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lettre à ma maîtresse – Chapitre 1




La lettre qui va suivre n’a que peu d’ intérêt…si ce n’est qu’elle est issue d’une véritable relation épistolaire que j’entretiens, toujours actuellement, avec ma maîtresse toute aussi épistolaire d’ailleurs. C’est elle qui me faisant l’honneur d’un compliment sur l’écriture me souffle aujourd’hui l’idée de soumettre cette première lettre à vos avis éclairés.

J’espère qu’elle vous donnera un moment de plaisir.

oliv’rev

    Je m’étais donc donné pour objectif de faire de tes intimes dentelles une dédicace aux terres de Camargue.

Tu me retenais donc. Je te bousculai pourtant, te forçant à arquer ton dos pour éloigner ta bouche de mes morsures…ton ventre de s’aplatir tes seins de s’offrir…protégeant l’une tu exposes les seconds à mes envies carnivores.  Leurs bouts déjà durcis, qu’un vêtement protège avec difficultés, attirent lil, attisent mon désir.

Je les effleure de mes lèvres…tu vibres. La peau de ton cou dévoile sa sensibilité d’un frisson qu’aussitôt je réchauffe d’un baisé. Tu laisses échapper un soupir qui en dit long … ton bassin se colle au mien et dans ton il se réveille l’animale femelle, électrisée au contact de mon sexe encore prisonnier.

Ta main s’en saisi, à travers l’étoffe, grognement, les miennes s’égarent sous ton chemisier, et dans ton dos  découvrent la première clef. dois-je te libérer ? Du fond de ton regard jaillit la réponse…je dégrafe… lentement. Dans un unique mouvement la liquette s’envole.

Ils sont là et fanfaronnent, ostensiblement ils cherchent à me provoquer , je lutte contre l’envie de me jeter sur toi, de te mordre, de faire de tes seins la pâte de mes fantasmes. Désormais accessibles, un frisson les parcourt, le désir les tend…je recule pour mieux te regarder… tu rayonnes, tu es sûr de ton effet, nue au dessus de ton 501.

Je reviens à toi, un pouce descendant le long de ta colonne, ma main gauche enfin caresse ta peau, englobe ton sein, mes doigts, un par un durcissent ton mamelon…ils jouent.

Dans mon cou ton souffle saccélère et tes hanches suivent le mouvement, tu presses, tu invites, tes mains s’agacent sur ma vieille ceinture, dans un mouvement parallèle les miennes chassent l’un après l’ autre les boutons de ton futal.

Enfin nos jeans gisent sur le plancher. Mes genoux s’y posent, amenant dans leur chute mon visage à hauteur de ton sexe. Mes mains sur tes fesses j’enfouis mon visage, faisant de ton intimité le siège de mon bonheur. Tu retiens ton souffle et ma tête au creux de ton ventre, légèrement tu écartes tes jambes, tu me veux plus profond. Je sens ton désir. Alors je glisse, de chaque côté, mes doigts sous la dentelle de tes hanches, les écartant je commence doucement à faire descendre ton ultime barrière.

Il faut que ce moment là ressemble à l’éternité.. suspendant mon geste, caressant ton sexe, frottant mon regard à tes lèvres qui apparaissent…

Brusquement j’en finis avec la dentelle qui rejoint subito un coin inconnu de la pièce.

Je te bouscule sur un lit arrivé là on ne sait comment. Alors tu m’offres ton corps, tel un livre tu ouvres tes jambes et m’appelle de ton désir ; ma bouche, soufflet, s’empare de ton sexe devenu forge. Je m’abandonne et m’oublie en toi, ma langue parcourt tes lèvres, cherche et trouve ton clitoris s’y arrête, vibre, lèche, repart revient tourne et retourne…

Finalement ton corps se cambre à nouveau, un sifflement sort de ta bouche, tu râles, tu me dis de continuer…heureux petit soldat de ton plaisir je m’exécute et retourne au charbon. Alors je m’impose plus encore, je fouille et j’écarte, une main vient m’aider, mon index pénètre ton vagin, encouragée tu viens te caresser, ton clitoris en a pour son compte. Tes jambes remontent encore un peu, offrant à mon regard une vue pour laquelle je me damnerais.

