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Sur l'aire d'autoroute – Chapitre 1




Sur l’aire d’autoroute

Cette histoire est un fantasme qui a ses origines dans un fait réel qui m’est arrivé il y a quelques temps sur une aire d’autoroute, (je l’ai écrit dans le forum « endroit insolite pour s’envoyer en l’air »).

Je suis sur l’autoroute des deux mers, j’ai envie de pisser et je m’arrête sur la première aire venue, elle est complètement déserte. Nous sommes en été, il est dix heures du matin et il fait déjà assez chaud. Je ne porte qu’un vieux short de sport dont l’élastique de ceinture est un peu lâche et une chemisette qui m’arrive à peine sur le haut des fesses. Evidemment, je ne porte aucun sous-vêtement. Je descends de la voiture et me précipite vers les urinoirs pour me soulager juste au moment où une autre voiture s’arrête devant les toilettes. Comme je n’ai pas de braguette, je descends l’avant de mon short pour libérer ma bite. Se faisant, la ceinture du short est descendue un peu sur mes fesses, en exposant le haut aux regards des éventuels passants. Je suis en train de me soulager en me caressant, ma bite prend du volume. J’aime bien me branler en pissant. Un homme passe derrière moi et vient s’installer à l’emplacement à côté pour pisser. Il sort un magnifique membre avec un énorme gland. Il jette un il sur ma bite, me regarde et se caresse négligemment la bite en pissant, sa verge gonfle un peu. Je reste à côté de lui, j’ai fini de pisser, mais je veux voir jusqu’où ça va aller. Une fois qu’il a fini, sa bite se dresse orgueilleusement devant lui, il se recule un peu et regarde mes fesses.

Ça promet, dommage qu’on ne puisse en apercevoir que le haut.

Je regarde l’homme, lâche ma bite et fait descendre le short jusqu’en bas de mes fesses.

C’est mieux comme ça ?

Parfait, encore plus attirantes, mes mains me démangent.

Fais toi plaisir.

L’homme lâche sa bite qui reste dressée vers le ciel, vient derrière moi et pose ses mains sur mes fesses. Il les caresse, les malaxe, les soupèse.

Elles sont superbes et bien fermes, l’aimerais les explorer un peu plus.

Fais toi plaisir.

Il pose ses mains sur la ceinture de mon short.

Je peux ?

Je te répète, fais toi plaisir.

Il glisse ses pouces entre la ceinture du short et ma peau et le fait descendre jusqu’à terre. Je soulève mes pieds un après l’autre pour qu’il me l’enlève complètement. J’en profite pour déboutonner ma chemisette. Ces mains se glissent dessous et me l’enlève. Je suis complètement nu dans le local toilette.

C’est beaucoup mieux comme ça.

Si tu le dis.

Tu es quand même gonflé, si quelqu’un arrive.

A toi de me faire oublier l’environnement.

Ces mains parcourent mon corps de la tête aux pieds, je sens l’excitation monter. Elles finissent sur mes fesses, les cajolent, les caressent pour se crisper dessus, un de ses majeurs se glisse entre elles pour venir me titiller la rondelle. La main me libère pour revenir quelques secondes plus tard, cette fois le majeur est lubrifié de salive et commence une pénétration lente. Je suis dans un état second, il n’y a plus que mon cul qui compte, et l’immense envie d’avoir un beau braquemard qui me le défonce.

Cet accès me parait assez souple.

Oui, et très accueillant.

A ce point ?

Si tu veux t’en rendre compte par toi-même, ne te prive pas.

Ne bouge pas.

L’homme sort des toilettes, la bite toujours sortie et raide, il revient quelques secondes plus tard. Il bande toujours. Deux doigts viennent se glisser entre mes fesses et s’activent sur mon anus. Ils le lubrifient d’une matière grasse. Je ne bouge pas, j’attends la suite en me caressant la bite. J’entends le bruit caractéristique d’une protection de capote qu’on déchire. Quelques instants plus tard, un objet dur vient se glisser entre mes fesses, c’est sa bite. Son gland se fraye un passage entre elles, il vient se coller sur mon anus et s’immobilise.

Toujours partant ?

Plus que jamais, vas-y, défonce-moi le fion.

Tes désirs sont des ordres, moi c’est Georges, et toi ?

Jean.

La tête chercheuse force un peu le passage, l’effet est immédiat, mon anus s’ouvre comme une fleur et le laisse entrer avec plaisir. Son gland s’enfonce en moi jusqu’à ce que je sente les poils de son pubis sur mes fesses.

Tout va bien Jean ?

On ne peut mieux, allez, fais toi plaisir, défonce-moi la rondelle.

