— Suis-moi. Déclara Hugo
— Sil vous plait Monsieur, au moins un gilet.
— Pas question. Allez ramènes toi. On va au parc.
Ils descendirent lescalier tous les deux. Juliette avait les jambes qui tremblaient. Elle était sur le point de sexhiber devant tout le monde et elle en était parfaitement consciente. Hugo lui tint la porte. Lors de ses premiers pas, elle eut tellement honte, une honte immense. Son nez était scotché au sol de peur dapercevoir les regards outrés des passants. Hugo la laissa volontairement prendre quelques pas davance afin quelle soit la seule cible de ces regards de travers.
Cinq minutes plus tard, Juliette commença à se rendre compte de ce qui se passait autour delle. Les personnes âgés la regarder dun air désolé. Les enfants arrêtaient de jouer, choqués, au passage de Juliette. Des groupes dadolescents se mettaient à prendre des photos delle.
— Cest combien pour une pipe ? cria un des jeunes.
— Oooh tu lui réponds, trainée ? sécria un autre.
— On va te souiller le visage, tu vas voir ! lança un dernier.
Juliette nen pouvait plus, accéléra le pas et trouva une place sur un banc public. Elle navait plus la force. Elle se prit la tête dans les mains. Elle laissait dévoiler son décolleté extravaguant. Hugo contempla ce magnifique tableau pendant un moment.
— Tu ne vas tout de même pas abandonner maintenant ? sétonna volontairement Hugo.
— Je me sens tellement rabaissée, idiote et je je ne suis pas fière de moi pas du tout.
— Tu veux quon aille en parler calmement en se baladant.
— Oui je veux bien. Merci. répondit très sincèrement Juliette.
Ils prirent un chemin qui les mena hors de la ville.
— Pourtant moi jétais fier de toi. ajouta Hugo en lui caressant le dos. Fier jusquà ce que tu te dégonfles lâchement dun coup.
— Jai essayé mais je ny arrivais plus. Dit-elle essoufflée et abattue par ces émotions fortes.
— Pourtant là tu me parles normalement alors que tu as la même tenue. Je veux donc que tu contrôle tes émotions. Cétait la dernière que je te venais en aide. En plus, tu sais très bien au fond de toi que ça aura un prix.
— Oui Oui Monsieur. se rattrapa Juliette
— Bien. Bien. Mets-toi donc à quatre pattes.
Juliette était tellement décontenancée quelle obéit sans broncher aux ordres de Hugo. Elle était à la merci des regards curieux de tous les riverains mais, à présent, elle navait que faire. Seuls les mots de Hugo avait du sens. Elle sentait que son cerveau sétait déconnecté. En position, Juliette laissait à présent entrevoir sa croupe, légèrement caché par un string en dentelle. Hugo prit le soin de relever sa minijupe et sortit un collier attaché à une laisse. Il disposa le collier sur le cou de Juliette.
— Voilà. Jespère que tu seras te comporter en bon toutou, dès à présent. sécria Hugo
— Cest prom
— Fermes-là !! Je crois savoir que les chiens ou chiennes dans ton cas ne parlent pas. Donc, à part pour aboyer, je te conseille de rester muette. Compris ?
Juliette hocha simplement la tête, se refusant de sexprimer comme un animal. Pour trouver plus de tranquillité, Hugo dirigea Juliette vers un petit bosquet. Seuls, Hugo se mit dans son plus simple appareil et ordonna alors :
— Comme tu es une chienne adulte, tu vas me faire ma toilette comme si jétais ton propre chiot. Et tu me laveras partout !
Sans un mot, Juliette sapprocha, toujours à quatre pattes, du corps de Hugo qui sétait allongé. Elle commença par les pieds sans oublier aucune zone. Lodeur la repousser mais elle ne voulait pas décevoir Hugo. Elle remonta vers les cuisses, puis sattaqua aux parties génitales de son maître, qui dégustait chaque instant. Elle se dirigea vers les fesses de Hugo et noublia pas de nettoyer son anus. Elle se montra même volontaire en insérant le bout de sa langue dans le trou de fesse de son partenaire. Juliette ne se respectait plus. Sa soumission était des plus totales et elle en jouait.
