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Je suis bloqué – Chapitre 1




19 juin 2016.

Matthieu rentra de cours un jeudi soir. Il avait fait exprès de faire durer sa journée de cours car c’était l’anniversaire de sa petite sur. Mathilde prenait dix-sept ans, il aurait aimé ne pas avoir à être présent. Leurs parents les aimaient du même amour mais entre le frère et la sur tout était dans l’animosité. Elle est une geek de la première génération, prophétisant l’avenant de la machine sur l’homme. Lui est l’aventurier de la famille faisant toutes sortes de sport tout en maintenant un amour pour la lecture.

En ouvrant la porte il vit tout le monde le regarder avec sévérité.

Oh là ! Il y a du monde, qu’est-ce…

(Oups ! C’était un anniversaire surprise.)

Bonsoir tout le monde !

Il fit la bise à ses grands-parents puis son cousin et ses tantes.

Tu es en retard, dit sa mère.

Oui, je m’en suis aperçu Maman.

Comme l’année dernière, reprit son père.

T’es sûr Papa ? Demanda-t-il.

Au regard noir de son père, il comprit que c’était bien le cas.

De toute façon, Mat est retardé, dit sa sur avant de faussement se reprendre. Je veux dire souvent retardé.

Il plissa méchamment les yeux.

(Quand tu vas souffler sur tes bougies, je te fous la tête dans le gâteau… comme l’année dernière.)

Bon anniversaire Mathilde, je suis content que tu te sois habillée pour l’occasion.

Elle était vêtue d’un jean bleu avec une coupe d’un autre âge et un t-shirt Captain América.

( Elle a dû essayer de coiffer ses cheveux… impossibles.)

Il ajouta pour faire bonne mesure :

J’adore ce que tu as fait à tes cheveux.

Mathilde, dont les yeux se mirent à briller, ouvrit la bouche pour répliquer mais leur mère, Karine, stoppa la joute verbale.

Tous les deux, silence ! Premier avertissement.

Tous ceux à la table qui avaient retenu leur respiration pendant la joute, reprirent leur souffle.

Matthieu, tu te mets à table sans discuter.

Je me change, j’en ai pour deux secondes.

Il monta mettre un jean propre et une chemise et se mit à côté de son cousin.

Le repas reprit avec une atmosphère moins détendue.

Alors comment avance ta première année à l’école d’ingé, Mathi ? Demanda Sylvie, la sur cadette de sa mère.

Bien, j’ai essuyé quelques brusqueries de la part des autres mais ils étaient juste troublés par mon âge.

Je crois plus qu’ils ont tout de suite compris que tu es tyran.

Dommage, fit Sylvie avec empathie.

Rien de grave, je les ai calmés avec les résultats du premier module, maintenant ils viennent me voir pour des conseils.

Cool, c’est gentil, dit Carole leur deuxième tante, grande sur de leur père.

( Te fait pas avoir, ils viennent pour des conseils, elle n’a jamais dit qu’elle leur en donnait.)

Mathilde hocha la tête en changeant de sujet, sur le type de projet qu’elle travaillait.

( Je suis sûr qu’elle les laisse pourrir avant de les aider.)

Le repas tourna autour Mathilde pour le plus grand plaisir de son frère qui ne voulait qu’une chose faire comme-ci il n’était pas là. Leur cousin, thomas, les aimait beaucoup, car ils étaient les faces opposées d’une même pièce. Il demanda à Matthieu ce qu’il préparait en ce moment :

Là je suis dans un creux au niveau travail, ça me permet de préparer mon concours de puériculteur spécialisé.

Il avait parlé tout bas mais ils entendirent clairement un petit rire.

Tu vas devenir nounou comme c’est mignon, dit Sylvie. Je connais des mères qui aimeraient bien avoir une Mary Poppins comme toi.

Il haussa deux fois les sourcils, pour bien définir que le sous-entendu était sexuelle.

Maman, arrêtes tu vas gêner notre future nanny.

Ha… ha… ha ! J’me marre.

Mathilde prit la main sur le sujet :

C’est clair Sylvie à raison, tu peux te faire un petit pécule en plaisant à ses dames.

Le sourire de Matthieu se figea.

Tu as ton corps musclé pour encore quelques années, commença-t-elle, et comme ça tous les exercices que tu as fait ne seront pas perdu et puis point de vue carrière tu peux faire la fine bouche.

Mathilde, qui ne buvait que rarement, avait pris sûrement un verre de trop.

( Garce !)

Matthieu lança une réplique qu’il regretta aussitôt, lui n’ayant pas l’excuse de l’alcool.

Ça vaut au moins dire quelqu’un voudra de moi.

Mathilde rougit, fondit en larme et fila dans sa chambre.

Bravo Matthieu, toujours aussi fin, lui dit Thomas en partant voir sa cousine.

Sa sur n’était pas dans les canons de beauté, des lunettes à la mode mathématicien année soixante, un corps mince presque sans forme et une tignasse toujours mal coiffée digne de Hermione Granger.

Ses parents lengueulèrent copieusement, il se défendit en expliquant qu’elle avait sous-entendu qu’il devait se prostituer pour réussir sa vie. Cela ne fit qu’empirer les choses, il était le grand frère et devait prendre soin de sa sur.

