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Vive l'éducation! – Chapitre 1




Dans ma jeunesse, jétais instructeur de ski. Je nai jamais su pourquoi mais il y a quelque chose dans cet emploi qui attire les histoires folles! Je vais justement vous raconter un des aventures qui mest arrivé lhiver de mes 18 ans.

En milieu daprès-midi je suis appelé à donner une leçon de ski à 2 jeunes femmes. Au travers dhabits de ski, peu de forme se distingue, alors je ne pouvais pas me faire didée précise sur lapparence de mes élèves (drôle de mots pour décrire des femmes plus âgées que moi). Nous discutons et je découvre que le courant passe immédiatement dans notre trio. Nous découvrons quune des deux filles connaît mon frère aîné. La leçon se termine, on se dit au revoir et je retourne vaquer à mes occupations.

Le soir même, je me retrouve au bar de la station avec dautres instructeurs. Nous apprécions beaucoup nous retrouver là pour prendre une bière et échanger les histoires comiques de la journée. Je suis en train de danser sur le plancher de danse avec des amis lorsque je sens une main qui magrippe lépaule. Je me retourne et je vois devant moi mes deux élèves de plus tôt! On va au bar pour parler un peu. Les filles restaient dans un condo sur une des pistes, elles voulaient profiter de la montagne le jour comme la nuit! Je les invites donc à danser.

Sur le plancher de danse, les deux filles commencent à se déhancher comme des déesses sous mes yeux. Sous les regards jaloux de mes amis je dansais sensuellement avec mes deux élèves. Je pu enfin les détailler simplement. La première, C., était grande pour une fille, elle avait des cheveux blonds bouclés qui lui cascadaient sur les seins. Et ses seins, à couper le souffle! Elle portait une petite robe courte avec un décolleté qui me laissait rêver. Elle avait des yeux bruns, et une bouche que je mimaginais incroyable pour sucer. La deuxième, M., navait rien à lui envié! Beaucoup plus petite, des cheveux bruns et des yeux bleus éclatants. Son corps était tout en courbe avec son haut coloré et sa petite jupe courte noire. Je voyais bien quil y avait une certaine compétition entre les filles. Chacune à son tours se collait sur moi pour danser, et, à chaque fois, dune façon plus provocante et sensuelle. Ce petit jeu mexcitait terriblement, javais devant moi deux filles terriblement attirantes qui semblaient intéressée par moi.

Finalement, je ne sais pas exactement comment jen suis arrivé là, mais C. à décider de rentrer et je me suis retrouvé seul avec M. dans le bar. Plus la soirée avançait, plus elle m’envoyait des signes clairs et sans équivoques. Je ne pu bientôt plus m’empêcher d’être exciter. Mon pantalon était légèrement déformé par la forme de mon membre en érection. Je ne savais pas si ma partenaire avait remarqué mon envie, j’eu la réponse lorsqu’elle ce pencha à mon oreille et me murmura:

— Si t’as besoin de dormir quelque part, j’habite juste à côté…

Je la regarda, puis je saisis l’invitation au vol.

— Justement, je me sentais d’humeur à m’étendre.

Elle sourit puis pris ma main. Nous sortîmes du bar et elle me conduisit au condo qu’elle partageait avec C. Pendant qu’elle débarrait la porte je la pris par les hanches et l’embrassa tendrement dans le cou. Elle se retourna alors et m’enfonça sa lange dans ma bouche. Surpris, je lui rendis fougueusement son baiser. C’est dans cet atmosphère que nous pénétrâmes dans son condo.

La place était relativement simple: une cuisine qui donnait sur le salon et deux chambres. Arrivés dans la cuisine, elle se retourna puis commença à faire courir ses lèvres sur mon cou. Mes mains baladeuses s’élancèrent à la conquête de son corps. Je lui agrippa les fesses, terriblement rondes et fermes. Elle laissa échapper un petit soupir avant de déboutonner mon pantalon. Elle fit parcourir sa main sur mon corps jusqu’à ce qu’elle se retrouve agenouillée devant moi. Elle fit descendre mes pantalons et mes caleçons jusqu’à mes chevilles.

Tout d’abord, elle ne fit que caresser ma verge tendu et me lançant des regards incendiaires.

— Ne fait pas trop de bruit si tu ne veux pas réveiller C.

