Ute et moi nous mettons en soixante-neuf en attendant que l’on nous saisisse. J’adore cette position qui me permet de donner le même plaisir que celui que je reçois. Je sais que Ute est capable de venir lécher son propre sexe. J’ai souvent essayé sans avoir malheureusement la souplesse qui me permettrait ce genre d’exercice.

Je sais que pareillement, certains hommes pratiquent l’auto-fellation. Cette idée me rappelle Éros qui se léchait le sexe après m’avoir prise. Mais déjà, on me force à me séparer de ma compagne et l’on me présente dix sexes dressés à nettoyer avant qu’ils ne m’embrochent.

Je m’agenouille et passe un regard amoureux sur les membres qui se dressent devant moi. Décidément, même si j’ai été couverte par une horde de chiens la nuit dernière, j’ai encore besoin de ma dose.

Je commence à avaler le pénis de celui qui est en face de moi et pose mes mains sur les membres voisins. Je sens bientôt mon dos et mes seins parcourus de mains caressantes ou pinçantes. Deux doigts se glissent facilement dans mon anus déjà béant. Le propriétaire, étonné dans un premier temps, les retire en bafouillant.

— Papa, je lui ai facilement glissé deux doigts dans le cul !

Des rires fusent autour de moi.

— Cela t’étonne ? Je suis sûr que tu peux y glisser la main fiston ! Essaye-donc

Alors que la verge que j’ai en bouche commence à décharger son foutre dans ma gorge, je sens l’ouverture mon cul s’élargir sous l’intrusion des doigts tendus.

— Çà rentre ! Çà rentre ! Fais le jeune homme amusé

Je commence à sucer une autre pine et à en branler deux autres lorsque le poing du jeune homme réussit à franchir mon sphincter. C’est à ce moment que je contracte mon ventre pour emprisonner l’intrus dans mon rectum.

— La vache ! Elle me serre la main ! Je ne vais plus pouvoir ressortir

— C’est qu’elle aime t’avoir en toi !

Je me relève tout doucement, la main du jeune homme toujours fichée dans mon cul.

— Je veux que le père m’embroche maintenant de façon à ce que le fils puisse sentir la sexe paternel au fond de moi.

— Pas de problème ! Soulevez-là de façon à bien lui écarter les cuisses. J’arrive

Je suis prise par les bras et les cuisses et soulevée de terre. L’homme qui se présente devant moi est gros et chauve. Mais son sexe est de taille impressionnante.

— Qu’en dis-tu, espèce de chienne ? Tu ne l’avais jamais vu celui-là ?

Je fais non de la tête. Il s’avance pour présenter son mandrin à l’ouverture de ma chatte.

— Tiens prends çà, dit-il en m’embrochant d’un seul coup.

La violence de la pénétration me coupe le souffle. Je repense aussitôt aux assauts d’Éros.

— Je te sens papa ! J’ai senti ton sexe entrer en elle !

— Qu’elle est large du con ! Elle s’est fait saillir par un cheval ou quoi ?

Je contracte à nouveau mon ventre pour maintenant emprisonner le père après avoir capturé le fils.

— Ouh la garce ! Comme elle s’agrippe à moi ! Son con s’est resserré tout d’un coup autour de mon pieu.

Je sens les doigts du fils qui s’agitent au fond de moi. La main semble s’amuser à déplacer mes viscères au travers de ma muqueuse rectale. Mon Dieu ! La sensation est horrible ! Je hurle !

— Arrêtez, crié-je !

— Arrêtez quoi ? Je ne fais que commencer, me répond le père,

— Je lui fais une fouille rectale, Papa !

— Comme à nos vaches ? Bonne idée, mon fils.

Je sens un fort sentiment de nausée m’envahir et je crie de plus belle lorsque je sens mon vagin être enserré.

— Je sens ta grosse bite en elle, Papa ! Tu sens ma main ?

— Je sens surtout son con serré autour de moi. Ah, si ! Je sens que tu as pris son vagin en main. Vas-y ! Branle- moi maintenant ! Cela va être divin.

Je hoquette sous la douleur. Je sens maintenant la main du fils qui exerce des mouvement de va et vient autour du vagin. La nausée provoque en moi un vomissement irrépressible qui vient éclabousser la figure du père.

— Ah la salope ! Elle me dégueule dessus maintenant.

Je sens que je perds pied. Des étoiles brillent devant mes yeux. La pièce bascule et j’entends vaguement la voix de Conrad qui crie.

— Mais Putain, qu’est ce que vous êtes en train de lui faire ?

Je reprends connaissance dans ma loge alors que les pompiers s’affairent autour de moi.

— Elle émerge !

Je reconnais la voix de Conrad.

— C’est déjà cela ! Mais mieux vaut l’emmener aux urgences tout de suite.

Aux urgences ? Pourquoi ? Me demandé-je. Mais les mots n’arrivent pas à sortir de ma bouche. Je tente de me redresser.

— Attention, elle va tomber par terre !

Des bras solides m’agrippent et me maintiennent en position allongée. Je vois vaguement le visage de Conrad et je tente un sourire.

— Reste tranquille ma belle, me dit-il. On va s’occuper de toi. On va soigner ce que ces deux salauds t’ont fait. Et on va les soigner également ces deux salauds !

Je ne comprends pas. Qu’est-ce qu’ils m’ont fait ? Je n’ai pourtant mal nulle part !

— Vous pouvez nous accompagner pour les formalités d’admission, Monsieur ?

— Non, moi j’y vais. Tu as autre chose à faire Conrad.

C’est la voix de Suzie ? La nuit retombe de nouveau dans mon esprit.

Lorsque je reprends pied, j’ai la bouche pâteuse. Il fait nuit. Où suis-je ? Pas chez moi en tout cas. Quels sont ses bruits ? Des bips, des souffles, des ronronnements ?

Peu à peu mes yeux saccommodent à la pénombre. Je distingue sur ma droite une porte en partie vitrée qui laisse passer une faible lueur d’un couloir.

Quelle heure est-il ?

Je tente de lever la main pour m’apercevoir que je suis entravée. Je tente d’appeler quelqu’un mais ma gorge ne laisse passer aucun son. Toutefois quelqu’un, ou quelque chose semble s’être rendu compte de mon réveil, car un sifflement retentit brusquement.

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