BonjourJe m’appelle Antoine. J’ai 22 ans. Etudiant sage, j’habite toujours à la maison, avec ma mère, Anne.
Ma mère est une jolie femme de 45 ans, bien conservée, aux formes généreuses. Sa jolie poitrine, ses hanches fines et ses belles fesses rondes font que c’est une femme qui a encore pas mal de succès et elle se fait encore souvent draguer.
L’année dernière, elle est revenue à la maison avec un prospectus pour des cours de danse latine, salsa, kizomba, bachata. Ça faisait longtemps qu’elle avait envie d’essayer, et je lui ai proposé de le faire avec elle. Elle était enchantée de l’idée.
Moi j’étais ravi de danser avec elle. J’avais toujours trouvé ma mère belle et lumineuse, d’une sensualité qui me ravissait. Un peu plus que ça, même : j’avais envie d’elle.
Alors avec ce genre de danse qui se pratiquait collé serré, je me disais que c’était l’occasion rêvée d’un rapprochement…
On a pris quelques cours, avec la bonne intention de progresser.
Cela voulait dire de l’entraînement aussi. On faisait ça à la maison, presque tous les jours quand je rentrais de l’école.
— Tu danses bien , mon chéri ! me complimentait ma mère.
Le fait est que c’était très agréable de danser avec elle. Collé contre elle, je sentais son corps chaud et doux contre moi et ça me troublait vraiment. Ce contact m’excitait.
Cette excitation produisait une raideur assez significative dans mon pantalon : je bandais.
Ho, pas une grosse érection, mais assez pour que ma mère s’en aperçoive.
Je m’attendais à une réaction outrée de sa part. A ma grande surprise, c’est l’inverse qui se passa.
— C’est pas grave ! me dit elle. Les mecs bandent souvent un peu lorsqu’ils dansent avec les filles ! C’est la nature. Moi en tous cas ça ne me gêne pas !
Non seulement elle ne semblait pas dérangée par mes érections intempestives, mais en plus elle semblait en être presque flattée.
J’avais même l’impression qu’elle ne refusait pas de se coller encore un peu plus à moi, plutôt satisfaite de constater la virilité de son fils. L’ambiguïté de la situation était manifeste.
Les jours qui suivirent, nous avons passé beaucoup de temps nous entraîner ensemble et nos contacts devenaient chaque fois plus sensuels.
Mes rêves étaient en train de devenir réalité. Ma mère, douce et ravissante, ne rechignait pas à ces contacts.
En plus, comme si elle voulait me provoquer, elle s’habillait très sexy, avec une préférence pour les petites robes courtes et légères qui mettaient ses jolies formes en valeur.
Un après midi, elle avait mis une petite jupe bien trop courte pour être honnête.
Nous avons commencé notre entraînement, collé serrés sur une kizomba.
Mais je n’arrivais pas à suivre le rythme. Ma mère me faisait littéralement perdre la tête. J’essayais tant bien que mal de ne pas trop bander et de rester concentré sur mes pas de danse.
Mais à un moment, suite à une passe mal réceptionnée, je me suis aperçu que ma main s’était replacée trop bas. Au lieu d’être sur la taille de ma mère, elle se retrouvait juste sur sa fesse.
Une fois que j’ai réalisé ça, c’était trop tard, je n’avais aucune envie de retirer ma main.
Ma mère ne fit rien non plus pour s’en dégager. Elle continua à danser, collé serré avec moi.
Encouragé par la passivité de ma mère, j’osais passer ma main sous sa petite jupe (ça n’était pas compliqué), directement sur sa fesse nue. Sa peau était d’une douceur incroyable. Je ne sentais pas de culotte. Je cherchais en vain quelque chose qui ressemble à un élastique, un morceau de tissu. Mais rien.
— Si c’est ça que tu cherches, je n’en ai pas mise aujourd’hui…
Mon souffle s’est arrêté un instant.
Ainsi ma mère, sachant qu’elle allait danser avec son fils, n’avait pas jugé utile de mettre de culotte ? L’invitation ne pouvait être plus explicite…
Alors j’ai laissé mes doigts se promener sur sa chaire nue, malaxant avec délectation ses belles fesses, les prenant à pleines mains.
— Elles sont bonnes, tes caresses, mon chéri.
Mon coeur battait la chamade.
Nous nous sommes alors laissés allés dans un déluge d’émotion.
On a commencé à s’embrasser, dans le cou, sur la joue, puis à pleine bouche. Toute notre énergie passait par nos bouches, nos langues se mêlaient dans des élans d’une fantastique gourmandise.
Je passais ma main partout où le désir me poussait. Sa robe était si courte et légère que je n’avais pas beaucoup d’effort à faire pour caresser ma mère dans les endroits les plus intimes, ses cuisses, ses fesses, osant même glisser quelques doigts vers son entre jambe, son sexe.
Ma mère en retour avait posé la main sur la bosse dans mon pantalon et tâtait ma queue, comme si elle voulait vérifier mon érection. Flirter avec son fils, passe encore, mais encore fallait il que le matériel soit de bonne qualité ! Ca n’avait pas pour effet de me calmer.
— Hé bien, il y en a, là dedans !
Comme pour vérifier sa constatation, elle entreprit alors d’ouvrir ma ceinture, baissa ma braguette, puis baissa carrément mon pantalon. Ma queue, enfin libre, jaillit comme un diable hors de sa boîte.
Ma mère exulta : – Mon Dieu, qu’elle est belle ! …
Dieu n’avait rien à voir avec ça, mais ma mère pouvait à juste titre être fière : mon sexe avait une taille tout à fait remarquable.
