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Lippe suceuse et liposuccion – Chapitre 11




Tournoi de baise ’ suite de la variante

-Ma chérie, Victoire et moi nous sommes appliqués à te faire comprendre ce quAndré attend de toi. Nous avons rassemblé ses confidences parfois contradictoires ou divergentes. Que retiens-tu de cette première partie peu festive en réalité ?

-Je suis très surprise. Mais cette réunion des amantes de cet homme me trouble. André séduit avec les mêmes mots, les mêmes promesses. Il se sert de la piscine pour recruter, utilise ses massages pour allumer le feu dans les corps puis conduit à un rapport sexuel et fait chanter celles quil a compromises. Avec un peu de recul, le constat est le même en ce qui me concerne. Jétais sur le point de me jeter dans la gueule du loup. Je note une différence, il a prévu un avenir avec moi, ce quaucune de vous navait obtenu par le passé.

Julie veut-elle tirer avantage de ce projet ? Je croyais la révolter contre ce prétendant indélicat. Au contraire elle se glorifie dêtre lélue unique parmi ce troupeau de femmes qui vont rester au bord du chemin. Je mindigne :

-André ta distinguée, cela te flatte. Tu maccuses de vouloir divorcer pour mieux dégager ta responsabilité dans la décision que tu as déjà prise si je comprends ta dernière phrase. Je regrette de navoir pas réussi à te mettre en garde. Je ne te retiendrai pas de force : Tu ne maimes plus, comme Victoire la démontré tu es amoureuse dAndré. Reprends ce billet davion, bon vol et adieu.

-Que tu es soupe au lait. Combien de fois devrai-je te le répéter, je taime, je naime que toi. Vous toutes, mentendez-vous ? Je naime pas André, jaime Jean, mon mari, le père de notre fils. Si tu veux maccompagner, garde ce titre de transport, nous partirons à deux. Enfin jinterrogerai le chirurgien et selon son avis il y aura ou il ny aura pas liposuccion. Une semaine de vacances nous fera le plus grand bien dans les circonstances actuelles.

Victoire ouvre de grands yeux. Elle veut une autre conclusion :

-Hé, les amoureux, revenez sur terre. Quallons nous faire dAndré, il va bientôt se pointer. Mes amies, vous connaissez son projet ; il veut nous abandonner. Laisserons-nous sa conduite impunie. Je me sens bafouée, abaissée, humiliée. André nous traite comme du bétail, sans vergogne. Je lui déclare la guerre. Et vous ?

-La guerre, la guerre, la guerre.

-Et toi, cousine Julie ? Tu vas applaudir ce type qui ta fait filmer en fâcheuse posture. Tu supporteras quil ait essayé de briser votre foyer, quil ait souhaité te traiter comme une chose et quil se soit moqué de ton mari. Lhumiliation quil veut infliger à Jean ne te met pas en colère ? Comment agit une épouse abusée ? Tu ne peux pas te soumettre à ce vaurien. Tu dois le punir avec nous.

-Oh ! Si ! Mais que faire, vous ne mavez pas laissé le temps dy réfléchir

-Contrairement à moi. Jai un plan. Venez toutes ici, je vous fais un rapide topo.

Voilà André entouré dAnaïs et de Monique.

-Sébastien, tu y vas. Tu pestes, tu menaces « Julie » et tu ten vas en tapant des pieds. Bonne pêche

Julie est parfaite en épouse qui pousse son mari hors de sa demeure. Jamais assemblée na été aussi chaleureuse dans le salon. On a revêtu les habits, robes ou blouses et jupes. André est reçu à la porte dentrée par Julie. Notre voisin a pris son rôle à cur lorsque je lui ai dit que nous voulions faire une farce à un ami. Avant la double bise de rigueur, André se retourne sur le furieux qui la bousculé en sortant :

-Qui est ce fou ? Il crie des injures, je crois même quil te menace. Qui est-ce ?

