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De Julien à Julie – Chapitre 9




De Julien à Julie 9

Les semaines passent. La belle Katia vit avec Patrick et moi.

Tous deux apprécions sa longue bite. Patrick prend beaucoup de plaisir, maintenant, sous les coups de reins que la belle blonde lui donne.

Si j’aime profondément Patrick, je reste sous le charme slave de Katia. Quand nous nous embrassons, je fonds littéralement. J’aime faire l’amour avec elle.

Avec moi, elle a tendance à être sauvage dans nos rapports, c’est ce que je lui demande. Mais sa violence contraste tant avec sa grande beauté.

De temps en temps, elle nous laisse nous retrouver Patrick et moi. Là, les choses sont plus romantiques. Tantôt il me suce, tantôt il me prend sur la moquette. Quelques fois, quand il est trop absorbé par la paperasse, je m’agenouille sous son bureau pour le caresser, et plus parfois

J’aime bien aussi être près de lui, serrée dans ses bras. Je me sens totalement protégée par mon bel amant.

Je continue à travailler au bar le soir, mais je mets plus de réserve à me laisser tripoter. Mes décolletés ou mes jupes courtes suffisent à allumer la clientèle.

Ce soir, Patrick, très fatigué et un peu ivre, est rentré plus tôt que moi. Je finis le service et donne un coup de balai avant de boucler le bar et retourner à l’appartement.

Quand j’entre, il fait presque noir, juste un lampadaire allumé dans le salon.

Je me dirige vers la chambre, d’où viennent des bruits curieux, pour découvrir mon homme se faire soigneusement enfiler par Katia.

Elle se déchaîne sur lui comme elle le fait souvent sur moi ! Et lui, couine de plaisir, ce qui me frustre un peu. Je suis désappointée de les surprendre.

Je ressens brusquement de la jalousie. Pourquoi est-il rentré plus tôt ? Pour pouvoir se faire limer par Katia ? D’habitude, ils ne font jamais cela hors de ma présence.

J’entre dans la chambre et ils me regardent sans s’interrompre. Patrick me fait signe de m’approcher, soulève ma jupe et prend en bouche mon sexe mou. Il me tient par une fesse et me tire à lui pour mieux me gober.

Tout en continuant ses vas et vient, la jolie blonde cherche ma poitrine de la bouche.

En deux temps, trois mouvements, je me déshabille et deux langues habiles s’activent sur mon corps. Mes tétons se dressent entre les dents de Katia et mon sexe gonfle dans la bouche de mon chéri.

Katia s’interrompt et se cambre bien pour relever ses fesses. Je la contourne et ne résiste pas à l’invitation qu’elle me fait de la sodomiser.

Mon amant se tortille quand Katia est profondément en lui et elle abuse de profiter de sa longueur. Pour ma part, je me régale de son anus et elle apprécie beaucoup mon sexe en elle.

Si elle éjacule en premier dans l’anus de Patrick, moi, je mets longtemps à besogner ses jolies fesses, tout en lui pressant sa poitrine si charmante.

A l’issu de notre rapport, je demande à Patrick :

— Pourquoi tu ne m’as pas attendue ?

C’est Katia qui répond :

— Il était fatigué en arrivant, je l’ai aidé à se coucher et lui fait un massage pour le décontracter. Quand je me suis occupé de ses fesses, j’ai eu envie de lui. Tu ne m’en veux pas ?

— Non Katia, je ne t’en veux pas ! Mais la prochaine fois, attendez moi !

En moi-même, je repense à ma tante et de son avertissement que j’avais récusé lors de l’installation de Katia à la maison. Elle m’avait dit, en aparté « Il ne faut pas faire entrer le loup dans la bergerie ! ».

Le lendemain matin, Patrick et Katia paressent dans le lit, alors que moi, je suis lavée et habillée.

On sonne à la porte. C’est ma tante Sophie, la sur de ma mère. Sophie m’a fait découvrir ma véritable nature, tout en m’initiant sexuellement. C’est même grâce à elle que j’ai rencontré mon amoureux.

Toute souriante, elle me dit :

— Bonjour Julie ! Je passais dans le quartier, comme vous ne donnez pas beaucoup signe de vie, j’ai décidé de venir vous voir. J’ai emmené des croissants pour le petit déjeuner. D’accord ?

