Maman baissait les yeux, son collier était rose et grossier mais je m’en accommodai. Je déposai la laisse et passa un doigt sur la colonne vertébrale de maman avant de lui claquer bien fort les fesses. Elle hurla et du maillon boule sortit une salve de salive. Crachant sur son visage avec un sourire victorieux. Je m’agenouille pour être à sa hauteur et passe un doigt sur sa joue, avant de lui assener une claque. Puis retirant le maillon, je lui dis.
— Tu aimes bouffer le cul de ma sur ? Alors tu vas bouffer le mien.
— Oui.
— Oui qui ? Clac.
— Oui monsieur.
— Non, maitre.
— Oui maitre.
— Alors bouffe-le.
Maman m’ouvrit les fesses et me lécha la rondelle, elle était douée mais j’avais d’autres plans pour elle.
Papa arriva alors nu et me tendit le bâillon boule.
— Cela te dérange si je t’aide ?
Je tendis la main et passa le bâillon à maman. Merci papa je pense alors. Une fois mise sous silence ma mère nous fixa papa et moi.
— Elle aime la bite je crois, non ? Dit mon père.
— On essaye ?
Maman nous fixait, papa et moi face à face maman entre nous deux. Nos bites tendues lui caressaient le visage. Mais alors qu’elle voulut prendre nos bites en main je la frappai au visage.
— D’abord tu dois passer l’épreuve, Cindy tu es prête ?
Ma sur sortie de sa cachette, portant un soutien-gorge bleu et blanc et un gode ceinture rouge. Papa la regarda.
— Bah oui, comme ça elle aura les trois trous pleins… Tiens Carl dit nous ce que l’on doit faire.
Quoi ? Ma sur me fait ce privilège ? Je baissai les yeux vers maman qui sagement attendait les ordres.
— Papa tu prends la bouche pendant que Cindy et moi prenons ses deux trous.
Aussitôt dit aussitôt fait, je pris la hanche de ma sur adorée et ensemble on enfonça nos engins dans l’endroit indiquer. Maman hurla mais papa lui enfourna son engin dans son gosier et entre ses mouvements me dit.
— A… Alors fiston… On aime… Son cadeau ?
Je lui offris mon plus grand sourire avant d’embrasser ma sur sur les lèvres. Le trou de maman était si bon que je sentais à peine le sex toy de ma sur la pilonner comme une folle. Quelle sensation agréable, un trou chaud et humide et la peau douce de ma sur contre ma main. Quel merveilleux cadeau. Puis sans un bruit papa et Cindy s’effacèrent me laissant seul avec maman qui s’assit en reprenant ces esprits.
— Avez-vous besoin d’autre chose maitre ?
— Appelle-moi Carl et donne-moi ton sein.
— Viens Carl… Mon gros bébé.
Je venais de passer du maitre sexuel à son petit bébé enfin gros suivant ces termes. Prenant son sein je le mis en bouche et le suça avec envie, maman venait de passer sa main sous mes épaules et son autre main me saisit le sexe et elle le branla doucement. Elle se mit à chantonner comme une chanson que l’on chantait a des enfants pour s’endormir avec quelques changements pour mon plus grand plaisir.
— Viens me dit la jolie paysanne, je vais t’offrir la plus belle des récompenses.
— Oh Joli Chevalier laissez-moi goûter votre semence.
— Dites avant jolie demoiselle prouvez moi votre allégeance.
La petite paysanne ouvrant son corsage lui dit « Faites de moi une fille pas sage » en montrant son fessier ruisselant d’une étrange confiture
— Venez messire y plonger Excalibur.
Je pris maman par la hanche et la regarda dans les yeux, ils avaient changé. Ils pétillaient d’amour. Puis on s’échangea plusieurs longs baisers langoureux comme deux amants. Je pris ma bite en main et lui susurra : « Je veux te remplir. » Elle me sourit et répondit avec le même ton. « Je prends la pilule mon bébé, défoule-toi. »
Oh que oui !
Je pris mon sexe encore raide et plongea dans la grotte humide de maman qui se mordit la lèvre inférieure en soufflant. Je la pris dans mes bras et faisant plusieurs lents aller-retour je lui mordillais et embrassait le coup. Sur mon plexus dégoulinant de sueur, je sentis deux petites cerises pointées. Que je me dépêchai de satisfaire en posant ma bouche et les faisant tournoyer avec ma langue. Maman m’encourageait en massant mon crâne et en poussant de petits gémissements. Ma bite scintillait de cyprine et de liquide séminal. Sentant une main sur mon menton je laissai maman me regarder, elle poussait des « mmm… » « aaa… » ainsi qu’une multitude de gémissements. Je malaxais ses fesses puis entra un doigt. Maman qui ne s’y attendait pas s’avança me « giflant » avec ces seins, elle rit. Puis je lui claquai les joues gentiment, elle ne semblait pas offusquée, juste terriblement excitée à en croire la cyprine qui jaillit de sa vulve. Sachant ce qu’elle faisait avec Cindy le récolta et lui tendit. Maman lécha mes doigts avec envie.
— Tu aimes ta soumise maintenant hein, tu aimes ton cadeau.
Puis elle poussa un petit cri, et se retrouva cul en l’air ma main sur sa tête écraser cette dernière.
— Oui je l’aime et tu vas voir.
Je lui enfonçai ma verge bien au fond de son petit trou. Et je me mis à l’enculer. Et ce fut au bout de quelques minutes que je la relevai pour lâcher mon sperme sur son dos.
— Reste-là.
Ouvrant un tiroir je sortis une petite chemisette blanche et lui enfila posant bien ma main dans son dos pour étaler mon sperme. Puis je l’embrassai durant de longues secondes avant de dire :
« Merci » qu’elle ajouta d’un sensuel « Joyeux anniversaire. » Elle sortit de la chambre pendant que je partis prendre une douche, une fois propre je m’allongeai dans mon lit en réfléchissant, quelle étrange famille !
Cindy ouvrit la porte en criant, elle était nue et semblait effrayer. Je restais figé devant ce spectacle. Elle avait trois seins…