Une semaine a passé…

Comme presque tous les dimanches, Sylvie est venue me servir le petit-déjeuner au lit, mais il n’est plus question de jeu. Nous avons épuisé ce fantasme, mais nous faisons l’amour sans complication…

Je suis comme un coq en pâte et je n’ai même plus besoin de draguer une fille puisque j’en ai une sous mon toit qui ne demande qu’une chose… écarter les cuisses et se faire baiser !

— Avez-vous réfléchi au scénario pour ma copine et moi ?

— Dis m’en un peu plus sur elle ! Aime-t-elle baiser et le changement ?

— Je pense, quand je logeais avec elle, je ne voyais presque jamais le même mec les samedis soir !

— Mais c’est parfait. Dis-lui de se tenir prête samedi prochain vers 21 h 30. Nous l’emmènerons dans un lieu où elle pourra s’éclater, et toi aussi par la même occasion ! Qu’elle n’hésite pas à s’habiller sexy ! Je pense que comme toi, elle a ce qu’il faut !

— Oui Maître, je l’ai déjà vue en mini string avec un soutif à bonnet percé !

— OK. Pour une première ce sera assez. D’ailleurs, elle ne gardera pas longtemps ses vêtements !

— Où irons-nous ?

— Si je te le dis maintenant, ce ne sera plus une surprise !

— Bien Maître, comme vous voulez !

— Maintenant. File, j’ai encore envie de flemmarder en attendant midi !

La semaine s’est écoulée rapidement, chacun allant à son travail…

Le samedi, pendant que Sylvie était à la supérette, j’ai fait un aller-retour rapide à la grande ville voisine où dans un sex-shop, j’ai lui ai acheté un ensemble très coquin qui lui irait à ravir pour ce que j’avais en tête : Un soutien-gorge à demi bonnet qui présenterait ses petits seins comme sortis d’un écrin, un string en dentelle blanche, un serre-taille assorti avec des bas en lycra blanc qui seraient maintenus par des jarretelles. Cet ensemble ressortirait bien sur sa peau mate !

En attendant que Sylvie rentre du boulot, j’avais tout le temps pour me préparer. Douche prolongée, rasage de près, vêtements confortables et string qui maintiendraient mon « service trois-pièces » en place !

Lorsque Sylvie est ressortie de la salle de bain, elle portait ce que je lui avais acheté le matin même. C’était ravissant !

— Merci Maître. C’est très beau. Vous avez bien choisi !

— Ne traînons plus, allons chercher ta copine. Nous avons une petite heure de route !

Dix minutes plus tard, nous prenions Armelle en bas de son immeuble…

Une belle plante, grande avec des formes rebondies et une taille fine…

Elle s’était mise en frais. Outre un maquillage un peu forcé, on aurait dit que ses seins volumineux allaient sortir de son décolleté tant il était ouvert. De plus, elle portait un minishort qui semblait avoir été cousu sur elle tant il était serré ! Avec des cuissardes montant largement au-dessus des genoux, on aurait dit une pute allant chercher le client !

Mais l’ensemble était indéniablement sexy !

Sylvie et Armelle se sont installées à l’arrière de la voiture et ont commencé à bavarder. Elles avaient certainement des choses à se raconter…

Je me concentrais sur la conduite mais lorsqu’un peu plus tard, j’ai regardé dans le rétroviseur, j’ai eu une fameuse surprise : Armelle était vautrée sur Sylvie qu’elle embrassait à pleine bouche…

Sur le coup je n’ai rien dit, puis quelques minutes plus tard, j’ai regardé à nouveau vers l’arrière : Un des seins d’Armelle était sorti du soutif et Sylvie avait le téton dans la bouche !

Quelle surprise !

Sylvie serait-elle bi ?

Nous n’avions jamais abordé le sujet !

Mais le spectacle était de plus en plus chaud…

Comme nous étions presque à destination, je les ai interrompues en leur disant que pour l’instant ça suffisait. Un rapide arrêt m’a permis de leur bander les yeux. Ainsi, elles découvriraient le lieu où je les emmenais une fois à l’intérieur.

— Ne crains rien. Tu peux avoir confiance en lui !

— Où sommes-nous, on entend de la musique !

— Vous verrez bien. Venez maintenant !

J’ai pris le coude de chacune pour les guider jusqu’à ce que nous nous trouvions à l’intérieur de l’établissement où nous avons été chaleureusement accueillis par une barmaid qui me connaissait bien.

— Vous pouvez ôter vos bandeaux !

— Où sommes-nous ? Tous ces gens à moitié nus…

— Mais, dans un club libertin ! Comme si vous ne saviez pas que cela existe !

