Je m’adressai alors à Fabienne.

— Alors, petite pute. C’est bon de bouffer le sperme de son maitre, hein petite chienne.

— Tu sais que j’aime ça. J’ai le sperme, j’aime le foutre. Ça m’excite grave.

— Alors, je suis tranquille. Tu vas être contente. Je pense qu’avec mes amis, Richard et Gaspard, tu vas en bouffer des tonnes. Contente.

— Un peu oui, j’ai hâte, même.

— On va y aller. Avant ça, j’aimerais te poser une question. Tu sais que je suis un peu sadique ?

— Oui, je le sais bien. Et j’aime ça.

— J’ai une nouvelle lubie. Un truc que j’ai envie d’essayer, mais qui va certainement faire mal.

— C’est quoi ? Vas-y, dis-moi.

— Je voudrais te clouer les seins à cette petite planche de bois que tu vois là. T’es partante ?

— T’en as vraiment envie ?

— Oh oui, crois-moi. J’en rêve même. Mais je pense que tu vas déguster.

— J’aime bien avoir mal. Ça me faire sentir vivante. Je suis partante. Mais promis, après tu m’amènes chez tes potes.

— Top. Oui, c’est promis. Viens avec moi. Je vais te menotter, histoire que ce soit plus bandant…

Une fois menottée, je lui demandais de s’assoir sur une chaise, proche de la table du salon. Table qui était en chêne massif. Puis je lui demandais de venir coller son corps à la table, afin de poser ses seins sur la table.

Une fois qu’elle se mit en position, je demandais à Steph de venir m’aider pour qu’elle ne bouge pas. Et je demandais également à Léa de bien regarder, car cela pourrait être une punition si elle désobéissait.

Je pris les seins de Fabienne en main et les malaxai, puis les reposai, bien à plat sur la table. J’allai chercher la petite planche, le marteau et les clous.

Je positionnai la planche sous ses seins. Elle dépassait de cinq centimètres de chaque côté des seins. Elle faisait 15 centimètres de largeur, de ce fait, une fois les seins posés dessus et les tétons bien étirés, il restait encore cinq centimètres de bord de planche.

Les clous faisaient sept centimètres de long. Ils avaient été bouillis et entièrement désinfectés. Je pris le premier clou. Premier téton. Sein droit. J’étirais bien son téton et à 1 centimètre derrière la pointe de celui-ci, je pointai le premier clou. Je lui demandai de ne surtout pas bouger. Je pris le marteau et donnai et rapide, sec et ferme cou sur le clou.

Ce dernier transperça le téton et la planche de bois sur la moitié de son épaisseur. Je redonnais un deuxième coup pour atteindre l’épaisseur souhaitée. Elle ne cria pas, mais je vis la douleur sur son visage.

Je lui demandai alors :

— Ça va ? Tu tiens le coup ?

— Ouais, c’est bon. Ca pique grave, mais après, je trouve ça cool.

— T’es vraiment une folle… mais tant mieux. Je finis ce sein ou j’attaque le téton de l’autre et reviens à celui-là après ?

— Tu vas en mettre combien des clous ?

— Cinq par sein. En flèche. Téton et deux de chaque côté.

— Bon, fais l’autre téton.

Je pratiquai donc la même opération sur l’autre téton.

Puis je reviens au sein initial, le droit et je plantai alors 1 clou de chaque côté, puis un deuxième clou encore de chaque côté. Pareil pour le sein gauche. Ses seins étaient maintenant bien fixés à la planche. Elle regarda, puis me dit.

— Il en manque 1, plus gros. Tu as un clou plus gros ?

J’avais des clous de chantier de 15 centimètres de longueur, un peu plus épais que ceux d’avant. Je le fis rapidement bouillir puis les désinfectai.

— Voilà. Tu veux que je fasse quoi avec ?

— Je veux que tu en plantes un, au milieu de chacun de mes seins, stp.

Je pris le soin de bien les aiguiser et pointai le clou au milieu de son sein droit. Je lui demandai si elle était bien sûre d’elle. Sa réponse étant affirmative, je donnais 1 coup de marteau, encore une fois vif et sec, avec assez de force pour percer le sein de part en part. Puis à nouveau de coups de marteau pour bien enfoncer le clou dans le bois.

Je procédai de la même manière avec l’autre sein. L’opération terminée, je lui apportai un verre d’eau et un verre de vin. Elle but les deux, cul sec. Je lui demandai de se lever. C’était parfait.