Maintenant ma langue explore ta rosette, effleurements d’abord, puis contacts plus appuyés. J’ai bien senti ton corps se crisper un peu, mais non tu te détends…alors je continue avançant dans mes uvres comme un évadé cherchant à ne pas faire de bruit. Plus haut ta main s’agite toujours. Un premier orgasme te cueille, soudain et imprévisible, remonté de ton être le plus intime…tu cries, tes yeux se mouillent. Arrêté dans mon travail de fouineur je te regarde, tu es belle dans ton plaisir…

Ton corps, comme amolli, semble s’enfoncer dans le lit, jamais tu n’as été aussi nue. Je te regarde, je n’ai pas mon compte. Ma bouche cherche la tienne et à sa réponse je devine que tu n’y es pas non plus.

Alors tes mains me libèrent enfin envoyant mon inutile caleçon rejoindre ta petite culotte dans l’obscur coin où elle se cache. Tu t’empares de mon sexe, tu sais ce que je veux mais la malice de tes yeux me dit que je vais devoir attendre. Seules tes mains travaillent à mon plaisir ; tes yeux plantés dans les miens tu surveilles mes réactions.

Démerde-toi, je serai une tombe.

Comme si cela était possible mon sexe se tend encore, tes va-et- viens m’amènent, trop vite semble t-il, au bord de l’abandon… tu sais y faire et je retrouve la terre ferme. Il s’en est fallu de peu. Puis ton visage s’illumine d’un sourire pour friandise, je connais les doux supplices que promet cette lueur. Sans que tes mains ne lâchent leur besogne tu glisses lentement, ta bouche dessinant avec une lenteur infernale de longs cercles sur mon ventre Vas-tu y aller oui ?! – tu me sais à la torture, et tu en jouis pleinement. Et puis, et puis enfin, par pitié et par gourmandise ta bouche s’arrondit et vient se poser sur mon sexe que tu avales…tes yeux n’ont toujours pas lâché les miens… je m’abandonne à cette caresse tant attendue te laissant seule à la manuvre.

Alors s’ouvre une brèche dans le temps, une parenthèse incroyable. Je te regarde, happé par ton geste. Je suis un canard boiteux ahuri de sa chance, vil coupable, aux joues rouges, profitant d’une aubaine imméritée, je me dis que tu vas réagir, te réveiller, te reprendre et me claquer la porte au nez, furieuse. Je reste suspendu dans le vide jusqu’à ce que tes yeux me délivrent de mon égoïsme coupable ; gourmande tu y puises toi aussi ton plaisir. Le constat m’enlève un poids…et m’amène au bord de la rupture, tu as senti les choses se faire. Encore une fois c’est toi qui maîtrise, ta bouche suspend son vol de papillon, d’une morsure sur l’intérieur de ma cuisse tu détournes mon attention. Pour assurer mon retour au sol tes ongles se plantent dans le creux de mes reins, tes yeux dans les miens.

Tu t’amuses, tu es tellement sur de tes effets, ton regard m’épuise…la prochaine fois je te colle la tête dans un passe montagne. Ainsi j’aurai la paix.

Nos bouche se mêlent, je cueille sur tes lèvres les traces salées de mon sexe. Sur toi je me goûte, tu te marres et je rougis. Tu sais tout de moi, à mon tour d’être plus nu que nu. – Je me promets de t’enterrer vive au fond du jardin.-

Mon sexe toujours tendu dans son rituel inachevé bat son impatience sur ton clitoris, entre tes lèvres. Il vient cogner à l’entrer de ton vagin, nos désirs s’appellent, je t’entends grogner. Mal pour mal, à mon tour de te faire attendre. Je m’éloigne t’arrachant une injure de frustration. Tu devras patienter encore, je te veux incandescente, je te veux acier chauffé à blanc, tôle vrillée dans la fournaise, tu me supplieras de te pénétrer, tu le gueuleras, fais-moi confiance…

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