— Waouh. Sylvie. Je crois qu’on va s’éclater !

— Ouais. On s’est déjà chauffées dans la voiture…

— Allez les filles. Vous êtes libres, mais je me réserve un tête-à-tête avec Armelle !

— OK, depuis le temps qu’elle a envie que vous la sautiez !

— Si tu n’avais pas vanté la marchandise !

J’ai laissé aller les deux filles pendant que je réglais le droit d’entrée puis je suis parti à l’aventure de mon côté.

Il y avait encore assez peu de monde. Nous aurions dû arriver une heure plus tard mais je ne savais pas quelle serait la réaction de l’une ou de l’autre. Il aurait suffi que l’une ou l’autre n’accepte pas le fait de se trouver dans un club coquin pour que mon projet tombe à l’eau !

Mais il n’en a rien été, bien au contraire puisque Sylvie et Armelle ont disparu rapidement dans les méandres de l’établissement !

Sans réellement les chercher, je suis tombé sur un petit groupe mixte qui depuis le couloir regardait dans une alcôve où je savais trouver un lit podium : Mes deux amies s’y trouvaient et s’embrassaient passionnément, j’imaginais déjà la suite !

Et ça n’a pas tardé…

Elles se sont déshabillées mutuellement et c’est là que j’ai découvert qu’Armelle portait un redresse seins qui soutenait son opulente poitrine, laissant à nu la plus grande partie de ses globes qui tenaient fermement !

Après elles ont caressé leur sexe avant de se mettre en 69 et de s’offrir un cunni du plus bel effet. Armelle dominait Sylvie puis elles inversaient les rôles. Je voyais (et les voyeurs agglutinés à la porte) tantôt les fesses offertes de l’une, tantôt celles de l’autre.

J’étais tenté de me joindre à mes deux amies pour profiter des fesses offertes d’Armelle, mais c’était trop tôt. Puisqu’elles avaient entrepris de se gouiner (et je pense que ce n’était pas la première fois), je les laisserais aller au bout de leur plaisir !

Pour l’instant, j’en avais vu assez. J’ai poursuivi ma déambulation jusqu’à ce que je tombe sur un couple dont j’avais déjà rencontré la fille une fois précédente : une belle métisse asiatique qui s’était offerte à moi au détour d’un couloir !

— Oh Alain. Quelle surprise ! Tu cherches l’aventure ?

— Et vous deux ?

— Tu veux être le troisième participant ?

— Non, je me réserve pour une fille que j’ai repérée. Elle a une poitrine de folie et je sais déjà ce que je vais en faire.

— Bon alors on te laisse. On trouvera certainement ce que je cherche ! J’ai envie d’une double !

— Bonne chasse !

— OK, bonne baise !

J’étais agréablement surpris que la fille se soit souvenue de mon prénom, mais c’est vrai aussi que nous avions eu un tête-à-tête des plus chauds ! J’ai toujours un faible pour ces beautés aux yeux bridés…

Au détour d’un couloir, je suis tombé nez à nez avec Armelle qui me cherchait.

— Sylvie est avec deux mecs, ils auraient bien voulu une partie à quatre mais je me suis réservée pour vous ! Maître, je suis à votre disposition !

Cette coquine avait adopté le même langage déférent que sa copine qui me vouvoyait malgré les mois passés sous mon toit. Quand nous étions en tête-à-tête, c’était toujours « Maître » !

— OK. Trouvons un coin où nous ne serons pas dérangés, mais on ne sait jamais…

— Bien Maître. Puisque vous connaissez les lieux, guidez-moi !

— Ne crains rien, je sais où aller pour être en tête-à-tête. Ce n’est fréquenté que par des adeptes mais pour d’autres, c’est un endroit cool !

J’ai guidé Armelle jusqu’au sous-sol où se trouvent les bains à remous, les cabines de sauna et le donjon où, comme je l’avais espéré, il n’y avait personne.

Voyant les lieux, Armelle a eu un mouvement de recul.

— N’aie pas peur. Nous n’utiliserons pas ces instruments barbares, mais juste la banquette !

— Ah. Maître, vous me rassurez. J’aime bien baiser mais je n’aime pas ce que sous-entendent ces installations.

Nous étions à égalité au niveau vestimentaire : Armelle avait remis son string et j’étais toujours avec mon boxer mais mon sexe manifestait son impatience…

Est-ce le fait d’avoir vu les deux amies se gouiner ou ce que je m’apprêtais à faire vivre à ma future compagne de jeu ?

Certainement un peu des deux !

— Maître, que puis-je faire pour vous ? Vous bandez dans votre boxer !

— Mais c’est pour toi. A genoux et suce-moi pour achever de me mettre en forme.

