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Mon fils, cet étalon. – Chapitre 17




Ma mère embrasse toujours mon père. Je les regarde avec concupiscence. Ils sont beaux, mes parents. Mon père nous titille le clitoris avec son majeur. J’aime cela. Ma mère se relève et s’allonge sur un transat.

Christine, viens…

Elle a les jambes écartées de part et d’autre du fauteuil. Je peux voir son clitoris sortir de son fourreau. Il est énorme, hors normes. Je laisse mon papa seul, presque à regret, et plonge sur la chatte de ma maman, celle qui m’a donné la vie. Je lui dépose des petits bisous sur l’intérieur des cuisses, puis je remonte le long de son abricot juteux de sa dernière jouissance. Je me délecte de ces fragrances, de ces odeurs. Je contourne l’antre maternel de ma langue. Maman gémit. Je la regarde, elle a les yeux fermés et me caresse les cheveux. Ce geste est plein d’amour, incestueux, je vous le concède, mais plein de tendresse. Mon père, qui jusque-là nous regardait avec une infinie tendresse, se lève et enjambe mon postérieur. Je sens sa bite se frayer un chemin entre mes grandes lèvres et forcer le passage. Je ne dis rien, l’instant est irréel, magique. Je me concentre sur le clitoris de ma mère en la regardant dans les yeux. Elle regarde mon père et dit :

Depuis le temps que tu en rêvais, tu l’as…

Oui, chérie, et son fourreau est plus accueillant que je ne le pensais.

Vas-y papa, ton petit-fils me l’a mise plus d’une fois.

À cette folle révélation, il s’enfonce jusqu’à la garde. Bon Dieu que c’est bon. Je sens sa queue palpiter et ses couilles venir buter sur mon bouton d’amour. Je ne pense plus, ne réfléchis plus, trop absorbée par l’énorme bite de mon amant de père. Il se recule et sort entièrement avant de me prendre par les hanches et de revenir à fond. J’ai le col de l’utérus à la fête. Ma maman me plaque le visage sur son sexe et jouit une première fois. Mon fiston se tient debout à côté de cette scène digne des plus grands Marc Dorcel. Sa mamie lui saisit la queue et la porte à sa bouche. Il n’en revient pas, moi non plus, elle le suce avec délectation. Il a les mains sur les hanches et se laisse faire. Elle arrive à le prendre en gorge profonde, preuve d’un entraînement intensif avec son mari. Eva et Coco se touchent mutuellement, assises bien sagement devant le spectacle qui leur est offert.

Mon père accélère le rythme en beuglant. Ma mère regarde et sourit à mon papa. Il y va fort, ceci est certainement dû à son expérience, sa queue ressortant jusqu’au gland. Jéjé a fermé les yeux. Les deux amantes s’embrassent, elles nous ont presque oubliés.

Putain, je vais venir… hurle mon père.

Lâche-toi en moi, s’il te plaît papa…

Il n’en faut pas plus pour qu’il vide sa semence en moi en continuant à me pistonner. Ma mère jouit à son tour tout en buvant la semence de son petit-fils. Mon père se retire dans un "flop" immonde et me tape sur une fesse. Il m’aide à me relever et sans autre forme de procédure, m’embrasse en se délectant des odeurs de sa femme. Jéjé, honteux, ne débande pas. Sa mamie adorée vient de lui prodiguer une pipe dont il se souviendra longtemps.

Coco et Eva ont fait un peu de rangement sur la table et nous attendent pour un grignotage tant attendu.

Ma mère brise le silence qui s’était installé. Elle nous explique que cela faisait longtemps, depuis le divorce d’avec mon ex que mon père fantasmait sur moi et mon corps, qu’il rêvait de me mettre dans leur lit et de partager leurs moments orgiaques, avec leurs amis et les amants de passage.

Je crois que c’est fait, lance Coco.

Oui, et de la plus belle des manières, poursuit la petite.

On la regarde, on éclate tous de rire. Coralie propose à mes parents de dormir sur place, la petite réunion de famille n’étant pas finie. Je regarde Coco, mais qu’a-t-elle prévu ?

On mange avec appétit les petits fours préparés par ma belle-fille. Mon paternel s’en lèche les doigts. On boit un excellent petit rosé de pays, la production de Roger. Coco, qui n’a pas sa langue dans sa poche, propose d’inviter ledit Roger et sa petite femme, Sané. Je lui réponds que c’est un peu tôt, qu’il faut penser aux parents d’Eva, Alfrédo et Vana.

