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Mélissa, ma jolie jeune black soumise. – Chapitre 20




Le lendemain, samedi donc, Je me lève à huit heures. Mél et Li sont déjà parties.

Mél rentrant à midi, je me douche, me rase et prends rapidement un café. Je m’en vais dans la salle préparer la machine à baiser. Je lui fixe les nouveaux accessoires. Vous voulez savoir en quoi cela consiste bande de petits coquins. C’est simple. Je fixe une mentonnière réglable sur le guidon, un petit moteur et un gode destiné à la fellation. Des sangles de chaque côté dudit guidon. Voilà pour la partie avant. Pour l’arrière, je change les godes. Les nouveaux sont plus réalistes, on dirait de vrais sexes. Le plus fin des deux, servant à l’anal, il est positionné sur le moteur le plus haut. Je branche la machine et la met sen route, toujours silencieusement, les deux godes arrière se meuvent lentement. J’essaie celui de devant, ça marche. Je sors un énorme pot de crème lubrifiante de l’armoire, ainsi qu’un harnais et mon paddle. Je m’en vais préparer une table pour l’occasion. Je sors ma porcelaine, mon argenterie et un bon vin rouge qui accompagnera nos magrets au miel et aux figues rôties. Tout est prêt sur ma terrasse.

Mon portable sonne. C’est Coco.

— Allo, Monsieur Jean ?

— Lui-même.

— Je vous appelle pour que vous me donniez votre…

— Mon adresse.

— OUI.

Je la lui donne et là, surprise, elle habite à 200 mètres de chez moi. C’est à pied qu’elle me rejoindra à 10 h 30, qu’elle doit finir de se raser. Je souris, effectivement, j’avais remarqué une fine toison au niveau du pubis.

Elle est ponctuelle. Je lui ouvre nu et le sexe en demi-érection.

— Waouh, quel accueil…

— Oui, ici, c’est nudité en permanence et obligatoire.

Sans sourciller, elle enlève son tee-shirt et son mini-short. Son sexe est intégralement épilé également, elle s’est effectivement rasée, un bon point pour elle. Je lui fais faire le tour de la propriété. Elle est ébahie par la piscine, le bar-lounge extérieur et me félicite pour la déco. Je lui présente ma chambre, celle de Mélissa et la chambre d’ami. Je la fais entrer dans la chambre de la luxure. Je referme les volets et allume la lumière, la pièce se teinte en un rouge discret.

— Au bout d’une ou deux minutes, tes yeux s’habitueront.

— Ah oui, vous ne plaisantiez pas en vous présentant comme un dominant. J’aime assez.

— Pour l’anniversaire de Mél, Mademoiselle Mélissa, Compris ? Lui dis-je en lui claquant son adorable petit cul.

— Aïe… Oui, j’ai compris…

Une deuxième claque plus violente.

— Oui qui.

— Oui, Monsieur Jean. Dit-elle en se frottant la fesse.

Je lui montre la machine, elle a les yeux qui sortent de leurs orbites. Je lui annonce que je l’installerai dessus pour le retour de Mél. Elle souffle. Je lui dis qu’elle peut aller se baigner en attendant. Elle recule en regardant l’appareil et elle se cogne sur un meuble, je lui souris. Elle part, traverse le salon, la cuisine et saute dans la piscine. Elle me fait penser, par son comportement, à ma Mélissa. Je la rejoins à l’eau. Elle batifole comme une ado, qu’elle est toujours d’ailleurs. Elle nage comme une pro. Je pense que je devrais couvrir pour pouvoir profiter de cet endroit toute l’année, à réfléchir.

Elle s’approche dangereusement. Elle finit contre mon torse et bientôt dans mon dos.

— Pour l’inauguration, j’ai le droit d’inviter quelqu’un ?

— Faut voir. Qui c’est ?

Elle a les mains sur mes épaules et m’enserre de ses jambes autour de mon ventre.

— Mon papa…

— Quoi, tu vas t’exhiber dans une boîte à partouze devant ton père ? Mais tu es folle, bon-sang de bonsoir…

— C’est lui qui m’a dépucelée. À la mort de maman, il était triste, puis ça s’est fait le plus naturellement du monde. Dix ans sans petite amie, même pas un flirt. C’était le soir de mes 18 ans, on s’était fait une petite fête, je m’étais habillée sexy, pas vulgaire mais sexy. On regardait un film sans intérêt. Il m’a fait l’amour comme un dingue et depuis, nous partageons le même lit.

— De quoi est morte ta mère ? (quel con, pourquoi lui ai-je posé cette question)

— D’une longue maladie, je crois. On en parle que rarement.

— Je vois. Mais la boîte est à connotation…

— SM, oui. Je crois qu’il est un dominant mais avec moi, il n’ose pas. Je suis sa petite fille chérie. J’ai surpris des chats sur des sites SM. Je voudrais qu’il se libère.

— C’est gentil mais sa réaction risque de ne pas te plaire. Il fera ça avec d’autres femmes, devant toi, cela ne te dérange pas ?

