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Sam et son amant d'ébène – Chapitre 2




Stan est allongé sur le dos, je suis collée à lui, reposant sur le côté gauche pendant que ma main caresse son beau corps d’ébène musclé, je sens le sperme visqueux de mon amant qui s’écoule de moi, je regarde sa magnifique queue semi-molle avant de la prendre en main.

Stan me demande :

— Elle t’a manquée ?

Je hoche la tête en me mordant la lèvre.

— Tu aimes ça, je sais. Tu as toujours adorée la grosse queue noire.

Je laisse échapper un petit gémissement tout en resserrant ma prise autour du sexe de mon amant.

— Tu sais qu’il y en a toujours une qui t’attend, la mienne.

Pour ponctuer ses paroles je chevauche mon amant qui reste allongé sur le dos je dépose de doux baisers sur ses lèvres charnues pendant que je frotte mes seins lourds sur sa poitrine musclée,

Je descend doucement vers son entrejambe sans cesser de caresser Stan avec mes seins et de déposer de doux baisers sur son corps d’ébène,

Quand je sens son gros sexe au niveau de mes seins, j’enserre délicatement son engin et commence des mouvements masturbatoires tout en le regardant dans les yeux, il me regarde avec le sourire triomphant qu’il a arboré la majeure partie de la soirée, je redouble d’effort, mes mains enserre mes seins autour de son sexe maintenant bien dur, ça me change de la couille molle que j’ai à la maison.

Comme si Stanislas lisait dans mes pensées il me demande :

— Ça te change, hein ?

Je le regarde dans les yeux tout en continuant à le masturber entre mes seins et lui dit :

— Il n’y a pas photo !

Pour ponctuer mes paroles, je prends son gland dans ma bouche quand il jaillit de mes seins, mon amant d’ébène pousse un gémissement de plaisir, ce qui m’encourage à lui procurer plus de plaisir, je finis par libérer sa queue d’entre mes seins et m’applique à la sucer avec dévotion en récompense de tout le plaisir qu’elle m’a donnée.

— Cambre toi, montre moi comment tu as hâte que je te baise comme une chienne.

Mon amant d’ébène n’a pas changé, il est toujours arrogant et sûr de lui, c’est comme ça qu’il avait réussi à me faire écarter les cuisses, ses méthodes ont toujours autant d’effet sur moi.

Je me cambre comme il me l’a demandé, je me sens offerte, disponible prête à me faire baiser par mon bel amant,

Il se lève passe derrière moi alors que je suis toujours offerte à quatre pattes, il prend mon téléphone me prend en photo et me dit, narquois :

— Tu montreras ça à ton mari, dis-lui que c’est moi qui ai pris la photo.

Mon chéri jette le téléphone sur le lit, je peux me voir sur la photo, pendant qu’il se place derrière moi pour me prendre, je sens son gland à l’entrée de mon intimité, je gémis alors que son membre viril glisse lentement en moi, pendant qu’il agrippe mes hanches, Stanislas continue ses lent mouvements de pénétration, j’aime sentir son canon à sperme se frayer un passage dans mon intimité, j’aimerais tellement qu’il accélère son rythme, j’essaye de m’empaler sur son membre pour accélérer, mais ce salaud me maintient fermement et se dérobe pour continuer à avoir la situation en mains, ma chatte est en feu, je me retourne pour regarder mon étalon, je le supplie du regard, il continue ses lents va-et-vient tout en soutenant mon regard.

— Oh Stan, mon chéri, baise-moi, baise-moi bien.

— Comment tu veux être baisée ?

Je ne peux empêcher mon vagin de se contracter autour du sexe de mon amant quand je lui réponds

— Comme une chienne !

— Tu es ma chienne ?

Je hoche la tête, alors que mon vagin se contracte par spasmes autour du membre viril qui est en moi.

— Dis-le !

— Je suis ta chienne, baise-moi.

— Regarde moi quand tu le dis.