Thomas réussit à la faire revenir pour recevoir ses cadeaux, elle reçut des vêtements, un jeu de tournevis d’électronique de bonne facture et, de son frère, un bracelet connecté podomètre, plus des affaires de sport fitness. L’intention aurait été louable si vingt minutes plutôt il n’avait sous-entendu qu’elle était simplement moche.

Lors d’un long week-end, avec un vendredi férié, Matthieu décida de se refaire auprès de sa sur en l’invitant à essayer les fringues de fitness et venir faire de l’exercice avec lui dans la petite salle de sport que son père et lui avait aménagé.

Non, je ne veux pas ! Répondit Mathilde avec véhémence, lorsqu’il insista.

Matthieu essaya de garder son calme.

Ça te fera du bien de bouger un peu, c’est bon pour les nerfs et la concentration.

Ça me fait marrer quand tu me parles de concentration.

Eh oh, vous deux ! Les interpella leur père.

Il se mit entre les deux et dit à Matthieu :

Ne la pousse pas si elle ne veut pas.

Son fils souffla avec colère.

Et toi Mathilde, il va falloir que tu te mettes à faire de l’exercice et je pense que ton frère à raison et je vais même te dire que ça commence maintenant.

Elle contracta les mâchoires avec colère. Son frère avait un grand sourire.

Bon ! Tu mets tes vêtements, je t’attends dans la salle.

Elle partit le pas lourd se changer, Matthieu remercia son père en silence et fila. Il prépara deux tapis de sol, des petits poids et aussi le banc à abdominaux.

( Avec ça, elle devrait pouvoir faire deux ou trois exercices simples. Il faut que je prenne en compte qu’elle n’a aucune endurance. Il partit dans la cuisine prendre deux bouteilles d’eau.)

Elle entra dans la salle. Il se tourna vers elle et lui dit :

Pourquoi tu n’as pas mis la brassière ?

Je l’ai mise mais c’est un peu…

Elle rougit et finit par dire :

… j’ai mis un t-shirt par-dessus.

( Déjà, elle est entrée dans la salle. Je ne vais pas pousser le bouchon.)

Si tu veux, mais tu risques d’avoir vite très chaud.

Elle haussa les épaules, il l’invita à avancer et lui expliqua ce qu’il pensait lui proposer.

Comme je ne sais pas ce que tu peux faire, on va commencer par de l’échauffement sur le vélo.

Il ne faut pas faire des étirements d’abord.

C’est une erreur commune, quelqu’un qui ne fait pas de sport régulièrement ne doit pas étirer ses muscles à froid sinon il se fait mal.

Mathilde écouta sérieusement son frère, car elle savait que même si par rapport à elle, il était loin d’être brillant, il s’y connaissait le sport.

Elle monta sur le vélo.

Je mets doux, mais si c’est trop dur n’hésite pas à baisser.

Elle leva les yeux au ciel.

Je ne suis pas en sucre non plus.

OK, c’est parti pour vingt minutes.

Mathilde pédala avec vigueur voulant prouver qu’elle n’était pas si frêle qu’il voulait le croire. Mais au bout cinq minutes, elle eut du mal à trouver son souffle, à huit minutes elle sentit plus ses pieds. À dix, elle crut que quelque chose l’étouffait.

Tout ce passe bien ? Demanda-il en s’approchant du vélo. Si tu perds des sensations dans tes extrémités c’est normal.

Je sens pu mes pieds… et mes mains picotent, dit-elle entre deux respirations laborieuses. Mais ça va.

Il baissa la dureté jusqu’au minimum.

Je t’ai dit de baisser si c’était trop dur.

Je crois… que tu avais… raison, finit-elle proche de l’apoplexie.

Elle alla jusqu’au bout plus sereinement.

Tu vas boire un peu et reprendre ton souffle.

Arrête de me regarder comme ça.

Pardon, dit Matthieu.

Tu me regarde avec pitié.

Un peu oui, mais sans méchanceté.

Ouais, ouais, dit-elle peu amène.

Il attendit cinq minutes, et lui demanda de s’asseoir sur le tapis.

On va faire une petite séance d’abdos.

Elle ouvrit les yeux d’horreur.

Pas dur je t’assure, ça va être cool.

Elle leva les yeux au ciel et dit :

On na pas la même définition de ce qui est cool.

Elle se mit sur le dos les genoux relevés.

Tu poses les pieds par terre, écartés de la largeur des hanches.

Elle sexécuta. Il posa sa main sur le ventre de sa sur.

Qu’est-ce que tu fais avec ta main ? Demanda-t-elle en relevant la tête.

C’est pour suivre ton mouvement.

Elle s’allongea de nouveau pendant qu’il lui donnait les consignes.

Tu mets les mains derrière la tête et tu relèves juste le haut du buste de quelques centimètres.

Elle fit le mouvement en soufflant comme une folle.

Et ne tire pas sur ta tête, lui ordonna-t-il.

Sous ses doigts, il sentit que Mathilde n’avait quasiment pas de ceinture abdominale.

Pas besoin d’aller trop haut.

Comme-ci elle pouvait monter plus haut.

Ils continuèrent différents exercices pendant un quart d’heure.

Tu as bien travaillé tes abdos, on va arrêter là les exercices au sol.

