Je déambulai dans le vieux quartier de Zanzibar avec mon guide et interprète Hamad, un beau jeune homme de 23 ans qui avait vite compris que j’avais tout autant besoin de sa bite que de sa langue. Il y trouvait son intérêt tout autant que moi le mien.
Il faut dire que je profitais sans vergogne de mon récent divorce pour m’offrir la vie dont j’avais toujours rêvé.
Mon ex-mari était richissime et m’en séparer, revenait à avoir gagné à l’euro million.
Femme d’affaires avisée, j’avais placé ce pactole de façon à ce qu’il pût continuer de croître tout en m’assurant un fabuleux train de vie.
A quarante cinq ans, je ne suis plus de la première jeunesse certes, mais encore bien désirable d’autant qu’une poitrine opulente, que je sais mettre en avant, me sert de piège à queues surtout si ces queues ont un cerveau au bout, cerveau qui sache calculer. Je sais me montrer généreuse avec qui me plait et les petits cadeaux ne me font pas peur.
Pour le moment, Hamad devait se contenter de me baiser, ce dont il s’acquittait fort bien… Avant de commencer à distribuer montre et fringues de luxe, je veux quand même qu’on le mérite.
Au niveau sexuel, donc, je ne me refusais rien, tout m’était permis et, pourtant, j’étais loin d’avoir réalisé tous mes fantasmes. Certaines choses ne se vendent pas.
Mais, pour lors, je flânai dans les vieilles rues si typiques. Hamad m’y avait conseillé une échoppe dont il venait d’entendre parler et où, m’assurait-il; je trouverai des choses sortant de l’ordinaire.
Le propriétaire était un homme vieux comme l’humanité. Il était sec et voûté et ses cheveux et sa barbe, blancs comme la neige, tranchaient avec sa peau très noire plissée comme une chemise jamais repassée. Il ne portait qu’une sorte de toge attachée à l’épaule droite, laissant la moitié de son torse à nu. Son regard était d’une vivacité folle et il me déshabillait littéralement du regard. J’avais l’impression qu’il voulait lire en moi. Il échangea quelques mots avec Hamad.
Rien ne me plaisait dans cette boutique et j’allais sortir quand je fus attirée de façon irrésistible, comme si j’y étais appelée, vers un recoin de cette turne. Il y avait là tout un bric-à-brac et je ne vis rien de prime abord mais, soudain, un objet retint mon attention.
C’était un masque en bois, d’une allure apparemment grossière mais, quand on le regardait de près, c’était l’inverse. Les orbites et l’ovale de la bouche évoquaient une vulve, d’autant qu’au bout de la bouche, l’artiste avait sculpté des poils de barbe et de menton, qui mis dans le sens normal du masque, passaient presque pour ce qu’ils étaient, mais mis sur le côté évoquaient bien un sexe féminin.
Je saisis l’objet et, dans mes mains, c’est comme s’il y avait eu un très léger courant électrique.
J’examinai alors la chevelure et il était impossible d’imaginer un travail plus fin et plus précis. Les cheveux bouclés et abondants paraissaient n’être quune tignasse foisonnante, mais, de près, chaque poil était une très longue bite au gland bien dessiné. Toutes ces bites s’entremêlaient dans un réseau inextricable.
Pour les oreilles, c’était la même chose. Le pavillon n’était qu’une hampe de bite courbée et le lobe, un gland volumineux.
Je n’avais jamais vu un objet pareil et je me sentais comme captive en le manipulant. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises.
L’intérieur était entièrement peint de scènes pornographiques miniatures mais très réalistes, hétéro, bi ou homosexuelles, en groupe et même zoophiles. Je le mis sur ma tête et aussitôt, je fus assaillie de mille images de cul. La puissance évocatrice de cet objet faisait décidément travailler l’imagination.
C’est le vieil homme qui me le retira. Puis, il repartit avec vers le fond de la boutique en sautillant plus qu’en marchant, avec une certaine célérité que son grand âge et sa posture courbée n’auraient pas laissé supposer.
— Il dit que c’est dangereux, me dit Hamad en traduisant ce qu’avait dit le centenaire.
— Pourquoi ?
— Il dit que les femmes qui le portent, peuvent partir vers le pays de la copulation si elles trouvent le moyen d’y aller… mais il faut aussi qu’elles trouvent le moyen d’en revenir.
— Je ne comprends rien.
— Il dit que c’est un masque magique.
— Comment va-t-on dans ce pays ?
