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Telle paire… tel fils. – Chapitre 5




En fait l’histoire n’avait rien d’extraordinaire. C’était un soir, un samedi autant qu’il m’en souvienne.

Je décidai de la raconter telle que je l’avais vécue, en allant cependant à l’essentiel puisque nous étions quatre à la connaître déjà.

Ce soir-là donc, on devait aller en boîte Arnaud et moi, puis je devais dormir chez lui. Papa était seul. Je le rejoindrai le lendemain après-midi.

Seulement au milieu de la soirée, Arnaud ne se sentit pas bien. La bouffe du fast-food ? Toujours est-il qu’il fut pris d’une chiasse carabinée. Pour emballer les filles, c’est pas top (les mecs non plus d’ailleurs mais ce n’est pas son trip).

Notre soirée fut donc un naufrage. Je ramenai Arnaud chez lui. Il me congédia. Il ne tenait pas à ce que je lui serve de garde-malade et surtout, ça lui foutait la honte que je passe la nuit dans sa piaule à compter le nombre de fois où il irait aux gogues. Je n’insistai pas, convaincu que s’il s’était chopé une bonne gastro, il valait mieux que je décarre fissa. J’envoyai un SMS à papa pour lui dire que je rentrais et qu’il ne fallait pas qu’il laisse ses clefs sur la porte. Je ne reçus pas de réponse. A minuit largement passé, papa était peut-être couché, il n’y avait rien détonnant à cela. J’espérais ne pas avoir à le réveiller en entrant si je ne pouvais pas entrer.

En arrivant à l’appart, je vis que les rideaux de la pièce principale étaient baissés ce qui est rare.

Nous habitons un quatre pièces, trois chambres et un vaste salon-salle à manger-cuisine américaine qui s’ouvre après un petit hall d’entrée qui dessert les toilettes et une des chambres.

Les clefs n’étaient pas sur la porte. J’entrai en silence. Un filet de lumière venait du salon… et des bruits étouffés. Papa ne dormait pas. Mater du porno, je sais faire. Les bruits m’évoquaient donc sans doute possible une scène de cul. Je savais qu’il arrivait à papa d’en regarder la nuit pendant, croyait-il, que je dormais. Plusieurs fois, je m’étais levé et avais regardé par la serrure, l’apercevant de dos, assis devant son ordi à regarder des films X. Et à agiter sa main de façon non équivoque du côté de son bas-ventre. J’avoue que quand j’avais fait cette découverte, cela m’avait rassuré. Papa avait une sexualité et il regardait de trucs cochons… ce qui m’autorisait donc à en faire autant sans complexe mais discrètement tout de même.

Là me dis-je, ne m’attendant pas, il devait être devant la télé grand écran à profiter plus amplement d’un bon boulard des familles et c’est sans doute pour cela qu’il s’était mis dans le noir. Que faire ? Entrer et le mettre dans l’embarras ou attendre qu’il ait fini, mais dans combien de temps ?

Je décidai d’entrer le plus discrètement possible peut-être, la télé étant orientée face à la porte obligeant le spectateur à me tourner le dos, ne me verrait-il pas et pourrais-je subrepticement me glisser jusqu’à ma chambre… c’était risqué. J’en avais évidemment rien à foutre qu’il regarde du porno. Et même, si je le prenais en flagrant délit cela me dispenserait-il de me planquer pour en mater à mon tour. Je pouvais y gagner. A la rigueur on pourrait même le terminer ensemble en buvant une bonne bière comme on fait pour les matchs de foot.

Mais ce que je vis ne correspondait pas au scénario envisagé.

Une femme était allongée sur le canapé. Ses épaules reposaient sur le large accoudoir et sa nuque penchait en arrière. Jambes appuyées au sol, mon père la recouvrait en 69, plongeant sa queue dans la bouche béante et bouffant la chatte allègrement.

Ils ne me virent pas de prime abord. J’aurais pu me faufiler en en tapinois mais, fasciné par l’atmosphère torride, je m’approchai. J’avais certes déjà vu papa en maillot de bain, je l’avais même vu se masturber devant ses films X mais comme il était assis de dos, je n’avais vu que son bras astiquer une bite qui m’était demeurée invisible.

Papa a un cul rond et musclé. Ses grosses couilles poilues, bien resserrées surplombaient le visage de la femme qui, pour lors avait les yeux fermés. Elle n’était ni jeune ni belle.

Je la connaissais. C’était la femme du concierge. Ce dernier partait une fois par mois environ en week-end chasse ou pêche avec des potes. J’avais remarqué qu’il s’agissait souvent des week-ends choisis d’une fameuse chaîne cryptée et je me disais qu’elle était bien naïve de croire ce que son mari lui disait. En fait pas aussi naïve que ça la nana.

Je contemplai la femme suçant le bout paternel ; j’ai pas besoin de décrire ce que fait un film de cul sur un gamin de 18 ans, alors la même chose en vrai ! Automatiquement je me mis à bander et à tripoter ma queue tendue sous mon pantalon, impossible de faire autre chose, hypnotisé par cette pipe et le cul de mon père qui s’agitait pour faire bouger la queue dans la bouche.

La femme ouvrit les yeux. Elle sursauta déstabilisant mon père.

— Jules qu’est-ce que tu fous là !

— J’avais la main dans la poche et je balbutiai n’importe quoi.

