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Le monde des hommes-chiens. – Chapitre 2




Le contact avec les autres filles fut chaleureux. Nous fîmes vite connaissance. Elles venaient de tous les endroits du monde.

Chacune avait été recrutée parce que célibataire et ne devant manquer à personne, en théorie du moins.

Comme nous étions en train de les saluer l’une après l’autre et qu’elles nous bombardaient de questions (d’où venez-vous, comment êtes-vous arrivées ici, quel est ton nom…) une voix résonna dans la vaste salle où nous nous trouvions.

Bien, maintenant que vous êtes toutes réunies et que chacune sait ce que nous attendons de vous, vous allez voir de quoi désinhiber vos préventions.

Nous avions nous aussi plein de questions et notamment celle de savoir depuis combien de temps nos "amies" étaient là, mais il nous fut répondu que la durée des jours ici n’était sans doute pas la même que chez nous et qu’il était difficile de le savoir, mais toutes étaient arrivées récemment.

Mais avant que nous ayons pu en savoir davantage et en accompagnement de la voix qui s’était exprimée depuis on ne savait où, les "écrans" s’allumèrent au milieu de la pièce. Des films nous présentaient toutes pendant des scènes d’une à deux minutes où nous étions en train de copuler. Les mêmes que celles qui avaient agité nos rêves.

Les premières rougirent de honte, surtout celles qui avaient été filmées avec des animaux et qui se cachaient le visage dans leurs mains.

L’une d’entre elles, une Allemande, était avec un homme qui l’avait convaincue de se faire saillir par son chien, un dogue imposant. La fille était au bord de l’extase quand son mec surexcité par le spectacle lui juta sur le visage.

La fille ne savait plus où se foutre, et elle se mit à pleurer. Ce que voyant, une fille très grande, rousse à gros seins, prit la parole.

— Oh les filles, ça va hein ! On ne va pas se mettre dans tous nos états ! On a toutes compris que ces bestioles veulent notre cul et notre utérus. On est là pour ça. On a toute été choisies sur les mêmes critères, parce qu’on aime, le sexe et qu’on est bien foutues… Alors ils vont nous montrer toutes, on va toutes se voir là… Soyons fortes et solidaires… Assumons ! Personne ne juge personne !

Il y eut des rires gênés et des murmures d’approbation…

— Si, si les filles on est bien foutues… Alors on a compris qu’ils sont en train de nous passer tous nos plans culs. Faisons simple pour être à l’aise. Allez les filles puisque Margrethe a été vue montée par un chien et que cela la gêne terriblement, que celles qui ont déjà fait l’amour avec un animal, lèvent la main. Soyez franche, de toute façon la vérité va éclater en images…

La rousse à gros seins (mais nous avions toutes des seins plutôt gros), Mildred de son petit nom leva elle -même la main suivie par cinq autres filles.

— OK les filles ! Toutes avec des chiens ?

— Moi avec un poney en plus. Minauda une Espagnole.

— Et moi une bite de cheval mais que dans la bouche…

— Cool… Et maintenant les gouines. Il y en a ?

— Ma sur et moi, répondit Charlotte.

Nous étions plus de la moitié dans ce cas-là, ce que les images démontraient même si nous ne les regardions plus.

— Et avec plusieurs mecs en même temps ?

Toutes les mains se levèrent.

— Bon on a fait le tour… Enfin je ne vous demande pas qui l’a fait avec son père, son frère, son cousin ou un membre de la famille car sur les images cela ne se voit pas.

— Non, mais on peut demander qui l’a fait par tous les trous, reprit Charlotte.

Là aussi il y eut unanimité.

— Et qui boit le jus ? Demanda une black.

Encore une fois toutes les mains se soulevèrent, certaines à peine, pendant qu’une fille, petite rigolote, gloussait à une de ces camarades :

— Oh, moi j’adore ça, j’en pomperais des litres.

Ce qui nous fit toutes rire. A partir de là, l’atmosphère se détendit et en regardant les images nous nous mîmes à interroger les héroïnes sur leurs prestations.