— C’est à la propriétaire de le découvrir.
— Et comment on en revient ?
— Pareil.
— Dis-lui que je veux l’acheter.
— Il refuse de le vendre.
— Pourquoi ?
— Il dit que c’est trop dangereux pour toi… que tu es trop impulsive, que tu t’exposeras à de grands périls si tu le portes.
— 1000 dollars !
Alors, commença un long marchandage, beaucoup plus long que ce qu’on a l’habitude de pratiquer sous ces climats.
J’écoutais fort distraitement les explications que me traduisait Hamad. Les fariboles du vieillard m’intéressaient assez peu. Les dangers qui m’attendaient… ne pas aller trop loin et surtout revenir vite sous peine de rester jamais là où le plaisir me conduirait, ne pas trop en demander… Tout cela, je le prenais au sens figuré, comme une métaphore des joies que je me promettais si je partais avec ce masque si stimulant qui, de plus, me fascinait chaque minute plus intensément.
A l’évidence, il dégageait un tel érotisme qu’il activait l’imagination et l’autosuggestion. J’étais déjà humide rien que de penser à des choses inavouables, dont j’avais l’impression que le masque lui même me les soufflait. J’avais envie d’une bonne bite et de rentrer à l’Hôtel pour qu’ Hamad me fasse l’amour.
Nous arrivâmes à 2500 dollars. L’affaire pouvait se conclure.
— Mais avant, il faut que tu acceptes un essai.
— Quel essai ?
— Il dit qu’il doit être sûr que tu es capable de supporter ce que le masque va t’offrir si tu trouves comment l’utiliser… et il sait que tu trouveras.
— Et c’est quoi ce test ?
— Il dit qu’il faut que tu fasses l’amour avec lui, traduisit Hamad, l’air amusé et incrédule.
— Qu’est-ce que c’est que ton traquenard Hamad ! Où tu m’as amenée. C’est quoi ton plan avec ce vieux cinglé… t’as manigancé quoi avant ? Il te paie combien…
— J’t’assure, j’t’assure.. je le connaissais pas…
— Ouais, ouais… Bon dis-lui que s’il veut te regarder faire, j’veux bien.
— Il faut qu’il le fasse lui-même, mais j’ai le droit de participer.
En même temps, que pouvait-il me faire ? Je l’épuiserai le bonhomme. J’allais le tuer ! Si tant était quà son âge, il pût bander ! J’étais même curieuse de voir ça… A quoi pouvait ressembler la bite de ce vestige antédiluvien ? A un escargot carbonisé ?
Après avoir donné mon accord et conclu le marché, une fois le prix payé, le vieux type qui s’appelait Monzoba Dispô, fila fermer son commerce et nous conduisit dans un gourbi derrière l’échoppe.
Je me déshabillai de la manière la plus érotique possible pendant qu’Hamad se dessapait lui même sans complexe.
Monzoba dispô s’était redressé. Il n’était plus du tout courbé et était très grand finalement, ce qui ne faisait qu’accroitre l’impression de maigreur.
Puis, il enleva l’épingle qui retenait les pans de sa toge sur son épaule et la cordelette qui lui servait de ceinture pour laisser tomber l’étoffe grise qui avait dû être blanche un jour.
J’avais rarement vu une si splendide érection. Il triquait comme un Priape. La bite décrivait une courbe parfaite comme celle d’un arc et le gland, gros et luisant, pointait fièrement vers le ciel. Sa toison était aussi grise que son habit et ses couilles pendaient démesurément, ce qui permettait de bien apprécier la grosseur et la rondeur de chaque testicule, bien apparent dans le sac.
— Eh ben dis-donc, si je m’attendais à ça !
— Oui, il est plutôt bien monté acquiesça Hamad.
— Tourne-toi, dit alors Monzoba Dispô dans un anglais plus que correct.
— Tu nous comprenais vieux sage ! s’étonna Hamad.
— Il faut toujours avoir un atout dans la négociation.
J’étais sidérée.
— Tourne -toi femelle, répéta-t-il, tu es prête.
— Comment ça je suis prête.
— Ton sexe est humide, je le sens, dit-il en gonflant ses narines. Le masque t’a appelée.
Je me tournai donc et me penchai vers une table où j’appuyai mes bars, tendant ma croupe au surprenant vendeur.
Il mit aussitôt deux doigts dans ma chatte puis s’agenouilla avec une telle facilité qu’il ne me parut plus du tout perclus d’arthrose comme j’en avais d’abord eu le sentiment.
