Salut c’est votre folle de lycra
Dans les deux épisodes précédents je vous parlais de ma maman prénommée Christiane et de sa DRH prénommée Muriel. J’étais jeune, majeur et innocent jusqu’à une soirée de fin d’année au boulot de ma mère, où Muriel s’est chargée de me faire homme. La DRH était un peu autoritaire, directive et surtout encore très belle femme pour son âge car elle avait facilement 25 ans de plus que moi. J’étais un peu timide au niveau sexuel, mais grâce à elle j’ai fini par prendre confiance en moi surtout la deuxième fois où nous nous sommes rencontrés, ce coup-ci c’était chez elle. En deux rencontres, j’avais pris goût aux fellations qu’elle me prodiguait, à son petit minou bien gourmand et surtout à la pénétration. C’est vrai que jusqu’à cette soirée de fin d’année j’avais plus tendance à mater les copines de mon âge, mais tout venais de s’écrouler, c’est une quadra qui venait de me faire fondre. J’en étais même arrivé à ne plus regarder ma mère de la même façon.
Muriel et moi étions dans une position très évocatrice sur le canapé et j’étais en train de la pénétrer avec son accord; c’est elle qui dirigeait les opérations. Son intimité était soyeuse, étroite, juste comme il fallait et chaude à vouloir y rester des heures. Il ne m’a pas fallu longtemps pour me retrouver au plus profond d’elle, je me suis rapproché de son visage pour l’embrasser passionnément. J’étais maintenant à genoux par terre et mon sexe allait et venait dans l’intimité de la DRH de ma mère. Je suis persuadé que Muriel ne regardera plus ma maman de la même façon, comme moi je ne regarderai plus ma mère uniquement comme une maman. C’était vraiment très agréable d’être dominé ou dirigé, c’est comme vous voulez, par une femme d’expérience. J’adorerais sentir mes poils pubiens entrer en contact avec les siens, sentir la chaleur de son corps me réchauffer le bas du ventre à chaque fois que j’étais au fond d’elle, je l’entendais soupirer à chaque fois que je la pénétrais.
Bien que dirigeant les opérations, j’avais la petite sensation que Muriel était offerte à mes coups de reins, j’avais l’impression qu’elle aimait me sentir sortir tout comme rentrer en elle. Il y avait une horloge sur un des murs de la chambre et je me suis dit que j’allais me chronométrer pour voir combien de temps je tenais avant de partir en elle. J’étais jeune et je me distrayais facilement, alors que j’étais en train de faire des folies de mon corps avec une partenaire haut de gamme. Je pouvais maintenant faire ce que je voulais de ses jambes les caler sur mes avant-bras ou carrément aller les poser sur mes épaules, j’avais l’impression que Muriel de ne demandait qu’une chose, c’est que je continue à la besogner le plus longtemps possible. Son regard, qui jusqu’à maintenant était plutôt autoritaire et dominant, avait l’air désormais adouci et limite amoureux. Elle avait un regard magnifique auquel je n’ai pu me retenir d’aller lui voler un baiser long et langoureux.
Dans sa bouche j’ai retrouvé le goût de mon sexe, Le baiser qu’elle me rendait n’était pas un automatisme mais j’y sentais de la sincérité et même peut-être du sentiment. En fait j’étais en train d’imaginer ma mère faisant l’amour et qui sait, peut-être moi lui faisant l’amour. Prenant un peu confiance en moi, je m’enhardissais en allant lui pincer la pointe des seins; ce qui a provoqué en elle un regard coquin et surtout provocateur. Même dans les vidéos, je n’avais jamais vu de pointes de seins aussi érigées, en même temps je n’étais pas vraiment un expert dans le domaine, voilà peu, j’étais encore puceau.
— Prends-moi, baise-moi, pars en moi…
— J’ai envie que tu me balances toute ta liqueur au fond de mes entrailles.
— Je vais faire de toi un expert, pour ce qui est de donner du plaisir à une femme
— J’ai envie que tu me fécondes.
Muriel avait l’air d’être en train de se lâcher, c’est la première fois qu’elle me parlait sur ce ton et qu’elle employait de tels termes, mais cela n’était pas pour me déplaire; cela avait même une petite tendance à m’exciter. Avec de telles encouragements je me suis permis de mieux me positionner face à elle pour essayer d’aller encore plus loin en main. Les petits changements ont eu un effet bénéfique car maintenant Muriel commençait à pousser des cris qui venaient de très loin et surtout qui commençaient à porter très loin. Je me suis remis à l’embrasser pour essayer de la faire taire mais le problème c’est que quand nous échangions un baiser ma position ne me permettait pas d’aller aussi loin que normal en elle. Au fond de moi je me disais que ce n’était pas trop grave, elle avait une grande maison,elle n’était pas collée aux autres, Muriel pouvait crier sa jouissance elle ne dérangerai personne.