-Ah ! Tu ne connais pas mon mari ? Il est lunatique. Il y a deux jours il voulait organiser une grande cérémonie pour notre départ. Aujourdhui il me reproche davoir invité trop damies et daccorder trop dimportance à un événement devenu banal. Il est en pleine crise, il déprime parce que je le quitte quelques jours. Là il part se calmer les nerfs à la pêche. Après il ira au bistrot comme dhabitude. Tant mieux, nous avons du temps devant nous pour nous amuser. Entre au salon.

-Oh ! Comme je te plains de devoir supporter un pareil énergumène. Mais si tu suis mes conseils, tu en seras bientôt délivrée.

-Comment ? Nous sommes mariés, nous avons un fils.

-Fais-moi confiance. Je viens de réaliser quil est urgent de moccuper de toi, mon petit chat. Je te dévoilerai mon plan demain dans lavion, si tu tiens ta promesse.

André maperçoit derrière Julie et se met à rire :

-Jean, que fais-tu là ? Tu es invité ? Tu connais Julie ? Pourquoi ne me las-tu pas dit ? Je suis heureux de te trouver ici. Tu fais la fête avec nous, si ! Nest-ce pas Julie, dis oui. Ne ten va pas.

Julie se retourne, me fixe et fait une excellente comédienne.

— Vous vous connaissez ? Suivez-moi. Viens, cher ami, nous nattendions que toi. Jean, tu connais André ?

— Mais oui, je fais habituellement mon jogging avec André. André, je suis un ami intime dAnaïs, la sur de Victoire et la cousine de Julie. Victoire dabord vexée de lannonce que tu lui as faite hier, sest ravisée. Avancez Julie, le temps de dire un mot à mon ami.

Le salon est plongé dans le noir, lumières éteintes, volets fermés. Julie senfonce dans la pièce, comme convenu. Jinforme André :

Victoire souhaite que Julie et toi soyez heureux en Tunisie. Quand jai appelé Victoire pour ce que tu sais, elle ma donné rendez-vous ici. Elle a pris en main lorganisation de la cérémonie et massocie à ses jeux. Crois-moi, tu vas tamuser. Je compte marcher sur tes traces après ton installation de lautre côté de la Méditerranée. Mais je compte commencer à me distraire dès aujourdhui. Viens, passe devant moi.

-Mon cochon, tu nas pas perdu de temps avec Victoire. Qui est là, combien dinvités?

-Avance et tu verras.

En habituée Julie savance avec André, le prend en remorque. La lumière jaillit et une joyeuse bronca sélève faite de hurlements aigus, de sifflets, de lazzi. Julie se tord de rire, André se bouche les oreilles et tente de sourire. Il jette un regard circulaire, aperçoit tous ces visages de femmes connues. Il me dévisage, inquiet. Je ris de son air défait :

-Quel accueil, mon ami ! Tu es reçu comme un héros. Salue la maîtresse de cérémonie et va tasseoir dans le deuxième fauteuil, à côté de ton amoureuse.

-Mon amoureuse ? Tu crois ? Elle taurait fait des confidences ?

-Elle espère beaucoup du voyage en avion. Elle en parlait avec Victoire. Entre deux fous-rires, jai cru comprendre que demain matin tu serais un homme heureux dans des toilettes

-Oui, mais toutes les autres, on dirait un piège.

Victoire vient faire laccolade, elle le serre dans ses bras avec affection. Ensuite elle le fait asseoir à la place dhonneur. Julie pose sa main droite sur la gauche dAndré. Victoire fait signe à tout le monde de prendre un siège puis entame son discours.

