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Compartiment branleurs – Chapitre 1




  « Très jolie », pensa Renaud en reluquant l’adolescente qui venait de prendre place devant lui. La charmante blonde aux yeux bleus voyageait seule, ce qui ne gâtait rien. Mince et habillée chic, elle semblait appartenir à une classe au-dessus de celle de son admirateur discret.

Personne d’autre ne vint s’installer dans le compartiment. Tant mieux : Renaud avait justement envie de se faire un petit plaisir solitaire. La vue de sa voisine l’avait passablement excité et il éprouvait maintenant le besoin de se soulager un peu.

La fille venait de déplier un magazine féminin dans lequel elle se plongea, avec cependant une moue de désintérêt. La revue faisait office de paravent. Rien des actions de Renaud ne risquait désormais d’être remarqué par la belle.

 

Avec assurance, le garçon déboutonna son pantalon, abaissa son slip et exhiba un sexe qui ne demandait qu’à être stimulé. Il commença à se tripoter les testicules, histoire de se mettre en train, puis il entama une branlette en règle tout en lorgnant les longues jambes bien dessinées de sa voisine.

Regarder cette jolie fille toute proche de lui avec les parties sexuelles à l’air lui apportait une excitation comme il n’avait jamais éprouvée. L’idée de s’exhiber aussi près de cette jeune inconnue lui faisait monter la sève. Quelques dizaines de centimètres séparaient sa bite et ses couilles des mains et de la bouche de cette fille. Il imaginait les mains soignées lui triturer les balloches, aller et venir sur son membre avant de le porter à la bouche.

 

Renaud restait sur le qui-vive. Pas question de se faire prendre à ce jeu-là. Cette donzelle ameuterait tout le monde en poussant des cris d’orfraie.

Le risque encouru accentuait l’excitation de Renaud qui sentait son cur cogner plus fort dans sa poitrine. Des coups sourds lui battaient les tempes tandis que son souffle se faisait plus saccadé.

 

Son membre commençait à pulser, sa raideur désormais incontrôlable. Si la fille avait l’idée de détourner le regard de son magazine, il n’aurait pas le temps de se rajuster. De toute manière, sa rigidité l’empêcherait de remballer le sexe arrivé à son plein développement.

 

La midinette continuait à feuilleter son magazine, inconsciente de la tâche lubrique qu’elle contribuait à provoquer.

Renaud se remémorait le visage qu’il avait eu le loisir d’observer quand la belle ado s’était installée face à lui.

Elle possédait une jolie figure assez ronde, les traits doux et réguliers. Il aimait ses yeux bleu azur et ses cheveux blonds qu’il contemplait encore à loisir ; une chevelure ramenée au sommet de la tête en une coiffure compliquée qui ajoutait une touche de charme distingué à ce visage juvénile.

 

Renaud reporta son attention sur les doigts fins qui enserraient les bords du magazine. Il les imaginait lui pincer les testicules entre le pouce et l’index, augmentant et diminuant la pression en un mouvement régulier. Le contraste entre ses couilles velues et tombantes et les doigts délicats de la fille lui plaisait plus que tout. Il se représentait aussi la langue de l’ado aller et venir sur ses couilles, saliver sur les boules et engluer les poils d’une bonne bave bien visqueuse.

 

Cette image l’excita au point de lui faire expulser un puissant jet de sperme vers l’objet de sa convoitise. Le liquide épais fusa à grande vitesse avant de s’écraser lourdement dans un bruit mou derrière le magazine déplié.

 

Le silence qui s’ensuivit parut abolir les lois élémentaires de la physique.

 

La fille ne réagissait pas, toujours plongée dans son périodique. Impossible qu’elle n’ait rien remarqué.

Renaud tentait de rentrer son engin qui débandait lentement, l’excitation ne retombant guère malgré la frayeur. Le rouge aux joues, il s’ingéniait, dans le plus grand désordre mental, à trouver une sortie honorable à la situation.

 

Dans un état catatonique, Renaud vit la jeune fille abaisser son magazine, l’air impassible.

 

Une grosse quantité de sperme lui souillait le visage. La traînée épaisse s’étendait sur ses cheveux et son front avant de s’écouler à travers l’il jusqu’à la bouche où la matière gélatineuse s’amassait sur le pourtour de la lèvre supérieure. Il faut dire que Renaud ne s’était pas branlé depuis un moment et avait déstocké tout d’un coup.

 

Qu’allait-il se passer ? Renaud se trouvait dans la confusion la plus totale ; aussi ce fut à travers une sorte de voile qu’il vit la fille tremper son doigt dans le sperme. Elle racla méthodiquement la semence encore pâteuse et porta son index à la bouche où elle garda la substance tiède quelques instants, comme si elle dégustait un mets inconnu. La saveur dut lui plaire puisqu’elle avala le reste de sperme avant de lécher consciencieusement ses doigts. La salive se mélangeait désormais à la semence, en augmentant la dose tout en la fluidifiant. Elle uvra tant et si bien qu’elle finit par retrouver une allure présentable.

 

Avec un art consommé de la provocation graveleuse, la jeune beauté ouvrit la bouche, lui faisant découvrir une langue engluée d’un sperme crémeux qu’elle ne put résister à avaler. Elle déglutit dans un bruit mouillé sensuel aux oreilles de Renaud. Il recouvrait ses sens pour se trouver plongé dans une réalité hallucinante et prodigieuse de luxure.

 

Histoire de se donner une contenance, il tenta d’enfourner son engin dans son slip, mais la fille se pencha vers lui et l’en empêcha.

Elle se saisit du sexe maculé de sperme et le porta en bouche.

Ses lèvres s’entrouvrirent et livrèrent passage à une langue déjà bien salivante qu’elle passa sur le membre désormais ramolli. Elle astiqua le gland de son appendice musculeux, nettoyant méticuleusement les moindres recoins.

 

Décidée à satisfaire sa gourmandise et à laisser une bite parfaitement propre derrière elle, l’ado lécha également la colonne de chair qui reprenait de la vigueur.

Adepte de ce genre de friandise, elle s’occupa ensuite des couilles sur lesquelles le sperme désormais plus fluide avait débordé. La fille suçait les poils englués avant de lécher les burnes à même le scrotum. Elle pouvait en sentir les irrégularités sous la langue tant elle la plaquait sur la peau épaisse à cet endroit et mettait du cur à l’ouvrage.

C’est en les laissant luisantes de salive et parfaitement nettoyées de l’ultime trace de sperme que la fille lâcha la bite et les couilles avant de se relever.

 

Le train entrait en gare et la demoiselle se mêla aux quelques passagers qui mirent pied à quai.

 

Renaud regarda la silhouette gracile s’éloigner en direction des parkings ; là, un jeune homme l’accueillit en l’embrassant sur les lèvres. Il aurait voulu en voir plus, mais déjà le train repartait.

« Gonflée, quand même, de foutre sa langue dans la bouche du copain, surtout quand on sait ce qu’elle vient d’essuyer… »

 

Il détourna la tête et se concentra de nouveau sur l’observation du paysage qui défilait toujours plus vite.

 

FIN

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