Ça y est ma partenaire commençait à prendre son pied, elle s’est mise à crier mais en même temps je sentais qu’elle se retenait. Je ne sais pas si c’était pour ne pas m’effrayer ou si cette retenue était naturelle de sa part, mais son visage c’était encore adouci et c’était plus fort que moi; je me suis mis à l’embrasser avec gourmandise. Maintenant que ma partenaire avait pris son pied, il ne m’a fallu que quelques instants pour prendre mon pied et lui déposer ma semence au fond de ses entrailles, comme elle me l’avait demandé. Elle s’est métamorphosée complètement après avoir pris son pied, elle était totalement offerte, un peu dans les nuages dirais-je. À vrai dire je me suis retrouvé dans le même état que Muriel d’autant que pour moi j’en étais à mes premiers balbutiements. J’étais encore bien loin d’être un expert et le fait de partir dans le corps d’une femme est quand même bien plus agréable que celui de partir à force de tirer sur l’élastique.
Du coup je me suis allongé sur elle en faisant attention de ne pas l’écraser mais surtout en essayant de rester en elle le plus longtemps possible. J’en ai quand même profité pour caresser son corps, qui était beaucoup plus sensible à mes caresses que d’habitude. Au fond de moi je me disais que ma maman, qui manifestement n’avait pas d’amant, devait être en manque de rapports sexuels car d’après moi quand on y goûte une fois on ne peut plus s’en passer. Les seins de Muriel restaient très appétissants car ils étaient provocants, arrogants, fermes; en même temps, c’étaient les seuls seins que je connaissais et que j’avais l’occasion de caresser. Je pense quand même qu’avec un tel corps pour découvrir l’amour j’étais quand même bien loti. Je suis donc resté assoupi à ses côtés pendant une bonne demi-heure avant qu’elle ne reprenne ses esprits. Elle venait de reprendre des forces et immédiatement elle reprenait le dessus sur moi, elle était de nouveau directive, autoritaire et je ne savais que l’écouter et me soumettre à ses désirs.
Une fois bien alerte elle pris par la main pour m’emmener dans la salle de bain où nous avons pris une douche ensemble. Cela me faisait tout drôle car c’était la première fois que je prenais ma douche avec une femme. Cela me faisait tout drôle de voir l’eau mettre en valeur son corps, le savon faire ressortir ses formes bref elle était encore plus désirable dans la petite chambre où il pleut. La clarté, tamisée par endroit, faisait ressortir à merveille ses formes généreuses et avantageuses; l’ombre et la lumière s’unissaient pour mettre en valeur ce corps divin; Elle en a profité pour m’embrasser à pleine bouche et en même temps me caresser le sexe qui n’a pas trop eu le temps de souffler et s’est rapidement retrouvé en érection. Il y avait de la sensualité et de l’érotisme à caresser le corps de sa partenaire complètement savonnée, car les mains n’avaient aucune adhérence dessus; elles ne faisaient que glisser. Je sentais même un côté romantique à se caresser ainsi, avec pour seul but de se nettoyer, et accessoirement se donner un peu de plaisir. Une fois tout propre, nous sommes sortis et sommes passés à la séance essuyage, elle s’est occupée de me sécher et pour la première fois de ma vie j’ai essuyé le corps d’une femme.
Cela me gênait un peu de la voir sourire a constater que mon sexe restait en érection, car il était sensible au moindre effleurement. Mine de rien l’heure avançait et il allait bientôt être midi, heure à laquelle j’avais dit à ma mère que j’allais rentrer. Après avoir reposé la serviette j’ai informé Muriel que j’allais partir et lui ai expliqué pourquoi, elle a pris le téléphone et a appelé ma mère.
— Salut Christiane c’est Muriel comment vas-tu
~ Bonjour Muriel, j’espère que mon fiston ne te déçoit pas et qu’il est assez compétent pour ce que tu lui as demandé à faire.
— Ne t’inquiète pas, tout se passe bien je tenais aussi à te dire qu’il est très bien élevé, il a bien bossé
— En fait je t’appelle pour te dire que, d’un commun accord, je vais le garder cet après-midi car j’ai encore un peu de travail à lui donner.
~ Ok il n’y a pas de problème mais ne le libère pas trop tard car il faut qu’il travaille encore un peu ses cours aujourd’hui.
Voilà comment on un coup de fil Muriel venait de prolonger le temps que nous allions passer ensemble.
Quand je suis sorti de la salle de bain pour récupérer mes vêtements, ces derniers n’étaient plus là, à la place se trouvait une douce jupe en lycra qui me descendait jusque sous genoux, ainsi qu’un chemisier très doux, un tanga et un collant.
— Je trouve que tu as un côté féminin que j’aimerais bien mettre en valeur.
— Je te fais ça aussi pour éviter que tu deviennes un gros bourrin qui ne pense qu’à baiser les femmes.
— Disons que ainsi habillé, cela va t’aider à calmer tes ardeurs animales.
