LINITIATION DE CLAIRETTE : 3

Je poursuis la relation de cette « année de léveil » où je fus initié par la douce Clairette dont nous verrons que derrière la façade respectable, une vraie gourgandine sommeillait depuis dix ans. Initiation dont mon amie Domi profita dans un grand vertige des sens mais qui fit aussi quelques dégâts.

Dans le car qui me conduisait vers le lycée, inutile de dire que cette après-midi agitée, me submergeait dimages et démotions. Mes potes sen rendirent nt compte mais je restais impénétrable, ce qui ne faisait quajouter à leur agacement et à leur frustration.

Javais connu lamour. Je nétais plus puceau. Jétais fier. Cest alors que japerçu la pauvre Domi qui se consumait au fond du car. Elle me jetait des regards où se lisait toute la misère du monde. Grand seigneur, mais toujours résolu à sa perte, – javais désormais deux compte à régler avec elle- je masseyais à ses côté et linterrogeait sournoisement :

— Ca na pas lair daller très fort ?

Elle me lance un regard de de chienne battue qui répond à sa place.

— On taurait fait du tord ?

— Tu te moque de moi. Depuis deux semaines tu ne me regarde plus. Je tai vu rire de moi avec tes copains. Tu nes pas gentil.

— Et toi tu trouve gentille de me faire poireauter pendant une heure derrière le temple ?

— Je ne pouvais pas y aller. Ma mère ma retenue.

— Ce nest pas ce que tu mas dit dans le car.

— Je tai dit çà pour tembêter, cest tout.

— Tu as trouvé le mot : Cest tout !

— Pardonne-moi, dis, tu me pardonnes ? Je t

Je me penche sur elle pour poser un baiser au coin de ses lèvres. Ses yeux embués me font fondre.

— Te pardonner ? Là est la question.

Elle se rapproche de mon oreille.

— Je suis comme tu me las demandé

—  ?….

— Oui pour toi. A chaque voyage depuis lautre fois, je ne mets rien en dessous

Belle preuve damour et de stupidité ! Elle entrouvre son long manteau de laine. Elle porte un pull col en V qui recouvre un chemisier blanc très sage. Une mini jupe bleu marine plissée sur des jambes nues et de hautes chaussettes de petite fille. Me fixant comme par défit, elle passe une main sous le chandail pour déboutonner le haut de son chemisier. Elle me prend la main et la glisse sur son buste. Comment résister ? Je retrouve les formes juvéniles. Et le plaisir se réveille intact. Jai hâte de vérifier si lenvers est aussi libre que lendroit.

— Cétait si bon lautre fois Me murmure-t-elle à loreille

Ma main se pose sur un genou. Domi se met à trembler. Mes doigts entament une lente progression jusquau cur de ses cuisses. Le majeur découvre la foufoune déjà Les yeux perdus, Domi se mord les lèvres. Elle veut retirer ma main.

— Non, soit gentil Je ne veux pas

Jeffleure le petit abricot tapis sous la fourrure. Elle exprime un « oh ! » de surprise et de révolte.

— Non ! Non !

Mais son cerveau reptilien lui fait écarter un peu les jambes.

— Il faudrait savoir, tu te mets à poil sous ta jupe, pour que je te caresse ?

Je garde ma main à plat sur sa vulve me contentant de la titiller avec un doigt. Je me rabats sur ses seins.

— Tu as de beaux seins. Jaimerai beaucoup te voir nue.

— Tu ne peux pas me demander çà. Sexclame-t-elle en se mordant les lèvres.

Je soulève sa jupe. Elle veut refermer les cuisses mais je les force à rester entre ouvertes. Dans la demi-pénombre, je peux apercevoir le petit chaton blotti dans son nid.

— Oh non pas ici Gémit-elle en me mordant le cou.

— Bien sur, pas ici. Je veux dire quon pourrait trouver un moment, un endroit. Répondis-je en imposant ma langue dans sa bouche. Tu peux sortir le mercredi ?

— Oui, mais on est très surveillés.

— Pas pendant le film ?

— On ira où ?

— Jai un copain dont les parents travaillent à Valence. Il peut me prête sa chambre. Cest à cinq minutes du ciné.

— A bon ? Et tu le fais souvent ? Répond-t-elle désorientée.

— De temps en temps affirmais-je fanfaron.

