Chapitre 8
Christine, 43 ans, la mère de Marc.
Marc, 18 ans, le fils de Christine.
Jeanne, 51 ans, amie de Christine et mère de François, 21 ans et l’épouse de Jean.
Grégory, 18 ans, un copain de Marc.
Rose Martin, 71 ans, ancienne voisine de Christine.
Léon Martin, 72 ans, mari de Rose.
M. Murier, 36 ans, le prof de sport de Marc.
Deux heures plus tard, à l’infirmerie du lycée :
« Oh Marc, mon poussin, mais que s’est-il passé ?
‒ Ben, un accident tout con, j’ai voulu faire le malin et me hisser à une corde en sport. Puis, vers les 5 ou 6 mètres de haut, je n’ai plus eu d’appui et j’ai glissé, je me suis retenu à la corde, seulement avec les mains et ça me les a brûlées ! »
Son professeur de sport commente à son tour :
« Je ne pense pas que ça soit grave, Marc, tu y mettras de la pommade ! Tes mains ne sont plus protégées par la peau qui a brulé sous le frottement de la corde, donc bande-les pour ne pas qui s’y collent des cochonneries, OK ?
‒ Compris, M. Murier !
‒ Mais, il va pouvoir reprendre les cours, dans combien de temps ?
‒ Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas si grave quand-même, dans une semaine il pourra se resservir de ses mains !
— Mais, surtout, laissez bien ses mains bandées, contrairement à ce que l’on croit, il ne faut pas laisser sécher les mains comme ça !
— Il a eu une bonne brûlure, la pommade fera elle-même son effet et surtout, pas de contact avec de l’eau !
‒ Oui, très bien, merci M. Murier ! Il n’est donc pas nécessaire d’aller voir un médecin ?
‒ Au cas où, allez le voir dans 2 ou 3 jours pour constater sa guérison, mais c’est tout, comme je vous lai dit, il ny a rien de grave… !
‒ Très bien, merci M. Murier ! »
Christine prend le sac de son fils, Marc la suit pour aller dans la voiture et ils prennent la route de la maison.
« Ça va, tu n’as pas trop mal ?
‒ Non, ça va, ça me lance un peu ! »
Deux heures plus tard, Christine installe Marc devant la télé ; elle est aux petits soins avec lui.
Il est loin d’imaginer ce qui s’est passé durant la semaine et jamais Christine pourra lui parler de ce qui s’est passé avec Léon et encore moins avec Grégory, son ami d’enfance.
Il est 19h00, Christine prépare le repas. Marc, quant à lui, est toujours devant l’écran.
Il se met à regarder sa mère, elle porte une jupe grise avec une chemise noire. Une idée lui vient en tête, se voyant handicapé avec les mains, il se dit : "et pourquoi pas en profiter un peu ?".
« Maman ?
‒ Oui mon chéri, qu’est-ce qu’il y a ?
‒ Tu peux venir voir, s’il te plaît ? »
Christine rejoint son fils devant le canapé.
« Voilà, je…, c’est un peu gênant !
‒ Quy a-t-il Marc ? Dis tout à ta maman !
‒ Ben…, j’ai envie de faire pipi… !
‒ Ben, vas-y, voyons… !
‒ Mais…, maman, je ne peux pas y arriver, à cause de mes mains… !
‒ Tu…, tu as besoin de moi en fait…, c’est ça ?
‒ Euh, oui… ! »
Christine ne sait pas quoi penser, la scène dans la buanderie, se caressant en imaginant la verge de son fils lui revint d’un coup.
Elle voudrait refuser, mais pourtant elle n’a pas le choix, Marc est handicapé de ses mains et ne pourra pas faire ses besoins tout seul.
Mais pourtant, elle ressent encore cet étrange sentiment, mélange d’envie et de honte.
Elle va pouvoir s’approcher une nouvelle fois du sexe de son fils ou plutôt dire de l’énorme braquemart de son fils.
« Oui…, bien-sûr que…, que je vais t’aider Marc…, quelle question !
‒ Merci maman ! »
Ils se rendent tous les deux au WC. Marc passe le premier. Celui-ci, rien qu’à l’idée de savoir que sa propre mère va voir sa bite, le fait bander comme un malade.
