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Les métamorphoses de Sylvie – Chapitre 32




32 – La soirée de ce premier samedi mémorable.

Je n’y avais pas fait attention en arrivant : j’étais blottie contre lui qui tenait son volant, je suis restée dans la même position quand il a ouvert la porte du garage pour de nouveau me coller à lui en entrant.

Nous sommes sortis de sa voiture. Il a refermé le garage, nous étions chez nous. Il m’a pris par la main et m’a dit :

 Viens ! Nous allons voir s’ils ont bien travaillé.

Nous avons pénétré dans mon futur magasin.

Comme tout local dans lequel il y avait des travaux, c’était un grand chantier. Mais il y avait une chose qui m’a sauté aux yeux : du côté de la rue, il y avait une vitrine qui tenait toute la façade, avec une porte qui était montée et, à l’autre extrémité du magasin, un grand miroir, d’un seul tenant, qui servirait aux clientes à se regarder.

J’étais stupéfaite qu’ils aient pu faire tout cela à trois en si peu de temps. Il m’a appris :

Ils ont dû être aidé par les ouvriers qui les ont rejoint. C’est ça ma surprise, ma douce : tu as déjà ta vitrine, en principe elle est protégée parce qu’ils ont retrouvé la trace de l’ancien rideau métallique pour la nuit et qu’ils en ont posé un autre, tout neuf. Le grand miroir que tu vois là est d’une seule pièce et il y aura demain, devant, les trois cabines que tu souhaites. Je te montrerai encore une surprise.

Je me suis serrée conte lui pendant que les trois ouvriers nous regardaient, l’air admiratif. Il leur a indiqué qu’il les invitait encore à manger dans le petit restaurant près duquel il y avait l’hôtel où ils passeraient une seconde nuit et il s’est enquis des autres personnes. Le responsable lui a répondu qu’elles étaient déjà reparties, le travail ayant été plus rapide que ce qu’elles pensaient.

Marc lui a alors demandé à quelle heure il pensait que les travaux de ce jour seraient terminé. L’homme lui a répondu qu’il leur fallait encore au moins une heure, qu’il nous appellerait.

Il a remercié puis m’a entraîné chez nous.

Là, je l’ai interrogé : je voulais absolument que ce local soit à moi, j’ai donc exigé qu’il me donne les factures pour que je les paie. C’est pour cela que Rarrain avait exigé de mon ex qu’il me donne de l’argent. Il s’est mis à rire et m’a dit :

Je m’en suis douté, ma douce, alors je leur ai fait transformer les livres sterling en francs et voilà.

Il a ouvert l’armoire, en a sorti un petit attaché-case que je remarquais pour la première fois, d’où il a sorti des papiers. Il m’a expliqué :

Il y a toutes les factures et toutes les garanties. Conserve les bien, ma douce !

Je lui ai ôté les papiers des mains et je me suis jeté à son cou. Je lui ai dit :

 Merci, mon amour !

Je me suis arrêté, un peu surprise, puis je lui ai expliqué :

 Si tu savais comment ça me trouble de t’appeler mon amour, alors que je me suis retenu de le faire si souvent.

Il m’a répondu :

Tu crois que ça me laisse indifférent, Sylvie ? J’aime quand tu m’appelles comme ça, ma douce.

Il a repris après quelques secondes de silence :

De toute manière, j’aime tout de toi. Je t’aime tout court, je te l’ai dit.

Il m’a longuement embrassée sur la bouche que je lui ai ouverte pour que sa langue diabolique s’empare de la mienne. Après le très long baiser que nous avons échangé, il m’a un peu repoussée et m’a dit :

 Je ne sais pas, pour toi, mais pour moi, il faut que je te refasse encore l’amour !

J’ai battu des mains sous ses yeux rieurs et je lui ai répondu :

Oh oui, oui !

Nous nous sommes jetés l’un contre l’autre sans prendre de précaution pour nous arracher nos vêtements. Une fois nus, il a pris sa monstruosité et l’a dirigée entre mes cuisses que je lui ai ouvertes. Je l’ai accueilli avec un bonheur indicible dans mon sexe. Il m’a transpercée jusqu’au fond de moi et il m’a dit :

Je voudrais tellement que nous puisions toujours vivre l’un dans l’autre, comme ça, ma Sylvie.