-Chère Julie, Cher André. Demain matin vous nous quittez pour un court séjour de lautre côté de la Méditerranée. Mais je crois savoir quAndré a une révélation importante à te faire, cousine. Tu es la seule à ignorer de quoi il sagit. Nous autres sommes au courant. Beaucoup en apprenant la nouvelle se sont mises en colère. Non, André, naie pas peur. Après lemportement nous avons réfléchi. Tu nous délaisses pour te consacrer entièrement à la femme de ta vie, malgré ton affirmation légendaire « Je dépanne, je népouse pas ». Ton cur sest épris dune femme formidable. Tu nous abandonnes, cela nous déçoit, mais nous avons résolu de penser avec reconnaissance à tout ce que nous te devons. Chacune de nous a une dette envers toi, tu as su mettre de la joie dans nos curs lorsquils étaient tristes, réveiller la jouissance dans nos sens en veilleuse ou ignorés de nos hommes. Grâce à toi le sexe a pris une importance primordiale dans nos vies trop monotones ou mélancoliques. Notre seul reproche tient à la rareté de nos rencontres : Nous comprenons en nous dénombrant que tu ne pouvais pas faire mieux. Car malgré la quantité de tes amantes ici réunies, tu nous as toujours fourni la qualité dans tes rapports amoureux. Nous continuerons à taimer. Au nom de mes amies : Merci, bonheur et longue vie. Tu peux embrasser ta voisine et toutes tes amies présentes. Merci. Que la fête commence. Tu veux parler, à toi.

-Mes amies. Vous avez mis à jour mon petit secret. Jaime la femme, jaime les femmes. Jai aimé chacune de vous, je vous ai toutes aimées. Mon cur est trop gros sans doute et ne peut résister lorsquune femme me témoigne de lintérêt. A celle qui mattire, je ne sais dire « non ». Pourtant il vient de se produire un miracle, ma vie en est bouleversée : une femme a ravi mon cur. Je suis éperdument amoureux delle. Mais jai compris que son amour est exigeant, exclusif. Je veux laimer et désormais lui être soumis et naimer quelle. Pour la gagner il me faut vous perdre. Victoire vous a annoncé ma volonté de vous quitter et pour couper les liens si tendres qui nous ont unis, jai décidé daller métablir loin dici. Mon premier pas me dirige vers la Tunisie. Jy accompagne Julie. Julie tu es la femme qui ma converti à la monogamie, tu es la femme de mes rêves, celle que je veux aimer par-dessus toutes. Devant autant de témoins, pour la première fois de ma vie, solennellement, je te déclare mon amour : veux-tu de moi ?

La salle applaudit, crie de joie. Julie na pas eu le temps de répondre, elle croule sous les félicitations, les embrassades. Les femmes congratulent André, étreignent lheureuse gagnante de ce bizarre concours.

-Un bisou, un bisou, un bisou, crie lauditoire.

Evidemment André tend les bras. On pousse Julie contre lui, elle tend ses lèvres, leurs bouches sunissent. Cétait prévu dans le scénario de Victoire. Je trouve que les succions des lèvres, le creux des joues qui aspirent, le jeu des langues dépassent les limites dun premier baiser. En ami choisi du futur amant, je mavance, je glisse un bras entre les poitrines et joblige le couple à se séparer. Jadresse mes félicitations à un André dépité de descendre de son nuage et je lui glisse à loreille

-Ce soir je veux ma dernière chance de profiter de ta promesse. Tu lembrasses, je lembrasse, tu la baises, je la baise. Ou bien je fais un scandale

Il cherche à comprendre quel scandale pourrait nuire à son plan. Jai fait demi-tour, je saisis Julie à bras le corps et je lui colle ma sangsue sur le bec. Elle me sourit mais se reprend et frappe ma poitrine à petits coups rageurs et moblige à reculer.

-Non mais, Anaïs retiens ton petit ami. Quest-ce qui lui prend de membrasser comme ça.

Dune bourrade André mécarte et prend Julie dans son bras droit.

-Jean, si tu veux rester mon ami, ne tavise plus jamais de traiter ma femme comme nimporte quelle fille de joie.

Julie retrouve ses esprits, frime pour inspirer confiance et pousser André à accepter la suite : un peu de résistance met du piment :

-Tu dis : « Ma femme ? » Attendez, vous allez vite en besogne. Vous oubliez que je suis épouse et mère. Jai un enfant de sept ans, scolarisé, actuellement placé chez ma mère pour la semaine. Et jai un mari.

