Lupanar: bordel.

Provient du mot latin " lupa / lupae", (louve), qui désigne les prostituées de Rome, sous l’Empire Romain. Pour la petite histoire, des grandes dames de l’Empire se prostituaient la nuit, sous le couvert de leur manteau et de leur maquillage outrancier ! Certaines allant jusqu’à "faire" les cellules des gladiateurs les plus célèbres !

Le lendemain matin, durant le petit-déjeuner, ma femme et moi, nous regardions en chiens de faïence.

A la fois énervé par sa conduite de la veille avec les trois margoulins, et stressé par les menaces de Ruiz, je l’apostrophai assez durement :

Alors il paraît que tu as fait la.

Pardon ? "

Et je lui montrai sur mon portable les photos d’elle très dénudées, de son footing d’hier.

A ma grande surprise, elle resta très calme, la situation semblait même l’amuser.

Alors tu cours à poil maintenant ? Et tu te laisses tripoter par le premier venu ? Tu me déçois !

Et alors ? Tu m’as assez provoquée pour que je le fasse non ? Et je n’ai rien fait de plus, que quand ton cher Ruiz t’a demandé de m’exhiber nue, au bord de la piscine !

Tu savais ? Pourquoi as-tu accepté, si tu savais que les trois étaient cachés en train de mater ?

Disons que cela m’a franchement excitée… comme le fait de me retrouver à poil au milieu de trois mecs en pleine forêt.

T’es vraiment qu’une pute" !

Oh, c’est pas ça, "faire la pute". Et puis c’est pas ce que tu désirais de moi ? Ça t’a excité de me voir comme ça au milieu d’eux !

Tu savais aussi que j’étais là ?

Ben oui, de même que tu étais planqué dans l’escalier en train de tout espionner, hier matin. Ça t’a plu quand j’ai montré mon cul et ma chatte au petit Lucien ?"

J’étais sidéré. Je me faisais manipuler par Ruiz et Cécile depuis le début !

Ma femme savait tout… enfin pas pour Simone heureusement ! Je ne savais plus quoi faire pour redresser la barre… le jeu allait trop loin. Mais il ne fallait surtout pas que Ruiz mette sa menace à exécution : je devais tout faire pour que Cécile se laisse baiser par les trois gougnafiers… tant pis pour mon amour propre !

Bon en tout cas, t’as joué avec le feu… maintenant que tu les as bien allumés, ils en veulent plus. Tu vas te faire partouzer ma chérie… je ne sais pas quand ni où, mais ça va t’arriver !

Ça t’exciterait que je me donne à ces trois péquenauds ?!

Tu peux pas savoir à quel point !

Il n’est pas question que je me fasse pénétrer par ces trois mecs en même temps. L’exhibe et des attouchements OK, mais c’est moi qui choisis si j’en ai envie ou pas !

Oui je sais, t’es une femme libre et libérée… OK. Bon, tu t’arrangeras avec eux ! Une féministe avertie en vaut deux !

Connard !

Elle me lança un verre à la figure, que j’esquivai, puis m’éclipsai. Je ne savais pas si j’avais bien joué sur ce coup-là ? En tout, il n’y avait plus rien à faire.

Le soir, Cécile se coucha sans mots dire, elle portait une petite nuisette noire très transparente… et pas de culotte. Le petit buisson blond était bien visible, de même que les pointes de ses seins. Ce n’était pas le genre de la maison…était-ce la tenue d’une femme qui craignait une visite nocturne… ou un appel à la luxure ?

À première vue les choses s’annonçaient bien. Quant à moi, après avoir vérifié qu’elle dormait bien, je sortis discrètement et laissai la porte-fenêtre contre le battant. Ruiz et ses potes n’auraient qu’à pousser pour entrer.

Je me sentais un peu mal : laisser sa femme endormie et presque nue entre les mains de trois obsédés sexuels n’était pas très glorieux… mais je n’avais pas le choix, si je voulais conserver ma liaison privilégiée avec Simone ! Et sauver mon mariage !

J’avais confiance en Ruiz, je savais qu’elle ne serait pas "forcée", et qu’il savait s’y prendre pour embobiner ma femme. Comme il l’avait fait depuis le début. En fin de compte, j’étais tombé dans son piège !

Alors comme les autres fois, je rejoignis Simone dans la carrière, et la baisai comme un forcené. Mais en réalité, mon esprit était ailleurs. Je n’arrêtais pas de penser à ce qui se passait dans la chambre à coucher… ma femme était-elle en train de se faire partouzer, pour la première fois de sa vie, nue au milieu des trois mecs au sexe dressé ?

Pendant que je besognais Simone, j’imaginais Cécile prise en levrette, deux autres sexes devant sa bouche… ma femme prise par trois mecs en même temps ! Et cela me procurait une excitation malsaine.

J’ai baisé Simone 5 fois, tellement j’étais excité… plus par ce qui arrivait à ma femme, que par l’excitation donnée par Simone. Enfin ce fut divin !

J’attendis sous les étoiles que le temps passe. Il ne fallait pas que j’interrompe quelque chose.