Il se met face aux chiottes. À cause de l’étroitesse de la petite pièce, Christine s’installe derrière son fils. Elle déboutonne le pantalon, les mains tremblantes. Jamais elle naurait imaginé faire ça un jour. Elle s’accroupit, derrière lui, pour baisser le pantalon jusqu’aux chevilles.
Christine remonte les bras pour atteindre le slip qui garde, à l’intérieur, l’énorme queue.
Puis, d’un geste brusque, le cur battant très fort, elle baisse le slip rejoignant le pantalon.
D’où elle est, elle ne peut voir que son cul nu, à moitié caché par son tee-shirt.
Elle se remet debout.
« Bon ben, j’attends que tu finisses, OK ? »
Marc ne le voit pas comme ça, il veut aller plus loin dans son délire.
« Euh, maman, je peux pas la tenir entre les doigts et si je pisse comme ça, je t’en mets partout sur le mur !
‒ Sur le mur… ?
‒ Oui, regarde ! »
Marc se retourne vers sa mère et lui montre sa grosse verge en pleine érection, à moins d’un mètre d’elle.
Christine regarde, scotchée par la dimension des attributs de son propre fils.
La queue de Marc pointée vers le haut, la colonne veineuse, le gland sortant entièrement du prépuce.
« Euh, Marc, tu…, tu veux que je la dirige vers la cuvette, c’est ça ?
‒ Oui, oui, c’est ça ! »
Marc se remet face aux toilettes.
Christine s’approche derrière lui, elle ne peut pas croire à ce qu’elle va faire.
Elle se plaque contre lui, les seins s’écrasant contre les omoplates de son fils.
Marc le sent tout de suite, ce qui donne encore plus de vigueur à son érection.
Christine passe le bras de l’autre côté pour attraper la grosse matraque.
Rouge comme une pivoine, son entrejambe commence à devenir bouillant.
Puis, en cherchant, elle a un contact avec la chose tant interdite.
Elle comprend que, revenant en sens inverse de son geste, elle trouvera ce membre qui n’attend plus que sa main. Elle ne bouge plus, hésitant.
Marc, lui, a le sourire, il regarde les doigts de sa mère trembler. Puis Christine reprend son souffle et dirige sa main vers le sexe de Marc et bien évidemment, elle trouve le pieu dur comme du bois.
Pour pouvoir le diriger vers le bas, elle l’attrape entièrement dans sa main, comme pour le branler.
Ses doigts n’arrivent pas à se rejoindre de chaque côté, tellement le diamètre de son sexe est important.
Christine n’en revient pas, elle tient la verge de son fils entre les doigts. Elle baisse le membre pour que Marc puisse viser le trou du WC.
Marc pisse alors comme prévu. Christine est là et attend toute tremblante qu’il finisse ses besoins.
« Ça y est, maman, j’ai fini !
‒ Oui…, je te rhabille !
‒ Hé attends, il faut que tu la secoues pour que les dernières gouttes tombent, sinon je vais en mettre plein mon slip, regarde ! »
Marc se retourne à moitié sur la gauche, montrant à sa mère sa grosse pine qu’elle tient entre les doigts.
Même sil ne bande plus, vu qu’il a pissé, son sexe reste impressionnant.
Alors, Christine remue l’engin pour faire tomber les dernières gouttes.
Elle s’accroupit pour pouvoir remettre son slip et son pantalon, son sexe est juste devant son visage, à quelques centimètres.
Christine essaye de ne pas y faire attention, voulant remplir son rôle de mère sans avoir de reproches à se faire, par la suite.
« Non maman, laisse-moi juste en slip, il fait trop chaud !
‒ Tu veux rester en slip… ? D’accord… ! »
Elle remonte seulement le slip qui a du mal à contenir le paquet volumineux.
De la voir regarder discrètement en direction de sa verge fait sourire Marc.
Ils sortent tous deux des toilettes, Marc se réinstalle devant la télé. Christine met le pantalon au sale et repart en cuisine finir le repas du soir.
Marc regarde ce que fait sa mère, il s’imagine des tas de choses, il veut à tout prix bander, étant en slip, elle ne pourra pas l’ignorer.
