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La correspondante de Malaury, ma co-locataire. – Chapitre 1




Chapitre unique.

Avec ma copine Malaury, nous sommes issus d’un milieu aisé d’une petite ville de province. Au lycée, nous nous entendions bien et lorsqu’il a été question de monter à Paris pour y poursuivre des études universitaires, nos parents respectifs (qui se connaissent bien) se sont entendus pour payer le loyer et les charges d’un petit appartement où nous disposerions chacun d’une chambre en colocation.

La réflexion de la mère de Malaury lorsqu’elle a dit qu’elle serait plus tranquille de savoir sa fille en ma compagnie dans la capitale m’a fait sourire : si elle avait su que sa fille et moi, nous baisions ensemble depuis le printemps, elle aurait été surprise : elle croyait sa fille sage, mais il n’en était rien… C’était une « ravageuse de sexe » qui n’était plus vierge depuis longtemps et ne comptait plus les garçons et les filles qui étaient passés entre ses bras ! En fait, c’était elle qui m’avait déniaisée et appris presque tout ce que je savais du sexe !

Mais nous étions libres de faire ce que nous voulions en matière de sexe… J’avais des copines épisodiques et de temps à autre, j’étais bi-passif…

Malaury ramenait à l’appartement des garçons ou des filles suivant son humeur… et aussi, il nous arrivait de coucher ensemble de temps en temps.

Nous nous étions mis d’accord quant aux modalités : elle prenait la pilule, quand nous allions « voir ailleurs », nous devions nous protéger et c’est ainsi qu’au début de notre seconde année universitaire, j’ai pu décharger mon foutre dans le sexe, accueillant de Malaury.

Mais ce n’est pas de notre vie que je veux vous parler…

Par l’intermédiaire du bureau des élèves, Malaury avait trouvé une correspondante qui voulait se perfectionner en français et réciproquement en anglais… Hélas, Novia, cette étudiante habitait un lointain pays d’Asie : l’Indonésie… si bien que les échanges par ordinateurs interposés avaient lieu à des horaires imposés par le décalage.

Un jour, en fin d’après-midi, Malaury m’a appelée alors que je la savais en ligne avec Novia.

Viens… Tu vas faire connaissance avec Novia… C’est une bien jolie fille, je suis certaine qu’elle te plairait !

Tu crois ?

Oui… il n’y a qu’à voir comment tu regardes les filles un peu typées asiatique’ !

C’est ainsi que j’ai découvert Novia : Une bien jolie fille aux grands yeux noirs légèrement bridés, aux pommettes un peu aplaties et une bouche mince qui lui faisaient un visage très expressif ! Nous avons bavardé quelques instants… Novia parlait un français encore un peu hésitant avec une pointe d’accent nasillard propre aux peuples asiatiques (mais ça, je l’ai su plus tard…).

Notre seconde année universitaire se terminait quand Malaury m’a annoncé que Novia viendrait passer les deux mois d’été avec nous et qu’elle souhaitait découvrir Paris avant de faire connaissance avec nos parents respectifs. Cela ne me concernait qu’à moitié puisque Novia était avant tout la correspondante de Malaury.

Quelques semaines plus tard, nous allions accueillir Novia à sa descente d’un avion de la compagnie GARUDA qui l’avait amenée de Djakarta avec une escale à Dubai… Après maintes embrassades des deux filles, Novia s’est tournée vers moi… Si son visage correspondait à ce que j’avais vu sur l’écran de l’ordinateur de Malaury, j’ai été plutôt surprise de la taille de cette fille. Je croyais que les natives étaient de petits tanagras d’à peine un mètre soixante, or, j’avais devant moi une fille, certes aux formes plus que menues, mais mesurant certainement plus d’un mètre soixante-dix !

Elle était vêtue d’un caraco aux couleurs vives sous une veste légère et d’un pantalon style corsaire serré en dessous du genou et de chaussure à petits talons.

Je le trouvais bien joli et je lui en fis aussitôt le compliment et elle répondit avec son accent chantant :

Oh… les Français sont des flatteurs. Dès qu’ils voient une jolie fille, on ne les tient plus…

Mais c’est sincère… Tu es bien jolie !

Après le trajet en train et en métro, nous sommes arrivées à notre appartement. Je m’étais entendu avec Malaury pour coucher sur le divan du séjour, mais les deux filles n’ont pas voulu : Novia acceptait de partager le vaste lit de ma sur et je conservais ma chambre !