-Allons mon amour, que vient faire dans notre couple lours mal léché que jai croisé à mon arrivée ? Oublie cet abruti. De nos jours le divorce est entré dans les murs. Une erreur de jeunesse se corrige. Nous partons bien ensemble demain ? Cest toujours dactualité ? Chaque chose en son temps. Lessentiel est que tu maimes comme je taime. Victoire une fête sans un verre

-Voilà. Champagne ! Servez-vous. Trinquons à lamour et à la fidélité.

Victoire na peur de rien. Parler de fidélité dans cette assemblée est aussi incongru que de parler de corde dans la maison dun pendu. Elle na pas fini :

-Jai préparé avec Julie un concours. Nous avons la chance de compter parmi nous deux hommes et non trois à cause du départ providentiel du mari naïf de Julie.

Gros rires.

-André et Jean, je vous demande de composer deux équipes. André, tu es notre héros, tu commences à choisir ta première équipière, elle se rangera derrière toi.

— Tout naturellement jappelle Julie, lhéroïne du jour. A toi de choisir Jean

-Cette dame dont jignore le prénom. Cest  ? Maud. Donc je choisis Maud

Mon choix me vaut un clin dil de mon ami. Il mavait fait remarquer les points de similitude entre les deux têtes déquipe. Derrière lui se rangent donc Julie, Anaïs, Ginette, Amandine et Elodie. Mon camp réunit Maud, Monique, Cathy, Régine et Charlotte la futée malicieuse qui mavait dabord lancé avec bon sens : « Cest vous qui linvitez ? Cest une attention délicate. Vous savez faire plaisir à Julie, elle est très proche dAndré». Cétait une façon élégante mais non dénuée de jalousie de mavertir du lien qui se tissait entre son amant et mon épouse ; elle y mêlait une forme de pitié ironique envers le cocu. Victoire présente son plan.

-André, tu dois sentir lenvie de chacune de faire lamour une dernière fois avant la séparation. Elles sont dix à le souhaiter. Les satisfaire serait une tâche herculéenne. Vouloir tunir fortement à dix femmes cest le pari que nous avons voulu tenter. A toi de nous prouver Mes amies, laissez-moi parler malgré votre enthousiasme A toi de nous montrer ce dont tu es capable. Jai pour te décider une grande nouvelle. Les cinq membres de ton équipe passeront en premier. Jai bien dit les cinq. Oui, réjouis-toi, Julie accepte de se donner à toi, elle ne peut plus attendre lenvol de votre avion. Tu ne me crois pas, interroge-la.

-Julie, je suis ému aux larmes. Est-il possible que tu aies saisi à quel point je suis amoureux de toi ?

-Je brûle denvie de tappartenir, ici, dans ma maison et de franchir le pas. Je veux te suivre partout où tu iras. Je pose mes conditions. Jexige dêtre la première à munir à toi. Tu devras accepter toutes les dispositions édictées par Victoire. Nous en avons débattu et nous avons établi ce règlement en commun. Victoire sera lunique arbitre de nos jeux. Si tu parviens à faire jouir les dix amoureuses que tu vois devant toi, ce soir je viendrai coucher avec toi, nous vivrons ensemble notre première nuit damour. Mais il faut passer lépreuve. Jean sera ton associé. Pendant que tu tefforceras de faire jouir notre équipe, il devra concourir avec toi. Victoire tu expliqueras mieux que moi le déroulement de la fête.

-Merci Julie, tu viens de prendre ta vie amoureuse en mains. Bravo. André tu connais la récompense qui tattend ; passer la nuit avec la femme que tu convoites. Attention ce nest pas acquis. Ton ami Jean a relevé le gant. Notre fête prend lallure dun tournoi. Dans un premier temps vous ferez lamour à vos cinq équipières. Sil y a lieu au cours dune deuxième manche vous vous affronterez pour la désignation du vainqueur en vous unissant aux membres de lautre équipe. Le premier gagnera Julie, le vaincu aura droit à une nuit avec la femme de son choix. En cas dabandon dun des deux concurrents lautre sera automatiquement déclaré vainqueur. Enfin sera déclaré vainqueur dun combat le premier à pouvoir prouver quil a éjaculé dans sa partenaire. Précisons aussi que le perdant de chaque rencontre devra poursuivre avec sa cavalière jusquà léjaculation en elle ou sur elle. Chaque joute sera suivie dun quart dheure de récupération. Cela vous convient-il messieurs ?