— Alors c’est comment un chien ?

— Et il était bon ce mec ?

— Et mais les deux surs, vous faites ça ensemble ?

— Oh les filles regardez, entre les nichons, moi j’adore, qui d’autre ?

Plusieurs filles répondirent qu’elles aimaient et d’autres que sans y prendre goût, elles acceptaient que leur partenaire jute sur leurs mamelles.

Bref on s’échauffait, suffisamment pour que la rouquine commence à caresser un peu ma sur. Ce fut le signal de l’orgie et même les filles qui n’avaient jamais fait ça avec une autre nana s’y mirent. Une heure après, toutes couvertes de cyprine, nous étions toutes initiées aux plaisirs saphiques.

Ivanna, une Ukrainienne pulpeuse jura ses grands dieux qu’elle ne boufferait pas de chatte… A la rigueur qu’on lui bouffe la sienne… Mais, elle finit par s’y mettre comme les autres et s’y montrer ardente.

— C’est pas possible, ils ont dû me droguer pour que je fasse ça !

Droguées ou pas, cette partie de broute-minou internationale nous fit un bien fou, y compris au moral.

Le soir, au repas, nous firent plus ample connaissance les unes avec les autres. Puis, en soirée, le chaman vint nous voir.

— Bonsoir mesdames, nous avons vu que vous aviez beaucoup sympathisé et nous nous en réjouissons. J’aimerais maintenant vous présenter l’anatomie des mâles de notre espèce et vous éclairer sur notre structure sociale afin de réaliser votre apprentissage.

Alors, un personnage en 3D apparut au milieu de la pièce.

— Approchez-vous mesdames, n’ayez pas peur. Celui-là est virtuel, mais dans trois jours vous aurez tout le réel que vous voudrez, lui y compris. Regardez ce jeune mâle. C’est le prototype de ce que vous allez rencontrer.

Il était un peu plus grand que notre hôte, du fait, surtout d’un cou assez long. Les oreilles étaient petites mais pointues comme celles des chiens. Sa cage thoracique était plus étroite que celle d’un homme mais plus bombée et très musclée. Deux tétons épais émergeaient, chacun de son aréole, non pas plate comme chez les humains mais légèrement bombée.

Le ventre était musclé, les abdos en V vers le pubis. Les hanches plus étroites que celles de l’homme permettaient de mettre en valeur la naissance des puissantes cuisses. Leurs bras étaient longs et plus articulés que ceux de notre race, ce qui leur permet, avec des jambes qui ressemblent à un croisement entre celle de l’homme et du chien, de se déplacer debout ou à quatre pattes. Il en ressortait que la paume de leurs mains étaient couvertes d’épais coussinets.

On en vint enfin au principal, on enleva le pagne.

Nous vîmes le sexe flaccide, puis il gonfla progressivement, provoquant des murmures à la fois interrogateurs et envieux.

La bite était, au repos, beaucoup plus épaisse que celle de la plupart des hommes. Sous le prépuce on devinait une grosse masse mais sa forme intriguait. Le pubis était recouvert de poils très sombres. Il n’y en avait nulle part ailleurs sauf sous les aisselles.

Puis il se mit à bander. Quelle différence avec un homme !

— Moi, j’en ai jamais vu d’aussi grosse…

— Faut reconnaître, c’est du beau matos… Pas fréquent en tout cas.

— Note qu’il faut se faire à la couleur…

D’abord le gland est comme celui d’un homme mais toujours plus large que la hampe et il est placé en dessous de la bite et pas sur le dessus.

Sur la partie supérieure, le méat très gros est immédiatement suivi de la collerette du gland qui se sépare en deux. De part et d’autre du frein, des papules font ensuite le tour de la collerette et la dépassent en hauteur quand elles gonflent.

Car ces papules, nous dit-on, sont des glandes érectiles.

