Et voilà, nous repartons pour une aventure ce samedi soir, encore un peu plus excités que les deux premières fois où nous avons sauté le pas, je raconterai ces deux premières, mais celle-ci est quand même plus excitante que toutes les autres fois. Je n’invente rien, si ce n’est obligatoirement les noms et les lieux, personne ne peut se reconnaître et il faut bien admettre que même si, à l’origine, nous étions un vieux couple marié très sage, toutes ces choses sont vraiment arrivées. Nous avions fait un truc ou deux dans des pornos lillois et Dunkerquois, très glauques tous les deux d’ailleurs, et c’est au Carré Blanc, à Lille, pas glauque du tout celui-là, que commence notre histoire. Qui ne pourra d’ailleurs jamais recommencer à cet endroit, le lieu ayant fermé…
C’était la troisième fois que nous entrions dans ce genre d’endroit et nous fumes très surpris de la clarté, de la propreté et de l’ambiance. Je loue un film pour être tranquille dans une salle, pour ceux qui reconnaîtront, nous prenons la salle du fond.
Je ferme la porte au verrou, je glisse le rideau sur le haut de la porte et je mets la cassette. Je suis au milieu de cette pièce, somme toute assez grande, Karine, ma femme depuis près de 30 ans est assisse au bord du grand canapé, elle est magnifique avec ses longs cheveux blonds qui lui tombent sur les épaules. Elle retire son chemisier et la jupe droite de son tailleur vert pastel, elle très BCBG, Karine, c’est le moins que l’on puisse dire. Elle se rassit sur le bord du coussin, ses longues jambes gainées de soie, avec de vrais bas couture, retenus par sa guêpière rouge en dentelle, tout ça m’a coûté un bras, mais quel ravissement. Elle a bien sûr gardé ses chaussures noires talons aiguilles ; elle est assise un peu comme Anémone Giscard D’Estaing, le faisait au bord de son fauteuil, les jambes jointes, un peu tournées sur le côté.
Elle me regarde sans rien dire, l’air ailleurs, mais l’air est chargé d’effluves capiteux, elle adore se parfumer et l’ambiance est terriblement Electrique.
Je marche doucement vers la porte, écarte le rideau et sursaute un peu, collé à la vôtre, il y a un arabe plus vieux que nous, une grosse moustache encore noire. On sent qu’il est décidé, il n’y a personne derrière, il a dû faire le vide, il a l’air gentil, mais dur à la fois, je ne sais pas quoi faire. Il est en costume noir, un peu chiné, avec un pull fin à col roulé dessous, il me regarde à travers la vitre, d’un air un peu suppliant, il a dû voir Karine entrer dans la salle, car je le sens impatient, d’un seul coup, je me dis qu’il n’a jamais fait l’amour à une Française aussi belle, elle a un air de Catherine Deneuve, un corps que je trouve sublime. Je regarde à nouveau, il a fait un pas en arrière, je tire le petit verrou et entrouvre la porte, il rentre doucement, mais fermement. Je referme la porte derrière lui…
Il est au milieu de la pièce et n’en croit pas ses yeux, il doit déjà bander comme un cerf. Karine s’est mise debout d’un seul coup, surprise de ne pas voir le jeune et beau mec qu’elle espérait, nous en avions à peine parlé, je vois qu’elle le regrette maintenant.
Elle s’est réfugiée derrière la banquette, il reste environ un mètre contre le mur où elle est légèrement adossée, elle regarde le vieil arabe fixement, les bras le long du corps. Elle n’a pas le temps de faire le tour pour s’écarter, en trois pas, il est sur elle et lui prend un poignet, je vois bien qu’il ne veut pas la brusquer. Il lui caresse doucement le visage, elle penche un peu la tête en la tournant, la main descend le long de son cou et arrive sur les deux globes laiteux de ses seins, elle se raidit, quand d’un seul coup, il se colle contre elle et l’embrasse à pleine bouche, elle se débat un peu, mais je vois la langue du vieil Arabe lui rentrer dans la bouche voracement et je la vois mollir d’un seul coup pendant que je devine sa langue s’enrouler autour de la langue qui la fouille avec ardeur, Karine est folle de baisers et ne peut pas s’empêcher d’y répondre à son corps défendant. Il se décolle d’elle et la tire par le poignet qu’il n’a jamais lâché.