( Je ne sens plus mes pieds, ni mes abdos… et ce con veut continuer à me faire travailler… foutu crétin.)

Voilà ta nouvelle amie, dit-il en montrant une machine à fessier et adducteur.

C’est quoi ça ! Un instrument de torture de linquisition espagnole.

Il sourit en lui signifiant de s’allonger sur la table. Elle se mit sur le ventre, et vit son frère se positionner en face d’elle. Son regard se trouva au niveau de son entrejambe.

Attends je dois modifier les réglages, dit-il en se rapprochant de la table. Maman s’en sert tout le temps mais elle ne met jamais d’huile, elle abuse trop.

Il força sur une des manettes et son paquet vint se plaquer contre le visage de sa sur. Choquée de ce contact, elle fut paralysée. Le service trois pièces continua de frotter de long en large et en travers.

Elle finit par relever les yeux et vit que Matthieu ne voyait rien de tout ça, concentrer sur le réglage de la machine.

( Oh merde, c’est moi où sa queue glisse sur mes lèvres… Elle est toute chaude.)

Entre, son corps plein d’énergie et son esprit fatigué. Elle fut chauffée au rouge, si bien qu’elle faillit entrouvrir les lèvres.

( Oh mon Dieu ! Que ce que je suis en train de faire ? Mais ça ne va pas moi.)

Il se mit sur la pointe des pieds. Mathilde sentit les testicules se mettre de chaque côté de son nez.

( Il se fout de moi ! J’ai l’air d’un dindon.)

Ouf ! J’ai réussi mais c’est tout grippé.

Il regarda sa sur.

Ah mince ! Tu es déjà toute rouge, on ne va peut-être pas pousser plus loin.

Elle hocha la tête, n’osant pas ouvrir la bouche.

On fait des étirements plutôt ?

Ils se mirent au sol et firent plusieurs positions, puis vint le moment où il aida sa sur à s’étirer ses adducteurs.

Je vais y aller doucement ne t’inquiète pas.

Elle hocha la tête. Il poussa la jambe droite vers le haut. Ils retrouvèrent dans une position suggestive. Le paquet de Matthieu se trouva contre le sexe de Mathilde.

( Je sens encore sa queue ! Oh bordel ça frotte encore.)

Il fit bouger la jambe d’avant en arrière, son corps suivit le mouvement.

( Ouh là ! Je me sens bizarre, ça frotte encore et encore…)

Elle ferma les yeux et sentit ses lèvres chauffées et sa fente commencée à suinter.

( Faut qu’il arrête ou je vais…)

Il changea de jambe et sinquiéta de la voir se tendre. Il chercha à la rassurer.

Tu es souple, c’est très bien. Tu ne devrais pas avoir trop de courbatures.

Il fit les mêmes mouvements qu’avec la droite.

( Oh bordel ! Je vais… je vais…)

Mathilde se crispa et jouit en silence. Son corps se relâcha mais elle se reprit bien vite.

( Merde ! Pourvu qu’il n’ait rien vu.)

Voilà, c’est fini, dit Matthieu avec un grand sourire.

Euh… oui, commença-t-elle en se levant.

Elle sentit son pantalon devenir humide. Elle tira sur son t-shirt pour que cela ne se voie pas.

… je vais prendre une douche et… merci pour… tout.

Elle fuit rapidement la salle de sport.

( Qu’est-ce qu’il lui prend ! Elle est de plus en plus bizarre.)

Il rangea les tapis nettoya les machines et prit le chemin de la salle de bain.

Mathilde s’était faite couler un bain avec peu d’eau. Elle se déshabilla, regarda sa culotte, son pantalon et vit ce qu’elle redoutait.

( Merde ! J’ai joui… et pas qu’un peu. Comment cela a pu arriver ? Je sais que je n’ai jamais couché mais quand même… c’est Matt bordel… mon frère. Heureusement qu’il est simple sinon il aurait compris direct.)

Elle se regarda dans le miroir. Elle remonta ses cheveux en une espèce de chignon touffu. Mince, mais pas squelettique, son corps était pâle, il ne voyait que rarement le soleil. Sa poitrine était petite et ferme. Elle mit les mains sur ses hanches et se regarda avec mépris. Son corps l’avait trahi. Une larme perla.

( J’ai regardé un peu trop de porno dernièrement. C’est à cause de Noémie, elle m’a fait suivre tous ses meilleurs sites. Ça me chauffe tout le temps.)

Elle se mit dans son bain et se lava. Lorsqu’elle rinça son sexe, elle se mordilla les lèvres. Elle fit glisser son majeur tout doucement, arrivé à l’articulation, elle le ressortit et bouscula un peu son clitoris.

( J’en ai trop envie.)

Elle enfonça son majeur encore et encore puis ajouta son annulaire.

( Oh oui !)

Elle ne se contint plus et se fit jouir à grand renfort de va-et-vient de ses doigts. Elle resta prostrée au fond de la baignoire. Son majeur et son annulaire, bien enfoncés en elle. Elle tilla son clitoris en les ressortant. Elle fit de petit cercle dessus, puis se mit elle le secouer dans tous les sens.

Oh oui Matt, soupira-t-elle à jouissant de nouveau.

Elle jouit et il y eut un moment de flottement, elle ouvrit grands les yeux et sur sa bouche se dessina un "o".

