Nous nous fixons un rendez-vous un vendredi soir, chez elle. Elle habite dans un petit deux pièces à Paris. Étant de la région parisienne, le déplacement serait assez simple. Elle me donne son adresse, et quelques petites choses à préparer pour ma venue. Elle voulait que je sois habillé normalement, mais que japporte avec moi un string féminin, une mini-jupe, mes deux godes et surtout une laisse et un collier pour chien.

Le jour du rendez-vous arrivé, je prépare mon sac et me voilà pour parti pour la rejoindre. Javais pas mal de stress, parce que cétait la première fois que je franchissais le pas, mais jétais tellement excité à lidée que jallais vivre ça en vrai. En arrivant devant sa porte, je frappe. Elle vient mouvrir, habillée du même top rose que dhabitude, et un mini-short assez moulant vert. Elle est vraiment canon en vrai, de longues jambes plutôt fines, une taille fine, des petits seinsmieux que je ne limaginaisElle minvite à entrer, et à masseoir sur le canapé. Je la sens stressée, mais elle tente de me mettre à laise. On papote pendant quelques temps, elle me sert un verre deau. Je commence à me détendre doucement, et cest le moment quelle choisit pour commencer. Dun coup, le ton de sa voix change. Son regard devient plus insistant. Cest un peu effrayant au départ, déstabilisant même, mais lexcitation monte presque dun coup. En quelques secondes, je bande. Elle prend les choses en main, se lève et marche vers moi.

« Fous toi à quatre pattes sur le canapé petite merde »

Je mexécute. Cest très perturbant, mais diablement excitant ! Elle commence à me caresser les fesses, et passe sa main sur mon entrejambes. Elle me claque doucement les fesses, et continue de les caresser.

« Alors ma salope, content dêtre là ? Tu aimes être soumis à ta maitresse ? Tu aimes être une bonne chienne ? Je vais moccuper de ton cul ma salope »

Ma bite voulait exploser. Je nen pouvais plus, mon boxer était trempé de mouille. Je sentais que ma bite shumidifiait plus lexcitation montait.

« Tu as une minute : direction salle de bain tu te changes, string, jupe, laisse et cest tout, RAPIDE ! »

Ni une ni deux, je prends mon sac et menferme dans la salle de bain. Jenlève donc mes vêtements, et mhabille avec les fringues que jai apportées. Je porte un string rose, une petite jupe style écossaise, et je mets le collier attaché à la laisse. Je ressors rapidement de la salle de bain, et me revoilà dans le salon. Elle na pas bougé, elle mattend à côté du canapé.

« Allez hop, tu te refous à quatre pattes sur le canapé. Je veux que tu roules du cul pour moi »

Jétais donc à quatre pattes sur le canapé, et jondulais du cul. Elle était derrière moi, mais je ne voyais pas ce quelle faisait. Elle sest assise sur le canapé à côté de moi, jai donc tourné la tête pour la voir. Elle avait les yeux rivé sur mon cul, et se touchait lentrejambe. En face de son canapé, il y avait deux petits fauteuils. Elle retourna sasseoir dans lun des deux fauteuils. Jessayais de suivre ses mouvements en tournant la têtemais

« Regarde devant toi salope. Laisse moi mater ton cul. »

Je narrivais pas à voir ce quelle faisait, mais je laissais aller mon imagination à ce quelle pouvait effectuer de ses mains.

« Remonte un peu ta jupe, je veux bien voir ton cul »

Je remontais donc ma jupe, jétais presque nu devant une inconnue, cétait bizarre, mais je ne men souciais pas tellement jétais excité !

« Avec ta main tu te claques le cul mon soumis, comme tu le fais à la cam »

Elle aimait bien me voir me fesser. Cest donc ce que je fis.

« Ok arrête maintenant. Debout. Tu retires ton string et tu le manges »

Me voilà donc debout, face à elle. Je retire doucement mon string, et commence à le mettre dans ma bouche. Je bandais très fort, cétait impossible de cacher cette érection car une énorme bosse soulevait la jupe.

« Ouais goutte bien ta mouille. Vas y »

Alors que je ne métais pas encore touché la bite, je sentais que limplosion nétait pas loin

« Regarde moi salope. Regarde ce que je tai acheté, cest pour toi »

Elle avait posé sur la table du salon une petite gamelle pour chien. Je ne savais pas trop ce quelle voulait que je fasse avec, mais je nallais pas tarder à le savoir

« Tu vois cette belle gamelle, tu vas la remplir toi même. Je veux que tu enlèves ta jupe et que tu débandes et vite. Je te laisse deux minutes. Dans deux minutes je veux une queue molle devant moi »

Là, jétais encore plus excité. Jenlevais la jupe et voilà, jétais nu face à elle. La bite en érection, cétait la première fois que jétais nu devant une fille que je ne connaissais pas (ou presque). Jessayais de me concentrer pour débander, mais ce nétait pas facile. Surtout que face à moi, elle narrêtait pas de se caresser lentrejambe et les seins en me matant. Cétait impossible. Plus je la regardais, plus javais limpression que mon sexe grossissait

« Salope ça fait deux minutes et tu bandes encore ! Viens ici »

Je mapprochais delle et elle me mit une grosse gifle dans la bite. Comme je mouillais beaucoup, quelques giclées tombèrent par terre.

« Lèche salope, le sol doit rester propre »

Jétais donc à quatre pattes de nouveau, en train de lécher les petites giclées de mouille qui étaient tombés sur le sol. Elle attrapa la laisse et me demande de me relever. Avec la paume de sa main, elle frottait mon gland dans tous les sens. Elle ne tarda pas à avoir la paume recouverte de mouille. Elle approcha la main de mon visage et lessuya dessus.