Le début du séjour de Novia s’est déroulé comme les filles l’avaient envisagé : des visites des principaux sites parisiens (musées et autres) plus quelques sorties nocturnes… Je me sentais bien, entourée par ces deux jolies filles, d’autan qu’elles s’habillaient bien plus sexy que d’habitude… Souvent, elles échangeaient leurs vêtements et à plusieurs reprises, Malaury et Novia se déguisaient en écolière coquine avec des minijupes au ras de la touffe et des corsages outrageusement ouverts sur les seins, ronds et opulents pour Malaury (elle ne pouvait pas boutonner les chemisiers), à peine renflés pour Novia.

En plus, elles allumaient les mecs que nous croisions au resto, mais les rembarraient lorsqu’il y avait des tentatives de rapprochement !

Mais la surprise est intervenue à quelques jours de notre départ pour la province.

Nous avions pas mal marché puisque nous avions remonté puis descendu les Champs-Élysées et la chaleur de l’été n’arrangeait rien.

De retour à l’appartement, Malaury et Novia se sont déshabillées dans la chambre puis elles ont traversé la pièce principale pour passer dans la salle de bains. : Elles n’avaient plus grand-chose sur le dos ! En fait, elles étaient seins nus… Je découvrais réellement pour la première fois les seins menus de Novia, bien jolis au demeurant… Ceux de Malaury, je les connaissais déjà… j’avais même eu le privilège d’une cravate de notaire il y a quelques mois !

Si elles avaient envie d’être ensemble dans la douche, je n’avais rien à dire ! Pourquoi pas ! Mais au bout de quelques minutes, des gloussements ont filtré par la porte restée entrouverte… à les entendre, les deux filles se donnaient du plaisir et ce ne serait pas une première pour ma colocataire qui se satisfaisait elle-même lorsqu’elle était en manque !

En prêtant un peu plus attention, j’entendis Novia dire :

Suck me please !

Malaury répondre :

Oh yes… You have a nice dick !

Ce qui me confirmait que les deux filles se faisaient plaisir… mais le dernier mot prononcé par Malaury m’intriguait ! Comme elles n’avaient pas entièrement refermé la porte, je jetai un coup d’il dans l’entrebâillement et je découvris la vérité : Novia avait un beau sexe d’homme, fin, mais bien constitué et Malaury était en train de le sucer avec ardeur !

Ce spectacle ahurissant ne me laissa pas de glace et instantanément, mon sexe s’est dressé dans mon boxer… Novia avait bien caché ce qu’elle était en réalité…

Je les voyais de profil dans la douche… Malaury s’était agenouillée devant Novia et elle tétait avec ardeur le sexe de notre « amie » indonésienne qui l’encourageait à mi-voix !

Quand j’ai poussé la porte de la salle de bain pour mieux voir, ma colocataire m’a invitée à entrer :

Entre donc… Tu es surpris ?

Oui… un peu quand même ! Novia a bien caché ce qu’elle est !

Moi… je le sais depuis la première nuit et c’est plus d’une fois que nous avons baisé ensemble ! ça aurait été dommage d’avoir une bite dans mon lit tous les soirs et de ne pas en profiter !

Tu as certainement raison…

Puisque tu as découvert notre secret, j’ai une proposition à te faire.

Que veux-tu ?

On se connaît depuis pas mal de temps déjà, mais il y a une chose que je n’ai pas encore faite !

Quoi donc… je sais que tu te tapes des garçons et des filles !

Justement, je n’ai jamais eu deux garçons en même temps et j’ai envie d’expérimenter la double pénétration…

Comme tu y vas ! Qui te dit que Novia sera d’accord ?

JE LE SAIS ! Elle te trouve à son goût, mais pas assez entreprenant !

Tu m’en diras tant ! Et elle aurait envie de ma queue dans son cul ? c’est bien ce que tu veux dire ?

Oui et non… C’est à toi de voir, mais moi, je sais ce que je veux : tu me baiseras la chatte et Novia me prendra le cul ! C’est ce que je veux expérimenter… Je sais déjà sucer une bite pendant qu’une autre me ramone la chatte, mais là, c’est ce que je veux ! Si tu as envie de te taper Novia, tu es libre… il reste encore pas mal de nuits…

Malaury et Novia étaient toujours dans la douche quand cette dernière a ajouté :

Chez nous, les Français ont la réputation d’être de bons amants… d’ailleurs il y en a plus d’un qui m’a baisée, mais je pense que toi, tu seras aussi à la hauteur de cette réputation ! Une belle queue comme la tienne dans mon cul, ça me manque ! Malaury m’a dit que tu étais bisexuel alors ça ne devrait pas te gêner !

OK… alors, laissez-moi prendre une douche rapide et je suis à vous !

