entrée franchie.

Fréquentant un tel lieu pour la première fois, je regarde ce que fait Monsieur Coulibadou et l’imite. Bien vite, me voici entièrement nue, les seins et le sexe cachés par une simple serviette de bain nouée. Mon maître m’entraîne vers un immense jacuzzi et, une fois nos serviettes accrochées à une patère murale, nous entrons dans l’eau, nous installons dans l’un des coins et nous immergeons jusqu’au menton. Pendant quelques minutes, mon maître reste silencieux et j’en profite pour inspecter les lieux du regard. A notre droite, un couple d’un certain âge s’embrasse fougueusement. A quelques mètres sur notre gauche, ce sont deux femmes qui s’étreignent avec passion. A l’opposé de nous dans le jacuzzi, trois jeunes hommes discutent tout en matant autour d’eux. Mon maître me demande de bien m’installer devant un jet d’eau immergé qui se met à me propulser de l’eau avec vigueur dans le dos. C’est très délassant et je me laisse aller en me calant bien le dos contre le rebord en faïence et en allongeant les jambes loin devant moi dans l’eau. Mon marabout en profite pour se positionner devant moi, me prend un pied dans chaque main et avance jusqu’à être collé à moi. Je ferme les yeux et savoure le contact de son gland qui cogne contre ma vulve. Il prend possession de ma bouche, joue avec ma langue quelques instants puis se penche à mon oreille pour me murmurer

— Soyez patiente Hélène ! Pour de raisons d’hygiène, il est interdit de faire l’amour dans le jacuzzi.

Je lui redonne ma bouche après lui avoir répondu

— C’est vous qui décidez maître.

Accentuant la pression de son sexe sur le mien, il me dit

— Je vais aller faire un tour à l’étage, restez ici et laissez-vous aller. Je reviens !

Je le regarde sortir de l’eau puis remettre sa serviette de bain autour sa taille de manière à cacher son sexe qui a pris de belles proportions. Cela fait à peine deux minutes que je suis seule que les trois jeunes hommes viennent vers moi. L’un d’eux me dit

— Votre ami vous abandonne déjà ?

Je leur fais un grand sourire et leur réponds

— Il va revenir tout à l’heure mais ce n’est pas mon ami ! C’est mon sexologue qui me suit pour que je reprenne goût au plaisir.

Il n’en fallait pas plus pour que les trois jeunes se rapprochent un peu plus de moi et m’entourent de près. L’un passe derrière moi, glisse une main sous ma nuque, me fait allonger dans l’eau comme si je faisais la planche puis colle sa bouche à la mienne. Le second, placé sur mon côté droit, me soutient le dos tout en commençant à me dévorer les seins avec gourmandise. Le troisième me force à entrouvrir les jambes, glisse ses mains sous mes fesses et me soulève le bassin de telle sorte que sa bouche puisse prendre possession de ma chatte. Comme me l’a conseillé Monsieur Coulibadou, je me laisse aller et je savoure l’instant. Quelle extase de s’offrir ainsi à ces trois jeunes mâles qui me butinent de partout ! Bien vite, mes tétons se durcissent, ma chatte est tout excitée et un sentiment d’abandon s’empare de mon corps. Je fonds, je jouis et j’en veux plus mais je ne peux rien décider sans mon maître. Heureusement, c’est à cet instant qu’il décide de revenir dans le jacuzzi. Une fois près de nous, il s’adresse aux trois jeunes hommes et leur dit

— Je vois que ces messieurs ont fait connaissance avec ma patiente. Peut-être pourriez-vous faire visiter le sauna à Madame avant de la divertir dans l’un des salons. Mais avant, accompagnez là au bar pour prendre un bon verre de thé à la menthe.

Les trois hommes ne se font pas prier et m’entraînent avec eux. Mon maître m’ayant confisqué ma serviette de toilette, je me retrouve donc nue sur l’une des chaises hautes du bar. Les trois hommes m’entourent de près et, tout en buvant leur verre de thé, me flattent la croupe, glissent leurs mains entre mes cuisses, m’embrassent dans le cou et affichent ostensiblement l’emprise qu’ils ont sur moi. Deux femmes, accompagnées de leur mari, me lancent des regards de désapprobation devant mon comportement de délurée. Même si je sais que c’est un peu outrancier de s’afficher ainsi, je sais que c’est ce que mon maître attend de moi. Lorsque l’un des trois hommes m’écarte les jambes d’une main ferme, je me laisse aller et c’est la chatte exposée aux vues de tous que je termine mon verre.