André envoie des bisous à toutes ces filles. Je fais le modeste :

-Mon adversaire a un gros avantage sur moi ; il est très entraîné et bien connu de ces dames.

Victoire tranche :

-Ah ! Non, tu as accepté le défi. Ne chicane pas. Javais proposé lutilisation de préservatifs afin de pouvoir contrôler la réalité des éjaculations. Ma proposition a été rejetée par la majorité des participantes. Le contrôle sera exercé par lune de vos partenaires sur celles de lautre équipe. Je vous demande de vous préparer : Mesdames messieurs, veuillez vous déshabiller, entièrement cela va de soi.

Je connais déjà ces femmes que jai filmées nues chez André. Cest une admirable brochette de spécimens variés de la gente féminine. Grandes ou petites, filiformes ou potelées, elles offrent un assemblage étonnant de fesses maigres, proéminentes ou grasses, balancent des seins fort différents, à peine prononcés, joliment séparés ou en contact étroit en raison de leur gros volume. Mais elles sont toutes jeunes, belles, désirables. Je connais aussi André. Je le vois jeter un il en direction de mon pénis. Il paraît étonné à son tour de voir un membre masculin assez important. Je sens chez lui un sentiment de confiance attribuable au fait que toutes ont réclamé un dernier acte damour avec lui. Je pourrais croire par contre représenter plus que le partant leur avenir. Victoire fait résonner une coupe de champagne avec une cuillère.

-En place sil vous plaît. Léquipe dAndré et Julie à lextrémité droite de la grande table, celle de Jean en face . . . Deux équipières de part et dautre se mettent immédiatement à luvre pour parfaire lérection de nos étalons. Vous pouvez toucher, chatouiller le scrotum avec les mains uniquement, seules vos lèvres soccupent de la verge. Vous pouvez la prendre en bouche, la travailler avec la langue, mais prenez garde à ne pas provoquer léjaculation avant la pénétration, car vous handicaperiez votre héros. Les deux autres équipières aident Julie et Maud à se coucher dos sur la table, Tête contre tête comme à la répétition, fesses à ras du bord, talons et genoux écartés de manière à présenter la vulve dégagée. A la demande de Julie dont cest linitiation, veuillez maintenant placer sur les yeux de nos vaillantes concurrentes ces bandeaux. Messieurs vous aurez à supporter dautres petites contrariétés sans méchancetés destinées à pimenter le tournoi. Ainsi pour les préliminaires vous placez vos mains dans le dos et vous pouvez commencer un cunnilingus. Tripoter avec les doigts est interdit, ferait perdre un point et vous priverait du rapport sexuel avec la candidate, soyez disciplinés. Vos auxiliaires maintiennent vos verges en état. Au top, vous pouvez lécher. Top.

Maud est une fille très sensuelle. Je lèche sa vulve, glisse ma langue dans sa fente et jy déniche aussitôt une coulée légèrement salée. Ses fesses frémissent, son ventre se convulse. Julie de son côté se met déjà à gémir sous la bouche active de lamant triomphant. Maud mélange sa plainte à celle de la tête voisine de la sienne. Victoire ordonne :

-Les garçons faites deux pas en arrière. Maud veut imaginer que son amant sera André. Le choix de Jean ne le permet pas : Elle est avec Jean Sa requête est très flatteuse pour André. Messieurs, faites- lui plaisir, laissez lui lillusion dêtre possédée par son homme préféré. Pour ne pas briser son rêve nous cacherons le visage de Jean avec cette cagoule. Le jeu doit être égal, je souhaite à Julie de reconnaître André malgré cette autre cagoule. Mesdames placez les caches, serrez légèrement le lacet autour du cou et noubliez pas dentretenir les verges.

