Chapitre 6 : Surpris par la voisine
Pendant les 2 jours qui suivent Laura et son fils passent leur temps à faire l’amour ou à baiser comme des fous. Laura forme son fils aux différentes techniques pour faire jouir une femme, connaitre ses points sensibles, la faire languir pour mieux la reprendre et l’épuiser sous des orgasmes à répétition et saturée de sexe.
Toutes les positions du kamasoutra ont été essayées avec des contorsions acrobatiques les plus folles pour revenir aux méthodes de base confortables. La chatte de sa mère est toujours disponible et ouverte ainsi que sa bouche pour déguster le beau sexe de son fils entre ses lèvres rouges. Jérémy découvre tous ses plaisirs et l’incroyable disponibilité de sa mère pour les ébats sexuelle. Elle lui de faire tout ce qu’il veut avec son corps.
En ce moment il a sa tête profondément enfoncée entre les cuisses de sa mère, sa bouche sur les lèvres souples et sa langue sonde ce trou délicieux sécrétant une liqueur qui l’excite au plus haut point.
Jérémy passe une de ses mains entre sa chatte et son cul pour recueillir son jus de chatte et ensuite saisir sa queue en érection pour se branler pendant qu’il continu de bouffer la chatte a sa mère.
De sa chatte humide il aspire avec bonheur ce jus riche et aromatique qui sur sa bite rend sa queue glissante. Il veut jouir en même temps que sa mère et il suit attentivement les réactions de sa mère pour moduler sa branlette en conséquence.
Laura tremble sous sa langue active et sa chatte commence à se contractée, prémices d’un orgasme qui ne vas pas tarder à la faire hurler de bonheur. Jérémy se branle plus
vigoureusement sur sa bite, serrant son poing autour du gland glissant pour lui aussi sentir une jouissance imminente.
— Je…je… chéri je vais jouir viens en moi vite! Viensviens
Scande Laura sous les bouleversements saccadés de sa chatte.
— AAAAAhHHHH, mon bébé d’amourOOOhhhh.ouiiiiii
Jérémy regardant sa mère en plein orgasme et surtout sa chatte palpitante qui s’ouvre et se referme sous ses spasme de plaisir, martyrise sa bite pour éjaculer en grognant et arroser sa chatte, visant la fente quand elle s’ouvre puis se termine sur son ventre en sueur.
Mon dieu qu’elle est belle sa maman quand elle jouit, elle rayonne de bonheur après s’être crispée sous l’intensité de son orgasme. Son jus épais et chaud glisse sur sa peau et une partie s’immobilise en une petite la flaque dans son nombril. Son sperme coule sur sa chatte, s’accroche aux doux poils dorés puis descend dans sa raie des fesses.
— Jérémy ? Pourquoi tu n’es pas venu en moi ?
Il se mord ses lèvres.
— Je ne dirai pas, désolé maman parce que je ne le suis pas. J’ai eu envie d’arroser ta chatte et ton ventre avec mon sperme. Je voulais voir
çà.
De ses doigts il touche son jus onctueux, hésitant au début, puis il caresse son corps chaud comme pour un massage au jus de mâle.
— Mon garçon, je n’y suis pas opposée. Tu m’as juste surprise et j’aime çà. J’aime cette crème de beauté glissante puis collante. Je me sens sexy avec et un peu salope.
Jérémy frotte son ventre en cercles lents qui s’agrandissent pour atteindre ses seins et ses mamelons Il replonge vers le bas pour se réalimenter en crème et porter ses doigts devant sa bouche. Dans les yeux de sa mère il décèle une lueur sensuelle et perverse quand elle lèche ses doigts.
— Embrasse-moi mon chéri
Obéissant, il s’abaisse sur son corps et leurs
ventres restent collés par les résidus de son éjaculation.
Il colle ses lèvres sur sa bouche, et elle l’embrasse passionnément, avec cette ultime sensualité de femme impétueuse, ardente, qu’est sa mère.
Laura se tortille sous lui quand, tout à coup, il la sent se raidir et il se demande ce qui ne va pas juste avant qu’elle ne cri:
— Virginie !!
Secoué, Jérémy se décolle vivement de sa mère pour voir sur le seuil de la chambre une autre femme figée dans l’embrasure de la porte, l’air abasourdi, la bouche ouverte comme si elle voulait dire quelque chose mais sans pouvoir articuler quoi que ce soit.
