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Sylviane, pute à en devenir. – Chapitre 1




Vendredi 30 décembre 2016. 08h15. Je sors de la douche de mon petit appartement en duplex de la basse ville de Toulon. Ma colocataire est partie pour fêter la saint Sylvestre en famille. Moi, rien de prévu. Je vais me faire chier tout seul…

Je me prépare pour aller « cours Mirabeau » au marché bien connue de Toulon. Je prends avec moi « Médor », mon célèbre caddy à roulettes. La descente des quatre étages sans ascenseur est devenue habituelle chez moi.

Je décide de passer par la cathédrale. Je passe par des passages sous les petits immeubles du centre-ville, usités autrefois par les carrioles et les baudets. Je vais, comme à mon habitude, dire bonjour aux commerçants que je connais. Je remonte le marché en traînant Médor. J’arrive « chez le vieux », c’est ainsi que l’on nomme Béchir, le patron. Je m’installe et commande un demi. C’est François, le serveur des lieux, qui me sert et me dit bonjour. Je m’allume une clope et déguste ma bière tout en feuilletant « Var Matin ». Une voix m’interpelle.

— Bonjour Hervé, tu vas bien… Hihihi

Ô, non, pas elle. S’il est bien une personne que je ne voulais pas voir, c’était bien elle. Elle est petite, une ancienne grosse opérée. Cheveux noirs et les yeux de la même couleur. Un strabisme, son il droit allant draguer le gauche. Un cul tout ce qui a de plus banal mais une paire de nibards à faire bander n’importe qui. Elle s’assied sans me le demander et commande une noisette à François. Je replonge dans ma lecture, espérant qu’elle comprendra.

Elle commence à se plaindre. Elle dit que son mec ne lui a pas encore envoyé la pension et que la CAF ce n’est que dans huit jours. Elle me saoule, Je souffle derrière mon canard.

Elle enchaîne avec son rendez-vous chez le coiffeur, chez l’esthéticienne, et blablas, et blablas.

— Tu payes mon café, j’y vais, elle vient d’arriver…

Là, c’était couru d’avance, elle nous fait le coup à chaque fois. Je paie ma bière et son café et m’éloigne et je descend paisiblement le marché en direction du supermarché « Carrefour Mayol ». J’y fais des emplettes pour mon réveillon du lendemain. Au sortir, je retourne chez Béchir, histoire de me rafraîchir. Installé de dos à la rue je ne l’ai pas vu pas revenir.

— Tu m’attendais, c’est gentil.

— «Merde » me dis-je intérieurement.Elle me demanda si j’étais seul. Je lui réponds que oui. Elle me dit qu’elle aussi et que cela serait sympa de faire réveillon tous les deux.

Je sais que je suis un mort de faim, mais il y a des limites. Elle m’annonce tout de go qu’elle sera demain chez moi et qu’elle apporterait foie gras et champagne. Elle me fait la bise et part en rigolant comme une ado.

— « Merde, c’est pas vrai, elle ne va pas venir me faire chier celle-là. »

Fulminais-je.Je rentrais chez mou en pestant.

Samedi, 19h00. J’avais préparé quand même deux magrets de canard et mis une bûche glacée aux fruits exotiques dans mon petit congèlateur, histoire que tout se passe pour le mieux. C’est ma tenue qui allait certainement la choquer. A POIL, Je vais la recevoir A POIL. Pratiquant le nudisme, cela n me gênera pas de montrer mes attributs à une gonzesse comme elle. Je passe par la douche, je parfais mon épilation intégrale. 19h55. L’interphone sonne, je décroche.

— C’est moi, dit-elle de sa vois niaiseuse.

J’ouvre et j’entends sa montée des quatre étages. Elle arrive essoufflée à ma porte que j’ouvre prestement.

— Surprise !!!

— AHHH, mais ça ne va pas, tu es malade ?

— Aller, rentre, lui dis-je en la tirant fermement par le bras.

Elle est choquée.

— Ne fais pas ta mijaurée, à quarante-cinq ans et la réputation qui te suit tu vas ne pas me dire que cela te gêne. Mets-toi à poil. Je vais chercher le champagne. Dessape toi et vite !!!