— Entre Sophie ! Patrick et Katia ne vont pas tarder à se lever !

Je prépare du chocolat chaud, quand ma tante, derrière moi, m’enlace la taille et me bise la nuque. Elle me souffle :

— Je m’ennuie de toi ! Tu devrais venir me voir plus souvent, on pourrait s’amuser comme avant !

— Mais Tu n’es pas heureuse avec Martine ?

Martine est une de ses amies, qu’elle a hébergée temporairement suite à une séparation, puis les deux femmes sont devenues amantes depuis plusieurs semaines

— Oh ! Elle n’habite plus chez moi ! On s’est séparées. Trop chiantes l’une pour l’autre !

— Et Tu n’as pas d’amants ?

— Pas terrible les mecs en ce moment. Ils sont du genre, un petit coup vite fait et, au revoir ! La plupart du temps je n’éprouve aucun plaisir ! J’ai envie de jouir, tu comprends ?

Je me tourne et l’embrasse bien serrée contre moi. Après notre baiser, elle pose sa tête sur mon épaule, tout en me bisant le cou. Elle ondule son pubis sur le mien et mon érection ne lui échappe pas. Sa main est glissée sous ma robe, quand Patrick apparaît.

Il nous regarde. Une gêne s’installe et ma tante prend une posture plus digne. Ma bandaison déforme ma jupe, aussi , comme pour me cacher, je me retourne pour finir la préparation du petit déjeuner. Mon homme s’approche et m’enlace dans ses bras, où je me niche.

Katia arrive à son tour, juste vêtue d’une petite culotte dont la transparence dévoile son sexe imposant. Sophie fixe ce paquet et émet un petit sifflement d’admiration.

Avec son culot habituel, elle s’approche et palpe le service trois pièces de la belle blonde.

— Humm, c’est intéressant ! Julie, je comprends que tu tiennes à elle ! Un machin pareil pour un corps auussi joli, c’est rare !

Je réplique :

— Et encore, quand elle bande, c’est encore mieux !

Katia est gênée d’être l’objet de nos commentaires, mais se laisse palper par ma tante.

La science de Sophie pour exciter un partenaire se révèle payante et ses mains agiles sont vite remplacées par sa bouche. Ma tante se délecte de s’occuper d’un tel membre.

Patrick lui propose :

— Allez dans la chambre, vous y serez mieux.

A ma grande surprise, c’est Katia qui emmène Sophie par la main et qui referme la porte de la chambre derrière elle. Moins d’un quart d’heure plus tard, de longs cris de jouissance retentissent dans l’appartement.

Amusés, Patrick et moi allons coller notre oreille à la porte, pour entendre

— Oh oui, mets la moi dans le cul, maintenant

Puis de nombreux râles expressifs de son plaisir. Jusqu’à un nouvel orgasme !

J’ignorais que Katia puisse s’intéresser aux femmes et elle semble faire ça plutôt bien !

Pour le moment, je prends surtout plaisir à la verge de Patrick qui glisse en moi. Il me prend debout dans le couloir et je lui suis toute soumise. Il semble bien excité, à constater la vigueur qu’il met dans ses coups de reins, qui me soulèvent du sol à chaque fois. J’adore !

Quand Sophie sort de la chambre pour se précipiter dans la salle de bain, alors que nous sommes en pleine action, elle dit :

-Quelle queue elle a ! Comme elle baise bien cette fille!

Sans lui répondre, nous savons, Patrick et moi, de quoi elle parle

Katia, accoudée sur le lit et souriante, nous observe faire l’amour devant la porte ed la chambre. Ça ne me dérange pas le moins du monde. Patrick me masturbe énergiquement et quand j’éclate sur le mur, je le sens se vider en moi.

Je rejoins ma tante dans la salle de bain et nous sourions, toutes deux, de la situation, à nous essuyer le sperme de nos amants qui coule entre nos fesses.

Enfin, nous prenons tous les quatre le petit déjeuner, bien mérité.

Ce soir, nous sommes invités une nouvelle fois chez Virginie, l’avocate et son mari, mon docteur et celui de Katia par la même occasion. Très souvent, il fixe le rendez-vous à la fin de ses consultations, quand sa secrétaire est partie, ce qui lui permet de se faire prendre, par l’une ou par l’autre d’entre nous. Je crois que c’est surtout Katia qui a ses faveurs. Il prend plus de plaisir avec la longue queue de la jolie blonde, qu’avec la mienne plutôt de taille raisonnable.