Quand j’ai rejoint Malaury et Novia dans leur chambre (le lit est plus vaste que le mien…) les hostilités étaient commencées : dans un 69 très coquin, Malaury suçait la bite de Novia qui elle, faisait un cunni à ma coloc’ qui était sous elle !

Dans cette position, j’avais tout le loisir de contempler Novia… elle avait de petites fesses bien fendues, son sphincter palpitait doucement et ses bourses flottaient au-dessus du visage de Malaury qui les caressait de temps en temps… Je remarquai aussi que Novia était soit complètement imberbe ou qu’elle était rasée !

Je suis monté sur le lit et je me suis approché pour caresser les fesses et le périnée de Novia en lui disant de ne pas faire jouir Malaury, que nous allions nous occuper d’elle…

OK… Tu lui prends la chatte et moi le cul ?

Oui… ça me semble plus facile… ta bite est moins grosse que la mienne !

Je suis prêt… regarde comme je bande ! Je m’allonge sur le dos et Malaury viendra s’empaler sur ma bite… Quand nous serons bien emmanchés, je l’allongerai sur mon buste et tu viendras lui prendre le cul !

Ça me va !

Je me suis allongé au milieu du lit et ce qui avait été convenu fut réalisé… Dès que Malaury a été bien emmanchée sur mon vit, elle a fait quelques mouvements de bas en haut… Je voyais mon sexe entrer et presque ressortir entre ses lèvres intimes et ses jolis seins danser sous mes yeux… A voir les tétons bandés, elle devait être bien excitée… Puis après quelques minutes, elle s’est allongée sur mon buste, pressant sa poitrine contre la mienne.

J’imaginais volontiers la scène que nous offrions à Novia qui, le sexe couvert d’un préservatif, attendait derrière les fesses de ma colocataire…

Vas-y… Je t’attends… N’aie pas peur… je suis ouverte !

J’ai senti (plus que je ne l’ai vue) Novia s’approcher entre nos jambes et Malaury me dire à l’oreille la progression de la sodomie :

Je sens son gland sur ma rondelle…

Ça y est… il est entré…

Je sens la bite qui progresse…

Ça y est… elle est au fond !

Effectivement, Novia faisait claquer son pubis contre les fesses de Malaury…

Oui… vas-y… c’est bon !

Laisse-nous trouver le rythme… Tu vas sentir les choses passer !

Tous les trois, nous sentions l’excitation du moment monter en nous… Quand Novia s’enfonçait entre les fesses de Malaury, je percevais au travers de la fine paroi la progression de son sexe dans le boyau étroit et moi, je me sentais bien dans la chatte chaude et humide !

Nos mouvements étaient de plus en plus désordonnés au fur et à mesure que la jouissance montait en nous, mais soudain Malaury s’est écriée :

Je viens !

Comme un écho, Novia a répondu :

Me too !

Si bien que lorsque j’ai senti les pulsations du sexe de Novia, j’ai joui à mon tour en inondant le fond du sexe de Malaury de puissantes giclées de sperme…

Nous avons mis un certain temps à récupérer de cette étreinte puis nous avons basculé en nous désunissant pour nous endormir presque aussitôt.

Le matin quand nous nous sommes réveillés, Novia et Malaury se faisaient face et moi, j’étais collé contre le dos de notre Indonésienne, mon sexe coincé entre ses petites fesses. Je bandais à moitié, mais quand Novia a commencé à agiter ses fesses contre mon pubis, mon sexe s’est déployé, prêt à partir pour une nouvelle partie !

Couvre-toi… J’ai envie de te sentir dans mon cul !

OK… dans trente secondes je suis à toi !

Je savais où trouver des préservatifs dans le chevet de Malaury et la bite couverte, je me suis introduit lentement dans le sphincter de Novia… Il était étroit, mais je suis entré relativement facilement. Je sodomisais un être mi-femme mi-homme et je trouvais cela bon… J’avais passé mon bras libre par-dessus le corps de Novia et je branlais doucement son sexe mâle quand j’ai senti la bouche de Malaury englober le gland de la tige que je masturbais.

Laisse-moi la sucer…

Nous étions partis pour une nouvelle étreinte triangulaire… Nous étions tous bien chauds dès le matin et c’est assez rapidement que nous avons atteint la jouissance… Pendant que je déversais mon foutre dans la capote logée dans le cul de Novia, cette dernière envoyait quelques jets dans la bouche de Malaury qui se faisait plaisir une main fichée dans sa chatte !

Il est évident que la fin du séjour en France de Novia a été très chaude… Nous avions trouvé un certain équilibre sexuel !

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