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Je suis une MILF soumise, même très soumise – Chapitre 10




Aujourd’hui, Maître m’annonce au petit-déjeuner que j’aurai une longue journée. Carole m’emmènera faire quelques achats de dessous et d’accessoires, Jay me demande si je suis prête à sucer des bites d’autres hommes. Je lui réponds que je suis à sa disposition et que j’obéis à tous ses ordres. Ma réponse lui plaît, il m’embrasse, me fait me mettre genoux devant lui, ouvre son peignoir, je comprends que je dois passer sous la table pour lui faire une fellation pendant qu’il termine son café et de lire le journal. Je m’affaire, prends son mandrin en bouche, joue autour de son gland avec mon piercing. J’entends l’une des servantes rentrer dans la salle à manger pendant que je suce son sexe. Il me demande de le sucer sans l’aide de mes mains ou je serai punie … Je l’aspire avidement, je le lèche en faisant des bruits de succion qui me gênent. Mathilde, fais une de ses remarques désobligeantes, faisant remarquer que je suis une suceuse bruyante. Je vois ses jambes gainées, comme d’habitude, de bas de contention comme notre Maître nous exige de porter.

Elle est contre Monsieur. Celui-ci fouille son entrejambe, elle gémit, bien que gouine elle aime jouir sous la main de Monsieur. Ma bouche s’active sur sa queue, je le sens venir et il explose dans ma bouche. Je garde mes lèvres bien serrées autour de son membre. Je l’entends me rappeler de ne pas avaler tant que je ne lui montre pas ma bouche pleine de son sperme. Je sors de sous la table, me rassois à ma place, regarde Maître dans les yeux, Mathilde me donne l’ordre de montrer ce qu’il y a dans ma bouche. J’obéis, jouvre grand ma bouche en faisant attention de ne pas laisser tomber une goutte du jus de Maître. Maintenant tu avales et tu nous montres à nouveau. Je m’exécute, une fois dégluti, rouvre ma bouche en grand pour qu’ils contrôlent ma soumission, elle m’ordonne ensuite de tirer la langue pour bien vérifier que j’ai tout avalé.

— Tu es une bonne petite chienne me dit-elle.

— Merci Mademoiselle, je répondis

— Aujourd’hui Carole t’emmènera chez la gantière et la corsetière. Puis tu feras un cours accéléré de suceuse.

Je regarde Maître, je l’interroge du regard.

— Tu suces bien, mais tu vas suivre un entraînement pour sucer plusieurs hommes à la suite, les faire jouir rapidement. Je veux que tu deviennes la reine de la pipe. Tu en es encore loin, tu suces comme une bourgeoise, tu vas apprendre à sucer comme une pute.

J’ai peur de ce qui mattend, mais c’est la vie que j’ai accepté de vivre.

Carole m’accompagne dans une boutique de gants, il y en a de toutes les longueurs et couleurs. Une odeur de cuir envoûtante règne. La vendeuse nous reçoit courtoisement, nous demande ce que nous cherchons comme gants. Carole lui répond qu’il me faut un assortiment pour la journée et le soir. La vendeuse me regarde, elle nous dit comprendre mon besoin en disant

— Madame veut le « Grand Jeu » ?

Devant mon air interloqué, elle rajoute

— Vous êtes fétichiste, l’on vous exige d’être gantée très souvent et en toutes occasions n’est-ce pas ?

Il y avait une autre cliente qui essayait des gants avec une autre vendeuse, je pique un fard de honte et ne sais que répondre.

— Effectivement, dit Carole, mon amie est soumise à son Mari qui exige d’elle de porter des gants comme dans les années 60. Il lui faut « Le Grand Jeu ».