Je tourne la tête vers mon viril amant le regarde dans les yeux et lui dis

— Je suis ta chienne mon chéri, baise-moi Stan, baise-moi mon chéri, baise-moi comme une chienne.

Dès que j’ai fini ma phrase le salaud accélère la cadence tout en maintenant sa prise sur mes hanches, bien cambrée je suis totalement offerte à lui, je savoure les puissants coups de bite de mon amant, les hanches de Stanislas claque contre mes fesses, mes seins gigotent en rythme, Stan passe une main pour caresser un de mes seins, je sens son souffle court dans mon cou, je me sens comme une chienne prise par un étalon en rut.

Après un bon moment de ce traitement, mon téléphone qui traîne toujours sur le lit se met à sonner, je vois que c’est k qui doit se demander ce que je fiche si tard.

— C’est ton mari ? Me demande Stan

— Oui.

— Réponds !

Je pouffe de rire et lui dit :

— Tu es fou !

— Réponds, je veux que tu lui parles pendant que je te baise.

Je prends le téléphone et réponds à k. Stan qui a cessé ses mouvements rapides laisse sa grosse queue au fond de moi avant de se retirer doucement pour replonger son membre en moi lentement.

K me demande si tout va bien, je lui réponds que oui, il me demande si je vais encore tarder, je lui réponds que je m’amuse bien, que je n’ai pas vu le temps passer…

Soudainement le salopard qui me baise (si bien) accélère la cadence, ce qui manque de m’arracher un gémissement, k doit entendre les hanches de mon amant qui claquent sur mes fesses dans un rythme effréné, je reprends ma conversation tant bien que mal avec k,

— Je ne vais plus trop tarder.

— C’est quoi ce bruit ?

— Ce n’est rien, je te laisse, je serais bientôt à la maison.

— D’accord.

Je regarde mon amant et lui dit

— Tu es un salaud.

Il me sourit et me répond

— Tu l’aimes ton salaud ?

— Oh oui mon chéri.

Mon étalon se penche sur moi approche sa bouche de la mienne et me dit:

— Embrasse le salaud qui te baise.

Je m’étire afin de poser mes lèvres sur celle de mon amant, nos langues s’emmêle pendant que le membre de mon chéri continue de ramoner mon vagin accueillant, alors que nous nous embrassons Stan prend en main mes seins qui balancent sous ses assauts virils.

Je sens un puissant orgasme qui émerge du plus profond de mon intimité.

— Je vais jouir mon chéri, ne t’arrête pas fais-moi jouir Stan, fais jouir ta chienne.

— Non je ne vais pas m’arrêter, mais je vais prendre ton petit cul après.

— Oh Stan.

— J’ai vu qu’il était tout serré, ton mari n’a pas dû entrer souvent par la porte de derrière ?

— Jamais, jamais, y a que toi qui est entré par la.

— C’est bien ma petite chienne, embrasse-moi, embrasse l’homme qui va t’enculer.

Au même moment un énorme orgasme jaillit et me fait tressaillir, je reste bouche ouverte gémissante pendant que Stan y introduit sa langue quand je reprends mes esprits, je lui rends son baiser avec fougue et passion.

Stanislas se redresse m’agrippe de nouveau par les hanches et se remets à claquer mes fesses au rythme de ses va-et-vient, je le sens prêt à vider ses couilles en moi, je me retourne pour l’encourager du regard, je sens le premier jet de sperme de mon amant qui jailli dans mon vagin, je gémis en l’accueillant, j’ai toujours adoré ce moment où je me fais arroser par le plaisir de mon partenaire mais c’est bien plus intense avec ce salopard de Stan.

— Oh oui mon chéri, arrose-moi bien, arrose ma chatte, elle est à toi, prend là mon chéri, elle est à toi, prend la, je te l’offre.

Je sens le sperme de mon chéri qui jaillit en moi, je gémis en criant son prénom !!

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