Oups, j’avais oublié ce détail, dit-elle. Bon, on verra, demain il fera jour. Un petit jacuzzi ?

C’est dans un mouvement collectif que l’on se dirige vers son garage. En passant, ma chérie indique la chambre à mes parents et se dirige vers le lieu de débauche en devenir. Je le sais, je le sens, ça va partir en couille. Mon papa est le premier à s’immerger, suivi de Jéjé et d’Eva. Coco met en marche les bulles et les jets.

Putain que ça fait du bien, dit mon papa.

Coralie se dirige vers la table de massage, accompagnée de ma mère et moi. Elle nous isole des regards par un épais rideau de couleur pourpre.

Un massage, Elodie ?

Hum, je n’en espérais pas tant. À quatre mains ?

Oui maman.

Ma mère s’allonge sur le ventre, vite reprise par mon amoureuse. C’est allongée sur le dos, jambes pendantes de chaque côté de la table que l’on entame un massage à l’huile du corps de ma chère et tendre maman. Tout y passe. Son doux visage, son cou, ses seins, ses tétons sont inspectés avec sensualité. Ma mère gémit, elle est en extase. Elle nous regarde, ne voulant pas perdre une miette de notre dévotion à son corps. Coco lui met une serviette sur le visage, lui disant que ça va décupler ses sensations. Elle prend une de ses mains et l’attache. Elle renouvelle cette opération à trois reprises, ma mère est attachée, prisonnière. Bonjour "Mister Rabbit", que Coco installe entre les jambes de ma maman. Elle approche la verge factice et met en route la machine. Son doux ronronnement inquiète Elodie qui se soumet agréablement dès que la verge factice pénètre son tunnel d’amour. Elle se cambre de joie, non pas par la taille, mais par la régularité.

Elle jouit sans cesse, c’est le moment que choisit ma petite amie pour retirer la serviette. Ma mère ferme les yeux, éblouie par la lumière. Coco en baisse l’intensité. Ma mère mouille comme rarement on a vu. Coco se penche et se délecte de ce nectar. Ma mère se raidit et un flot de cyprine est éjecté. Coralie la boit, la bouffe. Je suis excitée et je réalise que mon Jéjé est planté derrière moi.

Et Eva ?

Elle est occupée, dit-il en soulevant le rideau.

La petite est en train de se faire ramoner par mon père, debout et en levrette. Il relâche le rideau et m’empale sans autre formalité. Je ferme les yeux et m’affale sur le corps de ma mère. Je la regarde, elle me sourit entre deux petits gémissements. Je sens son ventre se tendre à chaque fois que le membre de "Mister Rabbit" la pénètre.

Où est ton père, me demande-t-elle d’une voix tremblante.

Jéjé tire le rideau et le laisse ouvert. La petite Eva est en train de prendre chère. Mon papa la prend toujours par-derrière, mais en la tenant par ses grosses mamelles. La lumière tamisée ajoute une note d’érotisme à la scène. Passant du bleu, au rouge, au vert et au jaune orangé, on se croirait en club. Coco se branle, se fiste plutôt. Je regarde mon père qui se raidit et jouit au plus profond de la petite qui s’écroule sur le rebord du jacuzzi. Il se démanche et elle retourne pour le sucer, pour le nettoyer. Brave petite. Ma mère est au bord de l’apoplexie, Jéjé m’inonde de son nectar de vie. Coralie arrête la machine et libère maman.

On est repu de sexe, bien que mon Jéjé ne débande pas. Avec amour, Eva le prend par la main et nous laisse. Ils partent rejoindre leur studio. Nous aussi, après avoir souhaité une bonne nuit à mes parents, on rejoint nos pénates. Après une bonne douche, je me cale dans l’épaule de Ma Coralie. On rigole toutes les deux quand on entend les gémissements de ma mère.

Quelle santé ils ont tes parents…

Elle n’a pas de réponse, Morphée la douce m’a prise dans ses bras.

Le lendemain, mon réveil est des plus agréables. Quoi de voir sa bien-aimée en train de se coiffer. Elle est assise devant sa psyché en me regardant dans le reflet.

Bien dormi ?

Je m’étire comme une chatte et lui réponds que oui. Elle se lève pour se mettre à quatre pattes au-dessus de moi, sans me toucher. Elle me regarde droit dans les yeux.

Christ, je t’aime.

Je la prends par le coup et l’embrasse. Elle résiste et se relève en rigolant.

Va prendre ta douche, tu pus le sexe à cent mètres.

