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La bourgeoise et le marabout – Chapitre 51




Mes expériences libertines, nombreuses et variées, m’ont appris qu’il ne faut jamais rien se fixer à l’avance, ne jamais décider que l’on fera ceci et pas cela, ne jamais dire que je baiserai avec un tel et pas avec tel autre, ne jamais refuser de goûter à un plaisir que l’on ne connaît pas, ne jamais critiquer telle pratique et promouvoir telle autre, ne jamais laisser passer la chance d’expérimenter, et ne jamais louper une occasion de jouir de la vie. C’est grâce à cette philosophie que j’ai fait récemment une rencontre inattendue avant les fêtes de fin d’année !

Cela a commencé par une rencontre anodine dans un sex-shop de Pigalle où je m’arrête pour acheter un petit string rouge et des bas assortis, histoire de pimenter ma nuit du réveillon. Il y a déjà quelques hommes dans la boutique, mais cela ne me gêne nullement. Je déambule dans les rayons au rez-de-chaussée, mais il y a surtout là des DVD X et des accessoires ou gadgets érotiques. Je m’attarde un instant devant le rayon dédié aux hommes, car il y a là des choses absolument extraordinaires que je ne connais pas. J’y observe en particulier différents modèles de cage de chasteté pour homme, car je ne savais nullement que cela existait. Je prends un modèle en main et je le manipule pour essayer de voir comment cela fonctionne et comment cela se ferme avec le petit cadenas argenté vendu avec.

C’est à ce moment qu’un homme m’aborde et me dit :

Bonjour Madame, j’imagine que ce gadget n’est pas pour vous. Peut-être pour votre mari ?

Je regarde l’inconnu, il doit avoir entre 30 et 40 ans et est du genre plutôt costaud, presque deux mètres et très probablement pas loin des 100 kilos. Je lui réponds.

Non, pas du tout. C’est vraiment par curiosité ! Vous êtes un vendeur du magasin ?

Comme je n’ai pas l’air effarouché par lui, il poursuit

Non, je suis simplement un client, je m’appelle Pierre.

Je lui donne mon prénom et il enchaîne.

Au risque de vous choquer, très chère Hélène, je porte régulièrement une telle cage et c’est terriblement excitant.

Il me précise ensuite qu’une telle cage de chasteté sert à emprisonner le pénis et parfois même les testicules, rendant ainsi impossible l’érection, la masturbation ou la pénétration. Il conclut en me disant que de tels accessoires sont très généralement utilisés dans le cadre de pratiques de domination/soumission sexuelle.

Je le remercie pour ses explications puis, le regardant droit dans les yeux, je lui demande.

Et en portez-vous une en ce moment Pierre ??

Il hésite quelques instants avant de me répondre.

Oui, j’en porte une chaque fois que je viens me promener à Pigalle. Cela attise mon excitation de ne pas pouvoir bander tout en regardant un bon film X dans l’une des cabines. Et, lorsquenfin je peux ouvrir la cage et me masturber, mon plaisir est extrême !

La situation est des plus excitantes et, bien que n’ayant nullement l’âme d’une dominatrice, je me dis en moi-même qu’il y a là matière à bien s’amuser. Comme je l’ai maintes fois écrit dans mes récits, il ne faut jamais dire « Fontaine, je ne boirai point de ton eau… ».

Je demande donc à Pierre de me suivre au sous-sol où je souhaite choisir quelques lingeries sexy. Il me suit bien docilement et, tandis qu’il descend derrière moi dans les escaliers, je devine son regard sur mes fesses mises en valeur par une robe courte et mes jambes perchées sur des talons hauts. J’ondule un peu plus de la croupe, histoire de le mettre sous pression, au propre comme au figuré !

Une fois en bas, je lui ordonne de se mettre nu et de remettre son manteau ouvert sur lui. Devant mon air autoritaire, il s’exécute et je peux enfin voir son sexe et ses bourses compressés dans la cage qu’il porte. Je lui demande de me confier la clé de la cage que je range dans mon sac à main. Je me dirige vers un rayon où je repère une ravissante robe en simili noir. Je demande à Pierre de m’attendre en dehors de la cabine, assis sur un petit fauteuil, pendant que je me change. Lorsque j’en ressors, je me dirige vers Pierre, toujours assis, et lui dis d’ouvrir son manteau. Ensuite, je pose un pied sur son genou et je lui demande ce qu’il pense de la robe. Placé comme il est, il a une vue parfaite sur mon entrejambes et peut, tout à loisir, mater les jarretières de mes bas et le fin tissu de mon string blanc qui dessine parfait la fente de ma chatte. J’écarte un peu plus les jambes et me colle encore plus près de lui, mon bas-ventre à la hauteur de son visage. Je lui dis.

Que pensez-vous de mon parfum intime Pierre ? Vous convient-il ?