( Ah non ! Qu’est-ce que je viens de dire ? Ah non non non ! Je naurais pas dû regarder ce hentai incestueux, ça m’a destroy la tête.)

Elle se sécha rapidement, mit sa robe de chambre, ouvrit la porte et se retrouva de Matthieu qui attendait.

T’en as mis du temps !

Elle déglutit difficilement, ses yeux errèrent sur le corps quasi nu de son frère, qui ne portait qu’un boxer.

J’aurais eu le temps de prendre quatre douches.

Son regard se braqua sur l’entrejambe où se dessinait, sous le tissu, le service trois pièces de son frère. Elle détourna la tête et partit dans le couloir sans un mot.

( Elle est vraiment bizarre aujourd’hui, plus que d’habitude… c’est dire.)

Il vit qu’elle avait laissé ses affaires au sol.

( Elle abuse, elle a laissé tous les vêtements que je lui ai offerts par terre.)

Il prit la brassière et le pantalon. Il les mit proprement sur le repose-serviette. La culotte tomba sur le carrelage, il l’a pris et remarque qu’elle était humide. Il jeta un coup dil, il fut surpris et la tendit à la lumière.

( Merde, elle s’est pissée dessus.)

Il récupéra le pantalon et vit pareil, une tâche en forme d’ellipse sur au niveau du sexe.

( Aïe ! J’ai déjà vu ça. J’ai dû la poussée trop loin et elle a eu une petite perte. Je comprends mieux sa réaction. À tous les coups elle ne voudra pas en refaire.)

Une heure plus tard, ils se retrouvèrent pour le déjeuner.

Alors, commença leur père, comment s’est passée cette première séance de sport tous les deux ?

Très bien, Math est courageuse et souple malgré le temps passé devant son ordinateur.

Mathilde qui rougit au souvenir de son orgasme dit :

Ç’a été, mais je pense que je vais avoir quelques courbatures.

Son frère hocha la tête avec empathie.

Les abdos vont te travailler mais pas les jambes, vu que l’on n’y a pas touché.

Et ça t’a plu ? Demanda Richard à sa fille.

Les deux hommes s’attendirent à une salve de mauvaise foi.

Ça ne m’a pas déplu, je pense en refaire, dit-elle à la surprise générale.

Ses lèvres devinrent sèches avant de continuer.

Et tu voudras bien continuer à m’aider Matt ?

Il en fut trop content.

Oui, carrément.

Leur mère arriva et prit aussi des nouvelles.

C’est génial, dit-elle.

Ils en discutèrent et Mathilde demanda à en faire le lendemain. Après manger, elle fila discuter avec sa meilleure amie Noémie. Elle démarra un Skype.

Faut qu’on parle, dit-elle sans préambule.

Bonjour à toi aussi, répondit-elle en levant un sourcil.

Il est arrivé quelque chose de bizarre.

Son amie lui prêta attention.

J’ai fait une séance de sport avec mon frère.

C’est clair, c’est bizarre.

Mathilde leva les yeux au ciel.

Ce nest pas ça, il m’a offert une tenue de sport avec un podomètre pour mon anniversaire et mes parents m’ont poussée.

Moi aussi j’aimerai bien faire une petite séance avec ton frère.

Mathilde rougit et eut du mal à continuer.

Justement…à propos de ça… on a fait quelques exercices et après il m’a aidée à m’étirer…

Noémie la coupa avec une remarque graveleuse :

Enlève le "é" et c’est l’idée de l’aide que j’aimerai de ton frère.

Arrête ! Gronda-t-elle.

Noémie goguenarda, Mathilde reprit sa respiration avant de continuer et décida de commencer par le début.

Donc il m’a fait faire du vélo des abdos et après il a voulu me mettre dans une machine de torture pour fessier.

Son amie plutôt ronde et pas sportive du tout lui lança un regard plein de compassion.

Et là… il… euh…

Elle sentit le rouge lui monter aux joues.

Et là ? Demanda sa meilleure amie.

Tu sais il était en short léger, pas trop moulant et assez court.

Elle fit les gros yeux en disant cela.

OK, tu me mets l’eau à la bouche alors continue !

Elle bredouilla mais n’y réussit pas. Elle comprit que son corps réagissait à la remémoration des souvenirs.

Alors accouche, je tiens plus ! S’exclama Noémie.

Sur la machine de torture, il a eu du mal à la régler et…

Elle prit quelques secondes pour mettre en ordre l’histoire.

Tu vois, sur cette machine tu es allongé sur le ventre, et pendant qu’il pestait contre le mécanisme de réglage, son short s’est mis contre mon visage et…

Attend ! La coupa Noémie en se levant de son siège.

Elle fouilla dans un placard puis revint devant l’écran.

Tu peux continuer.

OK, dit Mathilde. Son short s’est collé contre mon visage et…

Elle fit une pause en entendant un son étrange comme une brosse à dent électrique.

… qu’est-ce que c’est, ce bruit ?

Noémie eut une mine coupable et répondit :

C’est rien t’inquiète, continue.

Arrête, il y a quelque chose qui vibre.

Mais non c’est rien, éluda Noémie dans un souffle.

Le ton de sa voie mit la puce à l’oreille de son amie.

T’es avec ton vibromasseur, acta-t-elle en fronçant les sourcils.

