Depuis les événements de cette fameuse nuit, quelques semaines auparavant, nos relations au sein de la maison avaient changé. Il était devenu presque courant désormais d’avoir des parties de jambes en l’air incestueuses, qu’elles soient hétéro, homo ou bi. C’était très majoritairement en duo, mais le vendredi soir était spécial, et très souvent, nous nous adonnions tous à une orgie familiale, à notre plus grand plaisir.
Mais un jour où il n’y avait que mon père et moi à la maison, un nouvel élément vint s’ajouter à l’histoire…
Contextualisons :
Ma mère était partie en formation depuis maintenant 2 jours, et pour encore 3, mon frère était, comme d’habitude, absent la semaine pour l’université, et ma sur passait la semaine chez une amie. J’étais resté à la maison, car période de vacances, et mon père était en congé. Nous étions donc là, à la maison, tous les deux. Mois de mai oblige, nous passions une bonne partie de notre temps à l’intérieur, dans l’ombre apaisante de la maison et la nudité ne faisait plus aucun tabou, évidemment. Les mains baladeuses devant la télé étaient courantes, et il est arrivé une ou deux fois pendant ces 2 jours qu’une fellation se fasse par-ci par-là.
Mais ce soir, mon père avait prévu quelque chose. Il ne me l’a pas dit, mais je le devinais par son comportement. Un mélange d’anxiété et d’impatience excitée.
Ce soir-là donc, j’étais dans ma chambre, sur mon ordi, comme la plupart du temps lorsque j’entendis du monde en bas. J’enfilai donc un short et un t-shirt pour aller voir ce qui se passait. Ma tante et sa femme (couple lesbien) avaient été invitées par mon père pour la soirée. Voilà le pourquoi de son agitation.
Ma tante, Alicia, était une petite jeune femme brune, aux cheveux jusqu’aux épaules, d’une trentaine d’années. Je dis petite, car elle devait faire 1m60 à 1m70 tout au plus. 80C, fine et très séduisante, elle a déjà été plusieurs fois l’objet de plaisirs intimes imaginaires de ma part, surtout depuis que j’ai appris pour son homosexualité. C’était clairement la plus féminine du couple.
Quant à sa femme, Marie, elle était pour ainsi dire son opposé. Plus grande, 1m75, plus petite poitrine, 80A, plus masculine, blonde, elle avait ce petit quelque chose qui la rendait tout aussi excitante que sa femme.
Revenons à la soirée. Descendant les escaliers, je vis donc le couple entrer. Quand j’ai aperçu mon père embrasser sa sur d’une manière, disons… différente d’un baiser frère / sur, j’ai compris rapidement d’où il tenait sa sexualité incestueuse, et j’espérais qu’il avait des plans pour ce soir. Il embrassa également Marie de la même manière. Elles étaient donc bisexuelles à penchant lesbien plutôt que purement lesbien. Tant mieux.
Un raclement de gorge de ma part indiqua ma présence. Alicia se jeta sur moi pour me dire bonjour (ou bonsoir, pour les puristes) d’une bise et d’un câlin, tout ce qu’il y avait de plus normal. De même pour Marie.
Tout ce qui s’en est suivi étant le schéma classique d’une soirée familiale, faisons un bond dans le temps vers les moments qui vous intéressent.
Après un repas plutôt copieux, bien arrosé, et de quoi pouvoir digérer plus facilement (comme une petite liqueur), les choses ont rapidement accéléré. Mon père se mit à parler de relations incestueuses, ce qui ne choqua pas ma tante, donnant du crédit à l’idée que j’avais par rapport à la relation entre mon père et sa sur. Marie ne semblant pas forcément plus « choquée » par ce discours, je compris qu’elle avait rapidement été mise au parfum par sa femme par rapport à ce genre de pratique, et qu’elle n’en était pas réfractaire.
L’ambiance commençant à chauffer, mon père commença à caresser la cuisse de Marie, directement à sa droite. Aucune résistance de sa part, elle eut juste un léger sursaut de surprise. Quant à Alicia, ma tante, n’ayant cessé de me caresser la jambe avec son pied, elle décidait de ce moment, de cette ambiance, pour remonter plus franchement vers mon entrejambe, et caresser ma queue à travers mon short avec son pied. Ce qui me donna une érection des plus fulgurantes.