Pris dexcitation, Hugo se releva et se dirigea derrière Juliette. Il sintroduit dun coup dans le vagin de Juliette. Elle ressentait un plaisir immense. Elle mouillait à présent abondamment. Hugo ne mit pas beaucoup de temps à sen rendre compte.
— Tu aimes quand je démonte comme ça, hein ? dit Hugo en lui tenant fermement les fesses avec ses deux mains.
— Oui. Continuez, par pitié.
Les vas et viens continuaient de manière de plus en plus passionnelle. Les cuisses de Juliette ne faisaient que céder aux puissants orgasmes quelle ressentait. Après à peine 5 minutes, Hugo ne put plus se retenir et délivra tout son fluide dans le vagin de Juliette. Celle-ci seffondra, épuisée par ces quelques minutes dune rare intensité. A présent côte à côte, Juliette se retourna vers Hugo. Ses yeux verts remplis de bienveillance contrastaient avec le teint rose de ses joues. Hugo lui saisit la nuque et lembrassa sur les lèvres. Après trente seconde dégarement, Hugo retrouva ses esprits :
— Bien. Rentrons à présent.
— Daccord.
Hugo se saisit du string de sa partenaire et lui annonça :
— Tu nen auras pas besoin pour le retour.
— M MMa
Aucun mot ne sortait de sa bouche.
— Et je tinterdis dessayer dessuyer le sperme qui séchappera de ta chatte. Je veux que tu le laisses se balader sur tes cuisses pendant le trajet.
Voyant que Juliette approuvait lordre, Hugo lui caressa le fessier comme pour la récompenser. Il lui tapa plusieurs fois les fesses pour lui rappeler son rôle de soumise. Alors même quelle commençait à déguster sa première pénétration avec Hugo, Juliette était contrainte de réaliser les fantasmes les plus extrêmes de Hugo. Cerise sur le gâteau : Hugo sapprocha de la bouche de Juliette avec son string, quil venait de récupérait par terre. Juliette ouvra la bouche et la ferma, le string entre sa langue et son palais.
— Cela tévitera de raconter des sottises.
Juliette ne préféra pas répondre. Hugo ne laurait de toute façon pas compris. Juliette commençait à sentir des chatouilles sur le haut des cuisses. Le fluide de Hugo sévadait de son vagin, sans quelle puisse faire quoi que ce soit. Elle se décida à marcher pour rentrer chez son dominateur.
Comme à laller, Hugo laissa quelques dizaines de mètres davance à Juliette. Celle-ci ressentait la même honte. Sauf que cette fois, elle devait se dépêcher pour ne pas rendre visibles les dégoulinements sur ses cuisses. Les passants montraient le même dégout au passage de Juliette mais celle-ci ne sen souciait plus. Elle voulait rentrer chez Hugo, chez qui elle se sentait plus en sécurité quici, malgré son comportement macho et dominateur.
Alors quelle voyait au loin lappartement de Hugo, une voix larrêta net. Ce nétait pas la voix de Hugo. Mais la voix dune femme.
Juliette se retourna et aperçut un officier de police, seule, en train de faire sa ronde. Hugo changea de direction et se cacha pour observer discrètement la scène.
— Vous avez vos papiers, Mademoiselle ? demanda la fonctionnaire de police.
Juliette neut dautres choix que de déloger la lingerie de sa bouche.
— Écoutez Madame, cest un énorme mal entendu, cette tenue ma été imposer, vous comprendrez que je ne mhabillerai jamais comme ça, je nai aucun problème avec la justice auparav
— Veuillez garder le silence Mademoiselle. Vous expliquerait tous ces détails au commissariat. Veuillez me suivre, je vous prie.
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