Elle se mit à le caresser doucement, visiblement heureuse de voir que son fils avait un si bel engin, et qu’il bandait si bien. C’était tellement bizarre, pour un fils de sentir les mains de sa mère sur sa queue. C’était délicieux.
Alors, comble de bonheur, elle est descendue sur ses talons, a porté son visage à hauteur de ma taille. Puis elle a mis ma queue dans sa bouche et s’est mise à me sucer avec une douceur infinie. Je n’en revenais pas. J’étais ravi. Sa bouche était la chose la plus délicieuse du monde.
Elle jouait avec ma queue comme peu de femmes savent le faire, alternant succions et caresses, laissant glisser ma queue très loin, profondément au fond de sa gorge.
— J’ai trop envie de ton sexe, mon chéri. Je le veux en moi. Ca fait des semaines que j’en ai envie, depuis que la première fois j’ai senti ton corps contre moi, en dansant. J’en ai assez de me retenir. Viens ! Allons dans la chambre !
Jamais je ne me serais imaginé que ma mère puisse avoir autant envie de moi. C’était inespéré, une délicieuse surprise.
Elle m’a entraîné par la main dans sa chambre. Là elle a terminé de se déshabiller. Nue elle était encore plus belle. Tout était beau : ses seins, ses jambes, son cul, tout était superbe. Elle s’est allongée sur son lit et a écarté les jambes, m’offrant pour la première fois le spectacle de son sexe nu. Quel enfant n’a jamais fantasmé sur le sexe de sa mère ? Moi comme les autres, je me l’étais souvent représenté en rêve, comme un objet mystérieux. Jamais je n’aurais pensé qu’un jour elle allait me laisser y accéder. Ce sexe était à la dimension de mes fantasmes : fantastique.
Sa belle vulve épilée me paraissait énorme. Je n’arrivais plus à en détacher le regard. Ses lèvres étaient très grandes, volumineuses, gonflées, déjà luisantes de désir, légèrement ouvertes vers les délices de son vagin. C’était d’une indécence torride.
A mon tour je me suis vite déshabillé et je me suis allongé sur elle, tremblant de désir.
— Tu m’excite maman ! C’est dingue comme tu m’excite !
— Toi aussi tu m’excite, mon chéri. Ça fait longtemps que j’avais envie de ça ! Allez, viens, faisons le ! prends moi !
Elle a saisi ma queue, l’a orientée vers sa vulve, et m’a tirée à elle pour me faire venir en elle.
Je l’ai pénétrée. Quel miracle ! Je ne connais rien de meilleur dans la vie que sentir son sexe glisser doucement dans le vagin de sa mère. Mon sexe fondait en elle et c’est moi qui fondait d’émotion.
On se laisse volontiers aller aux débordements de plaisir lorsqu’on a son sexe dur et long bien au fond du chaud vagin de sa mère.
Notre premier après midi d’amour fut magnifique.
Je lui faisais l’amour avec frénésie, un plaisir immense, et je ne voulais pas que ça s’arrête.
Par devant, par derrière, au dessus, au dessous… Chaque fois le plaisir était divin.
Ma mère était brûlante d’excitation, une vraie furie.
— Baise moi ! Plus fort ! Putain comme c’est bon ! Tu aimes ça, que je sois une grosse cochonne, hein mon chéri ?
— Ho oui maman !
— Alors baise moi encore ! Défonce ta maman !
Alors je la baisais encore et encore.
Jamais je n’avais autant bandé pour une femme. Ma mère était d’une beauté et d’une sensualité qui me faisait perdre la tête. J’allais et venait comme un fou dans son sexe, embrassais en même temps ses fantastiques seins, je les léchais, les avalais. Puis je sortais de son sexe, venait lécher sa chatte, m’enivrant de son suc. Puis je retournais à nouveau la baiser avec une fougue qui la surprenait. Jamais je n’avais pris autant de plaisir.
Tout cela dura une bonne heure. Mais au bout d’un moment je sentais que ce plaisir me submergeait.
— Maman j’en peux plus.
— Alors vas y ! Tu peux jouir. J’ai un stérilet, aucun soucis. Mais après, je te préviens, on remet ça. J’ai encore envie, moi !
Alors je me suis lâché. C’était une véritable explosion, une bombe atomique qui inonda les entrailles de ma mère. Jamais je n’ai autant joui.
Mais dès que j’eus fini, ma mère reprit mon sexe encore trempé du mélange de nos deux jus, le mit dans sa bouche et recommença à me sucer.
A ma grande surprise je me mis à bander de plus belle.
— Prends moi encore ! Ordonna elle. J’ai trop envie !
Elle me présente son cul et à nouveau je la pénétrais.
Nous n’en avions jamais assez l’un de l’autre, et dès que nous avions joui, nous repartions dans des étreintes passionnées. C’était magique.
Ce n’est qu’à la nuit tombée, qu’exténués nous nous sommes détachés l’un de l’autre.
Inutile de vous dire que les semaines qui suivirent nous n’avons plus fait beaucoup de progrès en danse . Nous avons essayé de nous y remettre.
Ma mère mettait la musique, mais avant même de la toucher je bandais déjà. Au bout de 5 minutes on en pouvait plus : on se retrouvait à poil, et on était repartis dans des étreintes enflammées.
Aujourd’hui, nous avons recommencé à prendre des cours de danse.
Personne ne sait que nous sommes mère et fils. Mais en voyant ce couple enlacé sur la piste, cette belle femme en mini jupe (sans culotte – mais ça il n’y a que moi qui le sait) et ce jeune homme amoureux, qui s’en douterait ?