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Les égarements de Françoise – Chapitre 1




Nous sommes en Juillet dernier, j’ai entamé des travaux d’embellissements chez moi, tout juste cinquante ans, blonde, des cheveux mi-longs. Je vis seule avec une de mes filles et son copain, j’ai bien un ami mais nous nous voyons que les week-ends et les vacances.

De ce fait, j’ai demandé au père du copain de ma fille de réaliser ces travaux.

Jean-Pascal est divorcé, sans compagne actuellement, plus jeune que moi, pas très grand de taille mais sportif assidus.

Il a commencé ce matin et ce midi nous prenons le repas ensemble. Comme le soleil a fait son apparition je suis habillée d’une courte jupe blanche et d’un tee-shirt rouge. Pour travailler Jean-Pascal a enfilé un short type athlétisme et un maillot sans manches. Nous parlons de tout et de rien, puis notre conversation se porte sur nos situations affectives et relationnelles. J’apprends ainsi qu’il a de gros besoins sexuels et qu’il est grand temps pour lui de retrouver une compagne. Je lui parle de ma relation à distance avec mon ami et la discussion glisse sur un terrain qui devient dangereux, chacun faisant part à l’autre de ce qu’il aime où pas sur le sexe.

Il ne m’est jamais arrivée de penser à quoique ce soit sur cet homme, il est très loin de mon idéal masculin et donc aucuns fantasmes dans mon esprit, mais les échanges que nous avons, commence par m’émoustiller et un chatouillement que je connais bien prend forme en moi. Il faut que je me reprenne sinon il pourrait s’en apercevoir.

Jean-Pascal qui m’observe se dit sans doute qu’il y a une opportunité à saisir, il se lève, s’approche en me regardant droit dans les yeux, je sais à cet instant qu’il va se passer quelque chose, il pose sa main sous mon menton, repousse ma tête en arrière, s’incline sur mon visage et ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Je suis surprise et sans réactions, je réponds à son baiser, desserrant mes lèvres, sa langue investit ma bouche. Nos deux muscles se nouent, sa main abandonne mon cou et glisse sous mon tee-shirt, enveloppant un puis l’autre de mes seins, en appréciant le volume, l’élasticité, il me caresse par dessus mon soutien-gorge, excitant les pointes qui durcissent au travers du tulle qui les recouvrent. Je lui fais part d’un timide " il ne faut pas " qui se perd dans un étouffement buccal.

La position assise que j’ai n’est pas des plus confortables, mais cela ne freine pas notre envie, je lui dis tout de même que le lieu est visible de l’extérieur et que mon voisin est souvent à sa fenêtre et qu’il pourrait nous voir. Au lieu de le calmer, cette information semble au contraire le doper et dans un mouvement rapide fait pivoter la chaise, du coup je fais face à son observatoire et risque d’être vue par celui-ci. Cela a aussi l’avantage de lui donner plus d’espace et délaissant ma poitrine sa main se pose sur mes cuisses relativement dénudées et remonte vers mon entrejambe. Plutôt que le repousser, je m’ouvre et sa main se pose sur ma culotte. N’étant pas insensible à notre petit jeu, il n’a aucun mal à se rendre compte de mon état d’excitation. J’ai une pensée furtive pour mon ami qui disparaît très vite lorsque son majeur glisse sous l’élastique de celle-ci et vient titiller mon bourgeon d’amour, tendu comme un arc et réagissant à l’audace de l’intrus. Je ne veux pas être en reste et ma main s’insinue sous le short à la recherche de son membre bandé qui n’attends que cela. Toutes bonnes résolutions volent en éclats et à présent seul le plaisir que nous allons nous donner compte.

Jean-Pascal n’est pas très grand comme je l’ai dit mais Dame nature a été généreux avec lui et je suis surprise de ce que je tiens en main tant en longueur qu’en diamètre. Il m’en fait la remarque, je ne peux qu’acquiescer tout en pensant qu’il aurait été dommage de me priver d’une telle sucrerie….

Puisque nous avons échangé sur le sujet, je sais qu’il apprécie tout particulièrement la douceur et l’humidité d’une bouche gourmande. J’en ai tout aussi envie que lui et c’est donc sans retenue que mes lèvres se posent sur l’objet de ma convoitise, engloutissant le membre jusqu’aux amygdales. J’oublie le voisin, son doigt visite mon nid d’amour plus réceptif que jamais, j’ouvre mes cuisses au maximum afin de lui en faciliter l’exploration, je pompe son dard, je ne suis plus qu’une femme désireuse de prendre et de donner du plaisir. Lui n’est pas mieux, cherchant à me donner un premier orgasme, lui ayant confessé que j’étais plus clitoridienne que vaginale.

Notre joute s’amplifie, c’est à qui de l’un où de l’autre aura l’avantage de procurer la première jouissance à l’autre. Une espèce de suprématie qui est en jeu.