Je lui ai répondu :

Moi aussi, tu sais !

Il m’a entraînée, toujours empalée sur lui, jusqu’à la salle de bains. Il m’a déposé doucement sur la tablette où je m’étais masturbée pour lui tandis qu’il se rasait puis il m’a appris :

 Ici, nous serons plus vite prêts quand ils nous appelleront.

Je m’en moquais, moi j’avais sa grosseur bien au chaud dans mon sexe et c’est tout ce que je voulais.

Il a mis ses reins en route en glissant ses mains sous mes fesses pour que je ne me fasse pas mal sur la tablette. J’ai mis, moi aussi, mes reins en route et nous sommes partis pour une étreinte très douce, très longue, au cours de laquelle j’ai eu je ne sais combien d’orgasme, jusqu’au dernier que j’ai ressenti quand il m’a envoyé ses dernières ressources en sperme. Il m’a dit :

 Je suis épuisé, ma douce, mais je n’aurais voulu rater ça pour rien au monde.

Je lui ai répondu, en le regardant droit dans les yeux et en me serrant tant que je le pouvais contre lui :

Moi non plus, mon amour.

Il m’a souri, m’a posé doucement sur la tablette, a mis sa main droite sous mon sexe puis il est sorti de moi. Comme d’habitude, un flot de notre mélange de liqueurs, tout chaud, a accompagné son retrait. J’ai regardé mon sexe et sa main. Quand ça a été à peu près terminé, il a bu le contenu de sa main puis s’est approché de mes lèvres. J’ai ouvert ma bouche et, une fois de plus, il m’a donné à peu près la moitié de ce qu’il avait dans la sienne. Nous avons avalé les produits de nos émotions en fermant les yeux.

Il est descendu à mon sexe en me caressant des lèvres au passage, puis il m’a une nouvelle fois sucé avec sa langue. J’avais les cuisses écartées au maximum, mon sexe était ouvert pour lui, mes mains poussaient l’arrière de sa tête pour qu’il aille loin en moi.

Quand il a été satisfait de son travail, il m’a dit :

Et moi ?

Je me suis agenouillée au sol et je l’ai léché partout en essayant de mettre un maximum de lui dans ma bouche. Son gland tout entier, comme d’habitude, subissait la caresse de ma langue et de mon palais, mais j’ai eu l’impression que j’avais pu faire entrer un peu plus de lui dans ma bouche. Il gémissait en disant :

Tu es trop douce, ma douce !

Alors que je m’apprêtais à essayer de le faire entrer en entier dans ma bouche, mission impossible, je le savais, à moins que je réussisse à ouvrir mon pharynx comme il ne l’avait jamais été et que je l’avale complètement dans mon larynx, nous avons entendu la voix du responsable anglais qui nous appelait depuis le bas ; il nous informait qu’ils n’avaient plus qu’à se nettoyer un peu et que tout était fini pour aujourd’hui.

Marc me fit une caresse sur les cheveux et lui répondit :

Attendez, nous devons nous doucher et nous arrivons.

Il se retira doucement de ma bouche, m’embrassa sur les lèvres et me conduisit à la salle de bains où nous nous sommes douchés plus rapidement que d’habitude, bien que chacun se soit occupé de savonner l’autre.

Nous nous sommes habillés. Après un passage au magasin, nous sommes descendus jusqu’au garage en faisant un passage par le magasin où je n’ai pas vu une grande différence par rapport à ce que j’avais constaté précédemment, mais il est vrai que je n’avais pas trop l’esprit à cela, puis nous sommes partis au restaurant, les trois ouvriers, Marc et moi.

Comme hier soir, nous sommes revenus tous les deux seulement.

En se garant, il m’a dit :

 Viens voir, ma chérie !

Il m’a attiré derrière le grand miroir du fond. C’est là que je me suis rendu compte qu’il s’agissait d’un miroir sans tain. J’étais éberluée. Je lui ai dit :

 Mais… pourquoi ?

Il se mit à rire :

 Ma chérie, si tu veux voir comment tes clientes essaient de te voler, il te suffira de te poster là. Et en plus, tu pourrais les admirer sous toutes les coutures, parce qu’une femme devant un miroir… tiens, mets toi dans ton magasin et regarde toi dans le miroir. Je reviens.