Maud et Julie sautent prestement de la table, échangent leurs places, sans bruit. Cest le plan de Victoire approuvé avant larrivée de mon concurrent. Victoire donne le signal.

Elodie et Amandine, dirigez André vers sa cible, les deux autres ouvrez la vulve et excitez le clitoris de Julie. Même chose de lautre côté. Posez les glands au contact des vagins, aidez comme vous le pouvez nos combattants, tout est permis pour vous mais André et Jean, gardez bien vos mains dans le dos et respectez le souhait de Maud. Commencez. Celui qui éjacule en premier lève la main droite.

André croit sunir à Julie. La substitution a réussi, je reconnais immédiatement autour du pivot de ma joie t ma tendre femme. Cest notre première exhibition. La victoire promise au vainqueur me rend fort et efficace. Les cris et commentaires des deux camps nous donnent de la force. Je me lance immédiatement dans une charge folle dans le sexe adoré de ma femme. Julie, complice ne tarde pas à annoncer son plaisir contre la tête de Maud. Elle ne feint pas, les contractions des parois de son vagin sur mon sexe sont éloquentes. Elle a pris des risques, a subi le léchage dAndré, mais sa joie de prendre part à la mystification du coureur décuple son ardeur. Nous nous étreignons comme de jeunes mariés. La supercherie a été suggérée par Victoire et admise par Julie : sa fougue, sa manière daccrocher ses talons sur mes fesses pour me propulser contre son utérus ou de faire onduler son bassin montrent à quel point elle veut montrer sa bonne foi. Amoureuse dAndré, elle ferait la planche inanimée, elle agirait pour me faire perdre et souhaiterait être donnée en prime au vainqueur.

-Cette action vous suffira-t-elle comme preuve de mon amour pour mon mari ? a interrogé Julie lors de lélaboration du plan de sauvetage de notre couple face aux prétentions dAndré.

Maud contre le privilège dêtre aimée par mon adversaire, a reçu pour consigne de se mordre les lèvres le plus longtemps possible. Elle va vouloir prolonger à lextrême ce dernier accouplement avec le partant. Elle se donne avec retenue pour faire durer sa joie. Par bonheur nos efforts conjugués et le frein imposé par Maud ont permis de devancer lautre couple. Victoire ma recommandé de me ménager. Je lève le bras, retire ma cagoule, sors du ventre aimée Julie, examine lassaut dAndré. Il veut vaincre et ses coups de reins rapides et violents devraient le placer en tête, croit-il.

Je rabats le tissu sur mon visage. Victoire proclame ma victoire et insiste pour que le battu arrose abondamment le sein de son aimée. André se démène, les furies attachées à son service poussent sur ses fesses, Anaïs rigolarde lui insère lindex droit dans le fondement. Enfin il se raidit et lâche une salve de sperme, il se vide longuement, maintenu par ses équipières acquises à la cause de Julie, prisonnier involontaire du vagin qui le trait. Toutes ces femmes se sont liguées contre le traître qui veut les délaisser pour convoler avec Julie. Toutes sans exception ont juré de lépuiser au cours de coïts multiples, quitte à y passer la nuit. Ginette et Anaïs le remettent debout, le font reculer de deux pas. En même temps, à la faveur de la bousculade Julie et Maud regagnent leur place.

Anaïs défait la cagoule dAndré, avec retard on me retire la mienne. André est désolé, sexcuse auprès de Julie de sa lenteur, attend le reflux de ses jets de foutre. Assurément il sest vidé tout contre lutérus, sa semence tarde à se montrer à la sortie de la vulve de Julie. Je redécouvre le sexe de Maud ouvert sous mes yeux et dont sécoulent de longues traînées de sperme. Victoire en juge impartial invite les contrôleuses à examiner les résultats. Anaïs vérifie létat de lintimité rougie de Maud de mon côté. Pour moi Régine se penche sur Julie, écarte consciencieusement les petites lèvres, envoie un index en crochet dans le vagin, le retire, le suce avec bonheur et déclare :

-André a éjaculé tout au fond. Mais cest délicieux.

