Salut c’est votre folle de lycra pour vous écrire la suite.

Dans l’épisode précédent je vous racontais comment mon chef avait pris possession de moi en plusieurs mois et avait fait de moi sa femelle tout en douceur.

J’attaque et donc cette première nuit en commun chez moi avec mon supérieur hiérarchique qui venait de se vider en moi. Il était en moi, tout au fond de moi et je sentais cette moiteur entre nous celle qui est naissante entre deux corps quand ces derniers sont en train de se dépenser. Voilà 6 mois maintenant que mon chef m’avait demandé à ce que je ne touche plus à la coupe de mes cheveux il les voulait plus longs. Là pendant que je m’endormais je le sentais caresser mes cheveux, passer ses mains dedans comme l’aurait fait un homme avec sa belle. Cette sensation de se sentir femme aux yeux d’un homme était troublante mais vraiment très très agréable.

Le lendemain matin j’avais mis le réveil à 6h30 en prévoyant que nous nous préparions tranquillement, mais Claude en a décidé autrement vers 5h30 du coup ma première nuit de femme a été assez courte. Par contre mon réveil a été aussi chaud que mon endormissement, j’ai été réveillée par ses mains qui me caressaient toutes mes parties les plus intimes et surtout les plus sensibles ; du coup à 5h30 du matin j’avais la Gaule et elle n’était pas physiologique c’était mon chef qui l’avait provoquée. Rapidement je l’ai senti s’activer dans mon dos rapidement il s’est mis à me mordiller le cou à me mordiller les oreilles à me pincer les tétons à me masturber, il me traitait désormais de tous les noms mais toujours avec douceur il ne parlait de moi qu’au féminin. Quand je suis entrée dans cette société jamais il ne me serais venu à l’idée que je me retrouverais ainsi à cet endroit et surtout de me laisser faire comme ça. Curieuse et cochonne que je suis devenue, j’ai passé ma main dans mon dos pour aller tâter la taille du sexe qui était en train de vouloir me pénétrer un nouveau. Il était long pas trop épais mais surtout dur, pour la première fois de ma vie je me faisais réveiller de façon anale dans les règles de l’art. Comme hier soir je n’ai ressenti aucune douleur lors de cette pénétration mais que du bonheur, il n’y a pas à dire j’avais vraiment des prédispositions à devenir sa femelle. Je l’ai senti aller et venir dans mon fondement puis fermement s’accrocher à mes anches avant de à nouveau me féconder. Pour la première fois de ma vie mon réveil sonnait mais c’est une femme qu’il réveillait.

En me levant je me rends directement au toilette et là je m’assois car je sens quelque chose qui veut sortir et en fait je sens qu’il y a une bonne partie de la semence qui me quitte. Je découvre certaines sensations intimes féminines. Nous avons mangé accoudés à la table face à face et régulièrement il venait m’embrasser sur la bouche, sensation nouvelle aussi mais pas désagréable tant il était doux. Un petit moment de douceur mais surtout coquin avant de finir de m’habiller il m’a demandé de venir m’asseoir sur sa chaise en face de lui son sexe était sorti dressé et je suis venue m’empaler dessus, il m’a embrassé passionnément et a fini par me dire qu’il ferait de moi une femme heureuse. Avant de quitter mon appartement il m’a offert un flacon de parfum Angel de Thierry Mugler, j’ai eu le droit à quelques gouttes sur moi. Ce parfum était enivrant et vu les circonstances, il était aussi excitant pour moi.

Avant d’arriver au boulot il m’a demandé de le déposer dans une rue commerçante, il m’a dit qu’il arriverait à pied au boulot. Pour la première fois de ma vie j’arrivais homme au boulot mais femme aux yeux d’un collègue, mon chef… La matinée s’est passée​ comme toutes les matinées dans cette boîte, vers midi à l’heure où tout le monde part manger je me rends aux toilettes et tombe par hasard sur mon chef. Il est midi et nous sommes les seuls à cet étage, là il me prend par la main, m’emmène dans un toilette, ferme la porte à clé, me fait asseoir et me sort son sexe qu’il me donne à sucer; il va de soi que je me suis exécutée et que j’ai mis tout mon coeur à l’ouvrage… Durant cette fellation il m’a informé que cela allait devenir régulier il faudrait que je sois à lui et à son entière disposition, plus question de rencontrer de femmes, ma sexualité devait lui appartenir totalement. Je validais ses injonctions, une étape de plus été franchi dans ma soumission totale à mon chef… Il s’est vidé dans ma bouche et m’a imposé de tout avaler mais je n’ai pas rouspéter j’y prends vraiment goût à ce goût de semence, par contre je vais avoir une haleine au sperme tout l’après-midi.

18h arrivait et c’était l’heure de partir, c’est à ce moment-là que mon chef est apparu dans mon bureau et m’a tendu plusieurs sacs. À l’intérieur se trouvaient des robes très longues très douces et moulantes bref en lycra il y avait aussi une boîte avec de magnifiques cuissardes qui montaient à mi-cuisse. Inquiet ou inquiète, comme on veut, je lui demande "je ne vais pas aller bosser comme ça..?". Là il me rassure mais me confie qu’il aimerait que je sois ainsi vêtue sans arrêt à la maison.

Une fois rentrée je me suis empressée d’aller essayer tout ce qui m’avait offert. C’est con à dire mais je ne trouvais de plus en plus belle ainsi vêtue. Pour enfiler les cuissardes il a fallu que j’enfile un collant avant car sinon ma peau accrochait et je n’arrivais pas à aller jusqu’au bout; par contre je ne vous raconte pas la sensation du contact entre le collant et les cuissardes, une érection instantanée. J’avais l’impression que mon chef me connaissait quand même. Le jeudi soir, mon chef a tapé l’incruste à l’improviste à la maison ; il a beaucoup apprécié que je sois vêtue​ en femme à la maison il m’a trouvé très belle et du coup j’ai eu le droit de passer à la casserole. Il ne m’a pas donné mon avis il m’a allongé sur la table du séjour, la tête contre la table, il a soulevé ma robe et grace à une petite noix de salive sur ma raie et il est entré en moi. Accroché au bas de mes anches il m’a limé un bon quart d’heure avant de se vider en moi. Il m’a agrippé par les cheveux tout en restant d’où il m’a claqué les fesses il m’a trituré les tétons; décidément j’adorais le traitement qu’il infligeait. Vers 21h30 il m’a quitté vers 22h je me suis endormie avec sa liqueur en moi. Il n’y a pas à dire j’adorerais me sentir ainsi remplie.

J’étais devenue sa femme, sa maîtresse à sa disposition qu’il pouvait venir saillir quand il le désirait. Le côté féminin qui s’est réveillé en moi a fait s’endormir l’homme qui y était.

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