Camille était en pleine exploration de sa sexualité. Elle avait déjà conscience de son corps, du plaisir qu’elle pouvait éprouver en se regardant et en se caressant. Elle commençait à découvrir le plaisir qu’elle pouvait donner à une autre personne et surtout du plaisir qu’elle pouvait en tirer. Avoir vu, puis touché et enfin sucé le sexe de son frère Pierre, lui avait apporté un plaisir qu’elle ne pouvait imaginer. Elle avait vraiment adoré pouvoir jouir à sa guise de ce sexe masculin. La peau du sexe était complètement différente et le passage du repos à l’érection était surprenant. Elle avait ressenti un plaisir incommensurable par l’odeur, par le toucher, le goût de ce sexe et de ressentir ces jets chauds parfumés dans sa bouche. Elle avait atteint un degré de plaisir qu’elle n’avait jamais connu auparavant en se caressant. Son obsession d’expériences nouvelles au niveau de sa sexuelle était difficile à assouvir et n’avait pour l’instant pas de limite.

Elle avait donc décidé, même si elle n’en avait pas terminé avec son frère de tenter de voir le sexe de son père et plus si cela était possible. Elle voulait voir le sexe d’un homme adulte, expérimenté pour pouvoir comparer avec celui qu’elle commençait à connaître, celui de son frère. Elle en avait discuté avec son confident, elle rejoindrait son père regardant la TV dans sa chambre. Camille profiterait que sa mère infirmière fasses des nuits à lhôpital pour avoir le champs libre. Son confident l’avait bien briffé, sur le fait d’être plus modéré avec son père qu’elle l’avait été avec son frère. Et puis, en tant que père, son confident l’avait prévenu que ses parents pouvaient discuter entre eux. Sa mère avait peut être parlé à son père avec plus ou moins de précisions à propos de les explications données à sa fille sur l’utilisation de sex-toy. Il lui proposa, dans un premier temps, sans prendre de risque de se coller à lui, de passer un bras sur son ventre et éventuellement de descendre son bras vers son sexe doucement, mais d’éviter d’entrer directement en contact avec sa main. Au niveau de la tenue, il lui avait aussi suggéré de porter un tee-shirt pas trop large sans soutien-gorge et soit en culotte, soit en short en coton sans mettre de culotte en dessous.

Le lendemain, sa mère étant de nuit, Camille allait pourvoir mettre en place ce nouveau plan. Mais pour ne pas déroger aux nouvelles habitudes, elle avait été voir son frère dans sa chambre en fin daprès-midi pour leur séance de chatouilles. Maintenant, c’était devenu un rituel et les règles avait bien changés. Ce qui était auparavant des gestes timides étaient maintenant francs et complètement assumés. Les vêtements étaient soulevés, baissés sans vraiment d’opposition. Pierre lui touchait la poitrine, les fesses et passait sa main dans la culotte. Camille elle, baissait le pantalon de son frère et attrapait le sexe de son frère, les couilles, tirait le sexe en érection vers l’avant pour le lâcher et le voir repartir en arrière et claquer sur le ventre de son frère.

Ce soir là elle commença par masturber doucement son frère et souvent dans ce cas là son frère se calmait et se laissait faire. Il se contentait de caresser avec plus ou moins réussite les fesses ou les seins de sa sur. Le confident avait pourtant expliqué à Camille qu’elle devait éduquer son frère, le guider, pour lui apprendre à donner du plaisir à sa partenaire. Mais pour l’instant, ce que Camille appréciait c’était de caresser le sexe de son frère, le contact avec ce membre irrationnel, de jouer avec les testicules, de faire les deux en même temps. Elle regardait les réactions de son frère, quand elle accélérait puis ralentissait les mouvements de sa main du gland vers les testicules. Elle caressait aussi, comme lui avait indiqué son confident, le méat, la bordure et la partie supérieure du gland, le frein et tout ça sans oublier d’humidifier son doigt avec un mélange de liquide pré-séminal et de salive. En même temps elle malaxait les testicules dans son autre main, comme si c’était des boules anti stress. Puis quand elle sentit que Pierre se raidissait, il tendait fortement les jambes et râlait de plus en plus fort, elle accéléra la masturbation mais un doigt de son autre main vint se poser délicatement sur le méat comme si elle voulait bloquer l’éjaculation. Son frère était en pleine extase, elle enleva son doigt et continua à le masturber et des jets

partaient dans tous les sens, ses seins, son visage, ses cheveux. Elle adorait ce moment là, quand son frère se tortillait entre plaisir et rire. Elle le dominait juste avec une main, il était en quelque sorte à sa merci.

Il fallait qu’elle aille prendre une douche et se changer avant de passer à table et pour ce qui l’attendait encore dans la soirée. Après la douche il était temps de descendre dans la cuisine pour mettre la table, car les soirs où sa mère travaillait, la famille mangeait plus tôt. Après le repas, elle débarrassa la table pendant que son frère remontait dans s chambre jouer avec sa console de jeu. Puis elle monta dans sa chambre pour enfiler sa tenue de combat, un tee-shirt blanc un peu ajusté et un short en coton. Elle attendit un peu, elle savait que son père se mettait après le repas en tenue décontracté, tee-shirt et caleçon, pour regarder un film et pour dormir.

Son cur était tout emballé, elle était déjà très excité par ce qu’elle allait faire. La séance avec Pierre n’avait en rien calmé ses hardeurs. Enfin elle se décida à descendre les escaliers, traversa la maison et entra dans la chambre de son père. Il était là allongé sur le lit, comme elle s’y attendait en tee-shirt et en caleçon.

