Sophie11

Victor est parti le lendemain dun week-end sulfureux où javais pris des mètres de bite dans le cul.

Le lundi et le mardi, je fis lamour à maman classiquement c’est-à-dire dans la position du missionnaire !

Le mercredi nous sommes allés faire des achats de lingerie puis sommes allés dans un sex-shop. Maman mavait choisi mes dessous, maintenant, elle choisissait un gode ceinture plus imposant que le sien.

Une fois rentrées à la maison, Nous nous sommes empressées de déballer les paquets.

Je filais dans la salle de bain pour me changer tandis que maman allait dans sa chambre.

Après mêtre préparé lanus, jenfilais la guêpière blanche, puis les bas blancs, une jupe noire plissée et un haut blanc à manches courtes transparent. Je mis des souliers à hauts talons.

Jallais ensuite me choisir la perruque brune à cheveux longs.

Je rejoignis ma mère dans sa chambre.

Elle était vêtue dune jupe courte en cuir, un soutien gorge en cuir également mais percé au tétons ce qui laissait apparaître ses auréoles brunes. Ses jambes étaient gainées de bas de soie Elle portait ses bottes cuissardes qui arrivaient à la limite de ses bas.

Elle tenait en main une cravache et un collier muni dune laisse.

— Viens ici petite pute !

— Oui maman

— Non ! « oui, maîtresse !! »

— Oui maîtresse !

Je mapprochais en roulant des hanches de façon provocante. Elle mattacha le collier et tira sur la laisse pour que je lui suce les tétons. Ce que je fis avec application, je la suçotais, la mordillais. Elle mordonna :

— Bouffe moi la chatte.

— Oui maîtresse.

Je soulevais sa jupe et découvris sa chatte si poilue. Jenfonçais mon nez dans ses poils pour humer cette odeur si forte qui mémoustillait. Je descendis tout en lui tenant les fesses. Elle écarta les jambes et mappuya sur la tête pour me positionner la bouche sur sa vulve.

Il se dégageait une forte odeur durine, de cyprine et des effluves musqués. Je mappliquais à lui lécher le clitoris. Puis le suçotais. Javais du mal à lui lécher le vagin mais je la sentais tremblante sur ses jambes alors que je la léchais. Elle tira sur la laisse et se retourna en remontant sa jupe de cuir. Elle mordonna :

— Lèche moi le cul , je ne me suis pas essuyée tout à lheure !

— Mais maman tu es sale… (Elle franchissait les limites de la perversité !)

— Lèche ! jai dit !

Elle masséna un coup de cravache qui me fit émettre un cri de douleur.

Je lui écartais les fesses et me mis à lui nettoyer lanus.

De la merde était collé sur ses poils de cul. Le goût était acre mais jaimais ça.

Alors que javais léché consciencieusement le pourtour, je lui enfonçais ma langue au plus profond de son anus.

Elle appréciait. Elle faisait bouger ses fesses, se cambrait, se cabrait alors que je lui enfonçais ma langue.

Elle sarrêta de bouger. Se contracta et fit une petite crotte qui tomba sur le sol. Je métais reculé, surprise de cette nouveauté.

Elle mordonna :

— Bouffe ma merde !

— Oh non, cest sale !

Elle masséna plusieurs coups de cravache sur les fesses

— bouffe jai dis !

— oui maîtresse !

Je mis ma bouche près de sa crotte. Une forte odeur sen dégageait. Jouvris la bouche et la referma sur sa déjection. La consistance était moelleuse, je me mis à mâcher.

Mais ma maîtresse me tira à elle, me fit me relever en tirant sur la laisse. Elle menlaça et membrassa alors que javais la bouche pleine. Ce baiser fut somptueux ! Nous partagions la même perversité.

Elle roulait sa langue sur la boulette que javais en bouche. Le sentiment dinterdit mélectrisait. Je bandais dur dans ma culotte. Maman me dégagea la bite. Moi je déglutis le morceau.

— Tu es une vraie salope me dit elle

— Oui maîtresse

— Maintenant je vais tenculer. Va chercher mon nouveau gode.

— Oui maîtresse

Jallais jusquà larmoire et pris la boite que jouvris.

Le gode était énorme, presque de la taille de Victor en grosseur et presque de la taille de François en longueur !

Je me saisis de lengin et lapportais à ma maîtresse.

— Mets le moi !

— Tout de suite maîtresse !

Je fixais la ceinture et quand jeus terminé.

— Montre moi comment tu suces

Je magenouillais et pris la bite en bouche. Ça avait un goût de caoutchouc et je préférais une vraie.

Après quelques minutes elle me fit me relever et me retourner. Elle prit un tube de lubrifiant et me prépara le cul avec ses doigts. Jaimais son va et vient en moi.

Elle appliqua le gland sur ma rosette et poussa très fort. Le gode me transperçait le fion.

— non ça fait mal !

— Tais toi salope, tu aimes les grosses bites !

— Oui, jaime ça, mais la tienne est très grosse !

— Comme celle de mon homme, et tu laimes celle de mon homme !

— Ouiii !

Je me détendis et la queue de maman senfonça inexorablement.

Jétais déchirée, je criais de douleur et de bonheur de me sentir transpercée comme jamais.

Elle resta fichée au fond et fit de petits mouvements du bassin

Elle se retira complètement, remit du lubrifiant sur sa queue puis se ré enfonça à fond.

Elle me fit me redresser en tirant sur la laisse.

Ses mains se posèrent sur mes hanches puis elle commença un va et vient tout en douceur puis progressivement à lallure dun cosaque en rut.

La fausse bite memplissait. Jétais aux anges de me faire enculer par ma mère.

Elle se saisit de ma queue bandée et se mit à mastiquer. Elle sarrêtait de temps en temps pour mieux me prendre. Elle allait et venait en moi avec une force virile. Elle sortit de mon cul pour me retourner et mallonger sur le dos.

Elle releva mes jambes sur ses épaules puis ré introduit sa bite dans mon illet. Elle me regardait me pâmer sous ses coups de butoir. Sa longue verge memplissait le bas ventre. Elle y allait fort et moi je couinais comme une femme. Elle reprit sa branlette tout en restant fiché complètement en moi.

— oh maitresse cest trop bon je ne peux plus me retenir.

— Tu vas baiser ta maitresse.

Elle retira les lanières du gode ceinture tout en le laissant en moi.

Je maintenais lobjet enfoncé quand elle me chevaucha pour sintroduire ma verge dans le vagin.

Elle sallongea sur moi puis membrassa. Elle se mit à onduler du bassin tout en membrassant. Sa langue pénétrait ma bouche, elle tournait, senfonçait comme un dard.

Elle ne tarda pas à jouir, je nen pouvais plus dattendre. Aussi jéjaculais en elle de grosses rasades de foutre.

Elle se dégagea et vint placer sa chatte sur ma bouche. Je dégustais mon sperme mélangé à sa mouille.

Quel délice de la nettoyer à fond…

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