« Ça y est, mon chéri, tu viens, je vais te faire manger ! »
Marc arrive dans la cuisine, elle se retourne et reste bouche bée ; son fils bande comme un taureau le slip est tiré en avant.
On peut voir sa paire de couilles poilues, ainsi que la colonne sur le haut et le côté du slip, tellement il est étiré. Jamais un slip n’a été aussi tendu !
« Qu’est-ce qu’il y a, maman ?
‒ Euh…, non…, non rien, mon chéri…, tu t’assieds… ! »
"Mais qu’est-ce qui me prend, tu es folle ou quoi ?", se dit Christine en allant chercher les plats sur la table de travail. "Cest ton fils, rien d’autre que ton fils putain !.Elle s’assied à côté de lui et commence à le faire manger.
« Maman ?
‒ Oui, mon cur ?
‒ Ça me fait penser quand j’étais petit, tu ne trouves pas ?
‒ Oui…, oui c’est vrai ! »
Ils se regardent en souriant. En le regardant comme ça, Christine s’en veut d’avoir de telles idées : "il est si innocent" se dit-elle.
Marc la regarde avec un sourire de gamin : "oui maman, regarde bien ton fils, continue à lorgner ma grosse queue".
Le repas fini, elle débarrasse tout ; Marc finit de regarder le film, puis il revient en cuisine pour parler avec sa mère :
« Maman, dis-moi, je me sens sale, tu pourrais m’aider à me doucher ?
‒ Ou…, oui je…, je veux…, je veux bien ! »
Elle est toute étourdie par sa demande, elle va devoir refaire face au membre viril de son fils. Rien qu’à l’idée, ça la met dans un état d’excitation qui lui fait honte, mais qu’elle ne peut plus contrôler.
Elle le rejoint dans la salle de bain pour une douche peu ordinaire.
Marc bande toujours et d’ailleurs son slip ne cache vraiment rien de son état.
Elle fait couler l’eau pour qu’elle se réchauffe pendant qu’elle le déshabille du peu de vêtements qu’il lui reste. Elle lui ôte son tee-shirt… Elle regarde son slip déformé, se penche en avant et passe les mains tremblantes de chaque côté de la taille et le baisse d’un coup.
Mais la bite de Marc est tellement raide que le slip tire sa verge vers le bas comme un tremplin.
Le slip, sous l’action, lâche le membre qui remonte tout d’un coup, à cause de sa rigidité. Christine n’a pas le temps de s’enlever et le gland du sexe de son fils lui tape le nez.
« Ooh !!
‒ Oups, excuse-moi, maman !
‒ Ce…, ce n’est rien ! »
Enfin nu, Marc rentre dans la douche. Il doit lever les mains pour ne pas mouiller les bandes qui recouvrent ses mains.
Christine commence à lui laver les cheveux et ensuite le torse.
Elle garde toujours un il sur le sexe qui se balance d’un côté à l’autre, à cause de ses gestes.
Comme sa mère la regarde, sentant bien sa gêne, voulant exagérer un peu, il augmente les mouvements pour que sa verge, toujours dure, se balance encore plus.
De temps à autre, lextrémité de sa colonne vient toucher les énormes seins de sa mère qui sont toujours cachés sous cette maudite chemise.
"Cette maudite chemise, oui, si elle pouvait ne pas en avoir", se dit Marc.
Puis il baisse la tête et regarde la baignoire un peu remplie d’eau :"ça y est, j’ai trouvé, on va bien rire".
Marc attend que sa mère passe aux jambes pour s’accroupir et là, d’un seul coup, il fait un geste assez brusque, avec son pied droit.
Leau gicle et passe par dessus le rebord de la baignoire et éclabousse Christine.
« Aaaah, Marc, voyons !
‒ Oh pardon, maman, je ne l’ai pas fait exprès !
‒ Regarde, ma chemise et ma jupe sont toutes trempées !
‒ Excuse-moi…, mais tu ne devrais pas rester comme ça !
‒ Quoi ! Comment "comme ça" ?
‒ Ben, déjà, tu vas prendre froid et puis, je risque dencore t’éclabousser, on sait jamais, le mieux, c’est que tu retires tes vêtements ! »
Christine le regarde, elle réfléchit, doit-elle se mettre à demi nue devant son fils qui lui, l’est entièrement ?
