Mercredi 4 Avril.
Jai du mal à récupérer de cette folle soirée chez Jules. Jai été si surpris par lattitude ma copine ce soir-là que jai ressenti de la honte en lui reparlant. Elle ma avoué avoir apprécié, mais quelle nétait pas prête à recommencer : il ya trop de violence pour elle dans ce sexe-là ! Pour ma part, jai trouvé cette expérience dorgie absolument phénoménale ; les corps, les odeurs, latmosphère absolument excitant.
Les jours qui ont suivi ont été difficiles pour notre couple ; le rangement aussi fut désagréable : lodeur du sperme et de la mouille séchés au réveil, ce nest pas ragoûtant !
Jai donc fait une petite pause dans cette quête du bonheur par la chair, mais cet après-midi jai rendez-vous chez une élève à qui je donne des cours à domicile de latin et de français.
Léa est en terminale ; elle a raté son bac lannée dernière et sa mère la obligée à prendre des cours. Je ne vous explique pas la difficulté que ça a été pour lui apprendre quelque chose Avec le temps, elle sest habituée à ma visite un mercredi sur deux et travaille plus ou moins sérieusement. Ca me gêne de donner des cours à une fille qui a le même âge que moi : comment avoir de lautorité dans une telle situation ?
Arrivé sur place, on commence la leçon ; je la trouve très peu attentive. Je comprends très vite la raison : elle a fêté ses 18 ans tout le week-end et est complètement épuisée. Face à ce problème, je lui propose daller visiter un musée pour la divertir ; elle accepte sans enthousiasme. Elle enfile ses petites chaussures à talons et cest parti pour la traversée de Rouen, direction le musée des Antiquités. Je me retrouve à marcher avec une élève plus grande que moi ; ridicule !
On se retrouve dans le bus côte à côte. Je remarque alors que la demoiselle est plutôt bien faite : un jean moulant lui rabote une jolie paire de fesses bien rebondies, une belle poitrine est dissimulée derrière un pull gris. Soudain, je remarque quelle me toise : elle ne doit pas apprécier que je la mate ; ses yeux verts me fusillent. Alors que je mattendais à un reproche, elle se met à se caresser légèrement le haut des cuisses, puis le dessous des seins. Son regard assassin est devenu vicieux. Dans quoi ai-je mis les pieds ? Me voilà dans un bus avec la pire des cochonnes qui se touche devant tout le monde… En effet, les personnes autour de nous assistent à ce spectacle ahurissant. Paniqué, je reste immobile, pas comme mon sexe qui a senti venir le bon coup et se dresse sur son perchoir, prêt à bondir. Voyant la bosse sur mon jean, Léa amplifie encore ses mouvements. Jai peur ; jignore ce quelle est capable de faire : me sauter dessus et me faire lamour en plein autocar, ou se déshabiller et se masturber, je ne sais plus quoi faire pour arrêter cette machine. Son pull vient de disparaître, laissant place à un débardeur blanc qui laisse entrevoir un soutif jaune. Je lui dis dans un souffle :
Viens, on sort !
Non, attends : je commence juste à mamuser.
On samusera dehors ; cest moi qui décide, je te le rappelle !
À ces mots, elle déboutonne sa ceinture. Face à ce spectacle exhibitionniste, je demande au bus de sarrêter, lattrape par le bras et la traîne dans une ruelle. Jai eu la chance de tomber sur la seule élève qui soit une nymphomane refoulée. Elle semble toute triste dans cette ruelle obscure, son regard est devenu réprobateur, comme une bête traquée. Alors que je mattends à tout, elle affirme dun ton serein : « Tant pis, on finira ici ; ça ne me pose pas de problème ».
Je nai pas vraiment le choix : elle peut disparaître dans la ville très rapidement, et je ne tiens pas à expliquer à sa mère quelle ma semé, à moitié nue. Je dois la satisfaire ; elle a dû faire le même raisonnement car elle semble mordonner de venir par un geste de la main indistinct.