Bien que perdant, notre homme arbore un large sourire. Son sperme est reconnu délicieux. Peut-être espère-t-il avoir engrossé du premier coup Julie son bien aimé. Ignorant du règlement il veut ensuite vérifier lui-même que jai déversé mon sperme en Maud. Il fait une moue admirative quand il voit la quantité impressionnante de liquide sur les fesses et dans les poils de celle quil vient de tringler sans le savoir. Cet écoulement abondant vers le sillon fessier de son propre sperme lui donne lespoir : jai dû laisser dans cette rencontre lessentiel de mes forces. Il me regarde, tente dévaluer mon degré de fatigue et réclame quon oublie le temps de récupération pour passer immédiatement au deuxième accouplement. Il désigne Anaïs, la violente maîtresse pour réussir à me battre au plus vite. Hélas pour lui Amandine sinterpose :

-Ah ! Je proteste Elodie et moi avons une priorité. Tu as promis de nous faire un enfant. Nous ne pourrons pas te suivre en Tunisie. Fais-nous notre enfant maintenant, sinon nous quittons le jeu et tu ne pourras pas lemporter. Ton sperme est en ébullition, nos équipières peuvent attendre, nest-ce pas Anaïs et Ginette.

Durant la chamaillerie Charlotte armée dune seringue de pâtissier a farci en crème lintérieur de ma deuxième partenaire Monique. Elle est préposée à cette opération auprès de mes partenaires. Cette crème est une belle imitation de sperme. Victoire en avait relevé la recette dans une revue spécialisée du cinéma pornographique où les acteurs et actrices usent de cet artifice pour éblouir les spectateurs naïfs, béats dadmiration face aux lacs de liqueur déposés sur le mont de Venus ou sur la face des actrices. Victoire nous invite à reprendre selon les vux dAndré. Il est certain que ma débauche dépanchement liquide du premier tour va me désavantager. Deux matelas mis bout à bout sur le tapis ont été étalés au milieu de la pièce Nos amies trouvet hilarante la deuxième proposition de Victoire.

-Mesdames couchez-vous sur ce matelas, vous laissez vos pieds vers lintérieur, mais vous les écartez, les hommes se placent dos à dos au milieu, sagenouillent dans lintervalle entre vos mollets. Ces gentils amants vont vous prendre dans la position dite du missionnaire. Les équipières allez-y. Couchez votre chef sur Amandine ou Monique. Nayez pas peur de mettre les zizis contre les crevasses. De vos doigts ouvrez les fleurs de chair, caressez les et faites mouiller les parois. Vous pouvez aider votre homme en caressant les corps, pensez aux zones érogènes, si cest possible allez à la jonction, titillez le clitoris ou la rose des partenaires. Qui sera le premier cette fois ? Go !

Amandine salue bruyamment la pénétration dAndré. Je mintroduis lentement entre les cuisses de Monique mais jobéis à la défense de la pénétrer. Julie ne ma pas autorisé à faire lamour avec mes femmes de ce jeu. Elle a renoncé à se laisser défoncer par André, il serait injuste que je prenne une autre fille. Cest du donnant donnant. Je mapplique, mais le regard de ma femme pèse sur moi. Des mains soulèvent mes hanches puis poussent sur mes reins, on me retire puis on me renvoie au chaud dans la soie des cuisses lubrifiées. Mon érection me fait peur, le mouvement me conduit au bord de léjaculation et Julie men voudra :

— « Tu peux les pénétrer si André regarde uniquement, tu ne dois pas jouir en elles. Tu dois te ménager et te garder pour moi. Si tu vides tes bourses dès le début, tu ne pourras pas gagner le tournoi et tu me précipiteras dans les bras dAndré. Or cest contraire à notre but »

Heureusement Monique a la bonté de simuler rapidement un orgasme. Elle nous lâche un interminable chapelet de « ha » et de « ah » ou doh ! Je lève le bras, je simulie un retrait hors de son berlingot, la queue saucée de la blanche liqueur ramassée au contact de sa vulve. André lève la tête continue à pomper sur Amandine, se tord le cou pour mapercevoir et me lance :

-Mon salaud, tu cachais bien ton jeu. Comment fais-tu ? Tu es éjaculateur précoce ? Victoire le règlement aurait dû préciser que la femme doit avoir un orgasme. Il ne suffit pas de baiser comme un lapin pour rendre une femme heureuse !