« Écoute Marc, je ne sais pas, je… ?
‒ Oooh lala, tu ne vas pas recommencer avec ça, je suis ton fils, non ? Et puis, regarde-moi, je suis tout nu et ce n’est pas grave !
‒ Oui…, je…, c’est vrai… ! »
"Oh putain, trop bon !", se dit-il, quand il regarde sa mère se déshabiller devant lui.
Christine, mal à l’aise, retire d’abord sa chemise qui dévoile un soutien gorge bleu, transparent qui plus est. Les larges aréoles se voient à travers et les tétons, gros comme des noisettes, pointent dans la lingerie.
Marc est au paradis, fixant ses énormes seins enfermés dans le tissu.
Elle s’attaque ensuite à sa jupe, qu’elle fait descendre jusqu’à ses pieds.
Christine porte un collant de couleur chair, ainsi on peut voir à travers un string bleu en dentelle, assorti au soutif.
À ses pieds, elle porte des escarpins bleus rejoignant le thème de sa lingerie.
Comme ça elle est magnifique.
Christine pose ses affaires, Marc la suit du regard pendant qu’elle se déplace dans la salle de bain ; puis elle finit son travail.
« Maman, tu…, tu n’as pas lavé mon sexe, je sais que c’est gênant, mais tu peux le faire ? »
‒ Oui…, excuse-moi, j’avais oublié… ! »
Toujours dénudée, elle se penche en avant, gant en main, elle commence à nettoyer ce membre si dur, si long et si gros.
Elle commence à faire des va et vient à l’aide du gant. Marc ouvre la bouche tellement c’est bon. Les seins de Christine se balancent sous l’effet de ses gestes.
Marc veut faire durer le plaisir.
« Aaaayyyyy !!
‒ Quoi, qu’est-ce qu’il y a, mon fils ?
‒ Je ne sais pas, mais j’ai mal…, je crois que c’est à cause du gant !
‒ Oh, pardon mon chéri, je t’ai fait mal ?
‒ Oui, là, j’ai mal, il fraudait regarder, mais là, je commence à avoir froid !
‒ Je suis vraiment désolée, attends, je te rince, te sèche et on ira voir ça dans ta chambre, tu auras moins froid ! »
Christine se hâte à sa tâche pour ne pas qu’il prenne froid. Habillé d’un peignoir, Marc se rend dans sa chambre et se couche sur son lit. Christine, préoccupée par la souffrance de Marc, n’a pas eu l’idée de se rhabiller. Elle se rend dans la cuisine, chercher une pommade qui le soulagera. Elle rejoint Marc dans sa chambre. Celui-ci n’arrête pas de la regarder habillée telle qu’elle est. Elle s’assied à côté de lui, au niveau de ses hanches.
Christine ouvre son peignoir et découvre son sexe débandé.
Elle hésite à le toucher.
« Tu vois ce que j’ai ?
‒ Euh non, pour l’instant, rien, c’est moins facile car…, euh…, tout à l’heure…, tu…
‒ Oui je comprends, je bandais tout à l’heure, ah, c’était plus facile pour voir… ?
‒ Ou…, oui, c’était plus facile…, voilà… !
‒ Bon, ben, je n’ai pas le choix…, il faut que je bande… ! »
Christine, surprise, le regarde dans les yeux.
« Je vais devoir me branler !
‒ Mais Marc, voyons, tu ne peux pas, à cause de tes bandes !
‒ Ah oui, merde, c’est vrai, j’avais complètement oublié, ces putains de bandes ! Ben, tu n’as pas le choix, maman, c’est toi qui va devoir te coller à la tâche !
‒ Quoi ? Ah non, Marc, ça, non !
‒ Écoute maman, on n’a pas le choix, je sais bien que ça t’embarrasse, mais comment veux-tu que je fasse ?
‒ Marc, tu es mon fils, je ne peux pas te masturber !
‒ Mais maman, ce n’est pas comme me masturber, c’est juste pour que je sois dur !
‒ Oui, mais même, je ne peux pas, c’est malsain !
‒ Maman, s’il te plaît…, tu as dit que tu prendrais soin de moi…, c’est pour mon bien ! »
Christine regarde Marc qui fait semblant d’être dans le désarroi.