— Non, je ne veux que son bonheur…

— Bon, je vais y réfléchir… En attendant, douche et préparation, Mademoiselle Mélissa rentre à midi.

On se douche en se câlinant. Elle est très sensuelle et très entreprenante. Elle s’agenouille pour me sucer. Je la relève.

— Non, pas maintenant, pas le temps. Essuies-toi et rejoins-moi dans la chambre.

Elle est rapide mais intriguée par la machine.

— T’inquiète, que du bonheur. Dis-je en lui passant le harnais.

Je lui demande d’enjamber l’appareil et de s’allonger sur le ventre. Je lui positionne les seins correctement. Ils sont doux et fermes. J’approche les deux godes à l’orée de sa chatte et de son anus. Celui de devant, je le règle pile poil en face de sa bouche, qu’elle ouvre en grand.

— Ne sois pas impatiente, je ne la mettrai en marche qu’en sa présence.

On se sourit. Je lui demande si elle veut de la crème. Elle me fait oui d’un clignement d’yeux. Je lui en badigeonne le fion, que le fion. Pas besoin sur sa chatte, elle dégouline déjà. Je lui attache fermement le dos, les cuisses, les mollets, les bras et les mains.

— Te voilà prête.

— Coucou, chéri, tu es où ?

Je sors en referment discrètement la porte et je vais rejoindre ma tendre et douce. On s’embrasse tendrement mais passionnément. Elle me dit qu’elle va prendre une douche. Je l’attends sur la terrasse. Elle revient toute pimpante et quand elle voit que j’ai dressé une table pour trois qui sort de l’ordinaire, elle a un petit sourire en coin.

— Bon anniversaire ma puce.

— Tu y as pensé ? Oh, merci amour.

Elle se jette à mon cou et m’embrasse goulument cette fois. Je me dégage de cette étreinte, la prends par la main et la mène vers la chambre du sexe. Je me tiens derrière elle, le chibre coincé entre ses fesses. J’ouvre et lui souhaite encore une fois un joyeux et heureux anniversaire. En voyant Coco harnachée sur la machine, elle tape des mains comme une gosse, elle saute de joie et m’enlace.

— Content que cela te plaise. Fais-en bon usage, lui dis-je en lui donnant la télécommande.

Elle se pend à mon cou et me dit qu’elle ne sait quoi dire. C’est le plus beau cadeau que lui ai fait. Je règle les trois godes et lui demande d’aller doucement… au début. Les trois godes pénètrent lentement les trois orifices de Coco qui ne peut que gémir. Je tends à ma chérie une coupe de champagne qui la boit d’un trait.

— Encore, j’ai soif. J’ai faim…

— Tu ne vas pas la laisser là sans surveillance ?

Elle ouvre la porte fenêtre donnant sur la piscine. Elle pourra faire varier la profondeur et le rythme des pénétrations. En quittant Coco, on peut voir que la petite blonde mouille abondamment et bave copieusement. Excitant à souhait.

On est sur la terrasse. Elle m’étonnera toujours, elle se met en position de levrette. Elle me dit qu’elle en a envie, que c’est son anniversaire et que ça doit faire partie de son cadeau. Elle n’a pas son plug, je lui demande où elle la veut, en parlant de ma bite. Partout, me répond-elle. Je m’avance et la prends par les hanches. Elle mouille tellement que la pénétration de sa chatte est plus divine. J’y vais gaillardement, en sortant mon rostre à chaque coup et me replantant au plus profond de son antre d’amour. D’une main, je lui claque une fesse, de l’autre, je lui titille son anus qui s’ouvre comme par magie. Elle aime cela et le fait entendre.

— HAN, OUI MAÎTRE, DEFONCEZ-MOI MES TROUS, MES GARAGES A BITES. J’AIME… OUIIIII.

Maintenant, j’alterne. Une fois dans son gros cul, la suivante dans son vagin. Elle couine, hurle. J’entends Coco qui gueule. Cela me fait rire. Je continue mon pilonnage. Elle s’affale sur ses avant-bras, le point de non-retour n’est pas loin… pour elle ! Je continue mon travail de sape avec fougue. Ces fesses noires m’attirent, m’excitent. Je la chevauche comme un jockey au galop. Je transpire et ma sueur lui tombe sur le dos. Avec une jument pareille, je suis prêt pour le grand prix de Diane ou d’Amérique. Dans cette position, je ne quitte plus son cul. Elle ahane. Elle jouit en contractant son sphincter autour de ma bite. La salope, pensais-je, elle veut me faire partir, alors je lui claque le cul d’une force insoutenable pour elle comme pour moi. J’en ai mal à la main, j’imagine sa fesse. Je continue les pénétrations brutales. Mon pubis claque sur ses grosses fesses. Je lui triture les tétons annelés, elle jouit, moi aussi.

— ARCHH ! PREND-CA… OUIIIII…

Je retombe sur son dos. Elle reprend son souffle. On entend les gémissements de Coco. Il est temps de la libérer. Mél s’en charge et s’en va par la cuisine et la salle de bain pour se rafraîchir. Curieux, je passe la tête par la porte-fenêtre et je vois la petite blonde les cheveux en désordre, transpirant et mouillant plus qu’abondamment. La machine encore en marche, elle est rouge pivoine. J’entends Mél qui revient, je me sauve.