Noémie souffla et s’énerva :

T’es chiante, je sens juste venir une histoire juteuse et tu me casses mon kiffe.

Tu sais que je déteste quand tu fais ça !

Oui, oui allez… continue !

Affligée, elle ferma les yeux avec une main contre son front.

Tu me désespères, dit-elle avant de continuer. Son short faisait des allers-retours sur mon visage et à un moment j’ai senti…

Elle se stoppa ménageant son effet.

Quoi ! Cria Noémie. T’as senti quoi ?

Sa queue était contre mes lèvres.

Noémie sursauta.

Non !

Si, confirma-t-elle, à un moment il s’est avancé et j’ai bien cru qu’elle allait me rentrer dans la bouche.

Tu me fais marcher.

Non.

Tu me fais marcher !

Non, je t’assure.

Alors il l’a fait exprès !

Je suis sûr que non ! Mon néandertalien de frère ne peut pas faire attention à deux extrémités à la fois, c’est ses mains ou sa queue.

Noémie fut prise d’un fou rire devant l’air contrit de sa copine. Sentant que l’histoire ne s’arrêtait pas là elle insista.

De toute façon, je ne te crois pas.

Tu devrais, car j’ai même faillit me laisser aller et ouvrir la bouche…

Elle se rendit compte qu’au départ elle voulait cacher cette information.

Espèce petite perverse, commença Noémie, t’as voulu jouer du pipeau au frangin !

Mathilde blanchit.

Non, pas du tout, c’est à cause de tous les hentai que tu m’as envoyés, plaida-t-elle. J’étais comme une allumette et puis…

Alors maintenant c’est ma faute si tu as voulu sucer ton frère, la coupa-t-elle.

Elle se couvrit le visage de ses mains et couina :

Arrête je t’en supplie, je vais mourir de honte.

Noémie rit de son attaque vicieuse. Quelques minutes passèrent et elle reprit la parole.

Alors ce n’était que ça ! Je suis un peu déçu, je m’attendais à du plus croustillant que ça.

Elle commença à retirer son vibromasseur mais Mathilde se pencha en avant et chuchota :

Il y a plus.

Génial, vas-y, vas-y.

Il m’a trouvé bien fatigué par les premiers exercices et m’a proposé des étirements pour éviter les courbatures.

Oh, je sens que ça va être bon, susurra Noémie.

Et pendant qu’il m’étirait les adducteurs, sa posture fit que son paquet frottait ma chatte en continu.

Elle se perdit dans son souvenir.

Encore et encore d’avant en arrière et de plus en plus fort.

Noémie regardait dans le vide en écoutant pieusement sa copine.

Et juste avant qu’il arrête, l’allumette… a pris feu.

À l’écran son amie eut des spasmes. Elle trembla de la tête au pied.

Ce nest pas vrai, s’écria Mathilde. Tu viens de jouir !

C’était bon, dit son amie. Ça fait longtemps que j’ai eu un orgasme comme ça, merci pour tout.

Mathilde fut prise d’un fou rire éclair, Noémie ne comprit pas.

C’est exactement ce que je lui ai dit après les étirements.

Et ton orgasme… alors comme ça il t’a fait jouir sans le vouloir, il est fort et même très fort. Qu’est-ce que tu comptes faire ?

Je vais refaire du sport avec lui demain et mettre des limites.

Elle termina sa phrase sur un hochement de tête convaincu.

C’est une erreur, affirma Noémie.

Je vais lui demander de me montrer des étirements que je peux faire moi-même.

N’importe quoi !

Mais pourquoi tu dis ça ?

Demain tu auras encore plus envie de jouir et tu le laisseras faire la même chose qu’hier voir même, tu en demanderas plus et…

Mathilde coupa Skype et secoua la tête pour s’éclaircir les idées.

Le lendemain Matthieu se leva frais et content. Sa sur se mettait enfin au sport et en plus elle aimait ça. Mathilde se réveilla en entendant son frère sortir de sa chambre. Lorsqu’elle se leva, elle se rendit compte qu’elle avait l’entrejambe moite et une douce chaleur en elle.

( Reste concentrée et claire sur ce que tu veux faire comprendre à Matt.)

Elle arriva dans la salle à manger.

Alors pas trop chaud ce matin ? Demanda son frère.

Chaud ! Comment ça, chaud ?

Elle comprit qu’il faisait référence à ses muscles.

( À vrai dire, maintenant que j’y fais attention ça tire un peu.)

Ça va, je nai pas de sensation douloureuse.

Demain tu en auras, mais vu qu’on y est allés doucement ça devrait aller.

Elle se servit son petit déjeuné. Il continua :

Tu veux que l’on commence maintenant des nouveaux exercices.

Elle inspira avec courage.

Oui, bien sûr.

Il sourit.

OK j’y vais pour graisser la machine à fessier.

Elle rougit et hocha la tête. Matthieu sortit avec entrain.

( Je me sens chaude… c’est à cause de Noémie et toutes ses idées farfelues. Mais il faut que je refasse pareil et que je me teste pour ne pas faire la même chose. Je vais lui prouver que je ne suis pas une perverse.)

Elle mangea et retourna dans sa chambre s’habiller. Elle ne trouva pas ses affaires.

Où je les ai mises ?