Elle se sent tout à coup coupable de voir son fils dans cette état… !
« Bon… Cest d’accord, mais…, juste pour que tu bandes, c’est compris, rien de plus !
‒ OK maman, merci ! »
Elle attrape ce sexe qui est destiné à devenir plus gros.
Elle commence à faire de légers va et vient.
« Maman, doucement pour l’instant, s’il te plaît !
‒ Pardon…, et là, ça va ?
‒ Oui là, c’est parfait, continue ! »
Christine fixe le visage de Marc, elle n’ose pas regarder ce membre grossir sous l’effet de sa propre main.
Petit à petit la verge de son fils retrouve toute sa vigueur. Marc ne dit rien, appréciant la masturbation déguisée de sa propre mère !
Christine en a la culotte qui mouille, elle ne peut déjà plus se contrôler.
Elle tourne sa tête et voit un gland énorme et triomphant, tout en haut de ce poteau dirigé droit vers le plafond de la chambre.
« Bon…, c’est…, c’est bon, mon chéri, tu es assez dur ! »
Christine ouvre le tube et appuie pour y faire sortir de la pommade.
Elle se couche sur le côté, un peu sur les jambes de son fils.
Ses seins s’écrasent sur le côté gauche du bassin et sur le haut de sa cuisse.
La scène est splendide.
Marc bande, le visage de sa mère ausculte sa verge et ses seins sécrasent contre lui ; il voit tout à travers, dû à la transparence du soutien gorge.
Christine regarde toute la colonne, avec son visage à quelques centimètres d’elle.
Elle prend sa queue, la relève ou la tourne sur les côtés.
« Bon, je ne vois rien, mais je vais quand même te passer de la pommade ! »
Christine met de la pommade, un peu partout sur la colonne.
Pour pouvoir la faire pénétrer, elle n’a pas d’autre choix que de recommencer cette masturbation tant interdite.
Avec sa main, elle fait de longs va et vient, dorénavant, Christine fixe le membre de son fils, se mentant à elle-même, que c’est juste pour voir la pénétration de la pommade.
Marc ferme les yeux, il est aux anges.
« Oooh maman, oui continue, mmmmmmm, ça fait du bien !
‒ Oh Marc, voyons, comment peux-tu prendre du plaisir, je suis ta mère ? »
Elle arrête son activité, sans pour autant lâcher cette grosse queue entre ses mains.
Christine, tremblante, mais excitée par le plaisir que prend son fils sous l’effet de sa main, attend une réponse, en le fixant dans les yeux.
« Oh maman, j’y peux rien, c’est ta main, ça me fait vraiment du bien, tu sais !
‒ Alors là, non Marc, je ne suis pas d’accord, je suis ta mère et je t’interdis de penser à de telles choses avec moi ! »
Christine, excitée, fait semblant d’être en colère, pourtant elle tient toujours cette grosse pine entre ses doigts.
En voulant lengueuler, elle sest rapprochée de lui et ses énormes seins frottent contre son fils, ce qui a pour effet de tirer sur le soutien gorge.
Les aréoles sortent des balconnets, les tétons sont à moitié dehors, moitié dedans.
Marc, voyant cette scène, n’en peut plus, il commence à donner des coups de reins pour faire branler sa bite enfermée entre les doigts de sa mère.
« Marc, arrête tout de suite, voyons !
‒ Oh, mais maman, cette pommade me fait du bien, s’il te plaît, continue à la faire pénétrer !
‒ Oh Marc, voyons, je ne devrais pas ! »
Christine recommence les va et vient, ses gestes sont plus rapides, maintenant.
Elle le regarde, ce membre droit, fier, si dur qui la nargue depuis tellement de temps.
Beaucoup plus gros que celui de Léon ou de Grégory.
C’est une queue, une énorme queue qu’elle est en train de branler.
Elle est partie dans une frénésie que ni Marc, ni même elle, ne peut contrôler dorénavant.
Son fils se tient la tête.
Christine regarde cette superbe bite qu’elle branle sans sarrêter, à quelques centimètres de son visage.
« Oh maman, oh que ça me fait du bien, si tu savais !
‒ Marc, non, arrête de dire ça !
‒ Oh maman, je voudrais jouir, maintenant !