La planche tenait parfaitement, ses seins faisant maintenant office de support. Je posai les deux verres vides dessus et lui demandai de marcher un peu. Les verres étaient bien en équilibre.

A nouveau, je les remplis de vin, pour nos amis de l’immeuble. Je lui enlevai sa robe, qu’elle avait roulée à la taille. Les mains toujours attachées dans le dos, je la couvris d’un léger manteau et lui mis un bâillon boule, histoire qu’elle ne puisse parler.

J’annonçai à mes deux soumises que je l’amenais à nos amis et que je serai de retour dans 10 minutes. C’est ainsi que nous descendions aux caves. Alors que j’allais taper à la porte de Richard, j’entendais des bruits de conversation émanant de son antre. Sûrement n’était-il pas seul. Je toquais. Une voix m’invita à entrer.

Effectivement, Richard n’était pas seul. Il avait invité deux de ses potes, SDF eux aussi et leurs chiens. En tout et pour tout, il y avait donc trois mecs, assez vieux, assez peu ragoûtants et trois chiens. Gaspard, le berger allemand, Rufus, un dogue allemand, énorme et câlin, une espèce de bâtard de labrador.

Richard me présenta Antoine et Sylvio. C’est à ce moment que je débarrassai Fabienne de son manteau et la faisais entrer. Stupeur des gars. Sans réfléchir, Antoine et Sylvio prirent les verres de vin qui étaient posés sur la planche.

— Messieurs, je vous présente Fabienne. C’est une vraie chienne, avide de sperme. Faut lui en faire bouffer, elle adore ça. Bon, au début, elle ne devait être là que pour Richard et Gaspard, mais plus on est de fous, mieux c’est.

Je rajoutai que je la leur laissai 24 heures. Je leur fournissais aussi une pince et une tenaille afin de lui ôter la planche et les clous d’ici deux/trois heures, ainsi que le nécessaire pour la soigner.

Que tous ces trous, chatte, cul et bouche, n’étaient que des dévidoirs à sperme. Qu’il fallait la faire jouir autant que possible, et condition impérative, lui faire bouffer tout le sperme, humain ou canin, peu importe où ils jouissaient.

Enfin, que sils voulaient, ils pouvaient aussi faire appel à des potes, pour la tringler sils n’avaient pas la santé nécessaire. Je leur promettais à tous une bonne bouteille de vin en échange.

Avant de partir, j’adressai à l’oreille de Fabienne, une petite phrase.

— La bonne petite chienne que tu es va bien se faire saillir. Tu me raconteras…

Je quittai les lieux et fermai la porte. Je remontai voir mes deux femelles soumises. Il fallait que je m’occupe d’elles aussi.

Léa était toujours en train de se faire traire. Je demandai à Steph comment cela se passait. La fin de la traite arrivait pour Léa. J’allais pouvoir m’occuper d’elle. Steph débrancha les buses aspirantes de la trayeuse et s’apprêtait à ranger la machine, quand je lui annonçai que c’était son tour.

— Steph. J’ai la sensation que tu as pris un malin plaisir à traire ta copine. Ne fais pas aux autres ce que tu n’aimerais pas qu’on te fasse. En ce sens, tu vas y avoir droit toi aussi. Et pour le coup, ce sera deux heures de traite. Tu vas me faire du lait, ma belle.

Elle ne sourcilla pas et se mit, elle aussi, en position à quatre pattes. Je demandai à Léa si elle voulait lui mettre les buses sur les seins. Elle déclina. J’installai donc les buses et mis la trayeuse en marche.

Elle ne mit pas longtemps à fournir à nouveau de lait. La douleur était un peu plus intense, à cause des anneaux qu’elle portait, mais le lait passait quand même.

— Te voilà transformée en bonne vache laitière.

Puis m’adressant à Léa, je lui demandai de me rejoindre sur le canapé. Elle s’assit entre mes jambes, son dos collé à mon torse afin que je lui prodigue un massage des seins avec une huile apaisante.

Je n’oubliais pas de bien triturer ses tétons, malaxai ses seins à pleines mains. Son uf vibrant était toujours à fond. Je diminuais l’intensité.

— Tu te sens comment ?

— J’ai mal aux seins, mais là, j’aime bien être dans tes bras et que tu t’occupes de moi. Tu vas me baiser aussi, un peu ?

— Bien sûr que je vais te baiser. Et pas qu’un peu. Je vais fourrer ta chatte, ton cul, ta bouche. T’inquiète pas pour ça. Dans un tout autre propos, t’iras voir ton gynéco afin de changer de pilule. Tu verras avec Steph, mais elle prenait une pilule qui lui permettait de ne plus avoir de règles.