Je laisse trainer négligemment un doigt sur la cuisse. La petite bête qui monte approche de la chatte mais sa main leste la chasse impitoyablement. Mon amoureuse est de plus en plus paniquée. Est-ce cela qui accélère lascension vers lorgasme ? Probablement car dès que je passe la main libre derrière son dos pour attraper un sein pubère, cest lextase.

— Mord-moi ! Ou tout le bus va tentendre ! Lui conseillais-je.

Elle se pend à mes lèvres. Jenfonce deux doigts dans le vagin, elle en pleure presque de jouissance. Je me contenterai de ses violents tremblements de ma partenaire qui sils satisfont mon égo, laisse mon sexe orphelin.

Jen aurai caressé des chattes ce dimanche ! Me dis-je un peu vaniteux, je lavoue !

A un arrêt, le chauffeur vient apostropher les derniers rangs où plusieurs flirts poussés ont étés dénoncés par quelques JOCistes frustrées. « Vous allez cesser vos cochonneries, sinon, jen parle à votre surgé ! Je vous ai à lil ! Ce nest pas possible les jeunes daujourdhui ! » Nous reprenons une position décente. Domi qui croit mavoir conquis ronronne comme une chatte. Elle repose sa tête sur mon épaule. Afin de retenir mon amie dans les sévères virages de la vallée, une de mes mains saccroche dans son corsage alors que lautre va se perdre sous la jupe. A la descente du bus, je lui fais promettre dêtre sur la place mercredi à deux heures. Cette fois elle va y passer. Je mettrai les leçons de Claire en pratique, elle ne sera pas déçue !

Le mercredi, jattendis Domi mais son amie Caroline vint mapprendre quelle était colée. Elle cest fait surprendre à rédiger une lettre torride pendant le cours de physique. Elle est à battre ! Elle réussit à me faire passer la lettre où elle massure quelle est prête à mabandonner son cur et son corps. Je ne réponds pas. Elle est mure. Il ne reste plus quà la cueillir !

Malgré cet intermède, jeu bien du mal à éloigner Clairette de mes pensées. Mais, une série de mauvaises notes démontrèrent quon ne peut impunément mener une vie aussi dissolue sans sacrifier des études supérieures. Mes parents se tuaient au travail pour me les payer, je trouvais impensable de les décevoir.

La prof danglais qui maimait beaucoup, se rendit vite compte de mes préoccupations externes au lycée. Elle me retint après son cours.

— Je comprends quon puisse être bouleversé par les premiers émois. Tous les garçons et les filles de ton âge passent par là mais tu dois te reprendre. Tu as une maturité exceptionnelle, sers-toi-en. Il serait vraiment dommage que tu perdes lannée davance que tu as acquise lan dernier.

De quoi je me mêle ! Que crois-t-elle. Que je suis amoureux ? Me prends- t-elle pour un de ces chevelus boutonneux et romantique qui déclament du Prévert !

Je me remis la tête dans le guidon des études. Je partis avec léquipe de rugby du lycée pour un week-end de déplacement de sorte que je ne pu accorder à mes amies le temps quelles souhaitaient.

Le lundi daprès, Caroline la copine externe de Do me fait passer une novelle lettre encore plus chaude :

Mon Flo, Quelle déception de ne pas avoir pu te sérer dans mes bras vendredi. Ma chatte ta attendue tous le week-end et cette fois ce nest pas le plaisir qui la faisait couler mes les larmes. Mes doigts enfoncés dans mon ventre me conduisent à toi chaque soir. Je ne serai pas collé mercredi. Je te le promets! Je toffre mon corps, tu pourras te servir de moi. Je serai ton esclave docile, offerte. Il me tarde dhonorer ton glaive à genoux. Ton amour, ton esclave soumise.» Est-il possible dêtre plus bête ! Voilà où mène dix huit ans de mystique catholique !

Je lui répondis de se calmer. Quelle ne devait plus mécrire. Que si elle se fait prendre à écrire ses cochonnerie, elle serait virée du lycée et moi avec. Mais surtout, je lui dis que je ne pourrai pas la voir mercredi prenant prétexte du Rugby scolaire.

Cest que le concierge mavait donné un mot de Claire !

« Appelle-moi demain entre 12 et 14. C. » Je sacrifiais aussitôt la demoiselle pour la reine.

Le jour dit à 13h30, jappelle de la cabine devant lycée.

— Allo, cest le livreur de bois

Clairette me reconnu immédiatement.

— Bonjour Monsieur. En avez-vous encore ?

— Autant que vous en voudrez, Madame.

— Quand pouvez-vous me livrer ?

