Introduction

1864. Ce milieu de printemps est doux. La soirée dans la grande demeure a bien commencée et les invités sont heureux. Les hommes parlent affaires en fumant de gros cigares et en dégustant du vieux cognac, les femmes discutent des derniers potins de Paris dans le salon voisin.

Dans un recoin du vaste jardin de la propriété, Abritée dans sous la rotonde, une femme, allongée sur une table gémie désir. Un homme entre ses cuisses s’affaire en lui donnant de grands coups de reins. Son pantalon baissé cache ses chaussures bien vernies. Les râles de plaisir se transformèrent bientôt en un souffle de douleur. Tel le python sur sa proie, les cuisses entament un lent travail de strangulation. A chaque expiration de l’homme, les cuisses entravent un peu plus la cage thoracique. L’homme se débat mais chacun de ses mouvements ne font qu’attiser la douleur et décuple le plaisir de la prédatrice, il tente désespérément d’inspirer de l’air en vain, il essaie alors d’écarter l’étau qui écrase son thorax mais rien y fait, la pression est trop forte.

Sa prédatrice sourie en jetant sa tête en arrière, sa jouissance est extrême. Elle accomplit son uvre de mort et, comble de la situation, elle sent en son ventre le sexe de sa proie durcir violemment et cracher une impressionnante quantité de sperme. Elle sent cette vague la remplir ce qui la fait jouir. Un incendie brûle en elle et une flamme vient de s’éteindre. Cette vie aspirée, elle s’allonge en sueur sur la table. Des bras masculins viennent prendre le corps, le rhabillent décemment et le jettent dans l’étang qui baigne le lieu de la funeste étreinte.

L’opération finie, l’homme de main s’approche de la prédatrice. Elle lui baisse son pantalon et aspire lentement entre ses lèvres son sexe qui instantanément durcit. Ses mouvements et l’agilité de sa langue ont vite raison du sexe dressé. Elle adore sentir le sperme chaud dans sa gorge et fait durer le moment.

Les deux amants se rhabillent et leur chemin se séparent sans un mot.

Dans les fourrés des yeux ont observés toute la scène et s’enfuient aussi dans la nuit.

Chapitre 1

Juillet 1866. Rachel prenait le thé avec son amie Lucile. Il fait chaud en cette après-midi. Les deux amies fêtent la fin de la période de deuil de Rachel. Son Mari est mort deux ans plus tôt accidentellement en se noyant dans l’étang de la propriété de Lucile lors d’une soirée. Son corps a été retrouvé par la domestique. La police en avait conclu à l’accident dû à une forte alcoolémie. Depuis les deux femmes se sont rapprochées et sont devenues très amies.

Maintenant que la période de deuil est finie, Rachel va pouvoir hériter de l’usine et peut-être refaire sa vie. Pour le moment Lucile propose à son hôtesse de se rafraichir dans la rivière. Rachel tire sur la cordelette du salon. Le tintement de la cloche dans la cuisine doit prévenir sa femme de chambre Amandine, qu’elle à besoin d’elle. Quelques secondes plus tard elle recommence. Pas de réponse. En appelant les deux femmes partent vers la cuisine inquiètent de ne pas avoir de nouvelles de la petite soubrette.

En s’approchant de la porte, les deux amies entendent des gémissements et des bruits de claques. Elles s’approchèrent discrètement et dans l’entrebâillement de la porte elles comprennent les raisons du silence d’Amandine. Appuyée sur la table, sa jupe relevée sur ses épaules, elle subissait assauts de Jules l’homme de maison de Rachel.

Les deux femmes se regardent surprises et amusées et décident de se faire plus discrètes afin d’assister au spectacle par l’entrebâillement de la porte.

La petite poitrine d’Amandine se balançait au rythme des coups de reins de Jules. Ses cries se transformaient parfois en miaulements lorsque Jules entrait au fond d’elle plus lentement et appuyait son gland au fond de son ventre. La soubrette se retourna et s’allongea sur la table cuisses écartées pour de nouveau accueillir son étalon. L’homme de maison rapprocha de nouveau son membre raide et luisant de l’humidité de sa maîtresse. Il entra lentement entre ses cuisses, en ressortit aussi lentement ce qui fit miauler la jeune femme. Soudain il donna un violant coup de rein et partit dans une série de va-et-vient rageurs. La soubrette de mis à hurler à gorge déployée, ses petits seins repartirent dans une danse de folie. Après quelques secondes de ce rythme, Jules sortit son sexe du ventre d’Amandine. A genoux la petite soubrette s’affairait sur la queue de son homme à coups de langue. Jules se raidit en poussant un râle libérateur en crachant sont foutre sur les petits seins d’Amandine qui miaulait de plaisir de voir et sentir ce liquide blanc, épais et chaud coulé sur elle.