Il est parti dans le garage et il a pris les deux plaids qui nous avaient servi pour nous aimer au soleil. Il a mis au sol celui qui avait servi de traversin, il a roulé en boule l’autre, dans lequel il y avait du sperme séché, puis il s’est redressé et m’a demandé :

 Viens voir ici, ma chérie, s’il te plaît !

Il me déshabilla complètement et plia soigneusement mes vêtements avant de les mettre sur le plaid, puis il en fit autant pour lui. J’étais stupéfaite.

Il m’a demandé :

Mon amour – c’est vrai que c’est doux pour moi de t’appeler mon amour ! – veux tu me faire plaisir ?

 Tu sais bien que oui ! Moi aussi j’adore t’appeler mon amour ! Que veux-tu que je fasse ?

Je vais me mettre derrière le miroir, tu vas danser comme s’il y avait de la musique douce, juste pour nous deux, puis te mettre sur le plaid et te masturber comme tu le fais lorsque nous nous téléphonons. Je veux te voir pour pouvoir t’imaginer encore mieux quand je serai reparti à Londres.

Il a disparu. Devant le miroir, j’ai pris des poses très érotiques, sachant très bien qu’il me regardait de l’autre coté.Je me suis même caressée en dansant sur une musique imaginaire, comme il me l’avait demandé. Pour finir, je me suis allongée sur le plaid, j’ai posé ma tête sur l’espèce d’oreiller qu’il avait confectionné et je me suis masturbée comme s’il n’avait pas été là. J’ai fini par me mettre la main droite dans le vagin puis j’ai fermé mon poing comme il m’avait appris. Ma jouissance a été immédiate, absolue, encore plus forte que lorsqu’il m’écoutait simplement depuis Londres.

Voyant que je restais comme ça, il a dû prendre un peu peur. Il est revenu vers moi. Quand il m’a touché, j’ai ouvert les yeux, j’ai ôté ma main et je lui ai dit :

Heureux, Monsieur le voyeur ?

 Bouleversé par ta beauté quand tu jouis sous mes yeux, ma douce !

Bon ! Nous allons changer nos places, tu veux ? Moi aussi, je veux te voir, mais j’aimerais que tu sois debout en face du miroir.

 Tes désirs sont des ordres, ma douce !

Il m’a accompagnée derrière le miroir, puis est revenu en face de moi. Je l’ai contemplé, admirative, en train de remuer son énorme pénis jusqu’à ce que, d’un seul coup, des jets impressionnants sortent du gros tuyau dont je ne voyais que l’extrémité et viennent frapper le miroir. Il avait les yeux fermés, il respirait en haletant.

Je suis revenue près de lui, j’ai léché les dernières gouttes de son sperme puis j’ai léché le miroir. il s’est approché de moi et, en riant, il m’a dit :

Madame serait gourmande à ce point ?

Je me suis blottie contre lui et je lui ai avoué :

 Tu le sais bien, mon amour !

Il m’a dit :

 Ma douce nous sommes un peu fatigués. Je te propose une chose : nous montons nous coucher, je me mets dans ta douceur et nous nous endormons.

 Ton programme me plaît bien, mais il faut aussi que nous remontions nos vêtements et les plaids.

 Tu as raison, ma chérie !

Nous avons pris nos affaires et nous sommes remontés dans notre chambre. J’ai jeté les deux plaids dans mon bac à linge sale, nous avons pendus nos vêtements dans l’armoire.

Il m’a prise dans ses bras, m’a allongée doucement sur notre lit et m’a murmuré :

 Je t’aime, mon amour !

J’ai fermé les yeux tellement j’étais heureuse de l’entendre me dire ça. Il a ajouté :

Je vais me mettre dans toi et nous allons attendre ensemble que le sommeil s’empare de nous. Tu veux bien ?

J’ai rouvert mes yeux puis je lui ai dit :

Oui ! Mets-toi dans mon sexe puis je vais venir sur toi en t’ayant dans moi.

Nous fîmes ainsi et c’est totalement unis l’un à l’autre que nous nous sommes endormis. Je savais que, demain matin, il serait toujours dans moi.

(à suivre)

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