Laura sort du lit, en mettant une robe bleu pâle autour de son corps et rapidement, elle
traverse la chambre et prend l’autre femme par les poignets pour la sortir de la chambre en disant:
— Virginie! Si tu dis un seul mot je te fous une gifle !
— Laura ! Je te jure que je ne que je ne pensais pas. Que avec lui
Et Laura se tournant vers son fils.
— Chéri, je laisse un moment. Prends donc une douche en attendant. Je vais discuter avec mon amie Virginie.
Jérémy ne dit mot et regarde sa mère sortir dans le couloir avec la femme du voisin et il l’entend dire:
— Je t’ai téléphoné et tu n’as pas répondu. Comme ta voiture est dans l’allée je savais que tu étais à la maison et la porte n’était pas fermée à clé. Mais… Laura c’est ton fils ?
Putain ! Se dit Jérémy. C’est sa meilleur amie et elles font les magasins ensemble et se disent surement des tas de choses. Si elle et Laura n’était pas si proche, elle ne serait pas rentrée dans la maison et elle ne les aurait pas surpris ensemble et tout nus et sur le point de lui bouffer la chatte !
J’espère qu’elle va garder çà pour elle et ne pas prévenir les flics ou quelqu’un d’autre.
Jérémy prend sa douche, enfile une sortie de bain et descend vers la cuisine ou il entend des voix.
Caché dans l’entrebâillement de la porte il voit les deux femmes assises au bar sur de hauts tabourets devant une boisson .
-Tu vois Virginie, faut comprendre et je sais que tu ne diras rien à personne. Et je vais t’avouer autre chose Jean le sait
— Tutu veux dire que ton mari est au courantque tu couche avec son fils votre propre fils ! Whaou ! C’est trop ! Il faut que je boive un coup.
Sa maman verse plus de whisky dans le verre de Virginie et quand elle lève son verre il voit le mouvement de ses seins qui m’a fois son bien fermes. Jérémy à souvent reluquer ses longues jambes quand elle prend des bains de soleil et surtout regarder furtivement sa poitrine se balancer quand elle marche.
Contrairement à sa mère, Virginie est plus petite et parait plus ronde. Autant sa mère est blonde, elle, ses cheveux, sont d’un noir profond. Elle a approximativement le même âge que sa mère. Jérémy pense que s’il n’avait pas été aussi amoureux de sa mère il aurait pu être attiré par cette belle femme brune.
Mais à cette époque, ces deux femmes lui semblèrent inaccessibles. Maintenant il se demande si ce ne serait pas possible ?
Virginie dit alors,
— Tu m’a dis que toi et Jean êtes un couple assez libre coté sexe. Je me suis dis, pourquoi pas mais, avec ton fils
— Oh merde, Virginie, dit sa mère exaspérée. C’est justement parce que c’est mon fils que c’est encore mieux. Tu sais pourquoi je ne pouvais pas répondre au téléphone, pourquoi je n’ai pas entendu la porte d’entrée s’ouvrir ? Parce que sa merveilleuse bite n’arrête pas de me baiser le jour et la nuit, sans arrêt. Je n’ai jamais été aussi bien baisée et çà n’a jamais été aussi bon pour moi.
Quand tu es venue dans la chambre, tu as vu sa queue ?
Virginie pose le verre qu’elle buvait et dit lentement:
— Tu veux dire que je n’ai pas rêvé que ce n’est pas mon imagination qui me faisait un tour. Elle est vraiment aussi grosse et aussi longue
Laura sourit et étale ses jambes pour dévoiler sa cuisse aux yeux de Jérémy.
— Oui, tu n’as pas rêvé. Je ne savais pas que sa bistouquette de bébé grandirait à cette taille. Mais cette superbe et énorme bite n’est pas la seule chose qui rend mon Jérémy si
spécial. Mon garçon m’aime comme une femme, une maîtresse, une prostituée, et je suis peut être maudite mais heureuse que je sois la femme qui a eu le privilège de découvrir ses talents d’amant.
Il est incroyable, Virginieil est toujours dur, et il peut te prendre doucement ou vous t’écraser avec force, pour te marteler de sa longue et épaisse queue dans ta chatte jusqu’à ce que tu exploses plusieurs fois ! Il peut me manger la chatte et me faire jouir autant de fois que j’en ai envie et parfois j’ai l’impression que sa tête va venir dans mon corps pour me dévorer.
