Les personnages existent puisque je vais vous exposer notre couple, juste certaines parties seront que du pur fantasme.
Pauline est une jeune femme plutôt simple de 1m50 brune et mate de peau on se connaît depuis six ans maintenant, elle a un buste fin, ses hanches sont vraiment larges et des fesses assez imposantes avec un peu de cellulites mais vraiment pas beaucoup, vu son âge -23 ans- tout est ferme. Enfin quand je dis "tout est ferme" pas vraiment, ses seins tombes un peu malgré une petite poitrine 85 A et nous essayons d’avoir un enfant depuis un an !
Pour ma part c’est Mathieu je suis banal 1m75 pas très sportif brun et mon sexe mesure 17 centimètres pour 3,5.
Nous sommes le lundi matin et nous partons au travail, comme à son habitude elle porte un pantalon et un haut sans grande folie, bien habillée mais sans grande folie…
— Tu ne pourrais pas porter des choses plus attrayantes ?
— Qu’entends-tu par plus attrayant ?
— Eh bien je ne sais pas moi une robe par exemple avec un haut plus léger.
Elle remonta dans la chambre se changer et quand je vis le résultat j’ai bien vu que l’on n’était pas sur la même longueur d’onde. C’était une robe longe jusqu’aux chevilles vraiment pas terrible.
— Alors c’est mieux là hein ?
— Pourquoi pas plus courte ? On ne voit même pas tes formes.
— Je te rappelle que je travaille dans un collège, tu sais très bien que je n’aime pas mes formes c’est moche !
— Et moi j’aime tes formes tes hanches larges sont sublimes.
Enfin nous partîmes chacun à notre travail. Dans la journée j’ai reçu un SMS de Pauline me disant que ce soir un ami d’école à elle viendrait boire un verre mais qu’avant elle irait acheter deux trois vêtements pour me faire plaisir. Il est 18h elle rentre juste quand je finis de préparer l’apéro pour ce soir, toute souriante d’un air malicieux que je connais bien.
— Alors tu as pris quoi pour "me faire plaisir"?
— Tu verras si je te le dis la surprise sera sans saveur.
Cela m’étonne d’elle autant de mystères pour des habits, je suis sûr que de toute façon ça sera encore une de ses robes longues mais juste avec un décolleté… Il est maintenant 18h30, quand elle reçoit un message de Charles lui disant qui arrivait dans 20 minutes.
— Il arrive, je vais me changer j’espère que tu vas aimer car je vois bien depuis quelque temps je ne t’attire plus comme avant.
Ça sonne, je me dirige pour ouvrir. Voilà 20 minutes qu’elle se prépare. Nous sommes assis avec Charles et discutons quand je le vois regarder sur le côté je me doute que c’est ma femme qui descend, mais il regarde avec insistance, me demandant pourquoi je regarde à mon tour !!! J’ai manqué m’étouffer avec les cacahuètes tellement ça n’était pas elle, une robe gênante vraiment très très courte.
Jamais elle n’a porté ce genre de robe il n’y avait que 20 centimètres de tissus en dessous de son sexe avec des collants noir clair ou l’on pouvait contempler ses cuisses imposantes, ses hanches étaient moulées à la perfection d’ailleurs c’est sûrement pour ça que la robe remonte autant. Les aréoles des seins de Pauline étaient visibles ainsi que les tétons, elle n’avait donc pas mis de soutien-gorge depuis le temps que je lui disais que ça ne servait à rien vu sa petite poitrine.
— Bonjour Charles comment vas-tu ?
— Bah écoute très bien surtout quand je te vois comme ça…
Elle se mit à rougir, moi au milieu je n’ai préféré rien dire. C’est vrai qu’étant un mec, c’est dur de ne pas faire une remarque sur une telle tenue.
— Merci pour ce compliment, j’avoue que j’aime bien aussi finalement, c’est pas si terrible que ça de s’habiller avec une robe.
Nous avons un canapé d’angle j’étais assis sur le méridien lui sur l’assise centrale et ma chérie sur une chaise en face de notre invité comme ça m’a-t-elle dit c’est plus évident pour servir, ce qui est plutôt vrai vu qu’elle est plus proche de la cuisine. Pendant la soirée, il ne la quitta pas des yeux, j’ai cru qu’il lui faisait l’amour juste du regard et elle ne lâchait rien non plus. Comme si je n’existais pas ils se regardaient pendant de longues discussions, alors je me suis mis sur mon téléphone. À chaque moment ou elle se levait pour apporter d’autres collations, il la mâtait outrageusement, elle fit tomber un paquet de chips et pour le ramasser elle se baissa correctement mais je n’ai vu aucune démarcation, ne portait-elle aucune culotte ?
Je levai la tête de mon téléphone et Pauline avait les jambes légèrement écartées, il devait voir c’est même évident. Au moment où elle vit que je la regardais, ma femme resserra les jambes, je ne sais pas à quoi elle joue mais cela ne me fait vraiment pas rire.
— Mat viens voir mon nouveau portable regarde se qu’il sait faire.
Je me levai donc pour m’asseoir à côté de Charles. Il me montra deux trois trucs que font les nouveaux téléphones avec la montre connectée. En levant ma tête j’aperçus l’entrejambe de ma chérie. Non seulement elle n’avait pas de culotte, mais en plus ce n’était pas des collants mais des bas collants, cela me procura une érection instantanée. De voir cette toison toute brune à l’aire me rend fou (oui elle ne se s’épile pas à ce niveau et cela depuis toujours donc son pubis est vraiment poilu mais cela ne m’a jamais dérangé) à la piscine ou à la plage elle ne peut jamais porter de maillot de bain traditionnel mais doit prendre un boxer de bain.
Si moi j’ai vu ça depuis tout à l’heure lui aussi alors ?
— Et moi alors tu ne me fais pas voir ton nouveau jouet ?
— Mais si, viens, je vais te montrer.
Je retournai m’asseoir sur l’autre partie du canapé et replongeai sur mon téléphone mais en gardant un il sur eux. Po s’était collée à lui sa jupe remontait beaucoup et la bordure de ses bas collants étaient visibles. La main gauche de Charles se posa sur la cuisse droite de Pauline et lui montra sa montre connectée. Les seins de ma chérie pointaient plus que de normal on ne voyait que ça. Cette situation me donna une nouvelle érection à mon grand étonnement.
Il était maintenant 20h10 et Charles prenait de plus en plus d’assurance tout en ricanant avec elle j’ai pu voir sa main progresser au niveau du tissu de sa robe, donc à moins de 20 centimètres du vagin de ma femme. Il ne s’arrêta pas là puisque ses doigts avaient maintenant disparu sous le tissu, ce salaud devait être au niveau de son épaisse toison. Je voulus me lever pour lui dire d’arrêter son petit jeu, j’observai que Pauline avait sa main sur son jean et que lui avait une bosse énorme. Elle le caressait littéralement, j’étais tétanisé.
Mais pourquoi Pauline faisait-elle cela alors qu’elle était si timide ? Ne sachant plus quoi faire je me suis levé et dit :
— Bon, tu vas bien rester avec nous manger ?