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Mégas Aléxandros – Chapitre 1




Mégas Aléxandros,

né le 356 av. J.-C Roi en 336 av. J.-C.

Avant-propos :

Cette histoire est basée sur plusieurs sources historiques, parfois contradictoires, mais agrémentées par mon imagination et des suspicions qui n’osent apparaître dans la littérature officielle. À mon grand regret, je force l’age d’Alexandre au début de tous commentaires à 18ans pour faire passer la censure qui ne tient pas compte de l’évolution historique. Au lecteur de faire l’effort nécessaire de remettre les choses dans son juste contexte.

De la conception à la majorité.

Dans l’aile ouest du palais royal de Pula, un couple est enlacé, la reine et le strategos du roi. La verge puissante est bien engagée dans l’utérus royal et se démenant comme un beau diable Parménion livre un fleuve qui finira par engrosser la reine. Reposant chacun de son côté, Parménion :

— Pourquoi Olympia ? Pourquoi déserter la couche royale ?

— Pourquoi Philippe va voir ailleurs ? Et pourquoi il n’a qu’un petit membre qui convient mieux à ses soldats qu’à ma fente avide de viande ?

— Je comprends ma reine, Mais il faut comprendre que, ce que je n’ai pu réaliser, avec sa fine nouille, c’est plus confortable pour le soldat et que si tu as le cul malmené, sur le champ de bataille c’est la mort ou à cheval, c’est pas la joie, tandis qu’avec son modèle réduit, tout le monde il est content. Le soldat avec son cul et ses reins en état de fonctionnement et surtout enchanté de l’affection du roi.

— Je comprends, mais cela ne fait pas mes affaires, heureusement que tu es là pour compenser.

— En prenant pas mal de risques.

— Les risques, c’est le propre du soldat.

— Il faut que j’y aille, Philippe ne va pas tarder à rentrer et il ne faut pas provoquer impunément la chance.

Quelque neuf mois plus tard, naquis Alexandre qui ne va pas cesser de croître. La reine invoqua la visite de Zeus sous forme d’un serpent, n’osant dire que c’était le serpent de Parménion qui avait fait le travail.

Parménion fut de tout temps comme un vrai père, on le comprend.

Sur les premières années de sa vie, il eut la chance d’avoir un des plus grands, si ce n’est le plus grand pédagogue de son époque, Aristote, dont on a que fragmentairement l’idée de ses connaissances à l’époque. Évidement, il fut aussi entraîné, physiquement et stratégiquement par Parménion, mais son éducation sexuelle, c’est avec ses compagnons de jeu qu’il la forge, suivant en cela une tradition presque millénaire, depuis Achille son modèle et son compagnon Patrocle, fantastiques héros de l’histoire et porte-parole pour les relations homosexuelles dans l’armée.

Le premier contact avec la guerre eut lieu à Chéronée (338), contre la ville de Thèbe, pour ses 18 ans, il était le commandant du marteau, c’est-à-dire de la cavalerie royale, alors que Parménion était l’enclume, la redoutable phalange macédonienne. Là, le marteau contourna l’armée thébaine et en se retournant, frappa les arrières des troupes thébaines, prises à partie par la célèbre phalange macédonienne. Après la victoire complète, courbaturé Alexandre se retire sous sa tente avec son ami Héphaïstos qui lui fit un massage pour délier ses muscles pendus, mais alors qu’il s’occupait de ses cuisses, fortement sollicitées pour se tenir en selle sur Bucéphale, la pointe du marteau se redressa et Héphaïstos lui proposa de jouer le rôle de l’enclume, lui tourna le dos pour qu’il puisse aussi décharger cette tension.

Ainsi après le baptême du feu avec les armes, il prit d’assaut le cul de son camarade et y introduisit sa queue, qui ma foi était bien dans les proportions grecques de beauté de l’époque, qui étaient un peu à l’opposé des critères actuels, c’est-à-dire dure, mais très fine, servant plus à percer les culs que les cons.

À l’époque, le plaisir masculin se prenait dans le cul d’un homme principalement, (d’où l’expression va te faire enculer chez les Grecs) la femme n’étant que la machine à faire des guerriers. Son plaisir ne comptait pas.

Donc pour reprendre le fil de l’histoire, Alexandre, avec son marteau frappait de plus en plus violemment son enclume préférée, mais il savait qu’il lui fallait aussi une échappatoire, aussi il lui saisit le sexe de sa main princière et le secoua jusqu’à ce que la combinaison du massage de la prostate et le mouvement alterné de sa main conduisent à l’explosion du plaisir de Héphaïstos qui inonda la couche princière.

— Ah cochon ! Tu aurais pu viser ailleurs, lui gronda Alexandre !

— Mais mon amour, c’est toi qui dirigeais mon dard et mon excédent d’énergie n’a pu aller qu’en la direction que tu lui indiquais.

— Bon moi je n’ai pas fini, j’ai encore quelques thébains à soumettre dans ton enclume reprit Alexandre en accélérant la charge de sa cavalerie.