— Oui, d’accord. Est-ce qu’on pourra passer à mon appart pour que je récupère des affaires.

— Oui, c’est prévu demain. D’ailleurs, tu vas rendre ton appart, puisque tu vas habiter ici.

— Le rendre ? Je suis proprio de mon appart. Je vais le mettre en loques.

— Tu fais quoi comme boulot ?

— En fait, j’ai ma propre boîte. Je suis chasseuse de têtes pour le compte de services RH de grosses boîtes. De ce fait, je bosse essentiellement de la maison. Tu penses que je pourrais avoir un coin à moi pour que je puisse travailler.

— Oui, on va faire ça. Mais l’espace commence à se faire petit. Va vite falloir qu’on déménage. D’ailleurs, on va commencer à chercher. Ça va mieux maintenant, tes seins ?

— Oui, merci. Par contre, tu m’excuseras, mais je reste choquée.

— Par quoi ? Ton crâne rasé ?

— Euh, non, même pas. Je m’y attendais. Je m’étais faite à l’idée. Et le fait que je travaille de chez moi est plus facile. Après, comme me l’a dit Steph, il faut avant tout que j’assume.

— Bien !! Mais donc, par quoi es-tu choquée ?

— Par Fabienne ! Et le traitement que tu as fait subir à ses seins.

— Oui, violent… Mais elle aime ça… et j’ai un côté un peu sadique qui me fait aimer ça aussi. Et là, figure-toi qu’elle est en bas, avec Richard, deux de ses potes et trois chiens, dont un énorme Dogue Allemand !

— Oh, la vache. Elle va prendre. Elle va sacrément ramasser.

— Tant mieux. C’est ce qu’elle veut de toute façon.

— Fabien, j’ai une question. Je vais dormir où ? Avec toi, avec elle, seule ?

— Cela dépendra de mon humeur, de mes envies. Plus tard, vous aurez toutes les deux votre chambre. Parfois, je dormirai seul ou avec d’autres femmes, parfois, c’est l’une de vous deux qui dormira avec moi. Ce soir, c’est toi qui dormiras avec moi et qui auras l’honneur de sucer de bon matin.

— ???

— Oui, je t’explique. Tous les matins, je me fais sucer. Par toi, par Steph, par Fabienne. Peu importe. Selon mon envie. Et je tiens, à ce que tout mon sperme soit avalé. J’adore ça. Que je jouisse dans ton cul, dans ta chatte, par terre, ton but est de tout récupérer et d’avaler. J’espère que tu aimes ça ?

— Quoi ça, le sperme ?

— Oui.

— Ca va. Ce n’est pas mon plat favori, mais on s’y fait.

— Va falloir t’y faire, car tu vas en bouffer des tonnes. Il faut que tu deviennes accro au sperme. OK.

— J’ai compris. Tu peux me baiser maintenant, stp.

— Fais-moi bander d’abord. Viens me sucer. N’utilise jamais tes mains. Seule ta bouche doit être ne contacte avec mon gland, avec ma bite.

Elle descendit du canapé, s’agenouilla par terre et me suça. Elle était assez douée. Une fois que j’étais bien en forme, je lui demandai de venir s’assoir sur moi et de s’empaler sur ma queue.

Ce qu’elle fit, en ayant pris soin d’ôter son uf. La pénétration fut facile, tant elle était mouillée. Pendant qu’elle montait et descendait, je malaxai ses seins, léchai ses tétons, les mordillai.

Comme j’avais déjà joui en début de soirée avec Fabienne, elle dut s’employer pendant plus de 20 minutes à se faire pistonner pour que je sente la jouissance arriver. Elle, pendant ce laps de temps, avait déjà joui deux fois, fortement.

Je me lâchai finalement au fond de son utérus. Puis, je la basculai sur le côté pour la laisser choir sur le canapé.

— Reste comme ça. Les jambes un peu relevées. Steph viendra récupérer mon sperme directement dans ta chatte, avec sa langue. Elle adore ça. En attendant, nettoie-moi la queue avec ta bouche.

Elle s’appliqua et me nettoya la queue parfaitement, récoltant des restes de sperme et de mouille mélangés. Je la couvris d’un petit plaid et allumai la TV.

— Cool, films ou séries ? me dit Léa.

— Comme tu veux, j’ai les deux, je suis fan des deux.

— Trop bien, moi aussi. T’as le dernier épisode de GOT ?

— Ca tombe bien, c’est ce que j’allais mettre…

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