Les femelles menhund n’ont pas de lubrifiant naturel. C’est le mâle qui lubrifie grâce à ces glandes appelées jellubs. Il le fait à volonté et, quand cela se produit, les glandes enflent, dépassant l’ourlet, ce qui produit un surcroit de plaisir pour la femelle. Le goût en est agréable, c’est du moins ce que disait notre aimable conférencier. Quant à la quantité, il y a de quoi assurer une parfaite glissade même dans les femmes les plus frigides, les cons les plus étroits, les culs les plus serrés.

Dès ce moment, je sus qu’il avait gagné la partie. A voir comment la plupart des filles se bousculaient pour voir l’engin, je devinais que certaines n’éprouveraient plus qu’une répugnance de façade avant d’y céder… Et ma sur n’était pas la dernière.

— Ainsi mesdames, votre compagnon peut vous prendre par tous les orifices sans qu’il y ait besoin de quoi que ce soit.

— Et c’est sans risque ?

— Avec nos femelles, c’est même le contraire qui se passait… Et chez nous, il n’y a pas ce que vous appelez des IST. Du plaisir mesdames, du plaisir. – Alors qui voudra résister ?

Il y eut un silence embarrassé, rompu par une Allemande.

— Parce que on pourra refuser ?

— Bien sûr. Chez nous le viol n’existe pas. C’est un instinct primaire, d’animal non sociabilisé. La femelle est consentante ou ne l’est pas. Si elle dit non le mâle n’insiste pas et en trouve une autre.

— Une autre ?

— Je vais vous expliquer cela mais continuons la leçon d’anatomie si vous voulez. Voyez comment la verge turgescente est couronnée par ses jellubsters quand ils suintent. N’est-ce pas joli ?

— Mais… Quelle est cette boule ?

— Ah oui cette boule…

En effet, à deux ou trois centimètres de la base du pénis, il y avait une sorte d’anneau qui enserrait tout le manche. Assez léger au départ, il prenait du volume alors que sa couleur virait au rouge ce qui tranchait avec le gris de la peau de bite.

Dans votre monde, les animaux que vous appelez chiens et que certaines d’entre vous apprécient (et tout en disant cela il adressa un regard malicieux à trois ou quatre filles alentour) ont en gros la même chose. Cela permet à la fin du coït que la semence reste suffisamment de temps pour féconder.

Et il nous apprit que leur semence était très abondante mais très épaisse, trop pour que leurs spermatozoïdes aient la mobilité suffisante. Donc, le manhund qui voulait féconder une femelle devait uriner en même temps qu’il éjaculait (ce qui était possible à la volonté du mâle et expliquait la taille du méat qui devait laisser gicler les deux liquides simultanément) mais, rendu très liquide le sperme risquait de s’écouler. Il fallait donc attendre et le knot (on l’appela comme celui de nos fidèles toutous) assurait le blocage le temps nécessaire.

Nous ne fîmes pas attention non plus à ce bourrelet très fin et donc très discret mais très dur, anneau qui fait le tour de la bite et qui sertit les jelllubsters entre lui et le gland. Soit que nous ne l’ayons pas regardé de près, soit que nous l’ayons confondu avec l’épaisseur de la peau du prépuce rétracté (et d’ailleurs, comme nous en avons ensuite fait l’expérience, il disparait sous la peau du zob quand elle est très épaisse), nous ne comprîmes son utilité que bien plus tard et pour notre plus grande joie.

Pour le reste, les couilles étaient très grosses, le double d’un homme et très pendantes.

Une fille, la plus petite d’entre nous, très brune, qui était latino-américaine demanda si les mâles avaient tous un pénis aussi gros.

— Absolument. Cependant, comme chez vous il existe des variations de tailles mais beaucoup moins prononcées. Les plus petites n’ont que deux ou trois centimètres en moins et les plus grosses pas plus de trois ou quatre en plus.

— Et sur le modèle là, elle fait combien ?

— 22 pile poil.

Il y eut des murmures : "ça fait quand même vingt-six pour les plus grosses… C’est plus que celle de mon ex-mari… Je vais pas perdre au change…"

Tout ce que nous voulions savoir sur l’anatomie de ces êtres généreux, nous le savions.