Ce soir, il nous reçoit chez lui. Il porte un pantalon de toile et une chemisette. Alors qu’elle, porte une robe blanche, très courte qui moule ses formes parfaites. Elle embrasse Patrick, puis vient mon tour. Elle dépose une bise amicale sur les lèvres de Katia.

Le mari frétille en nous voyant et se dit probablement que, parmi les trois bites qui arrivent, il y en aura bien une pour lui. Virginie claque dans ses doigts et le toubib quitte ses vêtements pour ne garder qu’un string brillant.

Sa femme lui donne une claque sur la fesse pour qu’il s’active à nous servir à manger. Cette fois, il est autorisé à rester à table avec nous. Il minaude à coté de mon homme qui lui caresse les fesses. Virginie s’intéresse à Katia en lui touchant la main, en jouant avec les mèches blondes, en lui caressant la joue et même le galbe d’un sein.

A la fin du repas, j’approche ma chaise et entreprends de caresser les jambes de l’hôtesse. Ma main s’insinue et lui ouvre la chatte. La brune et la blonde s’embrassent avec fougue, tandis que je me suis mise à genoux sous la table pour déguster la liqueur de Virginie. Elle mouille atrocement et ma langue ne suffit pas à absorber ses sécrétions. Son clitoris est hyper sensible quand je le suçote. Je glisse une main sous la jupe de Katia et en extraie son membre tendu. Les doigts de Virginie rejoignent, puis remplacent les miens.

Je me concentre à la butiner, mais je dois trop en faire, car elle se tortille et finit par me repousser pour se mettre à califourchon sur le membre de Katia.

Je les laisse ensemble et, à quatre pattes sous la table, me tourne vers les jambes ouvertes de Patrick. Le mari est déjà en train de sucer mon homme. Aussi, c’est le membre du docteur que je prends en bouche. C’est la première fois que je le suce et il en est surpris.

Je ne sais pas pourquoi, mais ce soir j’ai très envie de lécher ou de sucer.

Il est bien dur sous ma langue et il devient comme fou quand je le mordille. Avec la même impatience que sa femme, il se déplace et s’assoit sur Patrick pour s’empaler. J’ai du mal à le reprendre en bouche tant il monte et descend vigoureusement sur le vit.

Si Virginie clame son extase, peu de temps après Katia est de nouveau en elle. Elle est à plat ventre sur le tapis et Katia lui besogne le derrière. Patrick me fait signe et je me porte à sa hauteur. Il m’attrape les testicules et m’attire à lui pour me sucer.

Je reste surprise par son attitude, il risque de ternir son image vis-à-vis de ses amis. Cette pratique fait partie de nos secrets intimes. Tout comme les sodomies qu’il aime recevoir de nous.

Patrick ne me suce pas longtemps, il doit se concentrer pour bien niquer le toubib.

J’assiste en spectatrice aux râles de mon amoureux qui se vide dans son partenaire.

Icelui se relève, et, chose inédite va la bite tendue et l’anus ruisselant, jusqu’aux deux femmes en action. Il se positionne derrière Katia pour la pénétrer. Cette dernière favorise l’intromission et reprend ses mouvements dans Virginie.

Je nettoie le membre de Patrick avec la langue, puis m’assieds sur ses genoux. Nous contemplons le trio, tous deux surpris du rôle actif du mari et du plaisir de notre hôtesse et amante habituelle.

A l’issue de leur jouissance, tous trois nous rejoignent à table, sans même s’essuyer. Outre la sueur sur leur corps, leur anus suinte le sperme. Ils s’installent sur les chaises pour reprendre leur souffle.

Nous trinquons ensuite pour célébrer cette belle soirée. Même si, personnellement, je n’ai pas pu en profiter pleinement.

Lors de la conversation, Patrick demande à son ami si le cabinet tourne bien et le médecin répond :

-Tout va bien, j’ai de nombreux patients. De ce coté là, ça va, mais ma secrétaire démissionne pour suivre son mari qui est muté. Je ne trouve personne pour la remplacer, je suis désespéré!

Katia répond, instantanément :

-Moi, je peux la remplacer !