Elle se souvint qu’elle ne les avait pas prises avec elle après sa douche. Elle sortit nue et les récupéra dans la salle de bain.

Matthieu graissa la machine, sortit des tapis de sol. Mathilde arriva à ce moment-là.

Encore des abdos, remarqua-t-elle avec désespoir.

C’est le plus important, ça aide le dos et les genoux.

Il lui indique le vélo.

Tu t’échauffes comme hier, moi je vais utiliser le tapis de course.

La séance commença, après dix minutes Matthieu la fit s’allonger sur le tapis et il se mit à côté.

Tu ne me retiens pas comme hier ? Demanda-t-elle innocemment.

Je pense que tu as compris le truc je vais faire les exercices en même temps que toi pour te montrer.

OK, répondit-elle d’une petite voix.

Faut pas que tu t’inquiètes mais tu vas les sentir travailler, je dirais même que tu vas les sentir comme jamais.

Mouais, dit-elle dubitative.

Le doute ne dura que deux relevés d’épaule.

( Tu parles ! J’ai l’impression qu’on tape dans le ventre…ça fait un mal de chien.)

Il remarqua que sa sur souffrait et la rassura :

D’ici quelques minutes ça va sapaiser.

Après dix minutes, Mathilde ne voulait plus qu’une chose, se mettre au lit et ne plus bouger.

On arrête avec les abdos.

Ouf ! Fit sa sur en se mettant en croix.

On fait une petite pause et on part sur les fessiers.

Elle s’allongea sur la machine à fessier et sentit ses parties génitrices chauffées.

( Il faut que je me concentre, je ne suis pas une perverse.)

Cette manette te permet de commencer ton mouvement si tu te sens mal tu la relâche et sa verrouille l’ensemble comme ça pas de risque.

Merci, j’ai compris.

Je te mets cinq kilos, c’est juste pour que tu t’habitues au mouvement.

Elle actionna la manette et releva les chevilles, puis redescendit.

Quand tu redescends, maintient ta force et descend doucement.

Elle s’exécuta et dit :

C’est plutôt simple et facile.

Bien, je vais mettre quinze kilos.

Elle commença à travailler et sentit ses muscles se tendre.

Travaille doucement et tout ira bien, tu fais des séries de 16, avec une petite pause entre chaque.

Ils continuèrent leur séance et changeant de rythme et de machine.

J’en peux plus Matt et il est bientôt midi, dit-elle à bout de souffle.

Tu m’étonnes tu en as fait dix fois plus qu’hier, on va s’étirer et prendre le temps de le faire même s’il est midi.

Elle leva les yeux au ciel.

Tu n’y couperas pas si tu le fais pas tu vas souffrir demain, insista-t-il. Allonge-toi sur le tapis.

La bouche de Mathilde devint sèche, le moment tant redouté arrivait.

Je préférerai que tu me montres comment faire moi-même.

( Je suis forte et au-dessus de mes bas instincts.)

Tu es sûr, il n’y a pas mieux que d’avoir quelqu’un pour le faire avec toi, surtout au début.

( Je ne suis en fait pas si forte que ça !)

Si… si tu le dis, d’accord !

Matthieu réfléchit et ajouta pour éviter tout nouveau malaise :

Tu n’as pas envie d’aller aux toilettes avant ?

Non non, on peut commencer.

Elle se mit sur le dos et attendit, elle se sentit même impatiente, mais au moment où il se préparait à se mettre au sol son téléphone sonna.

Désolé, dit-il en prenant la communication. C’est maman.

( Merde ! Elle aurait pu attendre…)

Allo ! Oui… OK… j’arrive.

Il raccrocha et prit sa serviette et ses affaires.

Fin de séance, annonça-t-il. Les parents reviennent des courses, ils sont invités par un collègue de Papa qu’ils ont rencontré à Leclerc. Il faut les aider à décharger car ils veulent acheter quelque chose avant d’y aller.

Et mes étirements ! S’exclama Mathilde avec une pointe de colère.

Ne t’inquiète pas voyons ! Je ne pense pas que tu auras des courbatures.

Mais tu disais que j’allais souffrir sinon ?

J’ai fait mon marseillais, mais étire toi un peu toute seule ça vaut mieux.

Il fila aider ses parents à décharger la voiture.

Elle se caressa le sexe et se dit :

( J’ai besoin de jouir… mais j’ai comme l’impression qu’il me manque un truc… je ne saurais pas le définir mais j’ai besoin de contact.)

Elle se leva, dépitée et avec ses pensées habitées par le paquet de son frère.

Les parents quittèrent la maison vers 18h, ils comptaient rentrer vers 22h.

Amusez-vous bien, leur lança Matthieu, et ne buvez pas trop non plus.

Sa mère lui tira la langue en sortant.

( Bon je vais pouvoir pousser un peu les choses ce soir.)

Il descendit dans la salle de sport et se prépara à faire un peu de musculation. Il s’échauffa de nouveau et chargea la machine pour faire des développés-couchés. Il chargea avec un poids moyen. Il commença ses exercices. À deux reprises la barre se coinça légèrement.

La mère a fait des squats et n’a pas graissé derrière ! S’exclama-t-il avec colère. Je finis et je m’en occupe.

Après quelques séries intenses, il décida d’augmenter rapidement la charge. Il se mit torse nu et leva la barre pour la dégagé des verrouillages et la descendit doucement.