Je lui prends son sac des mains et je pars dans la cuisine Je reviens dans le salon elle n’a pas bougé d’un poil. Elle me détaille et se fixe sur mon engin. Il n’est pas énorme (18×4) mais le fait qu’il soit glabre et bandé la perturbe. Je m’approche d’elle et j’appuie sur ses épaules.

— Viens faire connaissance, elle t’attendait avec impatience et elle s’est faite belle expressément pour toi. Allez, suce…

— Je ne suis pas une pute…

— Ta gueule et suce, lui dis-je en forçant ses lèvres.

Ne voulant pas ouvrir la bouche, d’une main je lui bloque la tête et de l’autre je lui pince le nez. Son visage passe au rouge. Elle ouvre la bouche et j’enfourne ma bite jusqu’à la garde. Elle a un haut-le-cur. Je souris intérieurement. Elle essaie de se rebiffer en poussant sur mes jambes. Je la gifle.

— Suce, putain et applique toi, je t’offre l’hospitalité alors honore moi.

Elle se décrispe et commence à faire des va-et-vient plus que correcte. Délicatement je lui ôte son haut et son soutien-gorge. Ses deux énormes mamelles sont enfin libres. Je les triture sans ménagement, je lui pince les tétons. Elle gémit.

— Enlève ta jupe et ta culotte !!!

Elle se relève en gardant mon sexe en bouche. Sa jupe se retrouve au sol. Elle est épilée, WAHOU !!! Elle se contorsionne pour enlever chaussures et chaussettes. Puis se reconcentre sur sa fellation. Elle bave la cochonne.

— Mets toi sur la table base, oui, comme cela, à quatre pattes. Tu es à bonne hauteur pour tes trois trous.

Sans rien dire, sans me regarder, elle s’est positionnée et ouvert la bouche. Je lui baise littéralement son orifice buccal. Mes couilles frappent sur son menton. Je ressors parfois pour la laisser reprendre son souffle. Je sens mon jus bouillir dans mes valseuses. Je me retire et fait le tour de ma proie. Elle dandine du cul. La salope, sa réputation n’était pas volée. C’était une grosse chienne. Je la pourfends d’un coup sa chatte largement lubrifiée. Ses gros seins battent la mesure. Elle transpire. Je la frappe.

— Hummm ; j’aime, oui, oui…

— Tu peux gueuler salope, on est seul ce soir…

— HAN, HAN, HAN, ARGH, OUIII, C’EST… C’EST BON !!!!

Je la pilonne d’un rythme infernal. Mes couilles viennent buter sur son clito. Elle rentre en transe. Je glisse un pouce vers sa rondelle…

— Et là, je peux, tu es propre ?

— OUI, HUMPF, OUI, ENCULE-MOI…

Je ne vais pas me faire prier. De mes deux pouces, je lui assouplis le sphincter tout en continuant à la baiser. Elle s’effondre sur ses avant-bras croisés. Elle attend le supplice de Sodome et Gomorrhe. Je ne la fait pas attendre plus longtemps et lui plante mon sexe dans son séant. Un « HUMPF » de satisfaction et des « OUI, HAN, ARGH » résonnent dans tout l’appartement. Je le besogne ainsi pendant dix minutes. Je sens ma semence montée mais ce n’est pas dans son cul que je veux lui lâché la purée. Je stoppe net et je me dirige vers sa gueule de chienne. pas

Elle a compris et se redresse. Elle a la bouche ouverte. Je me branle énergiquement jusqu’à la première giclée qui lui balafre le visage. Le reste de ma liqueur est accueilli par sa bouche gourmande. Je la vois déglutir, apprécier cette offrande. Elle me lèche le gland, me l’aspire pour en extraire les dernières gouttes.

— PUTAIN, LA VACHE, QU’EST-CE QUE TU ES BONNE !!!!

Je tombe à genoux et me retrouve devant une Sylviane heureuse. De son index elle racle le sperme sur son visage et le suce avec envie.

— HUMMM, je ne regrette pas d’être venue.

Après s’être lavé, on a mangé, nu, refait une partie de baise avant les douze coups de minuit (pas ceux de midi), une autre après et avant qu’elle reparte chez elle. 6h00 du matin, heureuse de son réveillon 2017 et après s’être souhaité une nouvelle fois la bonne année, elle est rentrée chez elle.

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