‒ Nooon, Marc ! »
D’un coup, Christine relâche le sexe de Marc et se rassied.
« Mais…, maman, qu’est-ce que tu fais, voyons ?
‒ Non, Marc, je ne peux pas faire ça, je suis ta mère, il en est hors de question ! »
Voyant que cette fois-ci, elle est décidée à ne pas vouloir continuer, il n’insiste pas.
« OK, je comprends, excuse-moi, maman !
‒ Ce nest pas grave, mon chéri, il faut juste que tu te calmes et ça passera, d’accord ?
‒ Oui, compris…, maman ?
‒ Oui, mon cur ?
‒ Tu sais, je voulais te dire, je t’aime, et que je suis fier de toi !
‒ Oh, mon chéri, c’est tellement gentil ! »
Elle se rapproche de Marc pour le serrer dans ses bras, ses seins, à moitié sortis des balconnets, s’écrasent contre son torse.
Elle lui fait un bisou sur le front.
« Je t’aime moi aussi, tu sais, bon, allez, repose-toi ! Tu veux que je te mette en slip pour dormir ?
‒ Oui, je veux bien, merci ! »
Marc se met debout.
Christine lui retire le peignoir ; Marc est nu avec sa queue toujours au garde à vous.
Elle prend un slip dans le placard.
Elle s’accroupit devant lui pour lui enfiler le seul vêtement qu’il portera durant la nuit.
Mais, il a un léger problème en arrivant au niveau de son entrejambe.
Le slip ne passe pas à cause de la longueur et de la rigidité du sexe de Marc.
Elle n’a pas le choix, elle doit le prendre en main et le baisser pour lui enfiler le tissu jusqu’en haut.
Comme avant le bain, le sexe de Marc tend le slip vers lavant qui ne peut rien cacher.
Ce slip est presque inutile.
Marc se couche et avant que Christine remette les draps en place il lui dit :
« Maman, tu te rappelles quand j’étais petit et que je me faisais mal ?
‒ Oui, bien-sûr, tu étais un vrai cascadeur !
‒ Oui c’est vrai…, tu te rappelles, à chaque fois que je me faisais mal et que tu me soignais, tu me faisais toujours un bisou magique à cet endroit et tu disais que grâce au bisou magique de maman, je guérirai plus vite, tu te souviens ?
‒ Oui, je m’en souviens très bien !
‒ Tu…, tu pourrais me le faire, je sais que je suis grand, mais de tes supers bisous, je ne pourrai jamais m’en passer ! »
Christine regarde le visage de son fils, "c’est vrai qu’il est grand, mais je suis sa mère et il n’a que moi", se dit-elle.
« Oui, si tu veux, mon chéri ! »
Christine lâche les draps et s’assied à côté de lui, comme tout à l’heure, en se penchant en direction de son bassin. Elle attrape la verge, à travers le slip, qui se resserre autour de la colonne.
Malgré le tissu, la forme du gland et parfaitement perceptible.
« Tu fais bien comme quand j’étais petit, hein ?
‒ Oui, ne t’inquiète pas ! »
Christine joue le jeu jusqu’au bout et approche sa bouche de lénorme gland. Elle ouvre grand la bouche et la pose sur le gland caché par le slip.
Cest un énorme smack que Christine est en train de faire. Sa bouche recouvre la moitié du gland chaud et tout doucement, referme la bouche pour finir avec ce bruit si connu d’un smack.
Christine tenant toujours la verge entre ses doigts se retourne vers son fils :
« Avec ce bisou magique de maman, tu guériras plus vite, mon chéri !
‒ Merci maman ! »
Elle lui remonte le drap jusqu’en haut et lui fait un nouveau bisou sur le front.
« Bonne nuit, mon chéri !
‒ Bonne nuit, maman ! »
Marc regarde sa mère s’éloigner de lui, son cul avec ce délicieux string bleu en dentelle enfermé dans ce collant chair. Elle n’a pas retiré ses talons, depuis tout à l’heure.
Elle éteint et ferme la porte. Marc, avec un sourire mesquin, regarde en direction du couloir encore éclairé.
« Héhéhéhé, il ne faut pas grand chose ! D’un côté, tant mieux que je sois blessé, je vais pouvoir en profiter, ça je te le garantis, maman ! »