( Ç’est du lourd… et c’est le cas de le dire.)

Il descendit un poil trop et se déséquilibra quand il voulut remonter la barre se mit légèrement de travers. En temps normal, pas d’incident particuliers, mais là elle se bloqua.

( Et merde !)

Les picots de la barre lui rentraient dans la chaire. Il poussa de toutes ses forces, entendit un grincement et puis rien, la barre ne bougea plus d’un poil.

C’est une blague !

Il voulut se dégager sur le côté.

Oh putain ! Si je fais ça je vais me saigner.

Pendant cinq bonnes minutes il essaya de trouver une solution et rien ne vint.

Et les parents ne sont pas là ! La mère va m’entendre et pas qu’un peu.

Il prit le plus de respiration qu’il pouvait et cria :

Mathilde !

Il espéra de tout cur qu’elle n’avait pas son casque sur les oreilles. Il attendit et puis deux minutes plus tard, qui lui parurent bien longues. Mathilde arriva toujours dans sa tenue de sport.

Qu’est-ce qu’il se passe ?

Je suis bloqué, dit Matthieu d’une petite voix.

Elle resta coite et pouffa.

Ha ha ha ! Très drôle, maintenant aide-moi, s’il te plaît.

Comment t’as fait ton compte !

C’est maman qui ne graisse pas les machines… on va avoir une petite discussion demain.

Elle l’enjamba et essaya de tirer la barre.

Je crois qu’elle définitivement coincée.

Il battit des paupières et dit :

Heureusement que t’es ingénieur, je n’avais pas compris.

Elle lui lança un regard méprisant et s’assit sur lui. Il toussa et s’excusa :

Désolé mais fais attention, la barre me rentre dans la peau.

Ah oui !

Elle commença à lui chatouiller les cotes.

Non, arrête je t’en prie ! Arrêêêêêêête !

Elle continua puis glissa sur lui pour positionner ses fesses sur son paquet. Au fur ses chatouilles devinrent des caresses. Elle posa ses mains de chaque côté du corps musclé sous elle. Elle les pressa contre les abdos puis remonta doucement sur les pectoraux.

Je vais finir par me pisser dessus ! Ha ha ha ! Arrête, supplia-t-il les larmes aux yeux.

Donc là, tout de suite tu es complètement bloqué, dit-elle en posant ses mains sur ses hanches.

Il acquiesça en reprenant sa respiration. Elle bougea doucement les hanches d’avant en arrière. Elle sentit son frère y réagir légèrement aussi.

Euh… tu peux te lever s’il te plaît, demanda-t-il en rougissant.

Je ne sais pas, dit-elle en continuant son petit jeu.

Tu ne sais pas qu… quoi ?

( Oh putain, qu’est-ce qu’elle a à se trémousser comme ça ? Je vais finir par bander.)

Je ne sais pas comment te dégager.

Elle sentit quelque chose grandir sous elle, son pouls s’accéléra et une douce chaleur l’envahit.

P… prends un marteau et… tape sur la barre.

Une fois qu’elle fut sûre qu’il bandait, elle se leva et partit chercher un marteau.

( Eh merde ! Je bande, elle va se foutre de ma gueule et me traiter de pervers.)

Il essaya de se concentrer mais son short se transforma rapidement en chapiteau. Médusé, il l’a regarda arriver avec le marteau de charpentier de leur père. Amusé, elle fit comme si de rien était et s’approcha.

Oh dis-donc ! Eh bien, qu’avons-nous là?

Au début, elle voulut juste se moquer de lui. Elle se mit à croupi à ses pieds. Elle tira doucement sur son short.

Qu’est-ce que tu fais, bordel ? Arrête ça tout de suite, s’écria-t-il.

Elle ne l’écouta pas et tira centimètre par centimètre le short.

Ce n’est pas drôle, arrêtes !

Et bien je me demande ce qui a bien pu te mettre dans cet état-là?

Je… je ne…

Alors, c’est quoi, continua-t-elle en tirant un peu plus.

Il commença à bouger ses jambes mais les picots de la barre le rappelèrent à l’ordre. Son short commença à dévoiler la peau au-dessus de son sexe. Mathilde voulut continuer à jouer mais elle ne se contrôla plus à la vue qui s’offrait à elle.

Tu vas me prendre en photo pour te venger, c’est ça ?

Elle tira encore un petit peu l’esprit complètement dans le gaz, elle voyait maintenant la base de la verge en érection.

C’est ça, dis-le ! L’interpella son frère.

Elle leva les sourcils et demanda :

Me venger de quoi ?

Elle fit apparaître quelques centimètres de plus.

S’il te plaît, non ! Supplia-t-il au comble de la honte. À cause de moi hier tu t’es pissée dessus.

Encore un peu et elle arrêta enfin, il ne restait que le gland de cacher par l’élastique du short. Elle se rendit compte qu’elle avait tiré longuement le short.

Tu te trompes, je ne me suis pas pissée dessus.

Sa bouche devint sèche et ses bas instincts menaçaient d’exploser.

Mais si, j’ai vu tes vêtements hier qui traînait sur le sol de la salle de bain. Ils étaient mouillés à l’entrejambe.