— Demain, mercredi, à partir de deux heure.

— Daccord mais cest à livrer chez mon père.

— Il est où votre père ?

— Cest compliqué. Je vous attendrai sur la place, au bord du Rhône deux heures.

— Non, 13h 30 sans faute !

— Daccord à demain 13h 30.

En effet, le lendemain, mercredi, es premières et les terminales ont quartier libre à partir de 14H. Je dois me cacher de Domi. Cà deviens compliquer de gérer mes amoureuses !

Ouf, japerçois la Dauphine de Claire rangée à lécart sous les platanes. Elle ouvre la porte arrière et me recouvre aussitôt dune couverture.

— Reste bien caché, on va au motel de Tain. Je ne risque pas de sortir de là, on passe devant le lycée de filles !

Quelques minutes plus tard, les pneus crissent sur le parking à larrière du motel.

— Encore un instant, je vais chercher la clef.

— Cest bon, tu peux sortir.

La porte ouverte dune chambre mattend.

Une fois à lintérieur, nous nous jetons dans les bras sembrassant comme des morts de faim.

— Je suis folle Tu te rends compte des risques Si on surprenait une femme de mon âge avec un ado de seize ! Jirai tout droit la prison.

— Jirai avec toi !

— Tu es bête dit-elle en métreignant. Cest grave mais jai pense tellement à toi

Je dénoue le duffelcoat et je fais glisser la fermeture éclair dune robe de laine pied de poule grise. Surprise, elle est nue ! A lexception dun mini porte- jarretelles soutenant des bas gris.

— Tu vois, je suis offerte.

Elle me déshabille à la vitesse du Mistral.

— Je croyais quil ne faut pas allez trop vite ?

— Cà marche uniquement pour les femmes. Tu es si beau ! Je suis folle ! Comment tout ca va-t-il finir ? Jai peur Mais cest tellement bon Ca fait si longtemps que je nai pas vibrée comme ca. Depuis ce matin, je suis toute mouillée. Jai du enlever ma culotte.

— Tu es une petite polissonne ! Tu nas pas honte de retaper les ados jusque dans leurs lycées ? Avoue, tu ne peux plus se passer de ton minet ? De sa bite devrais-je dire ! Et bien, tu mas appris à patienter. Tu nes pas prête de lavoir dans ton petit chat !

— Tu mens, ton zizi parle à ta place, il est dressée comme un bâton de flic !

— Quelle vulgarité venant dune dame de la haute bourgeoise locale. Ca mérite une punition ? Retourne-toi !

— Ah non, tu ne vas pas me fesser !

— Quelques tapes sur ton beau joufflu. Combien daprès-toi ?

— Deux ou trois ?

— Disons, cinq ! Mais sur chaque fesse !

Je monte sur elle dominant son joufflu. Ma main sabat sans trop de force.

— Ouille, tu me fais mal.

— Menteuse, je ne frappe pas, je caresse.

A partir de là, je force un peut ma main. Quatre AilailCinq Ouh, ca fait mal Six. Salaud.. Arrête !

Pour ce gros mot, je devrai doubler la mise !

— Sept Huit Elle ne fait plus que gémir Neuf Dix ! Allez, cest bon pour cette fois !

Jembrasse les fesses rosies.

— Pauvre petite fesses.

Je passe les doigts sur sa vulve qui coule comme la source de la Loire.

— Mais dites-moi, Madame y prend gout.

Je la retourne.

— Prend moi !

Je passe mes lèvres sur son cou. Descends entre les deux seins négligeant volontairement les bouts gorgés de sang. Elle émet une plainte de biche. Ses mains martyrisent ses tétines.

Je parcours son ventre, mimmisce un petit moment dans le nombril. Je baise la superbe courbe convexe de laine, me rapproche de la toison. Ses jambes font des arabesques, ses reins se projettent vers moi. Mais, je ne fais queffleurer la cuisse, jignore le mont de vénus. Elle en rugie de dépit.

— Prend-moi, mon Flo, sil te plait! Baise-moi ! Je le veux ! Je la veux.

Sourd à ses suppliques, je prends les pieds et déguste lentement ses orteils comme si cétait un cornet de glace.

— Tu ne peux pas me laisser comme ca !

Enfin, brusquement, je plante mon instrument dans la chatte. Je la force que dis-je, je la perfore. Mon pénis va toucher le fond de la matrice. Elle hurle. Elle agonise dans un orgasme rugissant. Je suis à mon tour engloutis par une violente jouissance.

