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Des lesbiennes se partagent un sex-toy très spécial – Chapitre 2




DES LESBIENNES SE PARTAGENT UN SEXTOY TRES SPECIAL. 2

Soit c’est un mytho qui s’est glissé un truc dans le pantalon pour faire l’intéressant, soit il a une bite monstrueuse, mais tu as vu le gabarit ? C’est un fils de fer ce gars ! Un coup de vent et il s’envole !

Je n’ai rien remarqué quand vous êtes revenus, si ça se trouve, tu t’es fait un film et il est monté comme tout le monde ! lui rétorque Emilie.

Bon, on décide quoi les filles ? interroge Laure.

OK pour moi, on jugera sur place ! je lui réponds.

Emilie réfléchit un instant et se décide enfin :

Euh ! C’est à moi de prendre la décision car je suis la première concernée. Je vous fais confiance et j’espère ne pas le regretter…

Suite :

J’ai contacté Léna et nous avons convenu d’une date, elle s’est même proposé de venir pour – selon ses dires – éviter des « accidents » et s’occuper de préparer son frère.

Le jour venu est arrivé. Léna et Claude se présentent chez nous et nous les faisons entrer au salon.

Pendant une dizaine de minutes, nous refaisons connaissance et Léna recadre enfin les choses en expliquant la suite en se dirigeant vers une chambre :

Comme convenu, Claude va vous laisser l’entière liberté de disposer de son corps. Pour cela, j’ai amené des liens pour l’entraver. Ce lit fera l’affaire, je vous demande à toutes de sortir le temps que je le prépare !

Quand elle nous rappelle quelques minutes plus tard, nous retrouvons Claude les fesses au bord du lit, les chevilles attachées à chaque pied, écartant ses cuisses, le reste de son corps est caché sous un drap ne laissant dépasser que sa tête.

A vous les filles ! Faites comme s’il n’était pas là !

Nous sommes un peu troublées au début par sa présence mais très vite, nous oublions complètement qu’il nous observe. Emilie s’occupe déjà de la fente de Laure allongée à côté de Claude et lui administre un cunnilingus de rêve, puis à mon tour, je me joins à elles.

Nous ne prenons même pas le temps de nous dévêtir, écartant seulement ce qui nous gêne.

Laure ! Ecarte plus tes cuisses que je joue un peu avec ta choupinette !

Laure se soumet aux doigts qui écartent ses lèvres intimes, pénètrent sa grotte déjà humide.

Elle apprécie la caresse, se cambrant quand un pouce excite le clitoris entièrement décalotté.

Elle s’approche de l’orgasme dans un délai très court, se tordant de plaisir comme un serpent prisonnier.

Oh ouuuiii c’est booonnn !

Soudain, mon regard est attiré par le drap qui recouvre Claude où s’érige de plus en plus comme un piquet de tente.

Regardez les filles, vous lui faites de l’effet, on dirait !

Laure, les bras en croix, la chatte totalement offerte à Emilie, regarde elle aussi l’érection qui n’arrête pas de repousser le drap. Elle commence à donner des signes de faiblesse sous les attaques d’Emilie et ressent comme une décharge électrique lorsque sa tourmenteuse repasse sa main sur son clito exacerbé. Un orgasme la libère enfin.

Le sexe de Claude grandit encore, Laure, retrouvant doucement ses esprits, le caresse avec sa main droite à travers le tissu.

Putain le morceau !

Elle repousse Emilie et arrache le drap, Claude a des entraves sur ses cuisses, son ventre et au niveau de sa poitrine. Un mat impressionnant combattant la gravité terrestre s’érige au milieu de son corps.

Laure, qui est la seule de nous trois à avoir déjà connu le sexe masculin en vrai, ne tarit pas de compliments.

Jamais vu ça ! Putain de merde, quelle queue ! Pire qu’un black ! C’est pas possible que ce « gamin » soit monté si gros !

Je dois dire qu’elle n’est pas la seule interloquée par la taille du sexe de Claude. Il n’atteint peut-être pas l’épaisseur du gode surdimensionné de Laure qu’elle est la seule à supporter mais il n’en est pas bien loin… Et pour la longueur, à part nos godes doubles, nous n’avons rien d’aussi grand.

Laure ne peut s’empêcher de saisir à deux mains l’objet de son envie, il est si gros que ses pouces n’arrivent pas à toucher ses autres doigts.

Alors les filles ! sexclame Laure. Quand je vous avais dit qu’il avait l’air d’être monté comme un âne !!! J’ai toujours aimé les hommes bien montés mais je n’avais pas encore trouvé un tel phénomène. Venez les filles ! N’ayez pas peur de lui, il ne va pas vous mordre !

Je me lance et prends avec délicatesse cette « chose », l’effet est nouveau pour moi.

Oh ! Que c’est chaud ! C’est tout doux et pourtant si dur, je sens même pulser son machin. Viens voir Emilie, il va bien falloir que tu domines ta répulsion du « sexe mâle » si tu veux que Claude te mette en cloque !

Elle approche sa main et saisit à son tour la verge gonflée avec appréhension et délicatesse.

Tu as raison Nicole, c’est drôlement chaud, Il n’a pas la fièvre ? C’est vrai que c’est plus agréable à toucher qu’un gode !

Sans s’en rendre compte, l’atavisme revient et doucement, elle caresse la tige phénoménale.

Je viens la seconder, tâtant les sacs qui pendent dessous, les pressant dans ma main.

Eh doucement ! sécrie Léna en voyant son frère grimacer. C’est fragile ces choses-là ! Si tu veux vraiment serrer cette chose, mets la main plus haut, là tu peux y aller franchement !

Pendant une dizaine de minutes, nous nous amusons comme des gamines découvrant un nouveau jouet, Laure nous montre l’exemple en prenant en bouche le gland à la peau si fine. Cette découverte se prolonge un bon moment. On entend le bruit des fellations gourmandes léchant ensemble le gland, la grosse tige et les grosses gousses bien pleines. J’ose même gober son champignon violet gorgé de sang. Je ne peux pas exprimer l’effet que ça me fait mais je n’ai jamais ressenti ça. Soudain, Léna nous suggère, voyant les réactions de son frère :

Si j’étais vous, les filles, j’enlèverais mes vêtements car il va vous les ruiner, il est pire que Peter North !

Qu’est-ce qu’elle raconte ? Ah je comprends… Claude ne va pas tarder à jouir. Mais qui c’est ce Peter machin ?

Je sens vibrer dans ma main le pénis qui semble devenir encore plus ferme. Une goutte suinte du méat, annonciatrice de son éjaculation. Un jet de sperme s’échappe de sa queue suivi d’autres jets d’une puissance folle. Je ne sais que faire et bouge dans tous les sens, la lance qui n’arrête plus d’expulser d’énormes doses de semence épaisse. Nous en avons partout, sur les cheveux, le visage et sur nos habits. Je commence à comprendre ce que voulait dire Léna.

Je vous avais prévenu les filles ! Vous ne devez pas connaître l’acteur américain qui crache lui aussi comme une mitraillette. Mais Claude est pire, lui, c’est une mitrailleuse avec un débit et une portée encore plus élevés. Je vous conseille de passer immédiatement vos vêtements sous l’eau car le sperme séché, c’est impossible à ravoir !

Nous suivons ses conseils et retirons nos habits pour enlever les traces blanchâtres. Quand nous revenons dans la chambre, Emilie se désole en voyant pendre entre les jambes de Claude sa verge pas encore complètement dégonflée.

On n’aurait pas du lui vider les couilles, comment je vais faire maintenant !

A suivre…

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