Nous nous tournons tous vers elle, surpris de cette proposition. La blonde poursuit :

-Dans mon pays, j’ai fait trois années à la faculté de médecine. Et puis, j’ai rencontré Sacha et puis

Son passé remonte à la surface ! Elle s’étrangle pour continuer :

— Prenez moi à l’essai ! Je dois trouver du travail ! Je veux être indépendante !

Patrick et moi sommes surpris de cette sortie. Mon homme, pour me faire plaisir, a tout offert à Katia. Le gîte, le repas, le sexe et même son cul Tout, quoi !

Dans le même temps, Katia aspire à la liberté, je peux la comprendre ! Ce qui m’interpelle, c’est la soudaineté de sa décision.

Le toubib est ravi de cette proposition, il y voit des intérêts certains à cette fille transsexuelle. Soit par devant, soit par derrière, tout est bon avec Katia ! Peu importe son curriculum vitae.

Virginie n’est pas dupe du ravissement de son mari et contrairement à ce que je m’attendais à entendre, elle dit :

-Dans ce cas, il serait mieux que tu habites ici, tu serais à coté du cabinet. Patrick, Julie, vous ne voyez pas d’inconvénient à cela ?

Patrick me regarde puis déclare :

-Katia fait comme elle le souhaite, elle est libre ! Je n’ai pas d’objection.

Katia est terriblement gênée et semble tiraillée. Je m’approche d’elle, lui bise les lèvres et glisse à son oreille :

-Profite de la chance ! Fais ce qui est bon pour toi !

Je le pense sincèrement, même si en l’encourageant d’accepter, j’ai conscience que cela va l’éloigner de moi, mais aussi de Patrick.

Elle se met à pleurer et m’étreint de toutes ses forces.

Virginie l’enlace et Katia se réfugie dans les bras de sa nouvelle amante.

Lors du retour à la maison, nous ne sommes que deux. Patrick et moi. Katia est restée chez eux !

Je suis plongée dans mes pensées et Patrick n’aime pas me voir ainsi songeuse. Il pose sa main sur ma cuisse et sa douceur me réconforte. Quand il effleure l’intérieur de ma jambe, je frissonne et lui déclare :

— Je veux être aimée ce soir !

— Et moi, je veux t’aimer !

L’absence de Katia crée un vide dans la maison. Mais quand mon chéri me prend dans ses bras pour m’aimer, j’oublie tout !

Les jours passent et Katia a récupéré ses affaires pour s’installer chez ses nouveaux hôtes.

Patrick et moi, retrouvons une harmonie dans notre couple. Je ne regrette rien quant à l’intrusion de Katia, d’ailleurs je pense souvent à elle, mais il me semble que je me recentre sur mon amoureux.

Je me sens fatiguée physiquement. Entre les cours, les révisions pour les partiels qui arrivent, le travail au bar et des nuits chaudes, je sens un grand besoin de repos.

Patrick le comprend bien et allège mes horaires en conséquence.

Soucieuse de plaire à mon homme, Aujourd’hui, je suis allée chez la coiffeuse, chez l’esthéticienne, puis j’ai fait quelques achats de jolies robes et sous-vêtements.

Je profite que Patrick soit parti s’occuper d’une femme esseulée, qui le quémande depuis quelques jours, pour m’apprêter.

J’aime enfiler les bas de soie, le contact est si agréable. Ma guêpière me va parfaitement et ma poitrine est bien mise en valeur. Une robe courte et des talons aiguilles complètent ma tenue.

Patrick arrive et reste bouche bée. Il me tient la main et me fait tourner sur moi-même pour me détailler sous toutes les coutures, surtout celles de mes bas !

-Tu es magnifique Julie !

-Merci mon amour ! Ça c’est bien passé avec ta copine ?

-Ce n’est pas vraiment une copine. Elle est directrice de communication d’un fournisseur important. Si elle me permet d’avoir de belles ristournes, tous les ans, elle m’invite à participer à un séminaire, à l’étranger. Cette année, elle me propose les Caraïbes dans deux semaines. En fait, sur place je suis dans son lit tous les soirs. Elle est un peu nymphomane et son mari n’assure plus !

-Et là, elle t’a vidé ?

-Pas complètement !

-Alors assieds toi et regarde !

Pour lui réveiller son désir, je me lance dans un strip-tease qui n’arrive pas à son terme.

Patrick ne sait pas résister ! Et moi non plus !

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