Virginie fini son verre et répond:
— D’accord, mais Laura, si je suis la première à admettre que mon mari est un piètre amant ou que je suis trop exigeante avec lui maisje ne crois pas que je baiserais avec mon propre fils".
Et Laura de lui faire remarquer;
— C’est parce que tu n’as pas un fils, tu as une fille. Mais je parie que si la situation était inversée, si ton mari était un bon baiseur et qu’il serait souvent parti en voyage etque ta chatte en chaleur te démange
— Heu heu, non, jamais. En outre, je n’ai même jamais imaginé me faire baiser par un jeune homme de la moitié de mon âge. Un homme plus mûr, ok, mais un jeune garçon comme ton fils en plus avec cette Bite ! Ça doit être douloureux ?
— Monte dans la chambre. Je te rejoins et tu vas voir. Pour pouvoir porter un jugement il faut gouter à la chose ! Après tu me diras ce que tu en penses en connaissance de cause.
Virginie a sur elle une robe courte, et Jérémy parcourt des yeux ses genoux arrondis à la peau de satin. Il s’imagine regarder entre ses cuisses et se demande si sa chatte est aussi noire que ses cheveux. Il sent aussi que sa queue reprend de la vigueur en anticipant ce que sa mère a dans la tête.
Si elle réussit à convaincre son amie de se faire baiser son fils, Virginie n’ira pas le crier sur les toits et toutes deux garderont ce secret intime.
Sa mère lui a dit qu’il fera plaisir à beaucoup d’autres femmes quand il les baiserait avec sa grosse bite, mais il ne pensait pas avoir cette chance si tôt. Virginie la regarde avec surprise et s’interroge.
— Quoi ! Tutu es entrain de m’offrir tonfils ?
— Et pourquoi pas? Répond Laura bienfaisante. Après tout, tu es une très jolie femme, une femme très sensuelle qui est souvent frustrée parce que tu n’as pas une grosse bite bien dure à la maison. Tu es aussi ma meilleure amie,
alors pourquoi ne devrais-je pas partager mon plus grand bonheur avec toi ? Nous sommes toutes les deux des femmes chaudes aimant le sexe et, je suis sure que quand tu as vu la superbe queue de mon garçon, tu as surement eu envie de la prendre en main. Ou, comme quand tu regardes mon mari en écartant les cuisses pour voir si çà lui fait de l’effeten imaginant qu’il va te baiser ?
— Jean ? Je ne sais pas quoiPutain j’ai l’impression que çà ne te dérangerait pas que je couche avec ton mari et en plus tu me propose de me faire mettre par ton fils avec sa monstrueuse bite ! Sers-moi un autre verre, Laura.
— OK, je vais chercher de la glace.
Et en descendant du tabouret, Laura aperçoit Jérémy debout dans l’embrasure de la porte. Levant un sourcil, elle sourit malicieusement et cligne de l’il. Puis d’une voix forte:
— Jérémy tu ne trouve pas que Virginie est une belle femme terriblement sensuelle et sexy ? Je parie qu’elle peut être une sacrée baiseuse si elle se débarrasse de ses préjugés d’arrière garde.
Jérémy s’avance vers Virginie qui se tourne sur son tabouret. Elle a l’air un peu pompette mais n’a pas encore surmontée le choc de sa découverte et l’impact des idées nouvelles et interdites que lui propose sa meilleure amie.
. Bonjours, madame Virginie. Je suis entièrement d’accord avec maman. Vous êtes vraiment belle et très attirante pour un garçon de mon âge. J’ai toujours pensé que votre mari avait une chance incroyable de pouvoir faire l’amour avec une femme telle que vous. Je l’ai même envié quand je vous épiais lorsque vous preniez vos bains de soleil.
-Doucement mon garçon. Restons calme et ne prenons pas de décision hâtive.
— Peut-être pas pout vous mais je m’apprêtais à baiser de nouveau ma mère quand vous êtes arrivée et refaire plein de choses si merveilleuses. Votre mari en fait autant avec vous, mada Virginie ?
Elle tremble un peu et serre sa main autour de son verre. Il voit son émotion au soulèvement de ses seins et elle se tortille sur le tabouret.
Baiser une femme aussi âgée et mariée comme sa maman excite vachement Jérémy et sa queue grimpe de plus en plus sous sa sortie de bain. Sa mère se tient à coté de lui et peu importe combien il l’aime, il a envie d’une autre chatte, et il se demande si Virginie baise différemment que sa mère et si son cul rebondi encore plus sauvagement.