— Et donc vous ne nous forcerez pas ? Reprit une fille visiblement un peu inquiète.

— Non !

— Qu’est-ce qui nous l’assure ?

— Cela ne s’est jamais produit.

— Et si nous refusons toutes.

— Je suis sûr que cela n’arrivera pas si j’en juge d’après quelques réactions que je viens d’entendre… Et si une ou deux commencent et bien d’autres peut-être suivront.

— Donc liberté absolue ?

— Absolue et si vous persistez vous rentrez chez vous… Après lavage de cerveau bien entendu.

— Et comment cela se passera-t-il ?

Il voulut nous l’expliquer mais il nous enseigna d’abord comment fonctionnaient les rapports entre sexes dans leur société.

Les menhund ne vivent pas en couples ou très rarement. Quand un mâle désire une femelle, il déplace sont pagne sur le côté, laissant apparaître son sexe ce qui signifie qu’il est libre pour le coït. La femelle fait de même. Vient alors qui veut.

De même que nous trouvons des pissotières publiques dans nos rues, les menhund ont les leurs avec la particularité qu’on peut y entrer pour baiser. Il n’y a ni cloison ni obstacle d’aucune sorte pour la vue. Chez eux, l’acte sexuel est naturel et ne requiert pas d’intimité. La pudeur n’existe pas. A tel point que dans les écoles, ils sont obligés de séparer les jeunes mâles et les jeunes femelles qui ne feraient que cela. Ces édicules n’ont pas d’autre objectif que d’éviter que les fluides se répandent dans la rue.

Il est convenu de ne pas forniquer sur son lieu de travail mais c’est possible partout ailleurs.

Quand la femelle est grosse, elle émet une odeur reconnaissable par le géniteur qui sait donc qu’il est père. Il convient alors qu’il s’occupe de la portée jusqu’à ce qu’elle ait atteint sa majorité, mais ce n’est pas obligatoire. On vit alors chez les femelles dont les logements sont plus grands… Enfin quand il y avait encore des femelles.

Les femelles ont généralement cinq paires de mamelles, exactement comme nos chiennes.

C’est assez disgracieux, si l’on compare avec votre paire unique, dit le chaman. Je dois vous avouer que vos mamelles excitent grandement nos mâles. C’est l’un des critères qui explique que notre choix se soit porté sur votre espèce. Avec nos femelles nous ne pouvons pas jouer énormément avec les leurs… Tandis qu’avec vous. Nos mâles adorent et je peux vous dire que cela en fait saliver plus d’un. Nous espérons que nos rapports s’en trouveront prolongés et améliorés.

— Parce qu’ils sont courts ?

— Oui, assez, selon ce qui semble être la norme pour vous. Le mâle approche de la femelle, il lui lèche le trou, elle lui lèche la queue et il la monte. Cela ne dure que quelques minutes. Nous espérons que nous ferons mieux avec vous. Vous voyez, vous avez beaucoup à nous apprendre.

— Il y avait d’autres critères, hormis la taille et la forme de nos mamelles… et notre "compatibilité génétique" qui vous ont convaincu de nous sélectionner ? Demanda Chacha

— Oui… Quand nos femelles sont grosses, elles ne peuvent plus avoir de rapports, pas vous.

— Et quand les enfants sont grands, le mâle est de nouveau libre ? Demanda une fille.

— Il l’est tout le temps. Chez nous la fidélité n’existe pas. Si le mâle ou la femelle ont un désir sexuel avec un autre partenaire, ils l’assouvissent. C’est aussi simple que cela.

— Donc il reste au domicile sans y être, le temps que les enfants soient majeurs.

— C’est exactement cela.

— Et c’est long ?

— Pas très. L’âge adulte est atteint dès la puberté.

Et il précisa que la puberté venait très vite. Les années d’enfance duraient peu… Puis une courte adolescence de quelques semaines le temps que le corps soit formé. Les poils poussaient en même temps que le sexe épaississait et que les boules grossissaient. Pas plus d’un de leur mois. A la première éjaculation le mâle était adulte.

