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Histoire a ne pas lire seule – Chapitre 1




Ce soir là tu es venu à la maison comme à ton habitude. L’idée très probable d’un tendre dîner, en tête à tête, au coin de la cheminée. Un petit repas tout tendre où certainement nous finirions notre dessert en faisant l’amour passionnément comme à chaque fois

Tu sonnais à la porte négligemment avec l’excitation d’une visite impromptue de retrouvailles hebdomadaires avec un ami amant..

A mon habitude, je t’ouvris la porte ou tu pu sentir une douce odeur d’encens te caresser les sinus. Je te fis entrer. Comme à son habitude la maison était allumée par une multitude de bougies éclairant avec parcimonie l’ensemble de la pièce.

Cette fois ci j’avais disposé la table au milieu de la pièce à la façon d’un promontoire. Chose inhabituelle dont tu me fis immédiatement la remarque. Je te regardai droit dans les yeux en te disant: « Si tu veut vraiment le savoir il faut que tu fasses tout ce que je te dirai de faire.»

Intriguée mais confiante tu acceptais. Curiosité malsaine ou confiance totale? Qui sait! Je te regardai de nouveau et t embrassai langoureusement. Le contact de mes lèvres avec les tiennes eu une saveur sucrée et une douceur comparable à la soie.

Je passai mes mains autour de ton cou, je caressai tes cheveux en même temps que nos baisers profonds s’emmêlèrent. Puis profitant de descendre mes baisers le long de ton cou je t’aida à enlever ton manteau qui chût directement au sol.

Poitrine contre poitrine, j’aspirai les saveur de ton cou et pris l’initiative de t’enlever quelques boutons de ton chemisier un à un: en prenant mon temps jusqu’au dernier. De la fermant les yeux je commençai à descendre au niveau de ta poitrine.

Mes doigts remontant de bas en haut n’eurent aucun mal à trouver le bouton de ton soutien gorge et le firent sauter rapidement

La! la poitrine à nue debout au milieu de la pièce, je te poussai délicatement contre la table. De toi même tu m’enlèves ma chemise et mon tee shirt: tes mains remontant sur ma poitrine, la malaxait; tu commenças à me les lécher comme à ton habitudes.

La douceur de tes mains remontant sur mon torse me donnait des frissons indescriptibles. Le contact de ta langue passant doucement de mon cou à ma poitrine remontait des picotements sur tout mon corps

Tu laissas descendre une main au niveau de mon entre jambes et commenças à me malaxer quand soudainement je te remontai énergiquement. Je t’embrassai langoureusement et descendit mes mains au niveau de ta taille et ôtai délicatement ta jupe et ton string. Mes mains parcouraient tes fesses rebondies. Ma main gauche allant se placer dans la raie de tes fesses en des mouvements de va et vient, je laissai passer mon index au niveau de ton entrée la plus intime.

Ma seconde main plus courageuse pris le chemin de ton pubis. En écartant les doigts tel un plumeau, elle profitait de te toucher du bout des doigts le plus de surface de peau possible.

Arrivé au niveau de tes grandes lèvres, gonflées par l’excitation, j’osai poser délicatement ma main devant ton vagin. Une douce chaleur humide s’écoulait de ton corps sur ma main.

De deux doigts j’emprisonnai ton clitoris et commençai à le branler délicatement, allant et venant entre ton bouton d’amour et l’entrée de ta vulve. C’est alors que tu sentis que je t’introduisis deux doigt en toi et qu’en même temps de mon autre main je pénétrai ton anus qui s’ouvrit sans effort par l’excitation.

Mon regard droit dans tes yeux, je te fixe. Tu es tellement belle quand tu sens l’amour, magnifique même quand tu es épris de sexe. A ce stade je ne bouge plus. Tu me fixes suppliante, de jouissance, et de toi même tu t ouvres, tu te branles. Prise dans une danse endiablée, tu t’insères mes doigts dans tous tes orifices.

Ton bassin allant vers l’avant, réclame plus profondément mon majeur et mon index, qui aidé par mon pouce triture ton clitoris qui s’inonde, te fais couler le long de tes douces cuisses. Puis reculant s’insère encore plus, l’index et le majeur de mon autre main qui s’insinue aussi profondément dans ton anus.

Puis sentant venir à toi le plaisir, je décide d’arrêter ta danse du diable en retirant mes doigts. Tu fais une couinement de déception et une moue de ton visage qui me tire un sourire à la fois aussi amusé que pervers.

Car je te prépare une jouissance beaucoup plus intense. La! Poser sur le bahut je saisie un foulard rouge vif. Je t’embrasse fougueusement. Le contact de ta langue qui s’enroule autour de la mienne est plus que torride. On se mordille, on se griffe, nos baisers sont violents: plus que torride on devient limite bestial.

