Mamie Geneviève 5
Après avoir passé la soirée avec ses amis, dont Bastien un mignon blondinet, mais un sacré peloteur, mon petit fils, David, m’a fait l’amour, debout, dans la cuisine, tant j’étais échauffée par son ami.
David, pour la première fois, partage ma couche. Ca fait si longtemps que je dors seule que la présence d’un homme près de moi me ravie. Il me prend dans ses bras et nous nous endormons. Au réveil, je sens sa main me soupeser le sein et surtout sa raideur entre mes fesses, sur mon anus en particulier. Décidément, c’est une obsession chez lui.
Je le repousse et me tourne vers lui :
« Aller David, il faut te lever et aller en cours ! »
« Oh mamie tu vas pas me laisser comme ça ! »
Il tire le drap et m’expose son membre tendu. Il appuie doucement sur ma tête pour que je m’en rapproche. Il veut que je le suce alors que je viens tout juste de me réveiller. Je grogne un peu.
« Allez mamie, régale toi ! Je suis sûr que ça va te plaire»
Résignée, j’avale son membre tout en lui caressant les testicules. Il me laisse faire de mon mieux et me caresse le dos puis glisse sur mes reins, dans mon sillon fessier et je sens son doigt essayer de me forcer l’anus. Je le repousse en protestant mais il revient à la charge.
A la troisième rebuffade, il capitule et se laisse sucer sans insister
Il ramène sa main sur ma tête et je me contente d’aspirer et passer ma langue sur ce gland qui me pistonne la bouche. A la façon dont il se tortille et qu’il se cambre, je sais qu’il ne va pas tarder. J’hésite un peu, mais continue de le garder en bouche jusqu’à sa jouissance. Ses jets sont puissants et je les accepte presque tous dans ma gorge. Il sort de moi et s’en va prendre sa douche. Je m’allonge pantelante, la bouche engluée de sa semence. J’avale tout, bravement, et en tire une certaine fierté d’avoir franchi ce pas. Non seulement je commence à apprécier de pratiquer la fellation, mais en outre ce sentiment de perversité m’excite.
Je repense à tous ces évènements et me dis que je suis devenue complètement folle. En quelques jours, je suis devenue une obsédée sexuelle. Si mon défunt mari voyait ça !
Je me remets enfin de mes émotions après son départ pour l’école.
Je passe la journée à faire du ménage et quelques courses. J’en profite pour laver à la main mes dessous tachés puis les dispose à sécher sur l’étendoir.
Je regarde une émission à la télévision quand David arrive. Je suis obligée de lui faire la bise car, je l’avais oublié, il est accompagné de son ami Bastien. Ce dernier tente une nouvelle fois de me biser les lèvres, mais je l’esquive en lui présentant ostensiblement mes joues.
David boit un verre d’eau et déclare, en me souriant, qu’il doit aller chercher un livre chez un copain et qu’il en a pour au moins une heure.
Ca sent le coup monté de sa part ! Je n’en suis pas dupe.
Me voilà seule avec son copain et ça me gêne un peu. Lui est encore plus gêné. Je l’invite à s’asseoir dans la cuisine et lui offre à boire. Il pose un regard intéressé sur mes dessous qui sèchent, puis me fixe intensément, me prend la main et me déclare en rougissant :
« Madame, je voulais vous dire Heu Voilà Je suis amoureux de vous ! »
« Qu’est-ce que tu racontes ! Toi, un mignon garçon, tu es amoureux d’une vieille comme moi ! Tu dois avoir du succès au près des filles de ton âge alors pourquoi tu me dis ça ! »
« Ben Hier, quand je vous ai vue, j’ai ressenti une très forte attirance »
« J’ai vu ça ! Tu devrais avoir honte ! Qu’est-ce qui t’as pris de me toucher ainsi ? »
Il se sent honteux au possible, mais ne me lâche pas la main. Je ne fais rien non plus pour la retirer.
Je le rassure en lui caressant le bras et lui dis :
« Ne t’en fais pas, ce n’est pas grave, mais dis-moi, tu as l’air drôlement doué ! Pour tout te dire, tu as même réussi à me troubler »
Je ne sais pas pourquoi je lui dis ça, mais ça le réconforte d’un coup et il retrouve de l’assurance.