— Désormais tu seras à ma disposition, nous ferons l’amour quand je le désirais; mais à chaque fois tu t’habilleras comme ça.
— Va chercher mes petites culottes qui se trouvent dans le bac à linge sale, dans la salle de bain.
— Sens les très fort et après habille-toi.
Je me suis exécuté comme elle me l’a demandé et j’ai fouillé dans le bac à linge sale où j’ai ressorti plusieurs culottes dont certaines étaient encore humides. Quand je les ai portées à mon nez pour les sentir, c’est vrai que l’effet a été immédiat. J’étais comme enivré par cette odeur intime et du coup je me suis habillé en fille sans problème, sous le regard amusé de Muriel. Maintenant que tu es opérationnel, tu vas aller faire la vaisselle dans la cuisine. Au fond de moi, j’avais l’impression de devenir sa bonniche, mais en même temps il y avait un côté tellement excitant à être ainsi habillé devant une femme que je venais d’honorer. Le plus beau c’est que en nous rendant à la cuisine et une fois à la cuisine, elle n’a pas cessé de me gratifier de caresses; ces dernières étaient d’une douceur dont je ne pouvais imaginer l’efficacité. Pendant que je me suis mis à faire la vaisselle, Muriel s’est mise à faire la cuisine, régulièrement elle venait me caresser les fesses et surtout la raie.
Jamais je n’aurais cru être aussi sensible de cet endroit-là j’en étais même gêné, à chacun de ses gestes déplacés, j’essayais de contenir mes réactions mais c’était plus fort que moi il y avait un côté féminin en moi qui se réveillait. À force de me solliciter l’entre fesses, j’en étais arrivé à être en manque de ses caresses, quand l’espace-temps était trop grand entre chaque. J’ai fini de faire la vaisselle en même temps qu’elle finissait de faire la cuisine, ainsi nous nous retrouvâmes en tête à tête à table entre femmes. Je commençais ma vie de femme étalon sous la coupe de la DRH de ma mère. Disons que j’avais projet de cacher à mes amis mon aventure avec cette femme pour ne pas jouer le vantard; par contre il était évident que j’allais aussi cacher cette partie des événements, mais dans ce cas là, c’est pour cause d’amour-propre.
— Il va falloir que tu apprennes à aller sentir les petites culottes de ta mère car elles doivent sentir très bien
À bien l’écouter, j’avais l’impression que même elle avait l’air d’être excitée par l’odeur de l’entrejambe de ma maman.
— Quand nous parlons avec ta maman, j’ai l’impression qu’elle n’a pas vu le loup depuis bien longtemps.
— Je suis sûr qu’elle doit avoir des belles auréole sur le tissu à l’emplacement de son minou.
— J’aimerais bien que tu me donnes des détails sur ses petites culottes.
Il n’y a pas à dire Muriel faisait une fixette sur ma mère, pour ma part ce n’était pas gênant, pour l’instant c’est moi qui profitais d’elle, c’est moi qui avais l’occasion de prendre du plaisir avec une femme d’expérience. Pendant que je la regardais, magnifique qu’elle était, je me disais qu’elle avait raison que quand on sentait la culotte souillée d’une femme; on arrivait à comprendre plein de choses de la partenaire. Cela me faisait un peu penser au chien qui en reniflant l’urine d’un autre savait si c’était une femelle, si elle était fécondable ou pas; disons que chez l’homme,c’était un peu le côté animal qui reprenait le dessus. Le regard de cette femme était irrésistible et je plongeais volontiers dans le bleu de ses yeux formidablement bien maquillés.
Après le repas je me suis remis à faire la vaisselle puis nous sommes allés dans le jardin du côté qui est totalement clos de mur, de haies et de buissons. Muriel s’est allongée sur un confortable transat et elle m’a fait asseoir juste en face d’elle, elle a légèrement relevé sa robe ce qui me donnait une vue magnifique sur sa toison intime. Elle s’est mis à me tenir la conversation mais je peux vous avouer que sans arrêt je matais sur mon entrejambe car il me déconcentrait fortement.
— Alors comme ça, la vue de ma moule te perturbe.
— Viens me la manger plutôt que de la regarder bêtement.
— Viens me faire du bien, je veux faire de toi un expert en cunnilingus
L’aplomb de cette femme me déstabilisait complètement et c’est ainsi que je suis parti lui brouter son berlingot avec gourmandise. Je me suis agenouillé au pied de son transat et me suis faufilé sous sa robe. Le soleil cognait sur mon dos car ma robe était de couleur foncée mais surtout j’étais en train de m’enivrer de ses odeurs intimes et surtout de ce goût indicible. Je l’entendais soupirer à chacun de mes coups de langue, elle me tenais maintenant fermement la tête entre ses cuisses; j’étais à elle…
En espérant que ce nouveau chapitre vous plaise autant que le précédent
Bisous à vous