Bon, je pense qu’il est temps d’avoir un peu plus d’intimité, non ? lança mon père, sans arrêter ses caresses sur Marie.
Je pense aussi, répondit Alicia, en insistant un peu plus ses caresses. Allons nous amuser un peu, Vlad, dit-elle en se levant.
Je n’eus pas d’autre choix que de la suivre, pendant qu’elle m’entraînait dans la chambre.
A peine avait-elle fermé la porte, qu’elle me dit :
Ton père m’a parlé de vos expériences entre vous. Et je n’ai pas pu résister à l’envie de m’y intégrer. Ton père et moi avons un petit passif à ce sujet, comme tu as sûrement pu t’en douter.
Elle me poussa sur le lit sur lequel je tombai assis, baissa mon short et entrepris de me branler, sans me quitter du regard.
J’attendais avec impatience le moment où enfin tu serais « prêt.
Sur ces mots, elle goba quasiment entièrement mon sexe, ce qui m’arracha un râle de plaisir. Pendant ses va-et-vient, elle glissa trois doigts dans mon cul, et caressa ma prostate, ne faisant qu’augmenter mon excitation, mon plaisir, et faisant monter la sauce encore plus vite. Je n’ai pas eu le temps de la prévenir, et je jouis entièrement dans sa bouche. Elle continua de me sucer pendant quelques secondes, s’assurant de récolter jusqu’à la dernière goutte, puis redressa la tête, se releva, se déshabilla lentement pour se mettre nue, me montrant au passage qu’aucun sous-vêtement nétait présent. Tout était donc prévu, à mon plus grand plaisir.
Son strip-tease terminé, elle vint m’embrasser, langoureusement, me partageant mon foutre et sa salive, et amenant l’une de mes mains sur sa chatte.
Baise-moi, lâcha-t-elle dans un soupir pendant notre baiser.
Le potentiel sexuel de cette phrase ne tarda pas à me rendre ma vigueur, et elle le sentit. Mon gland caressait doucement ses lèvres. Elle s’assit dessus, entièrement, prenant mon membre jusqu’à la garde, nous arrachant mutuellement un soupir de plaisir. Nous sommes restés immobiles, dans cette position, quelques instants. Et j’en savourais la moindre miette. J’avais ma queue au plus profond de ma tante, cette queue avec laquelle je m’étais masturbé tellement de fois, en pensant à cette tante. J’étais aux anges, et Alicia aussi. Elle commença à lentement onduler les hanches, tout en restant bien assise sur moi, et j’entrepris de jouer avec ses seins. Je les mordillais, les léchaient, les malaxaient, les caressaient. Tout ce que j’ai toujours rêvé de faire avec cette poitrine, j’en avais l’occasion, et j’en profitais. Puis ma tante se releva, quittant mes cuisses, et se mit à quatre pattes sur le bord du lit.
Je n’ai pas eu à réfléchir bien longtemps pour comprendre qu’elle voulait que je la prenne en levrette.
Je me plaçais debout derrière elle, au pied du lit, et lentement commença à frotter ma queue entre ses lèvres. Lorsqu’Alicia se mit à trembler doucement, je la pénétrai lentement, agrippant fermement ses hanches divines, jusqu’à me plaquer contre elle. J’ai commencé par des coups de reins lents et dociles, et j’augmentai petit à petit la cadence, attrapant sa crinière brune d’une main pour la prendre au plus profond que je pouvais, et glissant mon pouce de l’autre main dans son cul, qui laissait entrevoir les jeux auxquels elle pouvait s’adonner avec Marie. Elle se mit à haleter de plus en plus fort, tandis que je sentais monter l’orgasme rapidement. Et elle le perçut également.
Viens en moi, jouis en moi mon chaton,
mimplora-t-elle à ce moment, accélérant d’elle-même le rythme.
Chose que je n’ai pas tardé à faire. Et qu’elle ne tarda pas à faire également, lorsque je donnais les derniers coups de bassin secs, brutaux et incontrôlés, comme tout homme pendant l’éjac. Nous avons joui simultanément, pendant de longues et délicieuses secondes.
Épuisés par nos ébats, je m’allongeai ensuite à côté d’elle, laissant couler un filet de sperme lors de ma sortie. Elle se coucha à son tour, se colla contre moi, en cuillère, s’insinuant entre mes bras et m’embrassant une dernière fois. Une petite sieste s’imposait, et nous avons rapidement sombré dans le sommeil.