Je n’avais pas réalisé qu’elle était ici aussi. Nous devions rester complètement silencieux si je ne voulais pas qu’elle nous repère. Perdu dans mes pensés je me fis surprendre par la bouche de ma tendre amie qui engloutie mon sexe tout entier. Elle commença à me sucer en me caressant les testicules. Des vagues de frissons couraient le long de mon échine. Elle plongea ses yeux bleus dans les miens. Tout en me parcourant de sa langue, elle ne me quittait pas des yeux. Elle se releva et enroula ses doigts fin autour de mon pénis. Puis, sans me laisser le temps de remonter mes pantalons et sans relacher son étreinte, elle me mena à sa chambre.

Je me croyais comme dans un rêve, lorsque soudain. Un grincement de porte nous fait retourner. C. se tient sur le seuil de sa porte, les yeux écarquiller devant le spectacle qui s’offre devant elle. Moi, rouge de honte, sans pantalon avec M. qui me tiens par la bite. Après la pire seconde de silence de ma vie, M. sourit et dit:

— Je serai dans ma chambre si tu me cherches.

Puis elle entra dans sa chambre. Je la suivais en évitant de regarder C.. Sans me laisser le temps de prononcer un mots, elle vint appuyer ses douces lèvres sur les miennes, et, aussi facilement que cela, j’avais totalement oublier C.. Tout ce que je savais présentement était que le haut de M. était de trop. Je lui retirais afin de découvrir des seins contenu dans un soutien-gorge rose éclatant qui semblait étouffer sa poitrine. Sans me faire prier je lui retirais son sous-vêtement d’une main experte ( J’ai toujours eu un don pour dégrafer les soutien-gorge d’une seule main et terriblement efficacement!). Ses mamelons me pointait d’un air invitant. J’en prenais un en bouche, le lichant et le suçant jusqu’à ce que ma belle pousse de profonds gémissements. Ma bouche descendit le long de son corps jusqu’à se retrouver face à face avec son bouton d’amour. Ses lèvres étaient roses et délicates, déjà mouillées par la tension sexuelle entre nous. Ne pouvant plus me retenir je glissais ma langue dans sa fente chaude. Elle se cambra légèrement, me laissant admirer ses seins. je pouvais voir ses yeux ce fermés lorsqu’elle gémissait. Elle avait le dos contre le mur, elle releva sa jambe pour la poser sur mes épaules afin de me laisser tout le confort que je voulais pour la satisfaire.

Elle me releva et métendit sur le lit. Je pensais tout d’abord qu’elle s’étendrait sur moi. Elle m’enjamba et approcha son intimité de mon visage. Agrippant me cheveux furieusement elle vint coller ma tête contre son minou trempé. Je fut alors pris d’une envie sauvage, je lui agrippa les fesses et fit parcourir ma langue le long de son vagin comme je ne l’avait jamais fait au paravent. Sous mes assauts répétés, les vagues de plaisirs explosèrent en un orgasme bruyant. Après son gémissement finale elle me prit la verge toujours fièrement tendu puis me dit:

— Je te veux en moi maintenant.

— Tu n’as pas peur de réveiller C.?

— Elle est présentement le dernier de mes soucis. Tout ce que je veux, c’est de me faire prendre sauvagement!

— Comme cela? dis-je en frottant mon glands contre ses lèvres, la faisant languir.

— Arrête tout de suite! Enfonce moi!

En disant ces derniers mots elle introduisit mon engin tremblant dans son vagin qui m’engloutit tout entier. Elle commença les va et vient en appuyant ses mains contre mon torses. Chaque coup de rein résultait en un gémissement de plus en plus bruyant Ses seins se balançant librement au dessus de mon visage, j’en attrapai un et le caressa sauvagement. Les tremblements et ondulations de son corps eurent raison de moi.

— Je vais jouir si tu continue!

Le commentaire, au lieu de la faire ralentir n’eut comme effet que de l’exciter encore plus.

— Je veux que tu me recouvres de ton spermes!

Ses cuisses me libère alors. Elle débarqua du lit et se mit à la hauteur de ma verge. Le premier jet de sperme chaud lui atterrit sur le menton et sur les lèvres. Le deuxième fini sur ses seins. Elle ne laissa pas le troisième jet s’échapper car elle engloutit ma bite pour sucer tout mon liquide. Un fois bien nettoyer elle entendit le sperme sur ses seins avant de m’annoncer.

— Je vais aller prendre une douche, tu peux rester dormir avec moi.

La proposition semblait être une demande. J’accepta avec joie et me laissa reposer dans ses couvertures. Elle vint me rejoindre et dormi nue contre moi.

Je pensais que l’histoire finirais là, mais au matin une autre surprise m’attendait. Mais, pour cette histoire, il faudra attendre la suite!

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