Virginie se passant la langue sur ses lèvres murmure ;
— pas souvent de temps en temps
Jérémy se rapproche et appui sa bite dure contre sa cuisse et sent la chaleur a travers la robe.
— Maman m’a dit que je suis très doué pour les léchages de chatte et très sincèrement j’aimerais bien bouffer votre petite chatte noire en enfouissant mon visage entre vos magnifiques cuisses pour vous voir vous agiter pendant que ma langue se glisse dedans et dehors de votre chatte humide et juteuse.
— Toi tu sais déjà parler aux femmes ! Même mon mari ne me parle pas comme ça, pas avec les même mots !
Jérémy ouvre sa sortie de bain et pousse sa grande queue raide contre sa cuisse, et la déplace vers son ventre.
Les yeux troubles, Virginie regarder avec incrédulité le gros gland de sa bite.
— Mon Dieu ! On dirait un gros champignon.
— Touche-le pour le sentir comme maman. Elle l’a déjà pris pas mal de fois dans sa chatte étroite.
La main de Virginie prend presque timidement la bite tendue de Jérémy, qui au touché d’une main féminine nouvelle, avance les siennes pour envelopper les seins lourds que Virginie lui présente quand elle se penche en avant pour observer sa bite en pleine érection. Ses seins ronds sont très fermes et ses tétons paraissent très longs sous le tissu de la robe et vu leurs dureté il devine que Virginie est excitée.
Laura se place juste à coté d’eux et prenant la main de son amie, elle la fait aller de haut en bas en pressant ses doigts sur son gros gland pour bien le décalotté en redescendant.
-Alors Virginie elle est superbe la bite de mon grand garçon. Dit-elle en murmurant. Entièrement pour toi, Virginie. Viens, ma chérie viens avec nous dans la chambre.
Comme hypnotisée, Virginie glisse du tabouret, sa main désespérément collée sur la bite de Jérémy.
— Jeje dois d’abord appeler Charles pour lui dire que tu n’es pas bien et que je reste un certain temps avec toi.
Pendant que Virginie téléphone Jérémy reste collé contre elle en caressant son corps et que de sa main libre Virginie palpe sa queue tout en donnant une explication tordue à son mari pour s’excuser de ne pas rentrer tout de suite.
Sa bite qui continue encore de grossir rien quand pensant qu’il va baiser sa voisine, une épouse qui raconte des cracks à son mari, une bite dans la main et la main de son gentil voisin entre ses cuisses.
Une fois dans la chambre c’est Laura qui retire sa robe par-dessus sa tête et Virginie apparait en soutient gorge et slip sous le regard avide de Jérémy. Sous son slip transparent un monticule de poils noirs aplatis en forme de triangle.
C’est très agréable et excitant de voir sa mère déshabiller une autre femme pour l’offrir à son fils qui dans cette attente se branle lentement.
Virginie ne dit rien et ne bouge pas quand Laura retire son soutien gorge et que ses seins lourds s’affaissent un peu. Leurs aréoles son larges et d’un brun foncé avec effectivement des tétons très longs qui pointent comme de petites tétines.
Le slip glisse sur ses cuisses dodue, bien galbées et Virginie lève machinalement les pieds pour pousser son slip plus loin.
Sa vulve est entourée de lèvres plus épaisses que celles de sa mère entourées de poils brillant noirs qui dessine une sorte de cur centré sous le nombril. Une chatte très intéressante qui mérite d’être explorée à fond.
Laura traine sa meilleure amie sur le lit et reste prés d’elle au bout du lit.
— Jérémy peut voir que les seins de Virginie bougent au moindre de ses mouvement et même les petites contractions de son ventre et de son pubis sous son excitation.
— Laura ! Tu ne vas quand même pas rester là ! J’éteins la lumière quand je fais çà avec mon mari ce n’est pas pour le faire devant une autre femme, même si c’est ma meilleure copine.
— Bien sûr, je vais rester là et je vais te regarder te faire baiser par mon fils. Je me suis longtemps demandé quel genre d’amoureuse tu es et c’est mon jour de chance! De plus si nous sommes amenées à partager mon fils, il faut bien s’habituer les uns aux autres.
Virginie ferme les yeux, abandonne complètement, et elle fait signe à Laura et Jérémy de venir prés d’elle. Laura se couche sur le coté en soutenant sa tête d’une main et de l’autre ses doigts jouent légèrement avec les tétons raides de Virginie.