Il m’invita à écarter davantage les jambes, pendant qu’Hamad éprouvait la solidité de la table.
— Tu peux monter dessus, garçon. Elle en a vu d’autres… depuis que je suis le gardien du masque.
Puis, il appliqua sa bouche contre mon sexe et commença à me ravager avec sa langue. Les poils de sa barbe, beaucoup plus durs que je ne l’avais prévu me firent une très agréable impression.
Désormais, Hamad était sur la table et me présentait sa queue à sucer. Je m’y précipitai comme une affamée.
Je ne fus pas longue à sentir sur mon clitoris, les bienfaits de la langue de Monzoba Dispô et dès que je commençai à me trémousser du tortillard, il se redressa, guida sa bite de sa main et, ayant trouvé l’orifice, l’enfonça d’un coup. Ouille !
Puis, il me saisit par les hanches et ses doigts décharnés et secs, se refermèrent sur ma chair avec la force des mâchoires d’un étau. Et il se déchaina.
Je n’étais pas attendue à la fougue destructrice de cet ancêtre. J’avais du mal à sucer tranquillement la bite d’Hamad tant j’étais secouée.
Comme mes nichons étaient écrasés sur la table, il m’attira vers l’arrière pour que je les dégage, et il vint me pincer les tétons après avoir parcouru lentement tout mon corps.
Puis, il m’amena vers une paillasse qui sentait la sueur et, sans qu’il eût besoin de dire ce qu’il désirait, je me mis en levrette. Là encore, en me guidant, il ajusta ma croupe à la hauteur voulue. Je sentis une forte pression sur mon anus et il le déchira. Il me prit en bouledogue et se pencha vers moi, me maintenant la tête couchée contre le sol de la force d’un de ses bars. De la sorte, je pouvais voir les jambes écartées d’Hamad qui se branlait en attendant un moment meilleur.
Quand l’aïeul quitta mon cul, je sus d’instinct qu’il me voulait sur le dos. J’ouvris la cuisse et il s’allongea sur moi. Il ne pesait rien, mais il baisait bien.
Il vint plonger sa bite dans ma bouche en priant Hamad de me ramoner, préconisation superflue d’ailleurs pour mon vigoureux garçon qui ne demandait l’autorisation de personne.
Son gland était ferme et doux et le vieillard essayait de me le pousser jusqu’à la glotte. Tout en se rainetant dans ma bouche, il pivota sur lui-même pour se retrouver face à Hamad et, surtout, il pouvait me triturer les seins à m’en faire un peu mal, un mal qui me faisait du bien…
Tout à coup, ma bouche s’emplit d’un liquide chaud et crémeux qui se répandit lentement, comme s’il éjaculait au ralenti. Le sperme ne jaillissait pas, il s’écoulait en douceur, onctueux, délicieux… puis le rythme s’accéléra et, enfin, quelques jets violents vinrent confirmer la singularité de sa jouissance.
J’en étais pleine. Jamais un homme n’avait joui avec autant d’abondance.
Il retira sa pine, toute dégoulinante mais turgescent à l’extrême.
Il se dressait au-dessus de moi, victorieux. Je compris, comme si le masque, posé à côté de moi, me suggérait ce que je devais faire.
— Allonge-toi Hamad.
Et je le chevauchai. Ainsi, j’offris mes mamelles au vénérable priapique. Il ne débandait pas. Je n’avais jamais vu un mec maintenir une si vigoureuse érection après avoir éjaculé.
Encore toute visqueuse d’un mélange de foutre et de bave, elle coulissait à merveille entre mes seins que je resserrai autour fermement.
C’était l’extase, le super pied, mais il fallait qu’ils me finissent.
Alors, nous changeâmes de position et je vins m’allonger sur Monzoba Dispô et présentai mon trou du cul à Hamad, pour un double d’anthologie.
L’orgasme fut d’une intensité extraordinaire. Chacun remplit son office et son orifice.
Quand le vieux se remit debout, la queue cette fois pendante, il me dit, tout en se rhabillant:
— Le masque est à toi. Quand tu t’en serviras, ta fougue peut t’emmener très loin. Garde le contrôle quand tu pars et reviens…ou tu te perdras à tout jamais… tu sais comment faire.
Je le remerciai et revins à mon hôtel bien décidée à passer la nuit à côté de mon masque pour voir si son étrange magnétisme continuerait d’opérer et si mon imagination allait décupler mes désirs les plus inavouables.
A suivre