« Voilà, une bonne salope bien maquillée ! Bon, maintenant je veux que tu débandes ! Et vite »

Je me concentrais donc à fond pour pouvoir débander. Le temps me paru une éternité, mais petit à petit, je sentais mon érection se résorber. Pendant ce temps, elle vaquait rapidement à ses occupations, boire un verre deau, fumer une clope

Arrivé au stade de la mi-molle, elle concentra de nouveau son attention sur moi.

« Bon ma salope, ta gamelle, tu la remplis. Tu pisses dedans comme une chienne. Allez hop plus vite que ça. Tu te fous à quatre pattes sur la table, la bite au dessus de ta gamelle »

À peine elle avait commencé à me reparler, je sentais lérection revenirmais je minstallais sur la table comme elle me lavait demandé, et je pensais fort à lenvie de faire pipi. Ce ne fut pas très long, jarrivais à pisser assez vite. Jétais gêné, mais tellement excité ! Le premier jet était bien sûr un peu mélangé avec de la mouille, mais jarrivais à pisser en bonne quantité. La gamelle fut vite pleine, et à la fin de mon pipi, jeus le malheur de mettre un peu de pisse à côté

« Tas fini mon cochon ? Salope ten mets à côté ! Ben tu vas nettoyer, mais avec ta langue »

Elle prit la gamelle et la posa dans un coin du salon. Elle attrapa la laisse, tira un coup dessus et indiqua avec son doigt la petite flaque de pisse que javais faite sur la table. Je navais pas dautre choix, je commençais donc à lécher la flaque avec ma langue.

« Voilà tu lèches bien salope. Je veux que tu aspires ta pisse, tu ne laisses pas de traces »

Je navais jamais bu mon urine. Il métait arrivé de me pisser dessus, ou de tremper un doigt dedans, pour « goutter » mais là, je navais jamais fait. Mais cétait terriblement excitant, que jen oubliais que jétais nu, à quatre pattes, devant une fille inconnue, en train daspirer ma propre pisse sur la table de son salon.

Une fois la table bien nettoyée, elle tira sur la laisse pour me promener comme un chien.

« Allez salope, tu me suis comme un bon toutou »

On fit le tour de salon, je marchais à quatre pattes comme un chien, et je suivais gentiment ma maîtresse. Elle sarrêta, puis me regarda dans les yeux.

« Ça te plaît ma salope ? Tu aimes que ta maîtresse soccupe de toi ? Et si tu toccupais un peu de ta maîtresse ? »

Mon sang ne fit quun tour. Ma bite bandait plus que fort. Jallais enfin profiter de ce corps de rêves, voir ses seins, sa chatte en vrai. Elle tira sur la laisse, et me demanda de masseoir sur le canapé. Elle se mit face à moi, et commença à se caresser les seins et lentrejambe. Cétait très sensuel, je bandais fort et je navais quune envie, me toucher la bite et me branler. Elle se tourna et montra sa cambrure. Elle se cambra au maximum pour bien faire ressortir son petit cul. Jétais aux anges. Je profitais quelle avait le dos tourné pour me tripoter un peu la bite. Grave erreur

« Tu fais quoi salope, tu touches ta queue alors que je ne tai rien demandé ? Dégage ça tout de suite »

Elle me gifla la bite, et mattrapa le visage avec sa main.

« La prochaine fois que tu y touches, je te punis ! Mais dailleurs, je vais te punir ! Tu voulais te branler en me matant salope ? OK, punition »

Elle me lâcha le visage, et me montra du doigt mon sac :

« Tu prends ton petit gode bleu, tout de suite, tu te ramènes ici avec DÉPÊCHE ! »

Javais apporté mes deux godes, je fonçais donc récupérer le petit gode, et je retournais masseoir sur le canapé face à ma maîtresse. Elle prit le gode de mes mains, et mis sa paume de main face à moi.

« Crache dans ma main sale pute »

Un peu surpris, jessayais de constituer un crachat assez gros et lui cracha dans la main.

« Salope finalement je trouve ça dégueulasse »

Juste après avoir craché dans sa main, elle trouvait que cétait crade, alors elle frotta sa main contre mon visage et étala le crachat sur ma gueule.

« Jai bien mieux pour toi, tu bouges pas. En fait si, fous toi à quatre pattes salope »

Elle partait donc chercher quelque chose dans la salle de bain, pendant ce toi moi, je me mettais en position sur le canapé. Elle revint assez rapidement, avec un tube de gel lubrifiant. Elle déposa une dose de gel sur le gode, et le frotta contre mon anus. Elle approcha son visage du mien, et me tendit le gode.

« Vas y salope, je te regarde »

Elle alla sasseoir dans le fauteuil en face du canapé et me regardait. Je commençais donc doucement à enfoncer le gode dans mon cul. Il y avait du lubrifiant, ce nétait donc pas difficile. Pendant que je me godais, je sentais que de son côté lexcitation montait

« Vas y salope, encule toi, encule toi. Fais disparaître le gode dans ton cul salope »

Elle voulait que jenfonce entièrement le gode dans mon cul. Il nétait pas très grand, ce devait donc être possible, même si je ne lavais jamais fait. Je poussais donc le gode pour quil puisse rentrer entièrement. Après plusieurs tentative, jarrivais finalement à le mettre en entier dans mon cul.

« Bien ma salope, maintenant tu pousses et tu le laisses tomber »

Une fois que le gode était rentré complètement dans mon cul, je poussais comme si jallais chier, et je laissais tomber le gode par terre. La sensation était bizarre, mais cétait toujours trop excitant.

« Maintenant tu tassoies sur le canapé et tu me regardes »

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