Nous retombons, consumé, épuisé.

— Tu mas eu ! Je suis fière de toi ! Quel amant tu fais ! Je voudrai tenfermer. Te garder rien que pour moi. Nu, enfermé dans une cage à ma disposition toute heure du jour ou de la nuit. Dun signe tu te présenterais la queue dressée. Selon mon humeur je tessorerai, ou tu devrai me saillir sans que je tautorise à te vider. En cas doublie, je te lirai sur un pilori, tu recevrai une volée et tu serai offert à mes amis

— Jai hâte dy être ! Mais des promesses toujours des promesses.

— On ne verrait pas le temps passer.

— Au Tain suspend ton vol.

— Elle rit. Je vois que tu as beaucoup lu.

Je la questionne.

— Tu en as connu beaucoup des amants ?

— Avant Jypy quelques uns .

— Ils étaient mieux que moi ?

— Cest bien les hommes ! Toujours à vouloir se comparer. Ils étaient différents.

— Et si javais une petite amie. Quest ce que tu dirais ?

— Quil ny a pas de mal à se faire du bien. Tant que tu peux subvenir à ses besoins et aux miens, bien sur. Tu as une amie ?

— Il y une fille du lycée qui me tourne autour.

— Je la connais ?

— Tu as du la croiser à ST Marcel. Cest la fille du chef des Ponts & Chaussés.

— Oui, je vois. Si je comprends bien, maintenant que le petit garçon a été bien éduqué, il va laisser tomber sa vielle maitresse. Ingrat ! Répond-elle avec son sourire mélangé.

— Non, tu es la seule, tu le seras toujours

— Sot, ce nest pas parce que je suis la première que je veux être la seule. Je sais que la première fille, jamais on ne loublie.

— Quelle âge a-t-elle ?

— Dix huit.

— Ne la déçois pas. Mais faites attention. Prenez vos précautions.

— . ?

— Prend mon sac, tu y trouveras un petit emballage.

— Cest un préservatif, une capote si tu préfère. Je vais texpliquer comment on sen sert.

Elle déchire lemballage en retire un petit sac transparent quelle me glisse sur la queue.

— Voilà, tu dois bien le dérouler sur ton pénis. Tu dois apprend à ta copine à te le mettre. Tu banderas comme un cerf sinon çà ne marche pas. Voilà, la poupée est en place. Maintenant tu peux laisser trainer ta bricole. Tu ne récupéreras pas une maladie et surtout tu ne laisseras pas un gros souvenir à la petite. Tu vas à la pharmacie et tu en prends une boite. Tu fais plus que ton âge. Tu ne devrais pas avoir de problème. Mais enlève- moi dun doute ? Ce nest pas déjà fait ?

— Non, pas encore !

— Alors cours à la pharmacie.

— Si je comprends, tu seras occupé le weekend de la Toussaint ? poursuit-elle.

— Non, jai un match, cest tout. Mais peut-être que maintenant que je connais lamour, tu ne voudras plus de moi ?

— Tu crois tout connaître ? Mais il te reste beaucoup à apprendre. Tu es mon seul, mon plus beau, mon plus jeune amant. Tu es la plus belle chose qui me soit arrivé depuis dix ans et je veux bien te partager avec ta lycéenne. Ca te va ?

— Tu ne vas pas en Ecosse ?

— Non, pas question. Jai dit à Pierrot que jirai chez mon père.

— Et jai pensé que nous pourrions y aller ensemble ?

— Chez ton père ?

— Dabord, il est très ouvert et assez original. Quand je lui ai dit que je serai peut-être accompagné, il ma félicité et ma prévenu quil me laissera la maison. Il ira avec son amie Christine dans leur appartement de Hyères. Il me connaît bien. Il ma dit « enfin ! Tu témancipe ! »

— Toi, tu es fille unique ?

— Oui, cest lui qui ma élevé. Ma mère est morte peu après ma naissance.

— Alors, tu viens à la Toussaint dit Tu viens.

— Javais prévu de travailler pour le Lolo, le marchand de journaux. Jai besoin de sous.

— Je te payerai Ta semaine

— En somme tu veux me payer pour baiser ! Ca sappelle faire la pute ! Répliquais-je.

— Dabord, quand cest un homme, çà sappelle un gigolo. Puis une pute çà ne jouis pas ? Et, il ny a pas beaucoup dapprentis gigolos qui se font payer ? Tu seras mon minet entretenu. Jaime encore plus

— On dirait que tu es bien informé. Ajoutais-je en agaçant ses tétons.