Arrivé face à elle, je remarque quelle porte un string rouge vif ; elle finit de défaire son pantalon et se retourne, me présentant son arrière-train. Sans avoir réellement le choix, je magenouille et commence à lui lécher la fente. Elle est totalement épilée : cest très doux sur la langue ; sa moule est très ferme mais pas très humide. Sa réaction ne se fait pas attendre : elle se met à émettre des sons stridents ; je crois quelle simule pour attirer des touristes, elle doit aimer faire ça en public. Énervé, je lui enfonce mes doigts dans la chatte pour lui donner une raison de hurler comme ça. Je la doigte très rapidement, cherchant son point G ; si elle pouvait avoir un orgasme rapidement sans que je doive sortir le serpent de sa cage, ça marrangerait. Un de ses cris surpasse tous les autres et un liquide clair sécoule doucement de son vagin : jai réussi ! Mais que fait-elle ? Elle sassied sur un appui de fenêtre, enlève son jean et écarte les jambes. Ça ne lui a pas suffi, apparemment ! Je replonge la langue dans son antre, mais elle retient ma tête et pointe ma braguette. Tant pis : allons-y franchement, en priant pour que personne ne débarque, je suis assez pudique. Sans enlever mon jean, je sors mon membre par la braguette et me mets à lui pistonner la vulve. Ça sent le neuf à lintérieur ; peu de personnes y sont venues avant moi.
Jentame les ébats sur un rythme élevé afin de ne pas traîner, mais cette jeunette est endurante et mes coups de boutoir ne font que démultiplier la force de ses gémissements. La ruelle lui répond par un écho sonore non négligeable. Jentends des pas ; les cris de cette garce ont ameuté des badauds Ce nest pas grave : je ferai comme si de rien nétait. Ma bite la pénètre de plus en plus fort lorsque deux hommes arrivent ; ils matent pendant quelques secondes et repartent discrètement. Léa me fait signe quelle veut changer de position, lappui de fenêtre devant être inconfortable. Elle se retourne et me présente son cul. Je la pénètre de nouveau en oubliant le lieu, les conditions ; je la baise de toutes mes forces, avec toute ma rage et tout mon désir. Mes coups claquent, les fessées fusent. Je lui attrape les seins et la fais se redresser ; ma main gauche vient lui exciter le clito, la droite lui presse ses obus. Je fais abstraction de ses cris de chienne, de la foule qui pourrait arriver Puis je la plaque contre le mur ; sa tête est tout contre la brique. Un nouvel orgasme, mais je ne marrête pas : elle aura ce quelle mérite. Je lui sperme dans la chatte sans me soucier des conséquences et, sans même sortir, je reprends de plus belle. Ses cris de pute ont dû faire venir des gens ; je crois entendre des murmures près de nous. Il est trop tard pour reculer : jaccélère, elle jouit de nouveau en maspergeant le pubis. Alors sans lui demander son avis, je lui enfonce mes 18 centimètres dans son petit cul, sans préparation : bien fait pour elle ! Son hurlement est inhumain, un son venu tout droit des profondeurs de lEnfer, de la bouche du Diable, même.
Je viens de lui dépuceler lanus ; elle crie sans interruption alors que ma queue lui ramone son petit trou. Mon cur bat la mesure dune sodomie violente et sans pardon ; mon corps entier séchauffe, tout disparaît autour de moi : je ne sens plus que ma queue dans ce couloir étroit, allant et revenant à une vitesse folle. Une de mes mains agrippe ses cheveux quand lautre se balade entre sa chatte détrempée et son clito gonflé. Un ultime orgasme anal, une bonne giclée sur son corps en sueur, un regard de circonstance et nous revoilà dans la réalité.
La ruelle nétait plus vide : une dizaine de voyeurs sont là, certains même ont sorti leur queue et se masturbent. Nos deux corps, nus et fatigués, semblent leur plaire car lun deux déverse une mare de sperme dans le caniveau. Alors que lattroupement se dissipe et que nous nous rhabillons, une voix sélève derrière nous :
Joli spectacle, Monsieur et Madame Savez-vous que lexhibitionnisme et lattentat à la pudeur sont punis par la loi ?
Mon sang se glace : une agente de police se tient là, droit devant nous, le regard sévère.