-Oh ! sexclame Amandine, nas-tu pas entendu les gémissements de Monique. Au lieu de râler, donne-toi un peu plus de mal. Tu dois me remplir de sperme, allez, plus fort. Les copines, aidez-le. Si javais su, je me serais fait faire un gosse par Jean. André tu dors, mouline, crache bien au fond, mets une louche de jus, fais mieux que la dernière fois.

Ce discours nest guère fait pour mener à la victoire. Il porte atteinte à la réputation de létalon, couperait les moyens dun type normal, il énerve André confus dentendre annoncer mon deuxième point. Julie pourrait concevoir des doutes sur la qualité du mâle qui veut lenlever. Il faut faire taire cette peste de lesbienne. Cette folle veut un enfant sans père, elle laura. Comme un forcené André martèle Amandine. Il savoue vaincu et réclame lautorisation dutiliser ses bras et ses mains pour rendre le plus rapidement possible à Amandine le service quelle attend de lui. Notre lesbienne en attente de fécondation serre la main de son amie-amante-époux Elodie, projette son ventre à féconder, sue, tremble, se plaint, explose. Ses exclamations comblent dorgueil linséminateur, libèrent les vannes. Pour la deuxième fois il se déverse dans un ventre, tout au fond. Anaïs et Ginette assises sur son dos pour peser et coller André en Amandine tombent enfin sur le côté, André a fini, il dégage. Les témoins applaudissent, se réjouissent de cet exploit. Elodie attrape les pieds de sa compagne, tire et lappuie au siège dun fauteuil :

-Ma chérie, reste comme ça, les jambes en lair pour que les spermatozoïdes aillent vers tes ovules. Maintenant cest mon tour. André temporise :

-Pas tout de suite ma chère. Il faut que je reprenne des forces. Ce Jean est très rapide mais je laurai à lendurance, comme lorsque nous faisons notre jogging. Qui me nettoie la queue ? Noubliez pas le service après vente. Elodie lèche moi tout doucement. Mais si : ne fais pas ta nacreuse. Tu veux un moutard de moi, tu ne concevras pas en faisant la difficile. Pour les trop délicates il y a les centres dinsémination artificielle avec les dossiers à remplir. Tu suces ou tu vas les voir.

Elodie se pose à genoux entre les jambes de lhomme assis dans un fauteuil.

A la reprise, Victoire impose une nouvelle figure. Cathy au sexe garni en douce par la seringue de Charlotte vient sasseoir sur moi, visage tourné vers mes pieds. Ses fesses à fossettes sont excitantes. Elle place ma verge sous sa vulve, en longueur. Resté à lextérieur, je ressens néanmoins la chaleur de ce volcan. Elle se cambre, soulève et rabat vite sa croupe. Sa vulve bâille, sélargit mon sexe entre en contact avec ses chairs brulantes et moites. En parallèle Elodie sempale sur le pieu dAndré. Nous avons repris forme et raideur dans les bouches de nos quatre autres aides. Jai vu ma femme se dévouer dans une fellation habile sur la lance dAndré. Je lui ai fait les gros yeux et elle a cédé la place à deux autres bouches. Puis elle a tendu un doigt en direction de Régine qui me jouait « gorge profonde » et elle ma fait une grimace.

Quand après une longue course Elodie a commencé à galoper et à pousser des cris, la rusée Cathy a simulé un orgasme encore plus puissant, sest brusquement levée. De son sexe est tombée sur mon ventre une averse de crème.

Ce nest pas possible a geint le vaincu alors que Victoire disait

-Trois à zéro en faveur de Jean. Pourquoi tes-tu arrêté André. Tu dois éjaculer. Elodie compte sur toi.

A SUIVRE

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