L’anniversaire des cinquante ans de Marthe approche de sa fin. Marthe est une femme assez enveloppée, mais a conservé un corps que beaucoup de femme aimeraient avoir. Poitrine encore très dure, qui ne pend pas, dut aussi à l’absence de maternité.
La soirée est très arrosée, extrêmement chaude aussi. Fernand, son époux, et ses deux frère Raoul et Marcel, deux vieux garçons endurcit de cinquante cinq et huit ans, et qui vivent ensemble, n’ont pas arrêtés de boire.
D’autres invités, jeunes et moins jeunes, se sont lancés dans des jeux plus libertins.
Comme Emma, la jeune voisine de Marthe, allongée jambes écartées sur la table à langer, en train de se faire doigter par sa belle mère, âgée de cinquante et un ans.
-Tu aimes quand belle maman te change ta culotte, hein?
-Oh oui, belle maman, surtout quand vous lavez ma petite
chatte…elle doit être tellement mouillée..
Ou comme sa nièce en train de tailler une pipe à son ex, pendant que son cousin la prend par derrière, au petit trou.
Un tas de situation qui excite Marthe au plus haut point. Surtout que son Fernand lui a promis une nuit de folie.
Vers deux heures du matin, Marthe, sentant sa gorge sèche, enfile une nuisette,et descend à la cuisine pour prendre un verre d’eau. Ses deux beaux frères sont toujours attablés, en train de boire.
-Mais vous allez vous mettre minable, dit-elle, vous n’allez
pas vous coucher.
-Mais non, belle soeur, répond Raoul, viens trinquer avec nous.
-A non, j’en ai assez, refuse Marthe.
-Allez, insiste Marcel, c’est pas tout les jours qu’on
a cinquante ans.
Devant tant d’insistance, Marthe accepte l’invitation. Elle s’approche d’eux, un verre à la main.
Arrivée à la hauteur de Raoul, elle est littéralement happée par celui-ci, et se retrouve assise sur ses genoux, jambes légèrement écartées.
-Mais enfin, çà va pas, rouspète Marthe, lâche moi.
-Chut ma chérie, dit Raoul, tu vas réveiller tout le monde.
-Je te dis de me lâcher, compris…non…pas çà.. hi hi hi,
pas la chatouille…hi hi hi…
Raoul a soulevé la nuisette, et parcourt le ventre et les flans de Marthe, lui provoquant des frissons.
-Houa, mais elle est grassouillette la belle soeur, sourit
Raoul, et très chatouilleuse.
Raoul glisse une main entre les cuisses écartées.
-Et là, elle la craint aussi..oh..mais c’est qu’elle est
toute mouillée, çà veut dire quoi?
-Déconne pas Raoul, arrête, j’ai honte..c’est Fernand, il
m’a limé pendant un quart d’heure, puis s’est endormi.
C’est pour ça que ma chatte est toute mouillée…arrête…
-Et ce truc qui dépasse là, c’est quoi? Dis moi.
-Tu le sais salaud, c’est mon petit bouton…tu sens comme
il est dur…vas-y…doigte le…fini ce que ton frère a
commencé…ah..ah..Marcel, viens que je te suce..
En deux temps, deux mouvements, Marcel est à poil la bite tendue devant la bouche de Marthe. Elle l’avale jusqu’aux couilles.
-Mai c’est qu’elle suce divinement la pute, râle Marcel.
Vas-y..bien sur le gland..
L’index et le majeur de Raoul ont pénétré la chatte pleine de mouille. Marthe se tord sur les doigts qui la branle.
-Enfoirés, arrive-t-elle à dire…vous me cailler là…
Vas-y Raoul..fais moi jouir..comme çà..oui..oh putain…
mais qui t’a appris çà…oui..oui..
Raoul sort ses doigts plein de mouilles et de cyprine, et les portes à la bouche de Marthe.
-Tiens, goutte, après, quand tu auras avaler le sperme de
mon frère, tu lui nettoieras bien la bite, ok?
Marthe fait un signe affirmatif, juste quand la semence de Marcel gicle au fond de sa gorge, puis, obéissante, nettoie le gland.
-Encore, dit-elle, j’en veux encore. Ouvrons le canapé. On
va faire une partie de cul.
Et la partie de cul va être torride, Marthe s’avère être une affamée de sexe. Elle va se faire prendre dans toutes les positions, dans tous les orifices. Et les deux frangins ont des ressources. Mais Marthe veut assurer son statut de bête de sexe.
-Vous allez voir comme je vais vous vider les pompons,
petit salaud..si mon Fernand voyait comme je suis en train
de me faire mettre..le pauvre…houa…
Le va et vient incessant des coups de queues pulvérisent tous les orifices. Mais petit à petit, Marthe s’essouffle. Elle essaie d’échapper à ses baiseurs, mais ceux-ci la ramène inlassablement sur le canapé, la culbute, le nique, l’encule. Elle se retrouve à califourchon, empalée sur le bite de Raoul, pendant que Marcel lime la sienne contre son dos, tout en lui caressant les seins. Son corps, son visage sont souillé de sperme.
-Ben, si le frérot voyait çà, sourit Raoul. Allez Marcel,
une dernière pipe pour le route.
Les deux frangins vont se faire tailler une pipe, tout en doigtant, un la chatte, l’autre le petit trou. Marthe s’agite dans tous les sens, se cambre pour mieux se faire doigter.
-Regarde comme elle bouge son cul la grassouillette, dit
Marcel.
-C’est vôtre faute, espèces de salauds..Vous vous rendez
compte tout ce que vous m’avez fait cette nuit…je risque
pas d’oublier mes cinquante ans.
C’est toute chancelante que Marthe va prendre une douche.
Elle se lève vers dix heures du matin.
Elle rejoint son mari au salon, en grande discussion avec ses deux frères.
-Mais çà peut s’arranger, dit Fernand. Tiens, voilà Marthe.
Chérie, mes frères sont embêtés, ils ne trouvent pas de
femme de ménage, j’ai pensé que tu pouvais y aller une
ou deux fois par semaine.
-On te paiera, dit Raoul.
-Quoi? Mais il n’en est pas question, répond Marthe, je
peux bien faire çà.
-Tu te paieras sur la pièce, ironise Marcel.
-Hi Hi Hi, toujours le mot pour rire, sourit Fernand en lui
tapant sur l’épaule.
Marthe accompagnent ses deux beaux frères, les embrasse à la commissure des lèvres.
-Qu’est-ce-que vous m’avez fait cette nuit, salauds. Prenez
bien vos couilles en photo, vous allez plus les
reconnaître
Et c’est depuis que deux fois par semaine, Marthe va faire le ménage chez ses beaux frères.Se le faire bien mettre aussi. Le paiement est immédiat. Marthe se fait niquer, enculer, taille des pipes. Aux chois des quinquagénaires.