Enfin vers 3 heures du matin, je me dirigeai à petits pas vers mon domicile. La porte-fenêtre était complètement ouverte. Risquant une oreille, je n’entendis rien… les trois gougnafiers étaient sûrement partis… après avoir fait sa fête à ma femme. Je devais avouer que j’étais extrêmement excité, je rebandais déjà. Qu’allais-je trouver à l’étage ?

Je me glissai sur le lit très doucement, ma femme émettait un léger ronflement et gémissait dans son sommeil. À tâtons, car il y avait une obscurité légère, atténuée par le clair de lune, je tentai de toucher son corps endormi. Elle avait le sommeil profond. Avec la main, je repérai une cuisse.

La peau n’était pas nue. Je sentis le crissement de la soie sous mes doigts. Ma femme portait des bas !

Je continuai mon exploration un peu plus haut, pour découvrir une fesse, barrée d’une jarretelle ! Oh putain, la salope était donc en bas et porte-jarretelles… pour se faire baiser ? Ma main continua vers le haut du bassin, effectivement je sentis le toucher du porte-jarretelles, puis la peau nue et sa nuisette tire-bouchonnée sur les hanches. Les seins étaient nus.

Ma femme dormait sur le ventre au-dessus des draps, les cuisses bien écartées. Elle ne se réveillait pas… je décidai de continuer mon exploration plus intime. Je passai un doigt sur le sillon fessier, tout était plutôt humide. Puis l’entrée de l’anus, dégoulinant d’une matière gluante.

Putain, non ! Cécile avait été enculée et plusieurs fois, d’après le flot de sperme qui lui avait dégouliné de la rondelle. Je présentai un doigt sur celle-ci. Le passage était très dilaté. J’y entrais deux doigts très facilement. Je passai ensuite mes doigts sur l’abricot, lui aussi très dilaté, occupé par un godemiché en latex de belle facture… avec toujours une grosse quantité de sperme qui en coulait. Ma femme avait été baisée dans les grandes largeurs.

J’étais de plus en plus excité, une boule à l’estomac… Alors je suivis la courbe des hanches et touchai son sein droit. Le téton était dur et tendu. Ma femme était encore excitée de sa séance de baise… Il n’y avait plus de doute… ma femme avait été partouzée par les trois salopards, et plusieurs fois encore ! J’approchai ma tête de la sienne et sentis une odeur de whisky. Putain ils l’avaient fait boire ! Mais alors que penser ? Tout s’était-il déroulé avec son consentement ?

Un doute horrible s’insinua dans mon esprit quand je sentis l’angle bizarre formé par ses bras. Cécile était attachée par les poignets aux montants du lit.

Mon portable vibra à cet instant : un SMS de Ruiz.

Putain mais quelle chienne ta femme, on l’a baisée pendant plus d’une heure et elle en voulait encore la salope. Un extrait de l’action, l’ensemble demain.

Suivait une courte vidéo d’une minute. Je me levai doucement et allai voir cela dans la chambre la plus éloignée.

Ma femme était prise en levrette, sur notre lit, en porte-jarretelles, elle se faisait ramoner la chatte par le gros Alban, nu comme un vers, pendant que Ruiz lui, se faisait sucer et que Lucien lui caressait les seins. Ma femme telle une démente, criait sa jouissance :

Oui, vas-y plus fort, je la sens ta queue énorme dans ma chatte. Vas-y, je veux me faire prendre par deux bites en même temps !

Pas de doute elle adorait ça. Jamais elle n’avait employé de telles expressions pendant nos rapports. Retournant dans la chambre, je revins avec une lampe de poche et scrutai la scène, dans le détail. Les draps tout retournés ; ma femme le cul en l’air, jambes et bras attachés, des traces de cyprine et de sperme partout sur les draps ! Et une bouteille de whisky sur la table de chevet. Ma femme avait dû demander à boire pour se donner du courage, mais après la première pénétration, cela avait dû être du tonnerre. Je me penchai sur son petit trou, rougi et déformé par les sexes qui l’avaient pénétrée. Elle, qui n’avait jamais été sodomisée. Une pulsion me saisit. Je me déshabillai et le sexe avec une érection très dure, je le présentai près de la rondelle. Je me disais qu’elle devait encore être sous le coup de l’ivresse alcoolique.

Je l’enculai très facilement, guidé par le sperme de mes prédécesseurs ; c’était trop bon !

Cécile eut un long gémissement de plaisir, quand elle se sentit de nouveau investie par un sexe d’homme. Je la pilonnai bientôt, me moquant si elle se réveillait ou pas, en activant le gode rose dans sa chatte… je nous faisais du bien, car Cécile râlait de jouissance, mon vit inséré au plus profond de ses entrailles. Engoncé jusqu’à la garde dans son cul de salope, les deux mains sur les seins, en train de les caresser et de lui pincer les pointes, elle, qui était livrée à ma bestialité, attachée et soumise, godée en même temps, je prenais vraiment mon pied… première fois que je l’enculais ! Le fait de passer après plusieurs mecs, qui l’avaient traitée comme une véritable putain, ajoutait encore à mon plaisir… je n’étais d’ailleurs pas le seul à prendre mon pied ! Ma femme, en ahanant de plaisir, cria :

Ouuuuuiiiiii ! Alban, vas-y ! Encule-moi encore !

Sans commentaires…

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