Tu poserais les clefs de la maison sur le plan de travail après une dur journée de boulot et tandis que tu défaisais un bouton ou deux de ton chemisier pour te mettre à laise, tu tapprocherais de la cuisine à la recherche dune bouteille deau pour te désaltérer de cette chaude journée du mois de juillet la soirée ne ferait encore que commencer et la température serait encore élevée.
Cest alors que tu prendrais conscience de mon absence et que tu commencerai à me chercher, la musique trahirait ma présence et cest tout naturellement que tu te dirigerais vers la cave de la maison qui pour le coup offre des températures plus clémentes et qui pour le coup fut réaménager en salle de sport, pendant que tu tapprocherais de la salle, la musique se ferait plus forte et cest avec discrétion que tu pénétrerais dans la cave.
Il sagit dune pièce plutôt spacieuse dans laquelle est disposé un banc, des sacs, des haltères plus tout le matériel nécessaire à lentrainement et enfin des miroirs au mur qui permettent à ton compagnon selon ses propres dires de « corriger ses défauts lors des phases denchaînements » mais à la vue de mon reflet, tu aurais des pensées toutes autres qui te viendraient àlesprit.
Effectivement tu aurais sous les yeux ton compagnon vêtu simplement de son short et de ses chaussures dentrainement, en train de safférer devant le sac de frappe, celui-ci concentré dans son exercice naurait pas remarqué ta présence et cest un avec un certain plaisir mélangé à un sentiment dadmiration que tu observerais chaque goutte de sueur suivant une course frénétique vers le sac ou le sol, le tout ponctué des bruits sec de sa respiration entre chaque impacte, cest alors que des pensées plus profondes, plus érotique te viendrait à lesprit, tu te rappellerai le soir ou il souhaita avec toi inauguré cette pièce. Cette pièce ou à tes yeux ces miroirs avec un bien autre sens que de lentrainement, tu commenceras à imaginer quelle pourrait être le résultat si toute la vigueur et la force qui est utilisé à frapper avait pour but celui de te faire du bien, si le corps perlé de sueur de ton compagnon était le fruit de longues heures de va et vient.
A ces rêveries diurnes sajouterai une sensation que tu connais bien, celle du désir qui t envahit, une humidité commencerai à tremper le shorty que tu portes sous ta jupe, chose que tu aurais du mal à assumer « comment puis-je me mettre dans un tel état ? Penserais-tu » tandis que je me retournerai vers toi remarquant enfin ta présence, jarrêterai alors mes coups et je mavancerai vers toi pour te donner ce que jaime appeler « mon baiser de bon retour à la maison » et alors que japprocherai ma bouche de la tienne pour t embrasser. Une nouvelle idée te traverserait lesprit et cest avec une certaine malice que tu me proposeras de me faire couler un bain
Ce à quoi il répondrait quil irait plus vite à prendre une douche (effectivement nous avions un diner de prévu ce soir la)
Tu rétorquerais alors que il aurait tout intérêt à prendre un bain en lui proposant un massage pour détendre mes trapèzes douloureux après leffort.
Il finirait alors par lâcher un « pourquoi pas » victoire !!! Penserais-tu alors que tu irais dun pas rapide vers la salle de bain tout en sachant que tu pourrais détourner la soirée pour réaliser lenvie qui brule en toi depuis quelques minutes déjà.