— Quest-ce-que tu crois. Jen ai connu des gigolos. « Il faut bien que le corps exulte »

— Je ne sais pas ce qui me retient de te donner une nouvelle fessé.

— Moi je sais Rétorqua-t-elle en écartant outrageusement les cuisses

Bite couverte, jescalade aussitôt son mont de venus.

Je la pénètre lentement, attentif à son plaisir plus quau mien ! Elle souleva ses fesses pour se donner le plus profondément possible.

— Remplis bien ton imperméable. Cest bon, cest très très bon. Oh ! Ouah..

Un orgasme express retentit dans la chambre. Je retire le préservatif. Dune main, elle empoigna ma pinne, de lautre, elle frictionna mes couilles mais cest quand elle me mit un doigt dans les fesses, quune fulgurante décharge lui arrosa le ventre jusquaux seins.

— Je vois que le minet ne dédaignerai pas se transformer en mignon. Ca vaut bien 150 f pour la semaine dapprentissage. Massura-t-elle dans un grand rire.

— Faut savoir ! « Cest bon ! Cest très bon ! Comme tu le fais bien » ! Je ne dois plus être un apprenti ? Rétorquais-je.

— Regardez-le ce petit coq prétentieux ! Il croit ! Quil est devenu Don Juan plus Casanova réuni !

Mais tu as encore beaucoup à apprendre, mon petit amant.

— Je suis comme le christ « Je veux voir toute choses nouvelle »

— Je rajouterai 50 Fr. Parce quen plus dêtre bon élève, tu me fais rire ! Et avec mon Pierrot, ce nest pas tout les jours

— Pourquoi nas-tu pas denfant ?

— Jean-Pierre a un problème mais il ne veut pas se faire examiner. Chez moi, tout fonctionne. Il est en pleine contradiction car dun autre coté il aimerait avoir un héritier et le temps passe. .. Mais parlons dautre chose. Dici à la Toussaint il vaut mieux éviter de se voir chez moi le week-end. On a eu chaud lautre jour mais on se verra le mercredi. Je dirais à Pierrot que mon père nest pas très bien.

— Il faudra changer de motel.

— Issard- Drôme sur lautoroute, on peut entrer des deux coté ?

— Ten connais des trucs.

— Tu mappelles au lycée si tu veux du bois.

— Ce nest pénible les pipelettes de la poste qui écoutent tout Allez, il faut rentrer.

Claire me dépose à cinq cent mètre du lycée. Il nous faudra patienter avant de nous revoir.

Mais moi, je ne restai pas inactif. Le mercredi suivant, Claire me laissa un message : « Pas de livraison de bois cette semaine. Désolé. C. »

Je me consolais en invitant Domi le mercredi suivant devant le ciné. Je me munis des précieuses capotes. Elle mattendait les yeux lubriques dans son manteau bleu. Peut rassurée mais prête au sacrifice. Nous profitons du chahut des lycéens à lentrée du ciné pour nous éclipser. Membrassant fougueusement des que nous humes dépassé le coin de la rue, elle me confia à loreille.

— Je suis nue en dessous de ma robe.

Je me disais quune fille qui aborde un rendez-vous avec cette disposition desprit se prépare à une belle carrière de victime. Nous courrons nous refugier dans lappartement de mon pote.

— Tu ne me feras pas trop mal.

— Pourquoi veux-tu ? Répondis-je en lui retirant son manteau. En lembrassant.

— Sylvie ma dit que cétait terrible. Quelle a souffert.

— Si cest son copain Jo, ça ne métonne pas. Cest un gros bourrin de piler. Jespère que tu pourras lui dire que ca dépend du garçon. La rassurais-je.

Elle était comme paralysée. Pour préserver sa pudeur, je la retournais. Alors, je commençais à défaire les nombreux boutons de la robe. Elle attirait ma bouche de ses mains derrière la tête, elle me couvrait de baisers. La robe glissa. Effectivement, elle était nue. Elle mapparue comme vénus sortant de londe. Je létreignais en douceur sur les seins, le ventre et les cuisses laissant volontairement dormir la petite chatte. Son souffle saccéléra. Voluptueusement nue dans mes bras alors que je conservais tout mes vêtements. Jadmirais dans le miroir de larmoire sa silhouette gracile, ses petits seins malmenés et sa chatte blonde brillante, presque transparente.