« Je n’avais jamais fait ça avant, excusez-moi madame ! »
« Bon, mais alors ? Avec les filles comment ça se passe ? »
« J’ai peur des filles, je n’ai jamais rien fait avec elles »
« Même pas embrassé ? »
« Non, je ne sais pas embrasser et j’ai trop peur que l’on se moque de moi »
« Et tu n’as pas quelqu’un qui pourrait t’apprendre comme une cousine, une tante, ou ta mère ? »
J’ai volontairement touché la corde sensible en évoquant sa mère et il se recroqueville sur lui-même, rouge de honte. Ce à quoi j’appuie un peu plus :
« C’est de ta mère dont tu es amoureux, n’est ce pas ? »
Il hoche sa tête baissée. Il me fait presque pitié et je me penche pour m’approcher et lui dépose une bise sur la joue, très maternellement.
Je lui susurre :
« Parle moi d’elle. Comment est-elle ? »
Il m’expose alors qu’il vit seul avec elle et n’a même jamais connu son père. Il sort son téléphone et me montre les photos d’une femme plutôt jolie et il est en émoi en faisant défiler les images. Il est visiblement très amoureux d’elle, vu la façon dont il regarde l’écran.
A ce qu’il dit, cette femme se dévoue totalement pour son fils qui ne lui connaît pas d’amant.
Il a repris ma main et la presse dans la sienne. Je lui dis :
« Aller, viens ! Lève toi et prend moi dans tes bras ! »
Je suis totalement folle de faire ça, David peut nous surprendre à tout moment et je suis en train de me compromettre.
Il s’exécute, timidement. J’ajoute :
« Pense que je suis ta maman et serre moi contre toi »
Il me presse contre lui et je relève la tête pour le regarder. Il se penche et nos lèvres se touchent. Je lui attrape la nuque et lui donne une leçon de baiser. Il est maladroit, mais suis mes consignes et nos langues se mêlent maintenant plus harmonieusement.
Je le sens raidir contre mon ventre et ses mains parcourent mon dos et mes fesses, mais je le laisse faire. Quand il entreprend ma poitrine, je suffoque un peu d’émotion et décide d’en rester là pour le moment. C’est qu’il me donne chaud ce petit diable.
« Alors coquin, ça à l’air de te plaire » Dis-je en regardant la bosse de son pantalon.
« Oh madame, c’est génial, apprenez moi encore des choses »
« Non Bastien, c’est tout pour aujourd’hui ! Mais Embrasse moi encore ! »
Il s’y prend très bien maintenant et je le guide dans ses caresses pour tempérer ses ardeurs toutes masculines. Ses doigts virevoltent sur mon corps et j’avoue que c’est bien agréable.
« Allons, Bastien, calmons nous ! Nous allons parler de ta maman maintenant. »
Jusqu’au retour de mon petit fils, nous discutons. Je l’interroge sur les habitudes de sa mère et en fonction de ses dires, je lui propose plusieurs stratégies pour la séduire, ce dont il me remercie. Pour ma part, je lui fais jurer de ne rien dire à personne du moment que nous avons vécu.
Quand David arrive, il nous regarde et semble satisfait, vu le petit sourire en coin qu’il arbore.
Curieusement, Bastien nous quitte rapidement et je comprends que leur prétendu devoir en commun n’était qu’un prétexte pour que son ami soit seul avec moi.
« Alors Mamie, ça c’est bien passé avec mon copain ? «
« Oh oui ! C’est un gentil garçon ! »
« Et Qu’est-ce que vous avez fait ? »
Je suis embêtée de lui dire, mais je sais qu’il attend avec impatience que je lui narre les évènements. Quand j’ai fini de parler, il m’enlace et me dit :
« Tu es vraiment géniale ! Il faudrait que tu ailles plus loin avec lui ! »
« Mais David, tu es fou. Je n’ai pas l’intention de coucher avec tes copains »
« Pas tous mes copains, lui c’est mon meilleur pote et puis ça ne te plairait pas d’avoir deux hommes pour toi ? »
Je ne réponds pas car c’est une chose à laquelle je n’avais jamais pensée réellement.