Finalement malgré la résistance héroïque du dernier carré, il inonda le cul de son camarade d’une large giclée de semence qui n’aurait aucune chance de prendre pieds. Héphaïstos se retournant :

— Donne ton marteau que je le nettoie, j’ai encore faim de toi.

— Ça c’est vraiment un service impeccable lui répondit Alexandre.

La rentrée à Pelas, fut simplement triomphale, Philippe son père, fier de l’efficacité de son fils au combat, n’arrêtait pas les louanges, jusqu’au moment qu’il commence à prendre ombrage sur cette popularité qui devenait plus grande que la sienne. Sur ces entre-faits, son deuxième général, Atale, lui présenta sa nièce qui était fort avenante.

Philippe qui était violemment hétéros, à la fois fatigué des refus fréquents de son épouse qui se réservait à Parménion et troublé par cette fraîche beauté, demanda à Atale, son parent de lui la présenter. La mignonne, bien chapitrée par Atale se présente dans ses plus beaux atours à la cour.

— Majesté, dit-elle en s’inclinant profondément à votre service.

— Viens ici mon enfant, (alors qu’elle en avait 19 ans) nous allons continuer cette discussion dans ma chambre.

— Mais bien sûr votre majesté.

Arrivant dans la chambre royale que n’habitait plus depuis longtemps Olympia, le roi égarant ses mains sur le corsage :

— Montre un peu tes arguments Cléopâtre ! (il ne s’agissait pas de la célèbre pharaonne qui fourra Jules dans son plumard, mais c’était un nom courant en Grèce et en Macédoine)

Se déshabillant, la douce midinette présente un corps gracile qui trouble grandement ce pourfendeur de chaire fraîche.

— Très bien et très beau, maintenant, viens t’occuper de mon sceptre, il est un peu à l’étroit dans mes brailles.

S’acquittant de cette mission au combien périlleuse pour cette pucelle, tout juste sortie du gynécée familial, elle extrait le Priape du souverain, fièrement dressé.

— Oh ! Majesté, comme vous avez un grand zizi !

— C’est pour mieux te baiser mon enfant !

— Comme vous avez de grosses boules sous le tuyau !

— C’est pour mieux te remplir !

— Comme vous avez de grandes moustaches !

— C’est pour mieux garder le goût de ton jeune conin, mais trêve de "comme vous avez …" ! Mets-toi sur le dos que je t’embroche.

— Mais Majesté, votre grosse biroute va me faire énormément mal.

— Penses- tu ? Attends, je vais faire venir mon giton pour préparer la place, il est polyglotte, un as de la langue.

— Pendant qu’il préparera le nid, je vais lui défoncer le fion pour me faire prendre patience.

— Majesté, tu ne préférerais pas que ce soit ma tante Nicodème qui me prépare, elle m’a déjà préparée pour les habits.

— Vas pour Nicodème, j’ai déjà monté cette jument, elle est bonne.

— Mais Majesté, on ne parle pas comme cela de ma tante.

— Nicodème, rapplique-toi, j’ai un petit travail pour toi, cela devrait être dans tes cordes, vu que tu as été prêtresse à Lesbos. Comme je veux que ce soit excellent pour la première fois, quoi de mieux pour la préparation d’un conin qu’un successeur de Sapho et prépare aussi ton cul pour me faire patienter. Je l’aime particulièrement, bien étroit.

— Oui votre majesté, mais j’ai mes lunes.

— C’est pas important, je ne vais pas te fourrer devant, mais honorer ton arrière-train.

— J’arrive, je prends juste un peu de beurre à la cuisine ou du gras de cochon. Que préférerez-vous ?

— Cela m’est égale, c’est pas moi qui vais souffrir si ce n’est pas prêt quand je m’introduirai dans ton vestibule.

Les trois se retrouvent sur la couche royale, Nicodème le nez sur le clito et la langue dans le trou de Cléo pendant que Philippe, étendard en main, investit la citadelle de Nicodème.

— Elle a bon goût cette petite, dit Nicodème au roi, votre Majesté devrait goûter ce fruit avant qu’il soit massacré.

— Elle est prête pour l’onction royale ?

— Presque, manque un petit coup de langue royale et un peu de beurre pour assouplir l’entrée du temple.

— Dépêche-toi, j’ai les roustons qui frémissent, mon sceptre s’impatiente !

— Tout de suite Majesté, vous pouvez déjà vous sortir de mes entrailles, je vais nettoyer le sceptre royal dans ma bouche.

— C’est bien, fais ! Mais tu suces comme une pro du XXI siècle.

S’arrachant aux lèvres ventouses de Nicodème, il s’approche, étendard au vent, se présente devant cette crevasse, luisante de mouille impatiente de sentir enfin ce pieu qui mettra fin à sa jeunesse et lui permettra de rentrer dans le monde des grands.

D’un mouvement ample, il plante d’un mouvement brusque mais pas sec, sa bite dans le conin, faisant péter par la même occasion le labelle de garantie.