Georges s’active, ses va et vient, lents au départ, s’accélèrent pour me labourer le rectum à un rythme fou. Je suis complètement dans les vaps, mon esprit ne pense plus, ne réfléchit plus, il est complètement absorbé par le plaisir d’avoir une bite dans le cul. C’est à ce moment que j’entends un camion s’arrêter juste en face des toilettes, immédiatement suivit par un second, puis un troisième. L’homme semble hésiter. Je passe mes mains derrière lui et les pose sur ses fesses.

Ne t’occupe de rien, continu, défonce-moi l’oignon encore plus fort.

Oui, mais il y a des mecs qui vont débouler, ça peut être gênant.

Il ne fallait pas commencer, maintenant tu dois finir ce que tu as commencé, baise-moi jusqu’à jouir.

Il pose ses mains sur mes hanches et son rythme reprend de plus belle. Un homme entre dans les toilettes et en ressort aussitôt.

Oh putain les mecs, venez voir vite, ça vaut le détour.

Il entre de nouveau suivit par deux autres hommes.

Ce n’est pas beau comme spectacle ?

Magnifique.

Superbe, mais on ne va pas rester sans participer, plus on est de baiseurs, plus on jouit.

Le premier vient vers moi en déboutonnant sa braguette, il se met à côté de moi et pisse tout en se masturbant. Il a une très belle bite, assez volumineuse et longue, terminée par un gland pointu, dommage, j’aime les gros glands. Quand il a fini de pisser, il sort un mouchoir en papier de sa poche et s’essuie le gland. Il se tourne vers moi en me présentant son sexe raide.

Voilà, prêt à l’emploi.

Georges s’arrête, me fait un peu pivoter vers le mec et reprend son travail. Je me penche en avant pour gober cette bite magnifique. Ma langue s’active sur son gland puis je le gobe de plus en plus jusqu’à arriver à la limite de la gorge profonde. Je sens son gland au fond de ma gorge.

Putain, c’est un pro.

Je fais des va et vient sur sa tige tout en appréciant la bite qui me défonce le cul. Soudain la bite que je suce palpite, mais le mec se retire.

Je veux jouir, mais pas dans ta bouche.

Dommage, j’aurais adoré, mais je crois que l’occupant du lieu ou tu veux jouir n’en a pas pour très longtemps, la place sera chaude.

J’ai à peine fini ma phrase qu’une autre bite, un peu plus petite, se présenta devant ma bouche. Je l’avale goulument.

Oui, c’est bon.

Je sens la bite de Gorges palpiter.

Oui, prend tout, je jouis dans ton magnifique cul, c’est bon.

Il finit par s’immobiliser, sa bite se ramolli doucement pendant que je pompe le deuxième homme.

Au suivant, profites en, il est encore ouvert.

Une autre bite, un peu plus grosse se glisse dans mon anus sans aucun problème.

C’est bon quand le chemin est déjà préparé, ça glisse tout seul, mais je te sens quand même.

L’homme me pistonne violemment, ses mains me serrent les hanches, ses cuisses viennent frapper violemment sur mes cuisses, j’aime me faire défoncer de la sorte. Je libère un instant la bite que je suce.

Oui, vas-y, plus fort, défonce-moi, j’aime.

Il se déchaine encore plus, mais quand je reprends en bouche la bite que j’avais abandonnée, l’homme pose ses mains sur ma tête, il ne faut que quelques secondes pour qu’un violent jet de sperme me remplisse la bouche.

Putain, c’est trop bon, et en plus, je sais que tu aimes.

J’avale avec plaisir, j’adore le sperme, je le pompe jusqu’à la dernière goutte. Quand c’est fini, je me redresse pour respirer un peu toujours défoncé par le premier camionneur. L’homme qui vient de jouir se rajuste et sort du local des toilettes.

Salut les gars, à bientôt.

Le troisième homme vient vers moi, la bite bien raide. Il se plante devant moi, pose une main sur ma tête et appui pour la faire descendre sur sa bite. Je résiste.

Rien ne m’oblige, alors tu enlèves ta main de ma tête et tu attends que je fasse ce que j’ai envie de faire.

Il me regarde d’un air assez méchant.

Doucement mec, je ne suis pas ta femme, je suis libre de faire ce que je veux, et si je n’ai pas envie de te faire une pipe, je ne la fais pas, point barre.

Il se recule d’un pas, il a l’air contrarié, mais ne réagit pas. Il est évident que je ne vais pas me passer de cette bite, c’est de loin la plus grosse avec un énorme gland comme je les adore, mais je ne supporte pas qu’on me force. C’est le moment que choisi mon enculeur pour jouir.

Putain que c’est bon de se vider les couilles dans un beau cul.

Sa bite palpite un instant puis, se ramolli doucement, elle sort quand elle est complètement molle. Je regarde le troisième homme.

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