La veille de leur départ définitif, Karine proposa à son homme de faire un tour dans le parc une dernière fois.
— Tu en as vraiment envie ?
— Oui, je n’ai pas eu de rapports avec un chien depuis trois semaines et ça me manque terriblement !
— Bon, je savais que ce moment allait arriver alors j’ai gardé ça pour toi.
Le vétérinaire sortit de son réfrigérateur une petit morceau de caoutchouc que Karine reconnu immédiatement.
— Du sperme de Filou ?!
— Oui, je l’ai pris dans ton sac et je me suis dis que ça allait certainement servir un jour.
— Si tu savais comme je t’aime !
— Moi aussi ma chérie, on y va ?
La jeune maman prit le temps de mettre son string fendu qu’elle avait précieusement gardé pour ses rapports canins, puis elle mit une jupe et un débardeur sans soutiens-gorge.
— Tu ne veux pas te faire prendre par derrière ?
— Peut-être que si, mais ce bout de tissu me porte bonheur, si je ne l’avait pas on ne se serait jamais rencontrés.
— C’est vrai, je me revoit encore en train de le tenir sur le nud de Sultan en imaginant une femme dedans.
— Plus besoin d’imagination, viens avec moi.
Le couple prit la route du parc et s’installa dans le hangar où Karine tenta sa première expérience avec des chiens errants.
— Tu vois, c’est ici que je me suis faite prendre pour la première fois par un animal sans savoir à quoi il ressemblait.
— Montres-moi !
La jeune maman se mit à quatre pattes et éclata le préservatif pour s’en verser le contenu entres les fesses. Son compagnon alla sasseoir face à elle pour mieux identifier ceux qui allaient prendre sa belle. Peu de temps après, plusieurs mâles entouraient la jeune femme dont un qui ne lui était pas du tout inconnu.
— Oh ! Il y en a un que tu va certainement reconnaître !
— Hmmmm, je me sens toute excitée ! En plus je ne sais vraiment pas quel race de chien va me sauter et mon mec me matte pendant que je me fais baiser ! Putain comme je mouille !
Karine était à nouveau dans un état second, elle prenait énormément de plaisir avec son homme mais elle adorait aussi se sentir chienne avec un animal.
— Haaaaaaaaaaa ! Ça faisait trop longtemps ! Comme c’est bon !
— Ça c’est un…
— NON ! Ne me dit rien et profites du spectacle ! Je suis en train de me faire baiser par un chien devant toi et j’adore ça ! Haaaaaaaaaaa !
Huit fois la jeune maman se fit saillir par des mâles, provoquant une érection incontrôlable de Sylvain dont elle prit le sexe en bouche un peu avant que son neuvième amant ne la monte.
— Là tu va prendre cher !
— Mais que c’est bon de te sucer pendant que… Haaaaaaaaaaa ! Oh ! Mais c’est ! Haaaaaaaaaaa !
— Oui ! Garde ma bite dans la bouche pendant que Sultan te baise !
Le chien de Stacy était avec eux et une fois de plus il passa son nud sans grande difficulté à travers cette femelle dont il savait comment faire tomber la résistance physique.
Une fois laccouplement terminé, le dogue allemand laissa une quantité colossale de semence animale se déverser dans les entrailles de sa partenaire, puis il tenta de se retirer.
— Merde ! Il est en train de tirer sur mon string !
— Mais il est sortit au moins ?
— Pas exactement, son nud est coincé entre ma chatte et mon string, le reste de sa bite est encore en moi !
— Attends, je vais t’aider.
— NON ! Je vais le laisser autour de son nud comme ça les filles comprendront que je suis passée.
— Comme tu veux ma chérie.
La jeune maman quitta son sous-vêtement tout en poussant de long gémissements de plaisir, puis elle rentra chez elle avec son homme pour qu’il puisse à son tour la combler.
Le couple parti le lendemain avec toutes leurs affaires pour ne jamais revenir dans la région où ils s’étaient connus.
Karine était très heureuse dans sa nouvelle vie car elle avait enfin trouvé le partenaire idéal.
Kévin accepta très facilement cet homme qu’il considérait maintenant comme son père.
Sylvain avait ouvert un cabinet sur la côte et celle qui depuis était devenue sa femme venait très régulièrement prendre soin des besoins sexuels des diverses races de chiens dont il s’occupait.
Rex était maintenant bien dressé et même s’il ne faisait que la sodomiser, sa nouvelle maîtresse lui avait apprit à ne le faire que lorsqu’elle portait à l’envers le string fendu que son mari lui avait offert lors de leur nuit de noce.
Fin