— Aïe, gémit la pauvre enfant devant la déroute de ses troupes et l’invasion sanglante, mais avec le gland perçant son intérieur inviolé jusqu’à ce jour. Ouf ! C’est passé, cela fait encore un peu mal, mais autrement, j’aime bien ta tartine parrain. Ce n’est que plus tard qu’on comprendra qu’en fait elle voulait dire : J’ai bien ta pine Tartarin !

Retirant à moitié sa pine du conin, Philippe constata qu’on ne l’avait pas trompé sur la marchandise et que c’était du neuf aux traces de sang qui ornait son sceptre royal.

— C’est bon, tu es une bonne petite, je compte sur toi pour me faire un autre héritier, Alexandre devient de plus en plus incontrôlable.

— Mais Majesté, mon ventre est pour cela. Continuez à plonger votre sceptre, c’est trop bon, surtout quand en même temps, vous me trayez les nichons.

Accélérant le train, Philippe sent de plus en plus que ses gonades fourmillent et désire envahir la trompe d’Eustache (enfin à cette époque, je ne suis pas sûr que cela s’appelait comme cela)

— Tiens, voila la purée royale, prends en bien soin et viens me retrouver demain pour en remettre une couche.

Après quelques essais fructueux, Philippe décida d’en faire sa reine. Ce fût le début des emmerdes pour lui.

Alexandre évidement pris le parti de sa mère et de violentes disputes dégénéraient à la cour. Au cours d’une des beuveries habituelles, Alexandre se permit de se moquer de son père qui était ivre et avait de la peine à marcher.

— Père comment veux-tu conquérir l’empire perse quand tu tiens à peine debout ? Tu ressembles plus à un porc maintenant qu’à un fringuant guerrier.

Fou furieux Philippe demanda à Parménion qu’on arrêta Alexandre, ce fut une de ses dernières erreurs, évidemment qu’un des camarades présents, avisa Alexandre qui s’enfuit avec ses camarades dans les montagnes de l’Épire.

Sa mère, voyant le ventre de Cléopâtre s’arrondir, commença à craindre pour sa vie, comprenant que la course pour la survie avait commencé, séduit en suite Pausanias, un garde du corps de Philippe et sans le dire directement se plaignit de son époux qu’elle faisait agréablement cocu comme pas permis.

Au bout d’un certain temps, Philippe compris qu’il faisait fausse route avec Alexandre qu’il aimait malgré tout tendrement, envoya Parménion pour le rappeler à la cour.

Gravissant un sentier de chèvres avec son escorte, ils furent assaillis par une troupe belliqueuse qui, reconnaissant Parménion, arrêta de suite les hostilités.

— Que me vaut cette visite mon bon oncle ?

— Le roi Philippe désire ton retour à la cour.

— C’est pas un moyen pour me liquider ?

— Non, il est sincère, il tourne comme un ours en cage en se tapant sur la tête de désespoir de ne pas t’avoir à la cour.

— C’est bien, on part demain.

La semaine suivante, Alexandre qui tirait sur ses vingt ans, se présenta à la cour macédonienne et les retrouvailles furent émouvantes.

Lors d’une réception des ambassadeurs du roi des rois, l’empereur perse, lors d’une chasse à l’ours, alors qu’Alexandre était en vraiment mauvaise posture, d’un geste sûr et précis, un des immortels, Artachée, lui sauva la vie et en faite condamna l’héritier de son roi des rois.

Peu après, Pausanias, le garde du corps du roi, sous l’influence d’Olympia, fait un régicide. Très rapidement Alexandre est acclamé comme roi, évinçant du même coup son demi-frère aîné qui était taxé de fou, mais plus probablement d’épileptique. Ses compagnons d’arme, d’étude et de beuverie, faisant un bloc compacte, Parménion éliminant Atale qui essayait d’éviter la prise de pouvoir d’Alexandre, Alexandre fut proclamé Roi de Macédoine et protecteur des cités grecques.

Tout de suite, les plus proches voisins, essayèrent de s’affranchir de la tutelle de la Macédoine. Mal leur en pris, Si Philippe était vindicatif, Alexandre était un lion, en moins de temps qu’il fallut pour le dire, les petites principautés traces et danubiennes qui s’étaient révoltées sont mise au pas et du côté grec.

Athènes et Thèbes, sous l’influence de Démosthène se révoltèrent, Ils se promirent entraide et assistance. Mais la réaction fulgurante d’Alexandre, traversant les Thermopyles en marches forcées, pris de court les conspirateurs. Passant par des cols où on ne l’attendait pas, il fondit sur la ville de Thèbes et leur proposa à nouveau qu’ils fassent allégeance.

Les thébains refusèrent, espérant un long siège et le soutien d’Athènes. La réponse fut cinglante, avec l’aide de la garnison Macédonienne occupant la citadelle, la cité fut prise, mise à sac, rasée et presque tous les habitants mis en esclavage. Alexandre, qui ne voulait pas raser Athènes à cause de sa flotte, voulait faire un exemple : Avec lui, pas de faiblesse. Sur ces entre-fait, Alexandre est élu hégémon des Grecs par la ligue de Corinthe et va se trouver conforter dans son désir dexpansion.

La suite concerne : la conquête de l’Asie, sil y a intérêt de revoir l’histoire sous un jour différent

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