Rachel et Lucile n’en ratèrent pas une miette. La scène qui se déroulait sous ses yeux rendait la maîtresse de maison humide. Elle ne put s’empêcher de faire glisser sa main sur la poitrine et sous sa jupe. Son invité était dans le même état. Leur regard se croisa. Le scintillement de leurs yeux et leur petit sourire en coin traduisant leurs pensées.

— Que dirais-tu de repousser notre baignade, Lucile, j’ai envie d’autre chose !

— Je crois que as raison, j’ai une subite envie d’un massage dont tu as le secret !

— allons dans mes appartements, nous serons plus à l’aise et tranquilles.

Les deux femmes, excitée par le spectacle qui vient de se passer partent s’isoler dans la chambre de Rachel.

Une fois la porte fermée à clé, Rachel s’approche de Lucile et l’embrasse langoureusement sur la bouche. Leurs langues se lièrent et leur corps se rapprochent. Les mains de Lucile commencent à délasser la robe de Rachel. Un par un, les lacets libèrent la poitrine blanche. Lorsque le lourd vêtement s’étale sur le sol, Rachel présente à sa maîtresse une guêpière de son invention. La taille était serrée mais les seins étaient libres. Un léger voile faisait mine de masque une petite chatte toute lisse. Lucile posa ses lèvres dans le coup blanc et doucement elle descend en faisant glisser la pointe de sa langue sur la peau douce. Elle s’attarde sur chaque sein aspirant et mordillant les mamelons déclenchant chez Rachel des vagues de frissons. Sa respiration s’accélérant et sentant sa poitrine gonflée, Rachel se laissait envahir par cette vague de plaisir. Elle adorait cette sensation avant de perdre pied.

— Aller mon amie faites moi jouir! Sentez comme ma fleur est humide !

— J’y vais de ce pas, ne soyez pas si impatiente Rachel !

— Votre langue est si douce ! Hoooo ! oui comme ça c’est si bon ! Mmmmmh !

Lucile venait de descendre entre les cuisses de Rachel et sa langue commençait à recueillir le nectar de sa fleur. La langue explore tous les recoins, passant sous les pétales, excitant le bouton gonflé et rose. Rachel ondule son bassin suivant les contractions de son ventre. Elle glisse son index et son majeur sur ses grandes lèvres douces du matin pour les écarter afin que la langue de Lucile puisse mieux caresser ses petites lèvres et aspirer son bouton rose et dur. Sa main droite dans les cheveux de sa douce tortionnaire, elle l’encourageant à renforcer ses efforts. Un choc électrique parcours le ventre, une violente contraction et un cri s’échappe de sa gorge, Rachel jouit. Devenue folle sous les coups de langue, elle sent soudain un doigt glisser dans son petit trou. Cette pénétration la fait mouiller encore plus ce qui lubrifie d’autant plus son fondement. Lucile accélérait le mouvement de va-et-vient et sa victime finit par se tordre de plaisir.

Presque inconsciente Rachel halète encore sous le coup de tant de plaisir.

— Vous m’avez tuée mon amie ! Attendez que je reprenne mes esprits !

— Désolé Rachel, j’aimerais tellement vous sentir entre mes cuisses humides, mais je dois rentrer, il est tard !

— Comment ça ?

— Il est cinq heure à votre horloge, je dois rentrer chez moi m’occuper de mes domestiques. Mais je vous promets que ce n’est que parti remise ! Je me hâte de pouvoir sentir votre langue et vos doigts si agiles sur ma chatte humide !

— Comme vous parler Lucile ! J’aime ça. Bien vous ne perdez rien pour attendre !

Sur le pas de la porte, Rachel regardait la voiture de son amie s’éloigner et passer le porche de la propriété. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas ressenti une telle chaleur, depuis que son mari est mort en fait.

Il faudra bien qu’elle avoue son terrible secret à Lucile, bien que ce poids la dégoûte, il faut qu’elle se libère mais elle à peur des conséquences.

— Entrez, Madame, vous allez attraper la mort à vous tenir là aussi peut vêtue !

— La mort m’a déjà trouvé ma petite Amandine, elle est entrée dans mon lit !

— Faut pas dire ça Madame ! Et puis vous avez eut l’air de bien vous amuser cet après-midi ?

— Ha bon ! Tu écoutes aux portes maintenant ?

— Ho non ! Mais Madame à de la voix ! Je dois avouer que ça fait plaisir de voir, d’entendre Madame comme ça ! Ca, je vous assure que ça m’a fait beaucoup d’effet !

— Je dois t’avouer que lorsque nous vous avons surpris avec Jules, ça à déclenché en moi un véritable feu.

Amandine rougit de gêne et un peu de honte. C’est vrai qu’elle à du mal à résister à Jules, bel homme et bien membré il la remplit complètement et à chaque fois elle jouit tellement que tout son corps en tremble, il lui arrive même de pleurer.

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