— Il va rien dire au moins ?

Devinant qu’elle craigne que j’aille tout raconter à son connard de cocu, je répondis aussi sec

— Non, non, rien !

— Tu devais pas rentrer !

— Non p’pa, c’est Arnaud… j’t’expliquerai…

— Bon, ben on fait quoi là ?… tu nous laisses… ou tu te joins ?

— Comment ? Vous rejoindre ? Baiser avec vous ?

— On va pas se mentir, t’es plus puceau… ou alors tu te branles dans les capotes que je trouve parfois sous ton lit ! Allez, au point où on en est, viens avec nous. T’es d’accord Viviane ?

— Oh oui oh oui dit la femme, il a l’air bien pourvu ton môme. Du moment qu’il sait se taire…

Je n’eus pas le temps de réagir que la femme se mit à genoux, défit ma braguette et prit mon zob dans sa bouche.

La femme aimait la queue en effet et elle se répandait en compliments, nous couvrant de louanges en comparant nos zobs à la petite bite de son mari. Elle était très salope et nous guidait vers ses orifices qu’elle voulut voir tous déchirés.

Pendant ma narration (puisqu’on se rappelle que j’étais en train de conter nos exploits à ma prof et à son cocu), bien évidemment, Ma prof et son mari nous posèrent des questions. Comment était foutue la meuf, ce qu’elle aimait faire, est-ce qu’elle était endurante…

— Moi ce qui ma frappé d’abord c’est sa grosse paire de nichons. Malgré la présence de p’pa au-dessus je les voyais écrasés sous leur propre poids, débordant par rapport au tronc.

— Et la moule ?

— Il a fallu que papa arrête de brouter… vachement touffue… la fente large, le biscuit gros comme si ça bandait…

— Et le cul ?

— Enorme. Un très gros cul.

— Et elle est bonne ?

C’est mon père qui répondit.

— Ouais, elle est très chaude du cul. Elle encaisse bien la bite et elle bouffe tout.

— C’est clair qu’à deux on l’a bien prise.

— Et ça t’a fait quoi de baiser en même temps que ton père ?

— Ben en fait, pas grand-chose… Je l’avais déjà vu en train de se pignoler sur du porno même si j’avais pas vu sa bite…

— Quand tu penses que ce petit salopard m’espionnait…

— Et puis j’ai vite compris que certains soir, quand il rentrait tard c’était pas par hasard.

— Il a même fouillé mon ordi le petit con pour voir ce que je faisais.

— T’as fait ça ! demanda le mari de ma prof.

— Rien qu’une fois.

— Et toi tu disais rien ? dit-il à mon père.

— J’y ai vu que du feu, c’est après qu’il m’a tout raconté.

— Ouais mais entre voir ton daron se taper une queue et le voir en vrai sur une meuf…

— En fait j’étais vachement content pour lui… et fier comme vous pouvez imaginer.

En effet, les proportions de papa, bien qu’un peu plus modestes que les miennes, et surtout sa maîtrise des choses de l’amour m’avaient rempli de satisfaction. A constater la virilité du père, on s’en attribue une part en héritage génétique

.

Il m’avait été facile de juger sur pièce puisque la concierge avait provoqué une double, la première de mon existence, qui lui aurait de toute façon administrée. Elle s’était couchée sur moi, avait attrapé mon nud et l’avait guidé d’une main adroite directement en elle. J’avais ensuite senti la paternelle verge pousser derrière la fine paroi et j’en avais éprouvé la rigidité.

Nous avions varié les positions, joué des sexes des bouches et des mains et j’avais reconnu en tout la supériorité de mon père. D’ailleurs j’avais joui bien avant lui entre les roberts de la grosse dame qui s’était caressée ensuite pour étaler le jus sur sa poitrine. J’avais assisté à la fin du spectacle où après lui avoir cassé le fion une dernière fois dans les règles, mon père lui avait arrosé le visage au grand contentement de chacun.

Après son départ, nus sur le canapé, nous avions discuté.

— C’est ta maîtresse p’pa ? Avais-je demandé avec un peu d’inquiétude parce que, bien qu’elle fut très bonne sous l’homme, ce n’était pas un prix de beauté ni la meilleure des belles-mères a priori.

— Non, t’es fou ! C’est juste une fois par mois quand son mari n’est pas là. Elle vient, je la tire, on s’entend bien et chacun est content.

— Et… à part elle…

— Pas de régulière si c’est ce que tu veux savoir. Mais les sites de rencontres ad hoc et les boîtes échangistes m’ont donné un carnet d’adresses qui me garantit de ne pas sombrer dans la solitude.

— Ah…

— Et toi ?

— Moi quoi ?

— Ben tu me racontes, tes petites copines… tes plans… d’ailleurs, à ce propos, je trouve que tu te précipites un peu. Il faut que tu apprennes à durer plus longtemps… ça te dirait que je te fasse rencontrer quelques femmes expertes dans l’art de former les puceaux…

J’avais dit oui sans hésiter. Déjà, grâce à notre commune fornication sur la grosse dame, il s’était créé entre nous une complicité sexuelle qui venait compléter l’extraordinaire entente et affection qui nous liaient déjà et, avant d’aller nous coucher, j’avais le plus librement du monde raconté à papa mes premières expériences sexuelles. Ma prof et son mari voulaient aussi en entendre le récit

A suivre.

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