Je rougis encore plus, j’ai la bouche sèche. Je ne m’attendais pas à être dévoilée en public comme cela. La vendeuse me fait asseoir en me disant que les gants s’essaient avec le coude posé sur le comptoir. Elle mesure la largeur de ma main et revient avec un assortiment de gants en cuir, il y en a des courts, des mi-longs et des paires qui m’arrivent largement au-dessus du coude. Elle me les enfile, me demande comment je les sens, me demande si je vais garder cette longueur d’ongle ou s’il faut prévoir que j’aurai les ongles plus longs. Carole lui répond que pour l’instant je garderai les ongles de cette longueur, si plus tard mon Maître me demande de les avoir plus longs, alors nous reviendrons.

Carole commande deux paires de chaque modèle, presque tous sans doublure et quelques-uns doublées de soie. Elle en commande aussi pour Mathilde et elle, les deux lesbiennes sont astreintes comme moi au port de gants. Elle règle la vendeuse, demande de les faire livrer à l’appartement et prenons avec nous deux paires pour moi dont une que je dois mettre tout de suite.

La cliente qui avait tout entendu, sort en même temps que nous. Une fois sur le trottoir, elle nous demande si nous prendrions un café avec elle. Cette femme très élégante, sans aucun doute une bourgeoise des beaux quartiers, nous invite au Bar de l’Hôtel Bristol, qui se trouve à côté. La quarantaine en tailleurs légèrement au-dessus du genou avec des bottes à talons. Elle est belle, sensuelle et intrigante. Nous nous retrouvons assises toutes les trois, elle nous dit s’appeler Patricia, son mari lui demande d’être toujours très élégante et sensuelle. Elle nous dit qu’il est dominateur, il veut qu’elle soit gantée le plus souvent possible, comme Jay avec nous. Nous échangeons, Carole lui raconte notre situation, je suis la soumise de mon Maître et elle et sa compagne sont les servantes de la maison. Lui avoue que toutes les trois sommes lesbiennes et qu’elles m’ont appris à me gouiner depuis peu. Comme cela notre nouvelle amie Patricia sait tout, elle est un peu abasourdie par ce qu’elle vient d’entendre.

Elle a très envie d’en savoir plus sur notre mode de vie, cela lui fait peur mais l’excite énormément.

Carole lui demande si elle a la journée libre, si elle désire nous accompagner et découvrir un peu l’éducation à laquelle je suis soumise. Elle répond affirmativement tout de suite. Carole prend son téléphone, appelle Jay, lui raconte la situation, lui demande l’autorisation. Celui-ci dit oui à la condition que Patricia aille aux toilettes avec Carole pour prendre une photo de ses dessous et de lui envoyer. Patricia rougit, ne sait quoi dire, demande à Carole, « sans le visage sil vous plaît ». Elles reviennent au bout d’un moment, Patricia est rouge comme une pivoine, Carole me montre son téléphone avec les photos des dessous de notre nouvelle amie. Elle porte un collant sur une culotte blanche échancrée, un soutien-gorge également blanc assez classique de bonne marque, vraiment rien de très érotique. Maître texte en retour qu’il donne son accord pour que Patricia nous accompagne. Carole nous prévient que nous allons aller à Pigalle dans un sex-shop spécialisé où je devrais sucer quelques hommes car Maître Jay veut que je devienne une parfaite pipeuse … je suis abasourdie, je ne m’attendais pas vraiment à cela.

Patricia rougit encore…

— Aller à Pigalle chez les putes ? Mais je n’y suis jamais allée, dit-elle

— Moi non plus. Je rajoute

— Toi Liz, me dit Carole en me regardant, c’est peut-être la première fois mais certainement pas la dernière !

— Alors tu viens avec nous Patricia ? demande Carole

— Oui dit-elle timidement, j’espère que personne ne me reconnaîtra

— Qui veux-tu qui te reconnaisse, tu as déjà fait la pute ? rajoute Carole

— Oh non, mais peut-être des amis de mon mari … je vais avec vous cela m’excite.

Nous entrons toutes les trois dans un énorme sex-shop, Carole demande le gérant, celui-ci nous attendait ou plutôt m’attendait, Jay lui avait donné les instructions à mon sujet.