Je te regarde, souriante, repue de cette échange de fougue. Ton regard pervers me plaît; j adore le fixer quand je pénètre en toi. Dans ces moments là, tes paupières s’ouvrent et ta bouche lance un râle ainsi qu’un rictus tellement expressif qu’ils sensualisent tout ton visage d’une beauté divinement lubrique et innocente à la fois.

Je te fais un petit baiser et te met le bandeau sur les yeux avec un petit soupir mais cela est primordial pour le suivi de nos événements lubriques.

De là, comme tu te doutais je t’allonge sur la table. La chaleur du bois sur ton dos t’émoustille. Je te pose délicatement la tête légèrement pendante de l’autre coté, alors que tes jambes sont ouvertes tremblantes prêtes et offertes à tout les désirs.

De mes deux mains je te caresse le bras droit, je descends doucement de ton épaule en direction de tes doigts. Je saisi cette main si soyeuse et doucement je te suce l,index, puis le majeur. Je sais que cela t’excite et génère beaucoup d’humidité dans ton entre jambe.

A ce moment là je lèche la base de tes doigts puis les mordille. Je redescend sur la paume de ta main et en même temps je jette ma vision sur ton corps splendide.

A ce moment un nouveau sourit naît en moi. Je te vois la! Offerte les jambes écartées soumises et réalise que tu te caresses de l’autre main.

Douce et sensuelle, tes doigts pincent ton clitoris comme un mini pénis. Ils l’enroulent, en effectuant des mouvements de haut en bas, puis deviennent circulaire pour que soudainement trois de tes doigts disparaissent au fond de ton intimité jusqu’à la base de ta main.

Cette vision, symbole décadent pour certain ou image sensuellement féminine pour d’autre n’ouvre pour moi que le fait qu’on ne s’épanouit soi même que lorsque nous abolissons tous nos propres tabous

Néanmoins, t’es pas là pour jouir comme ça. Reprenant mes esprits, je saisi la main que je te lèche et la laisse pendre le long du pied de table. Je prend une paire de menotte et te l’attache contre.

Je fais le tour de la table, saisie délicatement ta main qui te doigtais frénétiquement. Tu fais de nouveau un petit couinement de bouderie. Souriant à nouveau, je pose délicatement le bout de ma langue sur le bout de ton clitoris gonflé de désir: quelques secondes. Puis je prend ta seconde main et l’attache sur l autre barreau de la table.

Je t’observe là, allongée sur la table les yeux bandés, les bras menottés et l’entre jambes offert qui coule abondamment jusqu’au sol, de ta chaude liqueur intime . Excité par la scène, je prend une plume et dans l’inconnu, je décide de te caresser le corps.

Commençant, par ta gorge, je fais virevolter le bout arrondi de cette douce plume sur ta joue puis la fait se diriger délicatement sur ton menton. Je vois ta gorge remonter lors de son passage, et le haut de ton buste frissonné lorsque je l’ai fait évoluer horizontalement sur le haut de ta poitrine.

Celle ci se dirige petit à petit sur le creux de ta poitrine, arrivé au milieu, je l’a fait remonter lentement sur ton sein droit. Tu sent la douceur exquise de ce contact qui arrive sur la pointe de ton téton frémissant, je te le titille timidement pour ensuite commencer à dessiner de petits cercles tous autour de ton embout.

Ta peau réagit; la chair de poule t’envahit. J’écoute ton souffle, il est saccadé, il s’accélère. Des petits sons exquis de plaisirs résonnent dans toute la pièce.

Je décide de faire repartir la plume vers ton autre sein. L’excitation me prenant j’avance mes lèvres sur le sein que je viens de te caresser. Mon souffle s’approchant est chaud, sans te toucher déjà tu ressent ma caresse. Je te dépose un baiser et ma langue refait la même danse circulant que tu as reçu précédemment.

La plume arrive à sa seconde destination. Elle reprend de nouveau sa danse caressante pendant que je te mordille le bout du sein.

La plume repart de nouveau vers le centre de ta poitrine pour ton plus grand plaisir. Elle effectue un tendre virage et indique sa nouvelle destination: ton nombril.

J’en profite pour m’occuper de ton second sein et lui prodiguer les mêmes faveurs qu’à son jumeau. Je pose ma langue contre ton bout, la plume arrive sur ton nombril. Son effet te fait rentrer ton pubis et te fais pousser un cris d’excitation .

Quand soudain dans la folie des caresses, tu ressens que ton sein droit est de nouveau léché et cela en même temps que celui dont je m’occupe…

Tu réalises que le doux parfum que tu as senti en rentrant chez moi et qui t’était familier est une odeur féminine. Tu comprends que la lumière tamisé cachait une demoiselle assise sur le canapé qui n’a manquée aucun de nos préliminaires.

Et toi, là, soumise sur la table, menottée, tu ressens maintenant à la fois deux langues et quatre mains douces qui t’effleurent les seins durcis par ce troubles des sens, ainsi que la plume qui a repris son chemin en direction de ton pubis.

A suivre

Francky2Mars

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