Quelques minutes plus tard, je suis installée sur l’une des rangées de bancs à l’intérieur du sauna. Mes trois admirateurs sont là, un assis près de moi et deux assis sur la rangée de bancs inférieurs. Il fait chaud dans la pièce, je transpire à grosses gouttes et tout mon corps est moite. Allongée sur dos, les jambes repliées bien écartées, je me retrouve vite avec une bouche plaquée sur mon sexe. Un autre commence à me mordiller la pointe des seins tandis que l’autre me présente sa queue à la hauteur de la bouche. Celui qui me dévore le sexe m’enserre bien les jambes dans ses deux bras et je suis ainsi dans l’impossibilité de bouger. Sa langue s’insinue tout en moi, me fouille et me possède. Celui qui s’est approprié ma poitrine en profite et prend un vilain plaisir à me faire pousser de petits cris plaintifs en accentuant parfois sa morsure. Celui qui se fait sucer m’oblige, d’une main plaquée derrière ma nuque, à le prendre en fond de gorge. Avec la température qu’il fait dans la pièce et le feu qui me consume, je suis en nage au bout d’une quinzaine de minutes et je suffoque. J’en veux plus, je veux me donner mais pas dans cette fournaise. D’une voix plaintive, je supplie mes trois assaillants

— Allons-nous rafraîchir un peu, je n’en peux plus ! Mais j’en veux plus…

Je suis entraînée sous une douche bien fraîche. L’eau froide tombe de la pomme de douche directement sur le haut de mon crâne et ruisselle sur tout mon corps. Les mains des trois hommes me caressent partout et les trois sexes bandés pointent vers moi comme s’ils étaient prêts à poursuivre l’arrosage dès que la douche cessera. Mais me voilà maintenant escortée vers l’étage supérieur où l’on me fait entrer dans une pièce suffisamment spacieuse pour accueillir un grand lit en son centre. Sur deux pans de mur ainsi qu’au plafond, il y a d’immenses miroirs. Le mur qui fait face au côté par lequel nous sommes entrés comporte une grande baie vitrée derrière laquelle se pressent déjà quelques voyeurs dont Monsieur Coulibadou. Je n’ai pas le temps de réfléchir à la situation mais je sais qu’il va falloir me montrer à la hauteur des attentes de mon maître. A quatre pattes sur le lit, je me retrouve vite avec deux belles queues dressées devant mon visage. De ma langue, j’humecte bien mes lèvres puis ma bouche passe d’un sexe à l’autre. Soudain, deux mains vigoureuses me serrent la taille et, sans avoir à forcer, une troisième queue pénètre ma chatte. Tendant le cou vers l’avant pour mieux savourer les deux sucres d’orge que j’embouche, pointant la croupe vers l’arrière pour mieux être possédée par l’étalon qui m’encule, je savoure cet instant rare de totale luxure. Tantôt je ferme les yeux pour mieux ressentir les assauts de mes trois amants, tantôt je regarde les miroirs qui me renvoient l’image d’une bourgeoise totalement dépravée, tantôt je scrute derrière la vitre le regard de ces voyeurs qui doivent se branler en nous regardant.

Je ne sais nullement si mon maître a donné des consignes aux trois étalons, mais ils prennent plaisir à varier les positions et les combinaisons. Empalée sur la bite de l’un qui est allongé sur le lit, un second m’encule pendant que je suce le troisième. Puis j’en suce un autre tandis que les deux autres me font profiter, pour la deuxième fois de ma vie, d’une double pénétration vaginale. Je gémis de plaisir, je jouis comme une folle, je me donne sans retenue. C’est finalement une queue dans chaque orifice que je fais jouir les trois hommes. Ils répandent en moi de longs jets de foutre et me laissent alanguie sur le lit. Monsieur Coulibadou entre alors dans la pièce, suivi d’une dizaine d’hommes. Il se met à genoux sur le lit, m’attire à lui et son puissant membre d’ébène m’investit. Il demande alors aux autres mâles de m’arroser de leur foutre. Je jouis de nouveau sous les assauts vigoureux de mon maître pendant que les hommes se branlent au-dessus de mon visage ou de mes seins. De nouveaux jets de foutre fusent, des glands me badigeonnent de sperme, des mains gluantes me caressent, je ne suis qu’un réceptacle du plaisir de tous ces mâles. Puis c’est mon maître qui se vide en moi, me laisse récupérer quelques minutes puis m’entraîne à la douche.

Cette sortie a été épuisante, une vraie séance de sport. Mais je vois dans les yeux de Monsieur Coulibadou que je me suis bien comportée. Nous nous séparons, je descends prendre le métro et je rentre chez moi. Je comprends que je suis vraiment devenue accro à ces sorties lubriques. Mais si tel est mon destin, je l’assumerai pleinement…..

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