Je vais donc à la douche, espérant qu’elle me rejoigne, peine perdue. Elle est sortie de la chambre. Je finis donc de prendre ma douche, seule. Une fois séchée, coiffée et maquillée, je me questionne sur ma tenue du jour.

A poil… me dis-je.

C’est dans la tenue d’Eve que je me dirige vers la terrasse. Seule Coralie est présente et sirote son café. Je la regarde, la scrute. Qu’elle est belle et désirable !

Viens boire un bon café préparé par ta belle fille…

Comment sait-elle que j’étais là, interdite sur les courbes de son corps ? Parfois, elle me fait peur. Je m’installe face à elle.

Tes parents et les enfants sont partis. Ils voulaient aller faire deux courses…

Chose complètement stupide, vu que j’ai rempli leur frigo il y a… Une semaine, déjà… Elle me regarde par-dessus ses lunettes de soleil et me sourit.

Eh oui, le temps passe vite quand on est en vacances. Tu avais oublié ?

Je la regarde, énervée, je me lève et lui crie presque :

Putain, tu me fais chier. Comment arrives-tu à lire en moi comme dans un livre ouvert ?

Elle se lève, se met dans mon dos et m’entoure de ses bas.

Parce que je t’aime, me dit-elle avant de me déposer un bisou dans le cou.

Elle passe ses mains sur mon ventre et descend sur mon pubis. Elle me dit qu’elle me verrait bien avec des anneaux aux lèvres et aux tétons. Je lui réponds par l’affirmative, qu’elle me rend folle, folle d’amour.

Nous sommes devant la boutique d’un perceur connu pour son hygiène.

Tu es sûre de le vouloir ?

Je suis prête à tout pour toi et te garder.

On entre. L’accueil que nous fait l’assistante est des plus chaleureux. Coralie lui explique la raison de notre venue. Elle nous dit que Monsieur est déjà occupé, que si l’on souhaite passer par ses soins, il n’y a aucun souci. Cette nymphette de trente ans tout au plus, nous montre son corps sans vergogne. Elle ressemble plus à une BD qu’à une femme. Elle est tatouée de la tête aux… Je ne sais pas. On accepte et elle nous entraîne vers un studio. Ça ressemble à une salle d’opération avec la grosse lampe articulée au-dessus de la table de tortures. J’en tremble.

Ne vous inquiétez pas, je fais ça avec anesthésie… me rassure-t-elle. Déshabillez-vous.

Elle nous présente une série de bijoux plus fins les uns que les autres. Coralie jette son dévolu sur une série de petits fers à cheval.

Ceux-là, ils iront très bien avec les queues de tes amants… Hihihihi.

La praticienne me sourit. Coco jubile. Je suis nue, offerte aux mains gantées de ma tortionnaire. Elle me passe un spray anesthésiant et désinfectant sur les tétons. Je ferme les yeux à l’approche de l’aiguille.

On n’est pas trop courageuse, me dit la petite tatouée.

Elle est restée en top-less. Elle s’applique et me transperce le sein droit avec la plus grande des délicatesses. Coco s’émoustille toute seule, une main est partie à la rencontre de son minou. Elle la ressort trempée et me met ses doigts en bouche. Je suce avidement ce nectar. Ma perceuse me sourit. Elle entame le deuxième sein. Me voilà avec mes fers à cheval au bout des tétons. Elle change la taille de son aiguille pour un diamètre plus gros. Elle me passe un coup de spray, et approche la grosse aiguille du capuchon de mon clito. Juste un petit picotement et c’est posé. Elle demande à Coco sur quelle lèvre elle doit officier.

Les petites, lui répond-elle, je trouve cela plus sexy.

Oui et beaucoup plus jouissif pour celle qui les porte.

Après dix minutes pas si terribles que ça, elle me fait me lever et me met face à un grand miroir. Mes tétons sont ornés de deux petits bijoux, tandis que sur mon capuchon et sur mes petites lèvres, les fers à cheval sont plus gros. La praticienne me déconseille de porter tout sous-vêtement pendant les quinze jours à venir. Elle me donne en cadeau une bombe de désinfectant et à Coco, elle lui donne une chaînette pour relier mes tétons entre eux. Le Maître des lieux arrive et contrôle la qualité du travail effectué par son assistante. Il a la soixantaine, d’un physique banal.

Amandine, je crois que je vais enfin pouvoir prendre des vacances, ton travail est splendide, Madame aussi.

Merci, Monsieur, et c’était un ravissement de pratiquer sur Madame.

Je rougis comme une tomate au soleil, Coco s’en amuse. Je lui demande pourquoi elle ne s’en fait pas. Elle me répond qu’elle doit demander à son Pierrot de mari, elle le fera lors de leur conversation téléphonique de ce soir.