Il y avait alors une cérémonie au temple où il allait perdre sa virginité. Sil se trouvait une femelle dans le même état, ils s’accouplaient ce qui était fréquent autrefois car les femelles atteignaient la maturité au même moment ou presque et il nétait pas rare que la cérémonie de perte de la virginité ait lieu pour les jeunes d’une même portée le même jour. Dans ce cas le jeune grimpait sa sur, à défaut sa mère ou une femelle présente. Une prêtresse faisait l’affaire ou le chaman pour célébrer ce rite de passage.

— Bonjour la consanguinité chez vous… Après cela étonnez-vous de ne plus avoir de femelles ! Dit une voix derrière moi.

— Cela n’a rien à voir. La nature chez nous est bien faite. Un mâle n’est fécondant qu’à partir de trois degrés de parenté d’écart.

Comme la rareté des femelles atteignait le seuil de l’extinction, la plupart des mâles de la dernière génération étaient puceaux… Enfin d’une certaine façon car ils compensaient entre eux en s’enculant à qui mieux mieux, mais ils attendaient les femelles…

— Je dois vous dire aussi que la gueule de nos femelles ne permet que d’avaler l’extrémité du pénis. Leur langue plus longue autorise cependant à bien le lécher. Mais vous, vous avez, semble-t-il, une capacité à avaler plus en profondeur et à jouer autour du manche, ce qui devrait emballer nos garçons… Y a-t-il d’autres questions ?

— Oui… Euh, si j’accepte de m’accoupler… J’ai bien dit si hein… Et que je ne veuille pas tomber enceinte…

— Je comprends votre question, mais non Charlotte… C’est bien votre nom, oui ? Nous avons besoin de reproductrices. Si vous ne voulez pas assumer ce rôle, nous attendrons d’avoir une descendance assurée pour ne nous livrer qu’au plaisir… D’ici là, seule compte la survie de l’espèce… Après on peut évidemment s’amuser en même temps.

— Pas envie de me retrouver en cloques pour neuf mois !

D’autres filles acquiescèrent.

— Ah non, j’ai pas quitté mon connard de mari qui voulait faire de moi une pondeuse pour me mettre à couver ici !

— Rassurez-vous, rassurez-vous, nos gestations sont très courtes et vous mettrez bas sans douleur. Quant à l’éducation, elle sera confiée aux hommes passé l’allaitement.

Toutes n’étaient pas convaincues.

— Et si on ne tombe pas enceinte ?

— Si au bout de dix séances d’accouplement, vous n’êtes pas tombée enceinte, on vous renvoie chez vous.

— Ah ouais ? Et comment je vais expliquer mon absence à mon boss moi ?

— Nous vous renverrons au moment où nous sommes venus vous chercher.

— C’est possible ça ?

— Le temps est relatif. Maintenant, je vais vous laisser vous reposer… Et vous préparer pour dans trois jours… Je vous laisse l’image du mâle pour vous familiariser avec lui.

— Ah ! Au fait, cela va se passer comment dans trois jours ? On le rencontre comment notre dingo là ? Vous ne nous l’avez pas dit.

— Je vois que vous êtes déjà conquise…

— J’ai pas dit ça… C’est au cas où !

— Et bien voilà. Je viendrai vous chercher et je vous conduirai… Ou plutôt non… Je viens demain, je vous emmène sur les lieux, et vous comprendrez mieux sur place.

Sur cette dernière parole, le chaman Moolabhit prit congé avec la même exquise politesse qu’il nous témoignait toujours. Il avait mis à notre disposition de vieux moines qui nous servaient. Nous ne manquâmes de rien, au contraire…

Après le dîner, Mildred interrogea :

— Alors les filles qui est partante pour leur plan cul ?

Personne ne répondit mais on sentait l’hésitation. Il n’y a que le premier pas qui coûte.

Personne… Et pour un plan cul avec moi ce soir… ?

Nous nous couchâmes très tard.

A suivre.

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