— Quels beaux seinsJérémy va surement apprécier de les sucer.
Jérémy sent sa queue battre la chamade tellement elle à envie de se payer cette nouvelle chatte et, en plus, avec sa mère à coté il se demande s’il va tenir longtemps.
— Je vais tout de suite entre ses cuisses ? demande -t-il à sa mère en se positionnant entre les jambes de Virginie.
— Je pense que oui, murmure sa mère. Elle m’a avoué qu’elle n’a jamais vraiment aimé la voie orale, donc fait du bon travail, bébé. Tu pourras la baiser une fois qu’elle sera à point et bien mouillée sous ta langue. C’est une magnifique chatte bien dodue et poilue.
Jérémy pense que l’homme censé être le propriétaire de cette chatte juteuse, c’est Charles et qu’il ne se doute pas qu’elle est sur le point de se faire croquer par quelqu’un d’autre. Jérémy commence par caresser ses seins gros comme des cavaillons et rouler ses tétons entre ses doigts.
— Prends ton temps, Jérémy, applique-toi et rappelle-toi mes conseils. Mais quand il se couche doucement sur le corps dodu et qu’il veut l’embrasser, les lèvres de virginie restent fermées et il doit forcer pour introduire sa lange et se battre avec la sienne. Sa bouche sent le whisky et quelque chose comme une douce anxiété de commettre l’irréparable.
Est-ce que sa mère à eu la même impression la première fois qu’il l’a embrassée passionnément ? Elle est mariée à un homme beaucoup plus âgé que lui et elle a une fille presque de son âge et elle n’a fait peut-être l’amour qu’avec son mari pendant des années. Il se rend compte qu’il faut qu’il soit à la hauteur, fort et comme expérimenté.
Jérémy quitte sa bouche, passe sur sa gorge, son oreille, ses épaules et enfin sent un léger frisson quand il pose sa bouche sur un sein. Le téton qu’il aspire dans sa bouche pour le lavé avec sa langue est très raide et il pétrit le globe de chair en dessous pendant qu’il le suce. Après avoir fait la même chose à l’autre téton il descend vers la vallée inconnue. Maintenant, ses mains glissent sur ses hanches et le long de ses cuisses pendant que sa langue taquine la peau de son ventre finement texturée.
Plus bas il lance soudainement sa langue dans le repli de l’aine en tournicotant. Virginie à un sursaut et avance son pubis en arquant son dos et Jérémy en profite pour plonger son visage dans la douce prairie entre ses cuisses qui s’écartent.
Il entend Virginie gémir sous le choc de sa bouche enfouis profondément dans les poils odorants et se rend compte que ses poils sont tout à fait différent de sa mère. Les poils pubiens de Laura sont long, soyeux et dorés. La chatte de Virginie est couverte de minces couches de poils épais flexibles et élastiques, plus noir qu’une nuit de nouvelle lune.
Jérémy passe rapidement sa langue sur ses lèvres, et avidement force sa langue entre elles pour s’enfoncer profondément dans le velours de ce trou chaud, désireux de goûter ses fluides d’amour et connaître les saveurs exotiques de cette nouvelle chatte.
Ecartant encore plus ses cuisses il lèche et aspire les lèvres de sa chatte entre ses dents et les mordilles comme un chiot devant une viande fraiche et tendre.
— Oh Seigneur, oh mon Dieu ! Dit Virginie haletante. Il ne fait pas que m’embrasser comme Charles, il me la bouffe littéralement ! OOOhhhhOuuuhhhhhnon ! Arrête je ne peux pas le supporter ! AAAAAhHHHH.
Jérémy trouve son clitoris caché sous sa cagoule de chair sensible, et il l’entoure de sa langue fureteuse. Il est récompensé par une contraction de ses cuisses sur son visage et il en profite pour mettre ses doigts dans sa raie des fesses pour continuer de déguster sa chatte.
Elle soulève son bassin du lit pour plaquer le plus possible sa chatte sur lui et bouge frénétiquement son cul pour se frotter sur sa bouche. Virginie en pleure de plaisir, gueule qu’elle va venir, qu’elle va exploser et dans un puisant râle, elle jouit sous un orgasme fulgurant. Lorsque les violents spasmes qui traversent sa chatte bouillonnante se calment, Jérémy lève sa tête ruisselante de cyprine pour voir sa mère l’embrasser avec passion.
A suivre
Phantome