— Tout de suite ! Maître. Je suis à vos ordres !

Je me suis assis sur la banquette, les cuisses écartées et immédiatement la bouche chaude d’Armelle est venue gober mon sexe au plus profond de sa gorge, puis, l’ayant enduit copieusement de salive, elle l’a recraché pour s’amuser avec sa langue sur mon gland et le frein qui était dégagé. Dans le même temps elle massait mes bourses…

Pas besoin de refouler le prépuce. Depuis que j’avais baisé la première fois avec une femme plus âgée que moi, celle-ci m’avait confié à un chirurgien de ses amis pour qu’il m’enlève cette partie, qui avait-elle dit alors, était complètement inutile !

Pendant qu’Armelle me suçait avec conviction, j’avais une vue plongeante sur son opulente poitrine qui se balançait doucement. Je lui dis sèchement :

— Assez maintenant ! Mets-toi à quatre pattes sur la banquette, je pense que tu es assez excitée pour que je te fourre immédiatement ?

— Oui Maître. Ma chatte est bien inondée. Sylvie m’a bien préparée !

— Je n’en doute pas. Je vous ai vues…

Lorsqu’Armelle a pris la position demandée, je me suis dit que son cul valait bien sa poitrine. Elle avait des fesses rondes et généreuses sous une taille mince. Et tout cela me plaisait car je n’ai jamais aimé les femmes genre « sac d’os » !

Avant de les pénétrer, j’ai asséné des claques retentissantes sur ces globes offerts…

— Aïe… ça fait mal !

— Mais non, c’est juste pour que tu sentes la différence, ma queue va te faire du bien !

— Si vous le dites. Maître…

J’ai crocheté mes mains de chaque côté de la taille et ayant trouvé l’entrée de sa chatte, j’ai pénétré le sexe d’Armelle. D’une seule poussée, j’étais au fond de son vagin qui effectivement, était chaud et humide !

Elle devait être fameusement excitée… était-ce le fait de se trouver dans un club coquin… était-ce la séance de gouines avec Sylvie. Toujours est-il qu’Armelle a joui une première fois avant que j’arrive au point de non-retour !

La capote engluée de ses sécrétions, je lui ai ordonné :

— Sur le dos. Tes seins me font trop envie !

— Oh oui, vous n’êtes pas le premier. Vous voulez une cravate de notaire ?

— T’as tout compris. Donc tu sais ce qu’il faut faire !

— Oui Maître. Quand vous serez entre mes seins, je les presserai l’un contre l’autre et vous glisserez entre !

— Et je viderai mes couilles sur ton buste !

— Oh oui. Venez, je suis à vous !

J’ai enjambé le torse d’Armelle et j’ai glissé mon sexe entre ses seins…

Aussitôt, elle les a pressés autour de ma bite qui se trouvait ainsi dans un écrin de chaude douceur…

Que ses mamelles étaient fermes, mais aucun doute à avoir : elles étaient naturelles !

Là, pas besoin de préservatif. J’allais pouvoir envoyer la sauce sans contrainte comme je le faisais avec Sylvie !

J’allais et venais dans cette vallée douce et chaude, mes mouvements n’étaient pas amples, juste quelques centimètres mais je sentais l’excitation monter et je voyais dans les yeux de ma partenaire des éclairs de lubricité, et elle m’encourageait de la voix…

— Oh Maître, que vous me baisez bien. Venez, crachez votre foutre. Mettez m’en plein…

Et je lui donnais satisfaction…

J’ai envoyé plusieurs giclées bien drues qui se sont étalées sur son buste, l’une d’elles est même allée se perdre dans ses cheveux !

Comme nous étions à proximité de la zone humide, j’ai lavé Armelle du sperme qui maculait le haut de sa poitrine. Je faisais aller la douchette sur les zones érogènes comme la pointe des seins, le nombril et la fourche de ses cuisses. Elle ne cherchait pas à fuir, bien au contraire, il me semblait qu’elle venait au-devant du jet tiède tout comme elle est allée au-devant de mes caresses lorsque j’ai essuyé son corps !

— Merci Maître, que puis-je faire pour vous ?

— Tu es libre de te trouver un ou une partenaire pour continuer la soirée…

— Non. Sylvie m’a tant parlé de vous que je veux continuer avec vous. Je pense que vous avez encore envie de baiser… ça tombe bien, moi aussi ! Je suis à votre disposition ! Dites-moi ce qui vous plairait.

— D’abord, tu vas achever de me faire bander, ensuite, je m’allongerai sur la banquette et tu t’empaleras sur ma bite…

— Ça me plaît bien, j’aime beaucoup la cavalière et je suppose que vous me voulez de face ?