Je perce à domicile, dit la petite stagiaire en tendant une carte de la boutique à Coco.

Je repasse ma robe sans rien mettre dessous. Je suis nue sous ma robe. Après avoir serré la main à Monsieur, Amandine nous fait un petit bisou sur les lèvres. Coralie règle, et on sort. Dès les premiers pas, je sens mes tétons durcir, mes bijoux intimes m’étirent les lèvres et mon capuchon. Mon clitoris est sollicité plus que de raison. Coco me dit que je vais m’y habituer, elle en a de bonne. Dans sa voiture, je remonte ma robe pour regarder mon sexe. C’est vrai que cela a été fait avec passion, avec amour. J’en rigole intérieurement.

Tu as vu au dos de la carte ?

Non, y a quoi ?

Regarde.

Je me saisis du bout de bristol et je lis :

AU PUSSY CAT.

Club privé.

113 avenue…..

Aix-en-Provence.

Puis, marqué au stylo, un 06 suivit "rendez-vous ce soir à 21 h 00".

Tu penses y aller ?

Oh que oui, et tu vas m’accompagner. Une petite soirée entre filles nous fera le plus grand bien.

On a expliqué aux enfants que nous allions toutes les deux au restaurant et ensuite faire une toile. Il ne s’en étonne même pas et nous souhaite bonne soirée. Mon Jéjé me prend dans ses bras et me dit :

Amusez-vous bien.

Je sais qu’il a un doute, mais je m’en fiche.

19 h 00, on est installée en terrasse d’un petit resto familial qui fait une excellente cuisine provençale. La serveuse nous reluque d’un drôle d’air. Il faut dire que notre accoutrement a de quoi choquer. Coco est en jupe de cuir noir, petit chemisier blanc et d’un soutif push-up blanc également. Moi, je suis habillée d’une minijupe blanche en coton, d’un petit chemisier blanc. La serveuse est intriguée, c’est vrai, on dirait deux cougars en chasse. On mange tout en buvant un rosé bien frais.

Tu n’as pas mis de culotte, j’espère ?

Non, Amandine me l’a interdit.

Et pas de soutif non plus ?

Non, pourquoi ?

On voit tes bijoux.

Je m’en fous, le principal, c’est que je te plaise.

Tu ne serais pas un peu soumise ?

J’sais pas, pourquoi ?

Je vais te donner quelque chose. Tu vas aux toilettes et tu reviens avec, si tu le portes, tu m’appartiens…

Ah oui ! Et pour combien de temps ?

Le temps que je déciderai.

Elle me tend une pochette en satin blanc. Trop curieuse de savoir ce qu’elle contient, je m’en saisis et me dirige vers les toilettes. Je m’enferme dans un WC, je serre contre mon cur ce petit sac, je respire un grand coup et l’ouvre.

Putain, la garce.

J’en sors un fin collier en cuir noir orné de petits strass imitant les diamants. J’ai le cur bouleversé. Ma chérie voudrait-elle faire de moi son esclave ? Je doute que cela me plaise, mais instinctivement, je passe le collier autour de mon cou confortablement. Je sors, un peu choquée par ce cadeau, non pas qu’il me déplaise, mais par la facilité que j’ai eue à le passer.

Je retrouve Coralie et le sourire qu’elle me fait me donne des frissons.

Je t’aime ma Christine.

Je ne sais pas si c’est de la folie ou de l’amour, mais ce petit collier m’intrigue.

Je ne te demande pas de te soumettre, mais d’être ma femme obéissante et aimante. Pour preuve de cela, déboutonne deux boutons de ton chemisier…

Sans réfléchir, je m’exécute. Elle me tend sa carte bleue et me dit d’aller régler la petite serveuse et de bien lui montrer ma poitrine. Des images érotiques m’embrouillent l’esprit. Je me vois nue traverser le restaurant et la petite serveuse se dandiner sur un tabouret trop haut pour elle.

Je lui donne la carte, je règle et retourne auprès de mon aimée. Elle rigole, se lève et discrètement, relève ma jupe. La petite serveuse n’en a pas perdu une miette. On marche un moment dans les rues étroites de la vieille Aix. Au détour d’une ruelle, un sex-shop. Coco bloque devant une tenue de soubrette.

Parfaite pour la petite Eva.

Oui, mais un autre jour, on a plus le temps, là.

On arrive devant la terrasse du "Pussy-Cat". Amandine est assise seule à une table basse de la terrasse.

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