Il est rouge, un peu congestionné et a un peu de mal à me répondre

Vous avez un parfum particulièrement suave, de femelle en chaleur. J’adore !

Je recule un peu et, de la pointe de mon escarpin droit, j’appuie sur la cage de chasteté. Mon soumis émet un petit cri de douleur, il faut dire que sa queue est entièrement comprimée, car elle voudrait bien bander.

Je tourne le dos à Pierre et lui demande de délacer ma robe dans le dos et de la faire glisser à mes pieds. Il s’exécute, bien docile, et je me retrouve devant lui en soutien-gorge demi-balcons, porte-jarretelles, string et bas noirs. Je lui fais face de nouveau, très près de lui et je lui ordonne.

Vous êtes mon soumis, Pierre. ! Faites-moi jouir de votre bouche et de vos mains. Profitez-en bien, car il n’est nullement question que je vous en donne plus.

Une de ses mains se glisse entre mes jambes et il commence à me caresser la chatte avec lenteur. Son autre main fait le tour de ma taille et parcourt mes fesses avec douceur. Sa bouche va d’un sein à l’autre et il s’applique à bien m’exciter les tétons. Au bout de quelques minutes, deux de ses doigts se glissent dans ma chatte. Il humecte deux doigts de son autre main et les glisse délicatement dans mon cul. Tout en me doigtant de plus en plus profondément, il me mordille la pointe des seins. Sensible comme je le suis à un tel traitement, je ne tard pas à gémir et à onduler de partout. Il intensifie ses attouchements et ses mordillements, je succombe à l’épreuve et je jouis longuement.

Je m’écarte un peu de lui. Il est rouge et ahane, sa queue voudrait s’évader de la cage de chasteté et se détendre comme un serpent, mais c’est impossible. J’imagine quelle épreuve ce doit être pour lui de me donner un tel plaisir, de me faire jouir sans pouvoir bander, se caresser ou bien se branler en même temps faute de pouvoir me prendre. Pour augmenter son supplice, je lui demande de s’allonger sur le petit banc dans la cabine. Une fois qu’il est sur le dos, je viens au-dessus de lui et je m’assois lentement et délicatement sur son visage. Je lui dis.

Vous êtes un soumis particulièrement doué. Maintenant, faites-moi jouir avec votre bouche.

Ses mains se posent sur mes hanches pour mieux me tenir et il commence à dévorer ma chatte avec application. Sa bouche est particulièrement gourmande et sa langue, agile, va au plus profond de mon intimité. Tandis qu’il me broute ainsi, je me caresse les seins et me pince les tétons pour augmenter l’intensité du moment. Soudain, une onde de plaisir traverse mon corps et j’en suis tétanisée. Je jouis comme une chienne apaisée en me mordant les lèvres pour ne pas crier mon extase.

Je me relève, ainsi que Pierre. Je prends la clé dans mon sac à main et j’ouvre la cage de chasteté. Aussitôt, ses bourses se décongestionnent et sa queue se déplie. Il peut enfin afficher au grand jour son excitation et, à voir son gland tout suintant et sa hampe dressée vers le ciel, j’imagine que c’est un soulagement pour lui.

Je m’allonge à mon tour sur le banc et lui dis

Venez près de moi et masturbez-vous bien en me regardant me caresser. Je vous autorise à jouir sur moi. Voilà votre seule récompense !

Cela semble le ravir et répondre à tous ses souhaits. Il s’approche et se baisse un peu. Son gland affleure mes seins et il commence à se branler avec des gestes frénétiques. Sa queue est restée si longtemps comprimée que cela doit vraiment lui faire du bien. Je le regarde droit dans les yeux tout en me caressant les seins et la chatte. Je passe ma langue sur mes lèvres pour lui faire comprendre combien la situation m’excite. Les mouvements de sa main sont de plus en plus rapides. Son regard est fixé sur ma chatte grande ouverte et luisante de ma mouille et de sa salive. Je sais qu’il aimerait me baiser là, comme une salope. Mais je sais aussi que ne pas pouvoir le faire alors qu’il en a tant envie ne fait que renforcer son excitation. Soudain, il se raidit et de longs jets crémeux sortent de sa queue avant de m’arroser. Je ne sais pas si c’est la suite d’une longue abstinence ou l’effet de la cage, mais il en a vraiment plein les bourses.

Une fois qu’il s’est bien vidé, je l’autorise à bien étaler son foutre sur mes seins et mon ventre du bout de sa queue.

Une fois que j’ai arrangé ma tenue et refait un peu de maquillage, je reprends la cage en main et lui remets en place. Je remets la clé dans mon sac à main en lui disant.

Je garde la clé en souvenir de cet agréable moment. J’espère que votre femme a un double…

Puis je lui tourne le dos, remonte à l’étage et sors de la boutique.

Je ne regrette pas cette belle expérience qui en appellera peut-être d’autres du même genre…

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