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Souvenirs scolaires – Chapitre 1




Un souvenir m’a fait remonter à mon adolescence. À cette fille, cette fameuse fille. Elle était brune, assez grande, même trop grande pour moi à l’époque. Ça plait pas une fille trop grande. Mais ce qui plait c’est les femmes, a la poitrine volumineuse, les gros seins comme on dit entre mecs. Cette fille était dans ma classe, cette fameuse Sarah. Elle était sympathique, souriante, bonne élève, l’air salope sous un regard de sainte ni touche. Une fois on parlait en cours, le sexe était notre sujet de discussion.

Elle posait souvent les questions, je répondais en riant, un jour elle me vint en cours, bizarre, on commençait a parler, puis elle me dit:

_ mais ça fait quelle sensation à toi de le faire ?

_ bah je sais pas comment décrire, on est bien.

Et elle se stoppa et me regarda en disant froidement : _ on ? Ça se trouve ta partenaire était pas bien elle.

Vexé, je lui lança a la gueule : hey la sainte vierge, tu verras quand tu essayeras ! Mais coince comme tu es, c’est pas pour demain !!!

La conversation coupa court. Le prof nous enguela pour nos bavardages, me sépara d’elle pour me mettre un rang derriere, j’acceptais en rajoutant en provocation : avec plaisir !

Le cours se poursuivit, la sonnerie retentit, Sarah fit son sac et mot un papier sur ma table, oui partis.

J’ouvrai et lisais : la sainte vierge ? Rejoins la dans la salle C009 dans 10minutes, enfin si tu as des couilles !

J’ouvris mon sac, ma boîte de capotes était la, je la planquais dans mon sac pour pas que la mère sache que j’avais quelques rapports avec une petite amie d’avant.

Je me dirigeai vers la salle en question, qui était un vestiaire, a l’autre bout du bahut. J’arrivais, ouvris la porte, entra dans une pièce noire, avec comme lueur, le portable de Sarah qui éclairait son visage. Elle me lança : ferme à clefs sans lever la tête de son téléphone.

J’approcha d’elle et lui dis : tu voulais ?

— alors comme ça je suis une sainte ni touche ?

— attends !? C’est juste pour ça ? Oui tu es une sainte ni touche, tu me parles de sexe mais tu me fais chier quand je te dis les détails. Elle me tendit un truc, je regarda avec mon téléphone, sa culotte. Elle était nue sous son survêtement. Je me leva, posa mon sac. Lui prit la main et la leva du banc. Je la colla a moi, posa mes mains sur ses fesses que je te sentais super bien. L’embrassa et lui dit : très bien ! Je la pencha donc vers le banc, lui baissa son survertement, découvrais son jolie cul bien courbé, que j´embrassa, je lui mis une fessee, elle répondit par un gémissement , je lui mis une seconde fessee et elle sortit un léger Aïe. Je m’accroupie pour mettre ma tête au niveau de son sexe, je déposa un baiser, elle gémit, je posa ma langue eut commença a lécher, elle gémissait. J’enfonçais un doigt, deux doigts. Elle était trempée quand j’attrappa mon sac, sorti une capote, l’enfila.

Elle me dit, en se redressant : c’est bon, je voulais juste goutter a ce plaisir. Je lui mis une fessee et présenta mon gland a l’entrée de son vagin. Elle me dit non ! Je lui dis : tu as voulu, tu auras ! Elle me dit : sois doux ! Je suis entre doucement, elle gémissait et criait un peu, je me stoppa, et commença une série de va et vient, elle accentuait ses gémissement de plus en plus. J’accelerais, mon corps tapait contre ses fesses au moment du choc, je me sentis venir, je lui dis, elle me dit, tu as une capote, alors continue ! J’accélerai un peu plus, et je tappe un dernier coup en me vidant dans la capote. C’est à ce moment la que la porte du vestiaire s’ouvrit…

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