Elle hocha la tête en le regardant puis tira tout doucement sur le short.

Tu as bien vu mais je ne me suis pas pissé dessus, j’ai juste joui.

Matthieu crut mal entendre.

Pardon, je… je n’ai pas compris.

Tu m’as fait jouir, dit-elle en tirant un dernier coup sur le short libérant la verge de son carcan.

Celle-ci fit comme un pendule et finit par se tenir bien droite devant le visage de Mathilde. Elle reteint sa respiration

Je t’ai fait jouir ?

Elle hocha la tête en prenant la verge en main. Elle frissonna des pieds jusqu’à la tête.

Elle est chaude et dure comme du bois.

Mais qu’est ça veut dire ? Demanda-t-il, complètement perdu.

Bah, que je vais te rendre l’appareil.

Elle se pencha hors de vue de Matthieu.

Qu’est-ce que tu comptes faire ? Sécria-t-il.

Pour toute réponse, elle enfourna la verge dans sa bouche. Matthieu sentit le passage des lèvres de sa sur, puis la langue qui vint se poser et glisser sur son frein et le long de sa grosse veine.

Humrrrr !

Il éjacula un petit peu, surpris par les sensations qui se succédèrent.

( Merde ! Putain elle est cinglée, il faut que je me dégage.)

Mathilde, sentant son frère bouger ses jambes, se rendit compte que son short arrêté aux genoux bloquait ses mouvements. Elle lâcha la verge.

OK, dit Matthieu. Tu t’es bien amusée maintenant fini les conneries.

Elle tira son short profitant de son relâchement.

Hep ! Ça va barder si tu continues…

Je n’ai pas terminée, dit-elle en relevant ses cheveux et les attachant avec un élastique qu’elle avait au poignet.

Elle retira son T-shirt, elle ne portait plus que les vêtements qu’il lui avait offerts. Avec un grand sourire, elle ajouta:

Je vais te faire gicler tellement fort que tu vas en redemander.

Elle se jeta sur la verge qui se balançait de gauche à droite.

Wow !

Il ne put retenir un soupir de plaisir. Mathilde commença véritablement son uvre. Elle suça fort le gland restant sur le frein avec sa langue. Son frère en vit de toutes les couleurs pendant cette torture. Ensuite elle lécha la grosse veine de haut en bas.

Matthieu ferma les yeux et essaya d’imaginer qu’il était quelque part ailleurs, mais la honte qu’il ressentait, peu à peu, se fit pousser par autre chose.

Oh bordel à cul ! Elle me suce comme une dingue… c’est… cest trop bon. Elle va me faire jouir ! Ma sur va me faire jouir… et salement.

Tous les soupirs de plaisirs de son frère finir d’achever le peu de lucidité de Mathilde, elle jeta toutes ses forces dans la bataille. En plus de sa bouche qui restait sur le gland elle le masturba de sa main droite et attrapa les testicules de la gauche. Matthieu écarta les jambes pour qu’elle soit plus à l’aise. Sentant son frère consentant, elle eut un orgasme et sentit sa fente suinter abondamment. Elle enfonça la verge au plus profond dans sa bouche.

( Elle ne va pas me faire le coup de gorge profonde non plus.)

Mathilde y pris goût et le fit plusieurs fois de suite.

C’est trop ! Dit Matthieu sous cette torture.

Au creux de sa main gauche elle sentit le scrotum se tendre, puis quelque chose passer sous les doigts de la droite. Le sperme envahit sa bouche, elle voulut l’avaler mais c’était simplement trop. Elle frotta la verge sur son visage, sentant les jets éclaboussés son visage. Elle attendit que l’éjaculation se tarisse.

( Fiou… il a lâché une sacrée quantité de foutre, j’en ai plein partout… dans la bouche, les cheveux, sur les lunettes et je suis sûr que mon visage doit être une représentation vivante du porno hardcore.)

Matthieu mit quelques secondes à se remettre de son éjaculation mais sentit très clairement sa sur continuer à le sucer doucement.

Arrête Math, s’il te plaît ! Si tu continues je vais encore éjaculer ! Gémit-il.

Elle se releva et apparut à son frère.

T’es sûr que tu veux que j’arrête ?

Elle se lécha les lèvres en le regardant dans les yeux. Matthieu resta pantois de la quantité de sperme qui recouvrait le visage de sa sur.

Désolé, je n’ai pas pu me retenir… Oh mon Dieu, qu’est-ce que j’ai fait !

Elle haussa les épaules et reprit son office quelques secondes.

Ça devait faire un moment que tu t’étais masturbé ?

Machinalement, il hocha la tête. Son regard resta fixé sur les coulures de sperme sur le visage de sa sur.

Elle continua à le masturber, elle regardait le sperme suinter de l’urètre. Il se mordit les lèvres, l’horreur de la situation céda définitivement la place au plaisir de l’acte.

C’est bon, vas-y continu, lui murmura-t-il.

Elle sourit avec dédain et se mit debout.

Monsieur le gros pervers, je pense qu’il est temps d’arrêter.

Il ouvrit la bouche pour protester.

Monsieur jouait la sainte-nitouche et maintenant il veut que sa petite sur le suce de nouveau.

Elle se retourna pour prendre le marteau. Elle regarda la verge et se dit qu’elle était plus grosse après la première &eacute

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