— J’attendais deux bourgeoises pas trois

— Elle c’est une amie qui vient seulement regarder, moi je suis la gouvernante de Mademoiselle Liz et je dois l’assister

— Montre ta langue percée. Me demande le Manager

J’ouvre la bouche tire ma langue, Patricia regarde effarée.

— Bien, tu as un joli bijou sur la langue cela va t’aider dans ta tâche de suceuse de bites, venez toutes les trois, je vais essayer cette bouche tout de suite on va passer dans mon bureau.

Une fois dans son bureau il me donne l’ordre d’enlever le haut et de lui montrer mes énormes nibards comme il les appelle. Je m’exécute, les libère du soutien-gorge à armature qui m’aide à les soutenir. Patricia les regarde avec surprise, le gérant sort son énorme sexe, il me fait mettre à genoux et à le prendre dans ma bouche. Je sens les regards des deux filles dans mon dos. J’obéis et le prends en bouche, travaille son gland comme je sais faire avec Monsieur. Je m’efforce de ne pas utiliser mes mains. Au bout de plusieurs minutes il éjacule dans ma bouche me tient la tête avec son sexe au fond de ma gorge. Me donne l’ordre de ne pas avaler, de lui montrer sa semence et ensuite de l’avaler. Comme Jay m’a entraîné à faire. Il me demande de montrer aux filles ma bouche ouverte avec son sperme, je me retourne toujours à genoux, elles sont assises toutes les deux sur un divan. Elles se tiennent dans les bras, servilement j’ouvre ma bouche pleine. Le gérant me dit

— Avale tout maintenant et montre-nous ta bouche vide en tirant la langue.

— Tu es une bonne petite salope, tu vas devenir une bonne suceuse mais il te reste beaucoup à apprendre. Ton Maître a bien fait de t’envoyer chez nous. Tu vas commencer tout de suite, toi sa matrone tu l’accompagnes en cabine numéro 10, toi la bourge il dit à Patricia, tu restes ici dans mon bureau, tu la regardes avec moi sur le circuit fermé de télévision.

Effectivement il y a un écran géant qui montre plusieurs caméras de surveillance ou l’on y voit des filles dans des cabines. Carole m’emmène à la cabine numéro Dix comme nous en avions reçu l’ordre, on entend des râles de plaisirs. Nous rentrons, Carole ferme la porte derrière nous, elle m’explique que ceci est un Glory Hole, il y a deux trous, un dans chaque cloison opposée, un tabouret au milieu. Elle m’ordonne de me déshabiller, les hommes ne me voient que par une caméra qui est au-dessus de chaque trou. Je dois prendre les sexes dans ma bouche, les sucer et une fois qu’ils éjaculent dans ma bouche je dois faire le rituel habituel de montrer ma bouche pleine, d’avaler et ensuite la montrer vide a la camera en tirant la langue.

Je dois me déshabiller car les clients veulent passer leurs mains par les orifices des cloisons pour tripoter ma chatte et mes seins avant que je procède à la pipe. A ce moment-là une queue apparaît, je la prends en bouche et commence à la sucer. Carole me filme et me permet de travailler avec mes mains gantées. Elle me rappelle qu’avec Maître et ses amis mes mains ne peuvent pas m’aider lorsque je les suce, par contre ici ce qui compte c’est la quantité et je dois apprendre à être rapide. Pendant que je suce le premier, je sens une main qui m’ausculte mon cul et ma chatte.

Avec l’aide de mon piercing et de mes mains, l’homme cogne dans la cloison en signe qu’il va éjaculer, Carole me tient la tête contre le trou de la cloison avec la queue bien au fond dans ma gorge. L’homme se vide dans ma bouche, elle me tire la tête en arrière par les cheveux. Me fait ouvrir la bouche pleine de semences, me filme et me la fait montrer à la caméra qui est dans la cabine, ensuite j’avale ce foutre et docilement je montre à nouveau ma bouche vide. J’ai à peine repris mon souffle qu’une queue pend dans l’orifice de l’autre cloison. Celui qui vient de me peloter, je me retourne et commence à le prendre en bouche, ensuite le troisième a une queue Black, énorme, je m’imagine l’homme derrière la cloison, je n’ai jamais fait l’amour à un Black, encore une première, si on peut appeler faire ça, l’amour ! Il m’étouffe avec la taille de sa queue surtout que Carole dirige ma tête, elle me force à lui faire deep throat, gorge profonde, j’étouffe je pleure, elle me gifle. M’ordonne de m’appliquer, je lui demande un peu d’eau entre deux queues.