— « Qu’est-ce que tu regardes ? Je peux venir regarder le film avec toi ? »

— « Bien sûr, je te fais de la place, le film n’est pas terrible, mais il n’y a pas grand chose ce soir »

Camille vint s’allonger contre son père, sa tête contre son torse, une de ses jambes par dessus celle de son père et son bras vint se poser à ce qui lui semblait entre son nombril et son pubis. Son père lui sourit :

« Ça va tu es bien ? Ça faisait longtemps que tu n’était pas venue comme ça. Tout va bien ?»

« Oui ça va bien pourquoi ? C’est vrai que ça faisait longtemps mais que ce soir j’en avait envie »

Camille était très excitée, elle sentait sa poitrine appuyé sur le torse de son père et malgré les tee-shirts elle ressentait sa chaleur corporelle. Puis elle bougea délicatement son bras posé sur le bas ventre de son père, sans faire de grand mouvements. Elle senti à un moment la main de son père venir lui caresser les cheveux et la tête, c’était très agréable. Cela dura un bon petit moment et de temps en temps , Camille jetait un regard furtif vers le caleçon de son père. Comme elle osait l’espérer, une bosse se déplaça lentement et grossit dans le caleçon de son père. Il utilisa même sa main subrepticement pour remettre en place son sexe, pour être plus à l’aise et pour cacher son érection à sa fille. Le film n’était déjà pas intéressant mais là, il perdait complètement de son attrait. La bosse dans le caleçon de son père était sans commune mesure de ce qu’elle avait pu voir avec son frère, c’était très impressionnant pour Camille. Son père attrapa Camille par les hanches et la posa à cheval sur son ventre :

— « tu te souviens ? Comme quand tu étais petite »

Camille était aux anges, elle sentait directement le sexe de son père entre ses cuisses et ce membre s’appuyait directement sur son sexe. Elle était encore plus excité et déjà toute trempé, elle avait peur que sa mouille traverse son short et que son père le remarque. En même temps elle appréciait ce moment.

— « Oui, je me souvient un petit peu, j’aimais bien venir t’embêter et tempêcher de voir ton film. J’adorais tes câlins et tes chatouilles. »

Camille se coucha sur le torse de son père et malgré sa peur se mit à onduler légèrement au niveau du basin pour ressentir encore plus le sexe de son père. Il était indéniablement beaucoup plus gros et plus large que celui de son frère, même si son imagination y était pour beaucoup par rapport au ressenti. Elle se redressa et regarda dans la direction du haut de caleçon de son père. Elle vit la bosse et pu se faire une idée de la grosseur du sexe à travers le caleçon. Une auréole apparaissait nettement et le liquide pré-séminal commençait à traverser sérieusement le tissu du caleçon.

Camille regarda son père, qui la tenait toujours par les hanches, il lui souriait un peu bêtement avec un regard un peu interrogatif. Elle lui saisit les poignets et fit en sorte que les mains de son père se retrouve sur ses fesses. Le short s’était un peu relevé et les main chaudes de son père sur ses fesses lui donna des frissons sur tout le corps. Elle sentait que sont sexe était tellement trempé que même se gros membre turgescent aurait pu la pénétrait sans problème. En même temps elle avait peur que son père remarque son état. Son père lui caressa un peu les fesses quelques secondes puis remonta vers les hanches.

-« Bon, il faut que je dorme, je travaille demain matin, bonne nuit ma puce »

Il l’embrassa sur le front.

Camille était un peu déçu que ça se termine et soulagé en même temps que son père n’est pas réalisé son état ou n’en ait pas fait cas. Elle embrassa son père à son tour sur la joue affectueusement et se leva.

– « Bonne nuit mon Papounet, fait de beaux rêves »

Puis elle quitta la chambre, mais elle entendit son père se lever rapidement après son départ. Elle revint sur ses pas et passa sa tête par l’ouverture de la porte. Elle pouvait voir la salle de bain de ses parents ouverte et par le reflet de la glace accroché au mur, elle aperçu son père qui était en train de se masturber. Elle ne pouvait voir le sexe de son père, mais ça paraissait très bestial dans sa façon de faire, très différent de son frère et rapidement il grogna très fort de plaisir.

Camille fila en douce. Elle était sur un petit nuage. Alors elle n’avait pas vraiment vu ce qu’elle était venue chercher, le sexe de son père, mais maintenant elle avait une idée plus concrète de sa taille et en érection qui plus est. Elle en avait apprécié sa dureté contre son propre sexe et elle pensait en avoir ressenti sa chaleur.

Quand elle arriva dans sa chambre, elle remarqua que son short était complètement trempé et que le coton avait épongé plus qu’il n’en pouvait. Elle se glissa dans son lit et se caressa. Elle s’imaginait avec un sexe énorme qui la pénétrait, elle s’enfila un puis deux et ensuite trois doigts dans son sexe. Elle faisait entrer et sortir ses doigts, c’était très bon. Elle essaya avec un doigts supplémentaire pendant que son pouce caressait au passage son clitoris. Son sexe était tellement trempé que ça glissait comme dans du beurre. Elle accéléra le mouvement, elle voulait que ce soit l’excitation de par son père qui la fasse jouir et pas seulement les caresses qu’elle se faisait. Elle joui avec force en criant sans retenu et pour une fois avait oublié d’utiliser un oreiller pour atténuer le bruit. Au bout de quelque temps, son frère apparu à la porte de sa chambre dans le noir

– « Et bien surette, je vois que tu te fais du bien »

– « C’était trop bon et j’ai oublié de retenir mes cris, désolé ! »

– « Tinquiète, j’aime bien ça quand tu le fais et surtout quand je te vois le faire. Allez bonne nuit ».

Camille n’avait qu’une envie c’était de s’endormir pour rêver de cette nouvelle aventure et de celles à venir…

À suivre

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