La tête renversée sans pour autant relâcher ma succion, les cuisses grandes ouvertes, son où ses doigts fouillant mon intimité je ne sais plus, des ondes de bien être irradient tout mon corps, mon cerveau est déconnecté, son sexe qui grossit sous le traitement que je lui inflige, pensant une seconde qu’il va jouir dans ma gorge mais finalement c’est moi qui capitule, je me concentre sur ses doigts les enserrant fortement entre mes cuisses et me laisse emporter dans un râle de contentement à une jouissance extrême. Il me faut un peu de temps pour reprendre mes esprits, sa main est toujours posée sur mon nid d’amour de l’autre il caresse son sexe qui est resté bien droit, satisfait de l’orgasme que j’ai eu et dont il est l’auteur. Je lui souris et lui propose que l’on aille sur le lit des enfants à l’étage que nous y serons mieux.

En me levant mon regard se porte sur la fenêtre du voisin, il me semble que quelque chose a bougé, peut-être qu’un effet d’optique.

Mais tout ceci est vite oublié, Jean-Pascal me saisit la main et nous nous dirigeons vers cette couche pour continuer nos ébats, tant pis pour les travaux ils prendrons un peu de retard d’autant que je suis encore très excitée et qu’il est resté sur sa faim. Avant de nous allonger, il me déshabille entièrement, en fait tout autant ce qui me laisse voir sa musculature. Je suis nue sous ses yeux, sans aucune pudeur, n’ayant qu’une envie….sentir son membre en moi.

Ses mains glissent sur mon corps, aucune zone n’est oubliée, sa bouche se pose sur mon sexe, sa langue titille mon bourgeon et boit le nectar qui s’en écoule. Il s’allonge sur moi, à nouveau nos langues se nouent, je sens sa queue contre ma chatte, j’écarte légèrement les cuisses, il ondule des reins et son gland vient glisser à l’entrée de cette grotte qu’il va investir, son buste écrase mes seins, nos deux corps ne font qu’un. C’est tout simplement bon et merveilleux. Il me questionne sur ma fidélité et je lui réponds qu’il m’arrive de sortir certains samedi soir et d’y faire des rencontres qui aboutissent parfois à la même situation qu’en ce moment, rentrant chez moi au petit matin marqué dans mon ventre par la sève d’un inconnu. Mes propos exercent sur lui un accroissement de son désir et mon antre juteux du plaisir qu’il m’a donné s’ouvre à lui. Son gland dilate mes parois vaginales qui acceptent l’intrus, je confirme le bonheur que j’ai d’être ainsi investit par un feulement de chatte en chaleur. Il poursuit son intromission lentement afin d’exercer sa domination me laissant le temps d’apprécier sa virilité en moi. Il se bloque quelques instants puis se retire, je me colle à lui et l’intime de me prendre bestialement, du coup son sexe perfore mon vagin, je suis secouée de toute part, il accélère, ralentit, je le supplie à nouveau, je crie, lui dit que je l’aime, qu’il vienne, je veux sentir son plaisir jaillir en moi. Je jouis presque chaque fois que son pieu butte au fond de mon utérus, je ne suis plus qu’une poupée de chair, je vais au devant de son dard, de sa queue, il retient son propre plaisir pour user et abuser encore plus de mon corps, il veux que je l’implore, que j’accepte sa domination de mâle et moi de femelle soumise et il a raison, je ne suis plus moi même, je ne suis qu’une chienne qui attends la récompense de son maître.

Elle finit par arriver, il se cambre, s’empale au plus profond de ma chatte, quelques soubresauts de sa queue et un déluge de sperme jaillit au fond de mon utérus, heureusement que je ne suis plus féconde sinon je serai prise. Je jouis en même temps pour la énième fois de suite, il retombe sur moi, nos lèvres se soudent, nos corps s’épousent. L’heure avance et il est temps de nous rhabilles et de laisser croire qu’il ne s’est rien passé.

J’aère la pièce pour faire disparaître cette odeur très caractéristique de sexe.

Cela faisant, j’aperçois mon voisin à sa fenêtre, il me jette un regard inquisiteur, a t’il vu quelque chose?

Jean-Pascal est redescendu dans ma chambre pour continuer son travail où du moins pour faire croire aux enfants tout à l’heure qu’il l’a fait. Je retourne à mes occupations, je débarrasse la table, puis je vais dans la salle de bain du haut pour enlever toutes traces de nos ébats.

je suis jupe retroussée et jambes écartées entrain de me rafraîchir lorsque Jean-Pascal fait irruption et sans préliminaires me courbe sur l’évier, son sexe est à nouveau bandé, il se colle à mes reins, positionne son dard sur mon oeillet anal et investit mes intestins. Je ne suis pas une adepte de la sodomie, j’ai pratiqué sans plus, la douleur est vive mais de courte durée, je me cramponne tant bien que mal, notre joute reprends de plus belle. Il redouble de violence dans ses gestes tout en me gratifiant de tous les mots d’oiseaux. Quelques allers-retours et une jouissance semblable à la précédente me submerge en même temps qu’une nouvelle salve de sperme jaillit dans mes reins. Nous soufflons un instant puis il se retire, laissant mon corps avec une impression de vide. Il se réajuste et repart à son travail. Ainsi s’achève notre première joute sexuelle.

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