A la sixième pipe je lui demande lorsque je m’arrête, elle me répond

— Suce et tais-toi, les pipeuses n’ont pas à parler, concentre-toi. Cela ne va pas être la dernière fois. Les bonnes suceuses arrivent même à jouir, si cela te dit tu peux te caresser lorsque tu as une bite en bouche.

J’ai des sentiments partages, d’avilissement et de plaisir. Je lui dis qu’avec mes gants, me faire jouir ce n’est pas facile.

— Bon, je vais t’aider salope, suce et je te caresse d’une main pendant que je continue à te filmer.

J’arrive à jouir grâce à sa main experte. Je ne sais plus combien de queues j’ai avalées. Elle me dit que cest suffisant. Me donne une boîte de serviette en papier pour m’essuyer.

— Rhabille-toi Liz. Pour une première fois tu n’as pas été ridicule. Tu as sucé douze bites et bien avalé.

Nous retournons dans le bureau du manager. Il nous attendait avec Patricia. Celle-ci avait les cheveux ébouriffés et son maquillage avait un peu coulé. Elle venait de se faire baiser.

Le manager me dit que ma prestation est celle d’une pute mais je ne serai pas payé car mon Maître ne le veut pas, il me prête afin de mieux me former. Je me réjouis, Maître ne me prostitue pas, il fait cela pour mon enseignement.

Lorsque nous sommes dans la voiture qui nous ramène à la maison, je demande à Carole pourquoi le manager a dit comme « d’habitude », elle me répond :

— Ma chérie tu sais bien que tu n’es pas la première soumise de Jay, son dressage est très dur. Elles ne résistent pas très longtemps et souvent il s’en lasse. L’entraînement que tu es en train de suivre est parfaitement rodé.

— Mais pourquoi ne me l’a-t-il pas dit ?

— Pour ne pas te faire peur Liz. Je peux, en tous les cas, te dire que tu es une très bonne soumise. Il y a longtemps qu’il n’en a pas une comme toi. Elles finissent par craquer. Cette épreuve du Glory Hole, une soumise sur deux craques. Toi, tu as très bien tenu. Jay va être fier de toi.

Nous laissons chez elle notre nouvelle amie Patricia, nous promettons de nous revoir bientôt. Elle insiste par la fascination qu’elle a pour moi. Nous nous embrassons avant de nous quitter. Carole et moi rentrons à la maison. J’ai le droit à un long bain, caressée et massée par Carole pendant que Mathilde prépare le dîner. Monsieur est parti en voyage et restons toutes les trois à la maison. Je dois quand même m’habiller en pute pour le dîner. Carole en serrant mon corset, commence à m’embrasser, me demande de la lécher car je l’ai énormément excitée pendant que j’avalais toutes ces queues. Elle s’allonge sur mon lit, je me mets entre ses jambes et je termine ma journée en léchant et suçant une chatte glabre après avoir pris en bouche plus d’une douzaine de bites. Après avoir joui dans ma bouche, elle me met un plug anal avec une queue de renard, m’enfonce deux boules de Geisha dans mon vagin et me masturbe avec un vibromasseur. Je hurle en jouissant, être prise du cul avec des boules et la vibration.

Tout cela en me roulant une pelle énorme …

Je la remercie, et sortons de la chambre. Moi gantée de satin jusquau-dessus des coudes, pluggée avec cette queue de renard qui pend, ces boules dans mon vagin que je sens en permanence en même temps que ce foutu plug. Tout cela corsetée et sur mes échasses de 15 centimètres. J’adore …

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