Comme nombre d’entre nous, hommes ou femmes, j’adore me masturber.
J’ai commencé adolescent, et je ne m’en lasse pas encore aujourd’hui.
Mes premiers souvenirs remontent quand ma sur achetait "salut les copains" à l’époque, et je les récupérais en douce après qu’elle les aie lus et jetés, pour garder quelques posters. Il y a eu une série avec des chanteuses en bikini, et qui avait le don de me faire bander. On habitait en hlm, et on disposait d’une cave où j’étais le seul à aller, pour me masturber. Je m’étais fait une pochette en plastique transparent, et j’y glissais mes jolies filles en maillot. Je me suis branlé des centaines de fois, plusieurs fois par jour, en leur disant que je voulais les baiser, sans même savoir de quoi je parlais. Je me faisais jouir sur elles en les traitant de salopes, puis je bouffais tout mon sperme pour ne laisser aucune trace.
Il y avait des chiens dans la cité, qui se montaient dessus, et j’ai eu envie d’en branler un. Je l’ai entraîné discrètement dans la cave, avec des morceaux de sucre. Je le caressais et ça me faisait bander. Je me suis mis à l’aise, et à ma grande surprise le chien m’a lécher le gland. C’était bon, et en même temps je craignais qu’il ne me morde. Il me léchait à grand coup de langue, m’a fait éjaculer, et a tout dévorer. On a recommencé plusieurs fois, et je me dis qu’il devait faire ça avec son maître.
Quelques années ont passées ainsi, et je suis parti étudiant dans une grande ville. On faisait la fête, mais je pouvais me retrouver seul dans ma chambre, la nuit. On m’a raconté une blague sur un mec qui se faisait une auto-fellation, et j’ai voulu essayé. J’étais mince, souple; et je pouvais me gober le gland assez facilement. J’ai regretté de ne pas y avoir pensé avant, mais j’ai rattrapé le temps perdu. Je me suis pompé toutes les nuits, et me suis servi mon foutre à boire, directement du producteur au consommateur. J’ai pu me sucer pendant quelques années, puis avec l’âge et le poids, j’ai dû y renoncer. Je pouvais quand même me branler au ras de mon visage, et me gicler sur la gueule.
Puis j’ai obtenu mon premier emploi, ai eu mon appartement, et me suis inventé de nouveaux jeux. J’avais de jeunes et jolies collègues, mais j’étais trop timide pour les aborder. Elles avaient des tenues sexy, comme pour nous allumer, et me faisaient bander. Je me suis alors branlé trois ou quatre fois par jour, dans les toilettes du boulot. Au moment de jouir, je m’enfilais un préservatif pour décharger dedans, puis je faisais un nud, et le posait dans mon placard. Le soir je rentrais chez moi, allais à la salle de bain, devant la glace. Les préservatifs était ouvert à côté du lavabo. Je me branlais, puis un après l’autre, je les retournais dans ma bouche pour tout avaler. Puis je me branlais encore plus fort pour jouir dans ma main, et je léchais tout.
J’ai connu aussi l’amour au téléphone, gratuit, avec une grosse cochonne. Je me branlais pour ne pas changer, je lui disais des insultes et des obscénités qu’elle appréciait et répétait. Elle se masturbait, me faisait entendre les bruits de ses doigts ou de son téléphone dans la chatte. Elle criait comme une chienne en chaleur à chaque orgasme. Elle m’avait donné son adresse pour que je lui écrive des textes bien hard, sans limites. Et puis elle s’est rangée.
J’ai fait, et je fais encore, des déplacements pour mon boulot. Le temps est long, seul à l’hôtel, et je le passe en pratiquant mon sport favori. J’y ai rajouté des petits jeux. Je mange à la cafétéria, et je ramène un yaourt dans ma chambre. Je suis à poil, je me nappe le gland avec, je l’étale, je suce mes doigts. Je laisse un fonds pour jouir dedans au moment de la délivrance, et je mange tout avec la petite cuillère du café. Il y a effectivement de quoi se faire du café, et il m’arrive de me faire un café crème, de la bonne crème toute chaude sortie de mes couilles.
Ma dernière trouvaille est je jeu de pisse. J’urine le matin, puis me retiens toute la journée. Je vais de bonne heure à la cafétéria, et je bois une carafe de vin, et beaucoup d’eau. Arrivé à l’hôtel, je me fous à poil, boit encore de l’eau, et m’allonge dans la baignoire, pour me pisser dessus. J’ai obturé l’évacuation, je trempe dans mon urine, et me caresse avec. Au début je me contais de me pisser sur le corps, mais j’ai progressé. Je me suis acheté un bonnet de bain, des lunettes de plongées, et je m’asperge la gueule, je me vidange dans la bouche, et quand mon urine devient limpide, je la bois.
J’ai soixante aujourd’hui, et si j’aime baiser avec des partenaires, hommes ou femmes, je raffole de ces moments très intime.
Je suis à nouveau en déplacement, et une visite est venue interrompre ma solitude. Une visite inespérée.
A suivre…………………