Elle résiste un peu, toujours mollement et vacillante sur ses talons aiguille, arrivé devant le grand sofa, il l’assied au milieu et la couche fermement sur le dos en plaquant une main rugueuse sur la poitrine, une main d’ouvrier maçon, avec des cal.
Il se redresse devant elle, je suis un peu sur le coté, pas un mot n’a été échangé, il pose sa veste, enlève ses chaussures sans se baisser, sa ceinture, son pantalon et il retire doucement son slip, il n’est pas pressé, il voit bien que sa proie est tétanisée, Karine ne bouge plus et le regarde fixement, elle tremble un peu. Il a sexe long et fin, un peu courbé, on sent qu’il est dur, sec, comme ses cuisses, il garde son fin pull roulé et ses fines chaussettes noires. Karine est toujours sur le dos, ses longs cheveux blonds de part et d’autre de son fin visage de madone, le pied droit repose à plat par terre, l’autre est là-bas moitié replié sur le sofa contre la banquette, il se penche et lui tire sa culotte rose doucement comme pour ne pas l’effrayer, j’ai l’impression qu’il bande de plus en plus, exactement comme moi, j’ai mon sexe dans la main.
Elle ne le regarde pas, elle regarde le plafond, il se couche doucement sur elle en se tenant du bras gauche, la main droite guide ce sexe d’une longueur incroyable, doucement contre sa fente, elle tremble de plus en plus. Je ne sais pas ce qui lui passe par la tête, il a au moins 20 ans de plus qu’elle et c’est un vieil ouvrier arabe qui s’enfonce brutalement de toute sa longueur dans sa fente que je sais humide. Il s’arrête, appuyé sur ses deux bras, elle a crié, il doit la sentir palpiter, et maintenant, il sait qu’elle est terriblement mouillée. Alors il s’écroule sur elle, lui force encore la bouche et se met à la défoncer, il n’a plus de précaution à prendre avec elle, elle ne peut plus lui échapper ; au bout de quelques longues et interminables secondes où j’entends le claquement du ventre du vieil homme sur le ventre de ma femme chérie, elle l’agrippe de ses deux bras autour du coup et se met à jouir bruyamment.
C’est elle qui le serre de toutes ses forces et qui rentre sa langue dans sa bouche pour s’enrouler autour de la sienne, elle crie de plus en plus fort et elle lance son bassin à l’assaut de cette bite qui la défonce encore et encore, il la monte durement pendant plus de 10 minutes et dans un feulement, il l’immobilise en la prenant par les seins qu’il vient de dégager en tirant sur les bonnets en s’écroulant sur elle.
Il se vide longtemps, en donnant à chaque giclée, un violent coup de reins. Il se redresse doucement en souriant de façon narquoise, il a baisé la plus belle Française de sa vie, il s’essuie et commence à se rhabiller lentement en souriant à Karine d’une façon attendrie. Elle est complètement alanguie et toujours positionnée sur le dos, une jambe à terre, l’autre repliée, il a vraiment mis la dose, car une belle coulée de sperme lui coule de la chatte, pas le genre à aller aux putes, trop chères, il ne doit pas faire l’amour souvent, alors ce qu’il lui a inséminé, ce sont des jours et des jours de sperme qu’il avait en réserve.
Je m’écroule sur elle, la pénètre instantanément tellement elle est lubrifiée, et à mon tour, je lui lance une énorme giclée brûlante.
Merci.
Elle le tient par les épaules, il la besogne deux ou trois minutes quand il se colle contre elle, je sens qu’il décharge, il essaie de l’embrasser pendant ce temps, elle tourne la tête, alors il lui pelote les seins tout le temps qu’il jouit, rapidement. Un jeunot. Il se rajuste.
Merci.
Et il s’éclipse…. Décidément ! Karine a remonté sa culotte, rabaissé sa jupe, et très droite, elle sort du couloir en pleine lumière, il y a quelques clients, mais elle ne trompe personne, la figure démaquillée, ravagée, la jupe humide, les hommes présents voient bien qu’elle a été remplie de sperme brûlant. Nous sortons, la fraîcheur nous fait du bien, elle s’assied dans la voiture, sourit enfin.
J’ai la culotte et les cuisses trempées et toutes poisseuses.
Et elle s’endort. Pour finir, je ne raconterai pas aujourd’hui ce fameux samedi où nous sommes tombés dans un piège, enfin, surtout elle. Bientôt !