A cinquante ans, j’ai eu une petite alerte cardiaque et depuis mon épouse m’oblige à me soucier un peu plus de ma forme physique et depuis, tous les dimanches matins, j’enfourche mon vélo pour des randonnées dans la campagne avoisinante.
Ce là, je me réveille, je déjeune et après une douche express, histoire de me rafraichir, me voilà parti pour une bonne cinquantaine de kilomètres.
La journée promet d’être chaude et à neuf heures, me voilà parti. Je prends la direction de la foret de la patte d’oie et une fois arrivé, j’emprunte une petite route réservée aux cyclistes, je croise plusieurs d’entre eux et nous nous saluons d’un signe de la main.
Au bout d’un moment, je décide d’un petit arrêt pipi, je m’arrête au bord de la route, je dégage mon engin de mon cuissard et j’arrose le bas coté
.Soudain j’entends un sifflement
« Joli morceau »me crie une voix.
« Merci, je réponds « en me retournant j’aperçois un cycliste, la cinquantaine, poursuivant sa route.
Je remonte sur mon vélo et reprends ma randonnée, au bout de quelques centaines de mètres, je jetés un il derrière moi et j’aperçois mon cycliste qui a fait demi-tour. Serait-il à la recherche d’une aventure ? » Me dis-je
J’arrive à hauteur d’un sentier que je connais, celui-ci mené à une clairière, je m’y engouffre.
Au bout de cinquante mètre, j’arrive dans cet endroit tranquille éclairé par le soleil.
Je pose mon vélo contre un arbre et j’ôte mon cuissard. Me voilà nu, attendant l’arrivée de mon cycliste, je bande déjà, je commence à me branler lentement
Le cycliste qui me suivait, arrive, il pose son vélo et vient me caresser le corps, la bite et les fesses. Je laisse faire. Je lui mets la main dans l’entrejambe et je caresse sa queue .Je sens sa bite durcir à travers le tissu, je la sors et m’accroupis, je lèche le gland puis commence à le sucer. Soudain, une main me carre le cul. »Salut, vieux, elle a l’air d’être bonne cette salope ! »
« Oh que oui ! répond l’homme que je suce, je l’ai vu tout de suite lorsqu’il tenait sa biroute au bord du fossé ».
Apres m’avoir caressé les fesses et les couilles, l’homme se place à cote de l’autre et je me retrouve à sucer les deux bites en même temps.
Au bout d’un moment, le cycliste me fait mettre à quatre pattes et il m’encule sauvagement .Je gémis de douleur et de plaisir, le suppliant de ma la mettre bien profond et de juter dans mon cul.
Pendant ce temps, d’autres hommes sont arrivés, je les ai sucés à tour de rôle et ils m’ont enculé chacun leur tour.
C’est l’extase, je sers de vide couille a plus de dix hommes qui ont tourné autour de moi, pour jouir dans ma bouche et dans mon cul .Ils m’ont laissé seul au bout d’une heure et demie, je me suis, rhabillé, puis j’ai terminé péniblement, mais heureux, ma randonnée, le cul plein de sperme et la bouche crémée de feutre.
Et depuis, tous les dimanches matins, ils sont toujours entre dix et vingt à m’attendre à l’orée de la foret et à sucer ma roue jusqu’à la clairière ou là, une fois à poil, je sers de vide- couilles de ceux qui le souhaitent.
Une fois, même, nous avons composé un peloton d’une quarantaine d’individus que j’ai contenté de la bouche et du cul