— Bien sûr, je ne vais pas me priver de la vue de ta jolie paire de seins !

— Je m’en doutais !

Moins de cinq minutes plus tard, Armelle se laissait glisser sur ma bite. Ses yeux brillaient d’excitation et lorsque j’ai été bien au fond de sa chatte, elle s’est mise à onduler du bassin pour faire aller et venir mon sexe dans le sien…

Puis elle a changé de position pour faire des mouvements plus amples, les jambes repliées, elle montait et descendait sur mon sexe veillant à ce qu’il ne sorte pas de son fourreau.

Quelle baiseuse ! Elle savait y faire pour satisfaire son amant du moment, et égoïstement j’en profitais, je la laissais faire, elle faisait monter la pression, je me contentais de caresser la pointe de ses seins qui était très sensibles.

— Oh oui. Maître, vous me faites du bien, j’ai des sensations qui partent de mes seins qui se rejoignent dans ma chatte ! Je ne vais pas tarder à jouir !

— Alors, laisse-toi aller ! Moi aussi, je sens que ça monte !

Nous avions à peine échangé ces quelques mots que nous jouissions presque en même temps. Je sentais les giclées de sperme s’écraser au fond de la capote pendant qu’Armelle se couchait sur moi, poitrine contre poitrine pour savourer ses sensations.

Après un passage prolongé dans un des jacuzzis, nous sommes remontés à l’étage. Près de deux heures s’étaient écoulées depuis notre arrivée dans le club…

Nous cherchions Sylvie…

Elle avait dû continuer à faire la coquine avec ses deux premiers mecs ou en avoir trouvé d’autres…

Désormais, c’est Sylvie qui raconte !

— Waouh. Il faut que je vous raconte !

— Dis-nous, nous sommes impatients de savoir ce que tu as vécu !

— Quand les deux mecs qui nous avaient levées ont voulu faire une partie carrée avec Armelle cette dernière avait rendez-vous avec vous Maître et elle ne voulait pas vous faire attendre.

— Oui, nous nous sommes retrouvés rapidement et elle était encore très excitée !

— Dès qu’Armelle a été partie, les deux mecs m’ont entrepris et rapidement je n’ai plus su où j’étais. L’un me faisait un cunni pendant que l’autre suçait mes pointes de seins, et ils changeaient de position. J’étais un vrai fétu de paille entre leurs bras puissants. Pendant que l’un me faisait une feuille de rose (jamais ressenti un tel plaisir sur ma rosette), je taillais une pipe au second.

— Et après, dis-nous…

— Oh. Armelle, ne sois pas si impatiente !

— Celui que j’avais sucé en dernier avait une bite longue et fine. Il s’est allongé sur le lit et après avoir injecté du gel dans mon boyau étroit, il m’a laissée m’empaler sur sa queue qui est entrée comme dans du beurre !

— Je me doute que le second ne s’est pas contenté de regarder !

— Bien sûr que non. Quand son copain a été bien installé dans mon cul, il m’a allongé sur son buste. J’avais les cuisses largement ouvertes et la chatte offerte. Il s’est glissé dedans et j’étais doublement pénétrée, une bite dans la chatte, une autre dans le cul. Je ne vous dis pas ce que j’ai ressenti à ce moment. J’avais déjà eu des doubles, mais jamais encore une comme celle-là ! Une bite dans la chatte pendant que j’en suçais une autre, cela m’était arrivé plus d’une fois lors de partouzes.

— Oui, je connais aussi !

— Ces deux coquins se sont coordonnés pour me baiser et m’enculer ensemble. Moi, la petite chose fragile de 55 kilos, je planais entre ces deux mecs. Quand l’un était au fond de mon cul, je sentais l’autre ressortir de ma chatte. J’étais tombée sans le savoir sur un fameux duo et j’en ai profité…

— Et t’as bien joui ?

— Je ne te la fais pas dire. Quand j’ai joui (du cul ou de la chatte je ne sais pas), ils se sont lâchés eux aussi et j’ai senti leurs giclées de sperme s’écraser au fond des capotes. Quel dommage, les sentir réellement ça aurait été le pied total !

— Génial. Il faudra que j’essaie moi aussi, mais une autre fois, maintenant que je connais l’adresse, je ne manquerai pas d’y revenir.

— Oh ça, tu n’auras pas de mal à trouver des amateurs de telles doubles pénétrations ! Maître, en avons-nous terminé ?

— Oui, rentrons maintenant !

Moins d’une heure après je me retrouvais avec Armelle dans le vaste lit de notre Maître. Une fille de chaque côté, nous nous sommes endormis rapidement. Nous étions repus de sensations et de jouissances pour cette nuit !

A suivre.

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