David a glissé sa main sous ma jupe et me caresse entre les jambes. Mon collant est trempé, ce qu’il ne l’étonne pas. Tout en continuant à presser ma vulve, il nous dirige vers le canapé où il me fait asseoir.
Il retire mes souliers, mon collant, ma culotte et entreprend de me lécher.
J’avoue que sa sur, Christelle, lui a bien appris. Sa langue agile furète dans mon intimité alors que ses mains courent sur ma poitrine.
J’ai trop envie qu’il me fasse l’amour, mais lui persiste dans son cunnilingus. Il a glissé un doigt en moi et se révèle si agile que je finis par m’abandonner à la jouissance.
Nous nous réajustons quand ma fille aînée, sa mère, Virginie, me téléphone. Elle souhaiterait passer et j’en suis heureuse. Nos relations étaient plutôt froides ces derniers temps.
Sa voix fait ressortir à la fois de la gêne, mais aussi un peu de panique.
Virginie arrive environ une demi-heure après. Elle est heureuse de voir son fils et nous nous faisons une bise chaleureuse.
Elle m’expose alors les difficultés qu’a sa fille à cohabiter avec son mari et me demande si je peux héberger Christelle quelques jours, le temps que ça se tasse.
Je veux bien ouvrir ma maison à ma petite fille, bien que je me dise que je ne dispose que de deux chambres. Bah, on se débrouillera !
« Dis moi, Virginie, qu’est-ce que tu fais avec un type pareil ? Tu l’aimes à ce point ? »
«Elle est gênée de me répondre :
« Non, c’est pas ça »
« C’est sexuel ? »
Elle est surprise d’une telle question, mais hoche la tête pour acquiescer.
« Il te fait des trucs magiques ? »
Elle se lance :
« Ben, il fait ce que j’aime et moi je le laisse faire ce qu’il aime »
« Comme quoi ? »
« Il aime me prendre par derrière, si tu vois ce que je veux dire »
« Oui, j’imagine Et toi ? »
« Oh, maman, c’est personnel tu sais »
« Vas-y raconte moi !»
« C’est simple, il me prend sur ses genoux et me caresse comme pap »
Elle se rengorge, comprenant qu’elle en a trop dit.
« COMME PAPA ? C’est ça que tu veux dire ?»
Elle est rouge de confusion et bredouille un :
« Oh, maman, je ne voulais pas dire ça »
« Alors, dis moi en plus ! Raconte moi tout ! »
Je suis estomaquée mais impatiente de savoir la suite.
« Voilà, une fois pour s’amuser, papa m’a prise sur ses genoux, comme quand j’étais petite mais je ne l’était plus, j’étais en terminale à l’époque. Ca m’a amusé au début, puis il m’a caressé le genou, puis la cuisse. Il s’est penché sur ma poitrine et m’a sucé un téton au travers de mes vêtements. Ca m’a énormément troublé et comme je n’ai pas réagi, il s’est enhardi pour caresser ma culotte. Je me suis laissée faire et j’ai succombé au plaisir.
Après, dès que c’était possible, il m’invitait sur sa cuisse, et comme il me l’avait demandé je ne portais que des jupes, il accédait facilement à ma vulve. J’ai pris goût à le satisfaire avec ma bouche pour le remercier. Après avoir perdu ma virginité après mes noces, nous sommes allés plus loin dans nos rapports, mais mon mari a commencé à se douter de quelque chose et nous avons arrêté. »
Si elle reprend son souffle après cette tirade quelle a débité à toute vitesse, moi je ne sais plus respirer. La colère monte en moi, mais je me raisonne en me disant que si elle couchait avec mon salaud de mari, son propre père, moi j’en fais autant avec son fils maintenant.
Voyant mon air contrit, elle bafouille un tas d’excuses et s’en va à reculons.
Je reste sidérée, je ne me suis jamais douté de rien, pourtant une mère doit détecter ces choses, je m’en veux et me mets à pleurer longuement.
Davis apparaît alors.
« Maman est partie ? Ben, mamie, pourquoi tu pleures ?»
Il s’assoit près de moi et m’enlace pour me réconforter. Il est adorable ce jeune.
J’ai un besoin immédiat de vengeance et lui dis :
« Viens, montons dans ma chambre ».