— Tu es magnifique. Dis-je avec un vrai élan de sincérité.

— On va dans le lit ? Implora-t-elle.

Elle me retira les fringues. Elle fut visiblement émue à la vue de mon sexe dur comme un chêne. Je pris sa main et la posait dessus. Elle sembla recevoir une décharge électrique. Avec un air de sacrifiée, elle écarta les cuisses. Mes doigts sattardèrent sur le doux pelage. Mon amoureuse se mit à couiner. Elle empoigna ma pine et fit des allés retours maladroits. Puis elle eu un long soupir. Un orgasme, un !

Elle sempare de ma pine quelle promène sur ses seins. Elle aurait visiblement été assez satisfaite den rester à ce stade mais, pas question ma jolie ! Tu ne vas pas me vider sur tes lolos. Ce serait trop facile. Me dis-je dans ma barbe.

Jentreprends lexploration manuelle de létroite porte. Domi saffole. Elle garde les cuisses obstinément fermées. Mon poing doit forcer le compas. Je sors un préservatif. Elle comprend que les choses nen resteront pas là. Je me place à cheval le sexe reposant sur ses seins. Je lui indique la procédure de recouvrement. Domi est troublé par ma maitrise – Merci Claire- elle na jamais vu de capote.

— Tu dois me faire durcir.

Ses mains saffèrent mais je larrête.

— Avec la bouche !

Elle a un haut le corps.

— Cest sale !

— Quen sais-tu ? Cest ta copine qui te la dit ?

Elle ne répond pas.

— Son Jo est un mal propre. Ce nest pas mon cas – Merci Clairette- Puis quand on aime, rien nest sale.

Je pose mon gland sur ses lèvres. Au début elle se contente de lembrasser mais très vite, sa bouche sarrondie. Domi aime les sucettes ! Jeffectue de petits mouvements pour lencourager.

— Mouille la bien.

Dit sur un ton doux mais ferme. Elle sexécute dans la plus parfaite contrition. Merci les curés !

Pour son soulagement, je sors de la bouche.

Je lui expliquais comment retrousser le sac autour de la verge puis je me couche à ses cotés. Je la soulève comme un fétu de paille, enfin presque ! La belle nest pas bien lourde. Je la prend par les reins et linstalle à cheval sur ma colonne. La fente bien lubrifiée souvre plus vite quune huitre. Jhabitue très progressivement sa vulve à linvasion, restant très attentif aux gémissements de ma complice. Mon gland disparait presque entièrement. Ses yeux se révulsent. Un peu de bave suinte de sa bouche entre-ouverte. Sa chatte, bien lubrifiée semble me recevoir sans crainte. Je retiens encore ses hanches par de petits mouvements dascenseurs. Je sens lorgasme imminent. Jécarte mes mains, ma petite maitresse sempale dun seul coup. Enfin, mon vit déchire lhymen.

Domi poussa une plainte dont je ne pu deviner ce qui résultait du plaisir ou de la souffrance. Mais je fus vite rassuré en la voyant à nouveau sembrocher dans des soubresauts compulsifs. Il ne lui fallut pas plus dune minute pour senvoler dans un nouvel orgasme. Le troisième si jai bien compté !

Mélangeant larmes et rire, elle me couvrit les yeux, le cou et la bouche de baisers tout en me gardant au plus profond delle.

Je la basculais sur le dos. Je repris délicatement mes impulsions. Elle était béate, en extase. Elle prononçait des mots déraisonnables : Oh, mon amour Mon Florent Je taime Je me donne à toi… Possède-moi Tue-moi

— Nallons pas jusque là quand même. Luis susurrais-je.

Jaccélérais mes coups de reins. Elle se tendit comme un arc et sabandonna à nouveau. Quatre orgasmes ? Je me vidais dans le réservoir de latex.

Nous retombâmes sur le lit taché de sang. Heureusement que mon pote avait prévu le coup en plaçant de vieux draps sur le champ de bataille.

Ma Domi était loin de ces considérations pratiques. Elle vibrait dorgueil et de bonheur. Elle ne cessait de métreindre.

— Alors, heureuse ?

— Cétait merveilleux. Cest le plus beau jour de ma vie. Tu es enfin. Je taime ! bla bla bla.

Elle aurait remit le couvert si ma montre navait indiqué que lheure de la sortie du ciné approchait.

Je fourrais les draps dans mon sac à dos et nous courrons nous mélanger aux spectateurs.

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