Elles arrivent alors que je suis allongé sur un transat. Mél a dû faire prendre une douche à Coco. Putain, qu’elles sont belles ! Mélissa s’est arrachée d’un gode ceinture avec un phallus rose de taille plus que respectable. Sans un mot, elle fait me fait étendre les jambes de part et d’autre du transat, me branle un peu pour que la raideur de mon membre soit exploitable.

— Mél, non, tu n’es pas sérieuse, je n’ai plus 20 ans ! ! !

— Chuttttt, c’est mon anniversaire, j’ai le droit. Me répond-elle comme une gamine.

Elle met la petite à califourchon et l’empale, il n’y a pas d’autres mots, sur ma bite. Une fois bien installée, elle ne demande de ne pas bouger. Mél dirige sa bite factice sur la rondelle de Coco qui souffle puissamment.

— On va te casser le cul et défoncer la chatte. Tu as intérêt à prendre ton pied, petite truie.

Elle entame ses mouvements. Coco se réfugie dans mon cou et la lèche. Les coups de Mél sont si brutaux que je n’ai pas besoin de bouger, les sensations sont terribles. Coco geint, souffle et finit par m’embrasser. Mél sourit d’extase, elle ferme les yeux et se pince les lèvres. On est au soleil et on transpire énormément. Je sens ma jouissance monter, je le signale à ma black.

— Vas-y, inonde lui la matrice à cette petite pute.

— Oui, je l’inonde, je… JE JOUIIIS ! ! !

Mél, repue et heureuse, se démanche et enlève son harnachement. Elle tire Coco par les bras et la jette dans la piscine. Elle la rejoint en faisant une bombe. Moi, je reste là ou vais-je les rejoindre ? Je plonge pour rejoindre les deux filles qui se sont enlacées. On s’embrasse, on se frotte le dos. Dieu, que c’est bon. Dieu, qu’elles sont bonnes.

On sest remis de nos émotions, enfin elles préparent le repas.

Mél raconte notre rencontre, ses piercings, son marquage et le travail de sa poitrine. Coco boit ses paroles.

— Moi aussi j’ai des…

— Choses à avouer ? Répondis-je.

Elle raconte sa vie. La mort de sa mère, son rapprochement avec son père et surtout leur première nuit d’amour, les doutes sur la sexualité réelle de son père qu’elle pense n’être pas totalement libérée. Mél est sous le charme de la petite blonde et me dit :

— Tu vas t’en faire une deuxième soumise ?

— Tu me suffis, mon amour. Non et puis c’est une employée.

— Comme si ça te gênerait.

Je regarde Coco qui est entre tristesse et bonheur.

— OK, mais il faut que je rencontre ton père avant l’inauguration.

— On na quà aller chez moi. Dit la petite blonde en se levant.

À peine ces paroles prononcées, elles partent toutes les deux s’habiller. C’est vaincu que je me lève et pars en direction de ma chambre. Je me demande à cet instant qui est le dominant, le Maître. Je souris intérieurement quand j’entends dire Mél à Coco :

— Il est génial, doux, tendre mais il peut être brutal et sévère quand il le décide, bref, il est le papa parfait. Regarde son dernier cadeau.

— Waouh, j’aimerais que mon père me marque aussi.

Je vais dans ma chambre et m’habille.

Sur le trajet entre ma villa et celle du père de Coco, ce n’est que gamineries et rires délurés. Deux petites pisseuses, deux collégiennes qui rentrent de cours. Elles m’excitent un max dans leur mini short et leur tee-shirt sans manche.

On entre par le côté de la villa. C’est cosy, bien entretenue et décorée. Il y a plein de rosier en fleur, tout comme chez moi.

— Papa ! ! ! OUHOU… PAPA ! ! ! !

— Je suis dans la piscine…

— Coucou mon papa chéri… Dit-elle en se mettant nue et en plongeant pour le rejoindre.

Elle nage vite et bien vers un beau gaillard de mon âge. Elle lui saute au cou et l’embrasse, pas d’un baiser chaste entre père et fille, non, un baiser d’amant à amante. Elle lui murmure à l’oreille. Il se retourne et nous voit. La stupéfaction et la gêne se lisent sur son visage. La petite blonde est accrochée dans son dos. Il s’approche du rebord et me tend la main.

— Enchanté, Robert… Bob.

— Jean, Maitre Jean… Et Mélissa, ma soumise.

Mél est en train d’enlever son tee-shirt, il est en extase devant la volumineuse poitrine et que dire sur son état quand le bas s’en va rejoindre le haut, laissant apparaître son tatouage aux fers rouges et ses anneaux. Je ne peux voir, mais je crois qu’il est nu et sa fille est en train de le masturber. Il se décroche de sa fille et s’en va nager. Pour réfléchir ? Je souris.

— Allez, j’ai soif.

La petite Coco sort de l’eau et s’en alla, suivie de la belle et grosse black.

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